Métal et Fer [ Kisen ]

Je vous regarde du haut de mon siège de Divin. La miséricorde sera pour toi ton unique salut ♫

Je suis Yukita Eiko. Fidèle homme appartenant au pays du fer de coeur, pays de foudre par obligation. En temps qu'être divin, je ne pouvais percevoir les circonstances du monde actuel. Vivre dans un monde ou la paix n'était juste une vulgaire utopie oublier des gens. Vivre dans le chaos total, sans la moindre chance de rester sur des terres paisible. La paix, la vie, la nature tout allé disparaitre. D'un simple claquement de doigt, moi le fils de dieu ferait du monde shinobi un havre de paix.

Solitude, damnation. L'être humain peu parfois ce sentir seul. Bien seul. Mais la solitude n'était pas si mal, un adage très connu dit, Il vaux mieux être seul que mal accompagnée. C'était le cas, j'avais fait le choix de me retrouver seul à quelques lieux de Kumo, alors que j'aurai pu être accompagné d'un bon nombres de personnes dans l'un des trous mal fréquenté du village. Calme, silence et douceur, tel était l'endroit ou je me trouvais. Prairie mal entretenu, herbes malheureuse, arbres non fleurissant et le chant du ruisseau s’écoulant à proximité. Allongé sur la terre froide et dur, j'observais un ciel non sans nuages. Nullement intrigué par le spectacle qui se jouait sous mes yeux, j'observais sans aucune passion les mouvements lent et sans but des nuages qui parfois former objets et autres forme incongrue.

Enfant, alors que mon frère me tenait dans ses bras, il nous arrivait de joué à trouvé le nuage avec la forme la plus proche de la réalité. Lui qui avait un imaginaire très fertile gagnait toujours. Pourtant malgré mes défaites à répétition, je n'étais jamais triste de la voir gagner. Peut-être qu'a cette époque je n'était pas - comme aujourd'hui - satisfait que de la victoire. Et c'est ainsi qu'une nouvelle fois, je me laissa prendre au jeu. Cette fois, je en pouvais pas perdre, car j'en étais devenu le seul joueur.

L'expérience ne nous offre au premier coup d’œil qu'un chaos suivi d'un autre. La conscience n'est guère dans le désordre du monde qu'une petite lumière précieuse et fragile. Cependant, une étoile dans cette mêlée, synonyme de lumière, éclairant un nouveau chemin, est née. Un chemin qui mènera le monde à une paix durable sans haine et sans chaos. Mais à t-il ne serait-ce que débuter son œuvre ? Cet être de lumière était-il au chaumage ? De nombreux évènements me poussèrent à prendre la place de ce messie. Comment ? Pourquoi ? Quoi ? Ou encore bien même quand ? De multitudes questions s’établissant avec une certaine lenteur, mes avec un force extraordinaire.

* L'ennui le plus total. Si je continue à rester allongé ici je vais m'endormir. *

Kisen marchait dans les montagnes avoisinant Kumo. Il se rendait dans le terrain d’entraînement qu’il construisait à la place de l’ancien village des Bannin. Il y allait de manière régulière pour continuer à travailler dessus pour quelques heures lorsqu’il avait du temps libre. Il souhaitait encore attendre quelques temps avant de s’absenter du village pour quelques jours à nouveau. Les membres de son clan avaient fini par comprendre que Kisen avait des projets concernant leur ancien village mais peu d’entre eux semblaient être contrariés par cela. Le chef du clan faisait confiance à Kisen, surtout depuis ses récentes promotions.

De par la séparation qui subsistait entre le clan et le village, aucun de ses membres n’avait pu divulguer l’existence de ces projets au reste des villageois. Kisen n’avait pas encore pris de décision quant au secret de ses projets. Il souhaitait ne pas trop en parler tant qu’il n’avait pas fini.

Alors qu’il marchait dans les montagnes, il aperçut un homme regarder le ciel. Kisen fut quelque peu surpris et curieux de savoir ce qui en était. Il s’approcha donc de l’homme et se rendit compte après quelques pas qu’il le connaissait. Yukita Eiko, Kisen l’avait déjà rencontré auparavant, de plus, avec sa position de Chuunin, il avait pu lire son dossier. Kisen était persuadé que le genin était proche de la promotion.

Il le rejoint alors car il était toujours curieux de connaître la raison de sa venue.

- Excusez-moi, Eiko, désolé d’être indiscret mais que faites-vous sur ces terres ?

Kisen ne voulait pas imposer son autorité hiérarchique sur le jeune homme, leur niveau n’était pas si différent que cela. Il ne venait donc pas le voir en tant que supérieur mais en tant que camarade shinobi.

Je vous regarde du haut de mon siège de Divin. La miséricorde sera pour toi ton unique salut ♫

Je suis Yukita Eiko. Dojin le dieu de la terre ma confier la tâche de protéger le peuple qui souille le sol. Faire en sorte que la vie des civils soient plus facile, qu'ils puissent être épanouis. Le rire des enfants, les jeunes pousse du village, les graines qui formeront plus tard des racines. Ce transformant en arbre, en grand chêne qui durera pendant des centaines d'années.

La réflexion est une chose commune à toute personne ayant au moins le minimum d’intelligence vulgaire acquis. Des esprits malades se croyant finalement et définitivement supérieur alors qu’ils ne sont riens. Seulement de pauvres grains de poussières dans une maison lamentablement abandonnée avec le temps. Pauvre de notre race, car nos principaux dirigeant ne son doté, en apparence et a travers leur acte, que d`une intelligence vulgaire. Mais je ne m`attarderais point sur ce sujet, qui peut fâcher.

La guerre, la guérilla et encore bien d’autre. Tous ces mots s’inscrivant dans une seule catégorie bien précise. Nous le savons, certes et cela ne nous fait nullement de plaisir. C’est assez misérable pour tout dire, pourtant, cette petite perle de connaissance, ce petit haillon d’argent maussade, ne s`est guère développé. Ces guerres perpétuelles pour la quête de territoire, semant terreur et désarroi sur son passage n`est-il qu`une simple fraction de notre destin ?

Allongé face au ciel bleu azur, j'attendais la fin. La fin de quoi me direz vous. La fin de cette journée si ennuyeuse. Regardant les nuages, cherchant la moindre forme peu commune, sans rien avoir à me mettre sous la dent. Aucun nuage ne pouvait me rappeler le jeu effectué avec mon frère dans les montagnes de Tetsu. Alors que j'étais sur le sol, mon bob recouvrant le haut de ma tête laissant juste perceptible le noir de mes yeux. J'apercevais de la longue carrure, et sa corpulence énorme, Bannin. Kisen de son prénom. Chuunin du village, provenant de la même promotion de genin ou je sortais. Lui avait rapidement évolué, et par son mérite face au évènement des furyous ou j'ai été très lamentable. J'affichais un sourire face à ses paroles interrogative.

Je me relevais doucement, en m'étirant lentement histoire de bien faire craquer toute les parties de mon corps. Levant mon bras droit en signe de salutation, je m'adressais avec une voix paisible. Il était quand même depuis son élection au rang de Chuunin, mon supérieur.

" Je suis venu me ressourcer Respirer l'air pur des montagnes de kaminari

Le genin se releva alors lorsqu’il entendit la voix de Kisen et lui fit un signe du bras pour le saluer. Ce dernier sourit et le salua à son tour. Kisen fut surpris d’apprendre que son interlocuteur était simplement venu prendre l’air. C’était une raison très honorable, peu de shinobi prenant vraiment le temps de se reposer et de profiter des bienfaits de la nature.

- Je comprends, cela m’arrive assez souvent de sortir du village pour ressentir un peu de calme.

Il se demanda alors ce que Yukita allait penser de sa propre raison pour être présent dans ces montagnes. Après tout, il possédait tout son équipement d’entraînement, ce qui était assez particulier pour se reposer. Il eut alors une idée, ils avaient déjà participé à la même opération, il sentait pouvoir lui faire confiance.

- Je vais dans un endroit particulier pour m’entrainer, je pense que ça pourrait vous intéresser !

Kisen voulait profiter de de cette rencontre en testant réellement l’arène qu’il avait construite. Il n’avait aucune idée concernant l’envie de son interlocuteur de venir s’entrainer et par conséquent, il espérait que ce dernier n’allait pas accepter en pensant qu’il s’agissait d’un ordre. Kisen faisait partie du petit nombre de sa génération à avoir été promu, par conséquent, il lui arrivait assez souvent de revoir les autres. Lorsqu’il était en mission pour le Kazai, les choses étaient plus simples, la hiérarchie étant différente. Mais lorsqu’il en rencontrait lors de son temps libre, il ne savait jamais comment il devait se comporter.

- À vrai dire, l’endroit n’est pas tout à fait terminé, mais il y a déjà tout ce qu’il faut pour s’entrainer !

Le jeune Bannin espérait que Yukita allait accepter, il en avait dit beaucoup plus que prévu.

Je vous regarde du haut de mon siège de Divin. La miséricorde sera pour toi ton unique salut ♫

Je suis Yukita Eiko. Dojin le dieu de la terre ma permit de vivre dans ce monde abjecte. Le dieu de la terre, marie de Gaia, déesse aussi de la terre m'avait confier le soin de prendre quiconque voudrait détruire le monde shinobi. Peu importe la façon, la miséricorde du très haut deviendra pour eux, leurs prochain fardeau.

Des réflexions concernant ce monde dans lequel mon corps se ballade. Ce monde qui se meurs dans ses propres sentiments ténébreux. Ces sentiments néfastes qui poussent l`homme avare à semer ce qu`il ne pourra récolter. Je rentrai de cette guerre, lasse, épuisé d`être l`instrument de ces malheurs allant à l`encontre de mes idéaux. Je ne pris personnellement, aucune distraction, aucune joie et aucune volonté à participer à cela. Seule cette apatride, qui me sert de dédoublement de personnalité, avait nourrit, rassasier son gout incessant du sang et du combat. J`été converti, immaculé du sang de mes victimes.

Des taches indélébiles marquant mon corps et mon âme. Les jours passèrent, la vie devint monotone, ma démotivation se faisait palpable. Blessé tant mentalement que physiquement, mon corps se remit peu à peu de ces graves altérations. Enfin rétablie je pus enfin reprendre mes moments d'entrainements intensifs. Mon nindo, ma détermination, mon envie de changer un monde sans avenir, tel était ma véritable puissance.

" Un endroit particulier dis tu ? Hmmm ... "

Bien entendu orchestrer par une espèce de commentateur avalant ses propres paroles de par la nonchalance du geste. Cette chose tout simplement abjecte, mais pourtant qu’on vénère avec une folie tout simplement inquisitrice, voire peut-être fanatique. Enfin trêve de bavardage. En mon âme et conscience, je décidai de faire abstraction de toutes ces réflexions, pour me remettre à nouveau à fixer mon interlocuteur. Un puissant vent se leva, faisant claquer ma chevelure d`une nuance blanchâtre argenté.

" Un entraînement ? Pourquoi pas, je suis un peu rouiller en ce moment, et l'exercice face à un Chuunin me ferais le plus grand bien. "

Je n'avais aucune signification de joie ou de haine sur mon visage. Une attitude neutre pour ne pas montrer mon envie de le combattre. En tant normal, j'aurai foncé tête baissé, sans trop me poser de question. Mais ici il ne s'agissait pas de combattre un ennemi, mais de s'entrainer avec quelqu'un de plus haut gradé. Histoire de savoir si oui ou non, j'étais bien l'élu de Dojin, le dieu de la terre. Affichant un sourire, je retirais de mon dos mon parapluie pour l'ouvrir au dessus de ma tête. Faisait trop chaud putain .... La transpiration, et les mauvaises odeurs, très peu pour moi. Je lui faisais signe avec mon bras libre, essayant de lui faire comprendre que j'allais le suivre jusqu'a son terrain.

Kisen fut content d’entendre son interlocuteur accepter sa proposition, il allait enfin pouvoir montrer son travail à quelqu’un. Cela ne faisait pas longtemps qu’il travaillait dessus, à peine quelques semaines, mais il avait passé tellement d’heure sous la surface que l’idée d’en passer quelques unes avec quelqu’un d’autre le réjouissait. Il sourit alors à Eiko et lui fit un signe de la tête en direction du lieu qui les attendaient.

- Venez avec moi, ce n’est pas très loin.

Kisen prit alors la direction de son ancien village d’un pas assuré. La chance avait voulu que Eiko se trouvait à seulement quelques dizaines de mètres de l’entrée. Même si le lieu était facilement accessible et qu’il n’était pas rares de voir certaines personnes se balader sur ces terres, de mémoire d’homme, personne n’avait jamais réussi à trouver le village des Bannin sans savoir avec précision où se trouvait son entrée.

Kisen savait quant à lui, très bien où se trouvait ce qu’il cherchait. En marchant sur la roche de la montagne, tout ce qui entourait pouvait cacher un secret. Et c’était le cas ici, alors que n’importe qui n’aurait vu que des rochers parmi tant d’autres, Kisen trouva ce qu’il cherchait, un grand rocher collé au flanc de la montagne. Une chose tout à fait anodin, si l’on enlevait le fait que ce rocher cachait plusieurs kilomètres de tunnel.

Le chuunin se retourna pour vérifier qu’il était toujours suivi puis il décala le rocher pour laisser apercevoir l’entrée du tunnel.

- Vous n’êtes vraiment pas au bout de vos surprises. J’espère que vous n’avez pas peur du noir.

Kisen s’avança donc dans le tunnel, prenant deux torches. Il les alluma puis en donna une à Eiko avant de renfermer l’entrée derrière lui. Il s’enfonça alors dans le tunnel pendant quelques minutes. Le trajet était plutôt long et même quelqu’un qui découvrait l’entrée ne pouvait pas atteindre l’ancien village sans connaitre les trajets des différents tunnels. Certains auraient vu cela comme une bonne cachette, mais il s’agissait plutôt d’une forteresse imprenable.

Je vous regarde du haut de mon siège de Divin. La miséricorde sera pour toi ton unique salut ♫

Je suis Yukita Eiko. Dojin le dieu de la terre ma permit de vivre dans ce monde abjecte. Le dieu de la terre, marie de Gaia, déesse aussi de la terre m'avait confier le soin de prendre quiconque voudrait détruire le monde shinobi. Peu importe la façon, la miséricorde du très haut deviendra pour eux, leurs prochain fardeau.

Il était donc l'heure de nous mettre en marche vers le village caché de Kisen. Etrange chose de sa part, avoir construit un village à lui seul sous la montagne. Je pouvais le comprendre d'une certaine face, j'étais tout comme lui. Le temple de mon maître Ako, était situé sur les hauteurs du mont Kuzoki. Non loin des temples ancestraux du pays de la foudre. La pénombre, la mauvaise vision suite au manque de lumière. Quelque chose de très similaire au contexte actuel du lieu ou nous allions.

Nous étions en chemin, longeant les montagnes pour enfin atteindre une sorte de rocher plus gros que les autres. De part sa carrure, Bannin poussait le rocher qui bloquer la route. Un trou béant laissé maintenant place à une galerie. N'importe qui ne pouvait trouver cette entrée. Il fallait être soit le créateur du lieu dit, ou alors un membre effectuant des allés retour ici. Dans notre cas, Kisen semblait être quelqu'un d'important pour connaître l'endroit exact du souterrain. Il attrapait deux torches avec au bout du torchon pour pouvoir y mettre le feu et ainsi nous repairer dans le noir le plus total.

" J'ai grandi au pays du fer, les montagnes, les grottes, ainsi que les endroits sombre ne son pas quelque chose qui me fait peur. "

Referment le trou derrière lui, personne ne pouvait maintenant savoir ou nous étions. Avec son aide, nous avançons dans le tunnel obscur et étroit. D'un pas lent j'avançais à la lumière des deux bout de bois flamboyant. Les galeries semblaient laisser déboucher plusieurs chemins, comme une sorte de labyrinthe. Sans quelqu'un connaissant les lieux, il serait impossible de retrouver son chemin. Finir perdu sans la montagne, mourant donc de faim et de soif.

" Alors il existe bien une ville sous la montagne ? Votre ville en l'occurence. J'ai hâte de voir cela ! "

Alors que les deux shinobis s’avançaient en bravant l’obscurité de ces lieux antiques, Eiko demanda à Kisen s’il s’agissait d’une ville sous la montagne. Ce dernier fut assez surpris qu’il eut entendu parler de cet endroit. La connaissance de ce lieu par la population civile n’était pas problématique, il était même normal que les gens aient eu vent de la provenance du clan Bannin. Et puis le clan n’avait jamais réellement fait de déclaration à son sujet, la ville sous la montagne était devenue légende avec le temps pour certains. Voyant la curiosité du genin, Kisen se mit à donner quelques explications en marchant.

- Effectivement, il s’agissait bien d’une ville autrefois, un village plutôt. Celui de mes ancêtres et également celui d’où je viens, mais depuis l’arrivée à Kumo de notre clan, la montagne a repris ses terres. J’ai décidé il y a quelques semaines de venir montrer à la montagne que les Bannin ne sont pas encore morts.

Peu de temps après son petit discours, ils arrivèrent à la fin du labyrinthe de tunnel qui parcourait la montagne. Ils atteignirent les portes du villages, majestueusement construites à partir de métal solides. Les galeries en roches laissaient place à un lieu immense dont l’on pouvait aisément deviner la taille grâce à la hauteur de son plafond.

Kisen ouvrit alors les portes pour laisser apercevoir l’état actuel du village. De nombreuses anciennes habitations avaient été détruites à cause des effondrements liés au manque d’entretien du village. L’ancienne arène était encore visible et facilement repérable mais elle n’était plus en état de servir. Kisen avait décidé d’en construire une autre plutôt que devoir réparer tous les dégâts qu’elle avait subis. La nouvelle arène n’avait rien de majestueux, Kisen n’avait ni le niveau de maîtrise nécessaire ni le talent artistique que ceux qui avaient construits le village. Car dans le village, il y avait un bâtiment bien plus récent que les autres, d’un métal étincelant et d’une beauté très limitée. On aurait dit un gros bloc de métal recouvrant un bon tiers du village. Pointant ce bâtiment du doigt, Kisen s’adressa à Eiko.

- J’ai construit ce bâtiment, il ne s’écroulera pas même si nous nous battions à pleine puissance, il a été conçu pour cela. C’est donc à l’intérieur que l’on s’entrainera.

Je vous regarde du haut de mon siège de Divin. La miséricorde sera pour toi ton unique salut ♫

Je suis Yukita Eiko. Dojin le dieu de la terre ma permit de vivre dans ce monde abjecte. Le dieu de la terre, marie de Gaia, déesse aussi de la terre m'avait confier le soin de prendre quiconque voudrait détruire le monde shinobi. Peu importe la façon, la miséricorde du très haut deviendra pour eux, leurs prochain fardeau.

Alors nous y sommes enfin ! La vie sous la montagne rugueuse de kumo, gisait sous ses terres un immense village. Une ville abbandonné depuis longtemps au vue du décors assez chaotique qu'elle nous laissé apercevoir. C'est ainsi que Kisen prit la parole pour m'expliquer d'ou pouvait sortir un tel édifice sous la roche. Un petit cour d'histoire était donc lancé entre le prof et son élève. C'était assez mignon de voir la façon dont il semblait être très fière de parler de son clan et du lieu ou nous étions.

Laissait livré à lui même, le village avait du cohabiter avec la montagne et les rochers, pour enfin perdre face au pouvoir de la nature. Ceci ne l'avait pas touché dans son amour propres ou mentalement, son objectif était très claire. Il avait commençait d'après ses dires, depuis quelque semaine le nettoyage ainsi que la remise en état du ce lieu si étrange. Une atmosphère pesante pouvait être ressenti quand je fermais les yeux. Une sorte de force perdu, enfoui ici depuis tellement longtemps qu'elle ne demandait rien d'autre que de revenir au gout du jour.

Les immenses portes de métal s'ouvraient lentement. Laissant alors pour le plaisir des yeux une vue assez motivante. Malgré les dégâts fait par la roche, et le temps qui avait filé, il ne restait pas à rien faire. Dans tout ce merdier, il avait reconstruit une arène de combat, mais cette arène n'avait rien de naturel. Il surplombait tout le village par cette prestance métallique abondante. La pointant du doigt, il m'expliquait que ici, on pourrait faire nos petite affaire sans qui nous arrive rien.

Dégainant de mon parapluie mon sabre, jetant mon bob ainsi que mon manteau au sol, je changeais complètement d'humeur sur mon visage. Plus tendu, les yeux en éveil, mon regard profond et noir, j'étais près. Chuunin ou pas, j'allais lui en mettre plein la bouche, et de part sa stature imposante de son deux mettre un de hauteur, il ne m'impressionnait pas.

" Ton arène, ne tiendra pas plus d'une minute face au pouvoir d'un samourai. Faisons un test alors ! "

- Tu n’as qu’à te dire que dans le pire scénario, c’est la montagne qui s’effondre. Mais ne soit pas pressé de combattre, nous serons bien mieux à l’intérieur.

Kisen souriait à la remarque du Samouraï, il appréciait son tempérament si différent du sien. La motivation de son futur partenaire d’entraînement le rassurait, il n’avait pas l’impression de l’avoir amené ici pour rien. Il partit donc ouvrir les portes du bâtiment. Vu de l’extérieur, cela ne ressemblait pas à grand chose, mais une fois à l’intérieur c’était différent. Bon, ce ne fut pas flagrant immédiatement étant donné que l’obscurité régnait dans la salle. Le Bannin avait prit la peine d’installer à plusieurs endroits des foyers pour réchauffer la salle mais surtout pour l’éclairer. Il prit donc soin d’allumer avec l’aide de sa torche celui qui se trouvait proche de l’entrée. Au bout de quelques secondes, les flammes jaillirent du foyer pour illuminer une partie de l’arène laissant ainsi à Eiko de remarquer l’absence totale de finesse dans le travail de Kisen.

- Tu n’as qu’à te préparer pendant que j’illumine la pièce encore un peu.

Après avoir prononcé ces quelques mots, Kisen s’exécuta alors à faire le tour de la pièce, allumant chaque foyer. Ainsi, l’arène révéla toute sa splendeur. Faisant plusieurs dizaines de mètres de rayon et entièrement construite à partir de métal, elle était unique en son genre. Le contrôle du métal était très pratique, mais cette arène montrait qu’il n’était pas la capacité la plus esthétique. Une fois la tâche accomplie, il déposa ses affaires à l’abri et retourna vers le centre de l’arène.

- Je vois que tu as l’intention d’utiliser un sabre, je vais donc en faire de même.

Alors qu’il prononçait ces mots, Kisen tendit le bras droit pendant que du métal sortait du sol pour former un large katana dans sa main. Toute l’arène était composée de métal qui contenait encore des traces du chakra du Bannin. Cela l’avantageait clairement, mais il n’avait pas l’intention d’en profiter. Il se mit alors en position de combat et sourit à nouveau à Eiko.

- Bon, commençons la leçon !

Je vous regarde du haut de mon siège de Divin. La miséricorde sera pour toi ton unique salut ♫

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Il venait tout juste de terminer ces mots. Donnant le top départ du combat. Me voyant avec un sabre, il avait eu l'idée dans faire de même juste avant, histoire de jouer à arme égal. Mais malgré toute la meilleur volonté du monde, il ne pourrait pas rivaliser au combat de sabre face à un samourai. Nous autres étions expert en la manipulation d'arme depuis notre plus tendre enfance. Tendre ais je dis ? Il n'y en avait que le mot mais sans la forme. L'enfance d'un samourai n'est pas banal. L'entrainement, le perfectionnement, encore et toujours, partir de chez soit des l'âge de quatorze ans pour les plus douer. Partir pour ou ? rejoindre un maitre pour y commencer notre formation suivant la maison choisi. Dans mon cas c'était celle de l'issen. L'art de la contre attaque ciblée.

Un art bien particulier, que Kisen allait pouvoir en voir un petit bout. Mais pour l'instant il avait dort et déjà un plus gros problème à régler. Nous étions tout deux au centre de la pièce. Nos corps formant un face à face, ou l'allure imposante de Banin prenait enfin tout son sens. Les deux mettre zéro un, mesuré, comparé à mon mettre soixante dix huit était assez désavantageux et assez complexe. Malgré tout, il fallait y aller comme y dise, donc allons y.

Contact visuel déjà obtenu, tout marché comme sur des roulettes. Augmentant mon flux d'aura, en direction de mon adversaire du jour, je commençais à relâcher cette concentration pour faire tomber une sorte de pluie au dessus de Kisen. Une pluie sans eau non. Une pluie de plume d'ange, provenant de l'ange favoris du dieu Dojin. Les plumes, comme tout le monde connais, son des choses assez inoffensive au premier abord. Mais ici, les plumes avaient une toute autre idée de la conception. Aussi tranchante que les lames du pays du fer, elles tombaient par dizaines sur le pauvre corps du géant. Il allait comprendre ce qu'était la douleur, souffrir mentalement, à en venir presque à me demande de le tuer tellement les souffrances qu'il aura subit dans son psychique lui rendrons la vie impossible. " Souffre ... "

hrp :
Spoiler:

Kisen tenait fermement le katana qu’il venait de créer, il savait que malgré la différence de grade entre eux, il ne pouvait pas faire le poids dans un combat de Kenjutsu contre un samouraï, mais il avait d’autres atouts dans la manche que son adversaire n’avait pas. Il était donc prêt à se donner à fond contre Eiko. Le Bannin avait déjà fait de nombreux combats dans sa jeunesse et il commençait à savoir reconnaître l’état d’esprit de son adversaire pour deviner ce qu’il faisait. Lorsqu’il se concentrait vraiment, il pouvait même arriver à anticiper les attaques. Et pendant qu’il observait son adversaire, il ne comprenait pas pourquoi celui ci semblait avoir déjà commencé le combat alors qu’aucun des deux n’avait fait le moindre mouvement.

Il se rendit alors compte qu’une myriade de plumes se mit à tomber du plafond dans sa direction. Par réflexe, il fit un bond en arrière pour les éviter. Il savait que la présence de ses plumes à l’intérieur de la montagne n’avait rien de naturel et qu’il n’y avait que son adversaire pour les faire apparaitre. Il ne savait pas quels étaient les effets de ces plumes, alors il ne pouvait que les éviter. Il n’attendit alors pas de toucher le sol pour contre-attaquer, il fit très rapidement les mundras nécessaires pour lancer sa technique.

- DORYUUDAN NO JUTSU !

Aussi peu naturel que les plumes qui tombaient du plafond, une tête de dragon de boue sortit du sol. Le dragon n’était pas l’attaque en elle-même, celui-ci se contenta d’ouvrir la gueule pour cracher une dizaine de projectiles de boue en direction du samouraï. Kisen se demandait bien comment son adversaire allait se protéger de cette attaque, même s’il ne doutait à aucun moment qu’il en était capable.

Lorsqu’il se réceptionna à nouveau sur le sol, une grande douleur à l’épaule lui fit lâcher le katana qu’il avait créé. Il tourna alors la tête pour comprendre d’où venait cette douleur. Il se rendit compte qu’une plume lui avait sectionné l’épaule. La douleur était grande, mais il avait connu pire. Il savait désormais que les plumes étaient dangereuses. Il leva alors les yeux au plafond et se rendit compte que les plumes continuaient de tomber vers sa position. Il sauta alors à nouveau en arrière pour les esquiver à nouveau. Il effleura alors à peine une plume en l’air avec son dos et ressentit comme s’il avait prit un coup de sabre par derrière. Kisen pouvait encore supporter la douleur sans que cela n’ait de conséquence sur son combat, mais les plumes continuaient de tomber et il devait trouver une solution.

La suite du combat allait être intéressante.

Spoiler:

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Je suis Yukita Eiko. Dojin le dieu de la terre ma permit de vivre dans ce monde abjecte. Le dieu de la terre, marie de Gaia, déesse aussi de la terre m'avait confier le soin de prendre quiconque voudrait détruire le monde shinobi. Peu importe la façon, la miséricorde du très haut deviendra pour eux, leurs prochain fardeau.

Les plumes tombaient et ils avaient fait mouche. Deux touches, mais Kisen lutter contre son esprit. Il comprendrait plus tard que son mental n'était pas aussi géant que çà taille. Les plumes tombaient encore, comme si nous étions en plein hiver dans les contrés pluvieuse du nord. Il reculait en faisant un bon pour leurs échapper mais cela ne servait à rien. Ou qu'il soit, les plumes tomberont la ou il se situe. Voici l'emprise que j'avais commencer à prendre sur son esprit. Quand il aura compris qu'il s'agissait en faite que d'un simple genjutsu, la douleur physique qu'il croit ressentir troublera alors son mental. Il sera en détresse psychique, son esprit sera désorienté. Alors pourquoi pas faire durer le plaisir de la torture encore un peu. Pour l'instant il fallait faire en sorte d'éviter l'espèce de tête de dragon de terre qui venait de lancer des projectiles dans ma direction.

une dizaines de mettre nous séparé, il fallait quand même agir et vite. Technique ancestrale des samourais, l'art de dégainer rapidement son katana, avec une vitesse et une aisance fulgurante. Ma main gauche attrapait instantanément le manche de mon sabre pour le sortir de son fourreau. Tout en faisait le processus du iaido, mes jambes effectuaient un tour sur eux même pour faire une rotation de anche en m'appuyant avec la pointe des pieds. Le Roga Fufu Ken, une technique de déplacement conçu par les samourais datant d'au moins la même époque que le iaido. Une technique de déplacement simple mais efficace.

Celle ci me permettait de me mettre à l'abris des projectiles de terre de la bouche du dragon. Malgré tout, la distance que j'avais calculé avec le peu de temps que j'avais n'avait pas suffit. Un projectile de terre me frappait l'épaule gauche. Le combat avait belle et bien donc commencé. Nous nous jaugions, histoire de voir ce qui était prévu pour l'entrainement. Touchais durant ma rotation, il fallait que j'augmente l'intensité du début du combat, histoire de montrer, que la touche n'allait pas m'arrêté ainsi. Appuis sur mes pieds, katana dans la main droit, je faisais un bon rapide en avant. Une charge en direction de Kisen katana vers l'avant. J'arrivais de par son flan droit, en diagonale. Assez rapidement, j'effectuais les mettre qui nous éloignés. Arrivant au niveau de son corps, je frappais avec le plat de ma lame son genou. Un grand gaillard pareil, devait avoir des fondations solide. Il fallait y remédier rapidement et détruire ses jambes.

Le coup portais, je me reculais en effectuant un saut vers l'arrière. Environ trois petit mettre de distance, histoire de prendre un peu de recul tout en concentrant mon flux d'aura, pour admirer Kisen subir encore les plumes ainsi que maintenant un problème au niveau des jambes. " Allez ... "

Hrp :
Spoiler:

Kisen fut content de voir que Eiko avait réussi à éviter presque la globalité des projectiles. Cela ne l’avantageait pas pour le combat, mais cela démontrait qu’il avait un niveau correct et qu’il était suffisamment doué pour s’entraîner avec lui. Saisissant son arme, il chargea ensuite vers le Bannin, arme à la main, à une vitesse impressionnante. Cela n’étonna pas Kisen, qui se doutait que son adversaire préférait combattre au corps à corps plutôt qu’à distance. La charge de son adversaire ne le prit donc pas par surprise et il eut le réflexe de se défendre immédiatement. Il voulut ainsi créer une plaque de métal sur la zone d’impact du sabre adverse, malheureusement, la rapidité d’action de se dernier l’empêcha de le faire à temps. Eiko se retrouva en moins d’une seconde au niveau de Kisen, il le frappa au genou avant de rebondir en arrière.

Dès lors qu’il se rendit compte qu’il n’avait plus le temps de parer le coup, il se décida aussitôt de ne pas le faire et de mettre le peu de temps qu’il avait à profit pour riposter. Alors que le genin reculait suite à son attaque, Kisen projeta de sa bouche une dizaine de balle de métal dans sa direction. Les blessures qu’il avait au dos et à l’épaule ne le gênaient pas pour combattre, mais celle qu’il venait de recevoir au genou l’handicapait, même très partiellement. Il utilisa donc surtout son autre jambe pour se propulser lui aussi d’environ cinq mètres en arrière, pour garder de la distance entre lui et son adversaire.

Alors qu’il était en l’air, Kisen créa grâce à sa maîtrise du Kinton deux shurikens dans lesquels il fit circuler du chakra pour en augmenter la résistance et surtout la puissance de frappe. Il les envoya alors avec chaque main et une direction courbée. Ainsi les deux projectiles se dirigeaient vers l’adversaire mais avec des directions différentes, dans le but de rendre plus difficile l’esquive des projectiles.

Lorsqu’il atteint le sol, il sauta à nouveau en arrière, toujours dans le but de s’écarte le plus possible du sabre ennemi. Il rencontra malencontreusement à nouveau des plumes sur son passage, ce qui lui valut des lacérations au bras gauche et à la jambe droit. Ce qui l’empêcha de se réceptionner correctement en retombant, il ne chuta pas, mais cela indiquait bien, qu'il avait un risque de déséquilibre constant. Kisen était quelqu’un qui avait beaucoup de détermination et il arrivait à ne penser qu’à son adversaire alors que des plumes le découpaient petit à petit. C’était tout à fait admirable, mais en réalité, il était totalement stupide d’ignorer un danger aussi grand, il suffisait qu’une plume passe au travers de sa gorge pour qu’il puisse plus continuer le combat. Même si ces plumes n’existaient pas vraiment.

Spoiler:

Je vous regarde du haut de mon siège de Divin. La miséricorde sera pour toi ton unique salut ♫

Je suis Yukita Eiko. Dojin le dieu de la terre ma permit de vivre dans ce monde abjecte. Le dieu de la terre, marie de Gaia, déesse aussi de la terre m'avait confier le soin de prendre quiconque voudrait détruire le monde shinobi. Peu importe la façon, la miséricorde du très haut deviendra pour eux, leurs prochain fardeau.

Le genou était atteint, mon genjutsu faisait toujours effet. J'étais bien engagé dans le combat, pour l'instant, tout tourné comme sur des roulettes. Mais il était certain que Kisen en avait encore sous le coude. D'ailleurs le géant à la couleur de peau sombre, reculait encore une fois en me lançant venu tout droit de sa bouche, plusieurs billes de métal. Un pistolet directement intégrer à son corps ou alors comment cela ce passe ? L'utilisateur du Kinton, une maitrise parfaite de la création du métal de n'importe qu'elle façon. L'épée qu'il avait créé précédement était donc en faite une technique de la maitrise du métal.

Un adversaire redoutable, les utilisateurs du kinton étaient des hommes ou des femmes avec une force physique impressionnante. Les balles de métal avançaient rapidement vers moi, avec un nombre assez important. Il fallait les atteindre tous d'un seul coup pour être sur de ne pas être touché. Le niveau entre nous n'était pas si différent, il n'y avait pas un faussé immense, donc le combat était ouvert pour nous deux. Celui qui utilisera au mieux sa stratégie finira bien par gagner.

Je m'étais reculé juste après avoir attaquer Kisen, tout en me reculant j'avais commencé à concentrer mon aura pour me défendre. Il était donc temps d'utiliser cet aura pour contrer l'offensive du Chuunin. Katana vers l'avant, l'épée commençait à devenir brillante, puis à sur-briller. Laura ne faisait maintenant plus qu'un avec ma lame, lui offrant la force et le tranchant adéquate pour couper en deux les balles de fer arrivant. Un coup horizontal pour atteindre les billes en même temps. Mais il fallait la jouer joliment, mon pied droit commencer à ce contracter. Celui ci était près à faire apparaitre la technique de l'école de L'issen. L'art de la contre attaque ciblée.

Le but était simple, esquiver au dernier moment les billes pour ensuite les couper d'un seul coup grâce à mon aura qui était chargé dans ma lame. Les boules de métal fusant vers moi approché rapidement, et j'attendais l'ultime moment pour bouger vers le coté droit. Non pas de rotation, mais un décalage pour durant le décalage apercevoir la totalité des billes qui foncés vers moi. Le katana remplit d'aura lacher enfin la sauce. D'un coup de sabre envoyé horizontalement, l'aura tranchait les billes littéralement en deux. Chacune des deux parties des billes tombaient sur le sol. Cette offensive venait d'être mise en échec ... mais ...

Kisen reculait encore après avoir envoyer ses billes. Il me préparait autre chose le saligaud. Deux shurikens fuma mais pas les basiques. Des shurikens bien plus tranchant que les normaux. Encore une création via son kekkai du métal. Pas trop le choix. Il fallait au minimum en éviter un. Le seul soucis, était les différentes trajectoire que les shurikens prenaient. Il fallait en choisir un, et espérer que l'autre ne touche sans trop faire mal. Katana en main, je le positionnais devant moi, pour envoyer un coup alors que j'avais tout juste détruit les billes juste avant. La contre attaque s'enchaînait maintenant. Un slash rapidement envoyé sur le premier shuriken qui arrivé dans une forme courbé vers moi. J'effectuais un coup en rotation, histoire de le dévier vers le deuxième.

Dévier par le premier shuriken, le deuxième passait au niveau de ma jambe gauche. Me touchant la cuisse et ainsi découpant mon pantalon. L'entaille était n'y importante, n'y à prendre à la légère. Cela allait me causer des difficulté de mobilité. Toujours en contact visuel avec Kisen, il était temps de passer à l'étape supérieur. Le sol commençait à trembler sous ses pieds. S'ouvrant en deux, laissant place à une mains géante, celle du dieu Dojin, le roi de la terre.

- Voici Dojin, le dieu de la terre.

Hrp :
Spoiler:

Le combat n’était pas simple, le jeune Bannin avait quelque peu sous-estimé son adversaire. Il oubliait par moment que sa position de chuunin ne signifiait pas qu’il avait un meilleur niveau que tous les genins. Les promotions ne dépendaient pas exclusivement du niveau de combat des shinobis mais également de leur maturité et de leur compétence à réagir face à certaines situations. Après tout, Eiko avait participé au même examen chuunin l’année d’avant. Examen qu’ils avaient tout les deux échoué d’ailleurs. Le chuunin devait son grade à un exploit qu’il avait réussi.

Il ne fut pas vraiment étonné de voir son adversaire réussir à esquiver son attaque. Enfin, il esquiva la majorité de l’attaque avant de se prendre malgré tout un shuriken dans la cuisse. Le projectile ne se planta pas dans la jambe du samouraï mais il infligea tout de même une blessure non négligeable en combat. Ce fut à ce moment que le sol se mit à trembler. Kisen n’en revenait pas, comment le genin pouvait-il utiliser une technique doton de tremblement dans un endroit tel que celui-là. Il connaissait également des techniques doton, mais il savait très bien que certaines d’entre elles provoqueraient un éboulement fatal. Le sol se mit alors à s’ouvrir en deux, une main géante en sortit alors.

Kisen n’était pas le shinobi le plus intelligent du village, mais il n’était pas non plus le plus stupide. Une technique comme celle-ci ne pouvait être autre chose que du Genjutsu. Il fut surpris d’apprendre que son adversaire maitrisait cet art puissant. Il comprit alors également que les plumes provenaient également d’une technique de ce répertoire. Malheureusement, même s’il venait de comprendre qu’il ne s’agissait que d’une illusion, cela ne changeait pas grand chose, la douleur était la même. Il savait néanmoins que cela n’allait pas mettre sa vie en danger.

Le géant de pierre, quant à lui, ne gênait pas le Bannin, qui pouvait par conséquent se contenter de l’ignorer. Il fit quand même un bond sur le côté car le géant l’empêchait de viser sa cible, il essayait toujours de garder une bonne distance entre lui et le genin. Il savait que malgré ses capacités poussées en Taijutsu, il ne valait mieux pas chercher le corps à corps avec un samouraï. Dès lors qu’il avait sa cible en vue, il fit quelques mundras et exécuta une technique. Comme plus tôt, une tête de dragon sortit du sol. La différence était que cette fois-ci, il s’agissait d’un dragon de pierre, et il n’allait pas se contenter de cracher de la boue, le dragon se précipitait vers l’adversaire.

Spoiler:

Je vous regarde du haut de mon siège de Divin. La miséricorde sera pour toi ton unique salut ♫

Je suis Yukita Eiko. Dojin le dieu de la terre ma permit de vivre dans ce monde abjecte. Le dieu de la terre, marie de Gaia, déesse aussi de la terre m'avait confier le soin de prendre quiconque voudrait détruire le monde shinobi. Peu importe la façon, la miséricorde du très haut deviendra pour eux, leurs prochain fardeau.

Bien, bien, un beau combat au quel j'avais droit d'être en tête d'affiche. Face à un adversaire qui porte valeureusement bien son rang de Chuunin et membre très intégré au Kazai. Une unité de surveillance ou un truc du style dont j'avais pas trop compris pour tout vous avouer. Il était supposé être un genre de douanier de l'entré du village. Lui ou un autre membre pouvait décider ou non si la personne inconnu à Kumo entré dedans. Dit donc, il en a du pouvoir le mec. Fin, vous me direz vu la dégaine du mec, qui était il faut le dire, assez grand. Il devait à vue d'oeil comme je l'avais bien remarqué, à en voir par la corpulence et sa grande taille, être pas loin du deux mettre. Voir plus.

En tout cas, il avait eu la chance si je puis dire, de voir le dieu Dojin en personne. Mais intérieurement je savais qu'il avait compris mon petit manège. J'avais trop joué, et maintenant il fallait passer par une autre approche, lui montrer comment un samourai combat. Il allait découvrir mon art, l'école du Sharin, la technique tellement gestuel qu'elle en devient presque étrange. Je ne voulais pas en dévoiler plus, il lui fallait quand même que la surprise soit de taille. Puis il ce trouve que la actuellement, j'ai à faire. Kisen, le géant, venait de sortir de la droite de dieu en effectuant des sortes de geste avec les mains. Un spécialiste du ninjutsu ? Je pensais qu'il était venu avec une épée faite de métal tout à l'heure.

Ou alors cette épée de métal à était produite via une technique de ninjutsu ? Toute façon il me manquait de temps pour pouvoir y réfléchir longuement. Du sol, venu tout droit de l'enfer, le roi qui gouverné autrefois sous la montagne. Le petit fils du légendaire Smaug, le dragon de feu. La il s'agissait du dragon de pierre, un dragon redoutable, d'une force avoisinent les milles hommes. Une bête de compétition. Mais il allait subir le sort que je réserve à tout animal. La mort. Durant son approche, j'imbibais mon katana de mon aura, pour préparer mon tranchant ultime à fin de détruire, ou plutôt couper en deux le dragon.

- Baningu Attaku

Un souffle ? une explosion ? non juste le grondement du dragon venant de perdre la vie sous le coup de mon aura tranchante. La force, ou plutôt l'énergie de l'aura concentré dans la lame de mon fer, venait de transformer le katana basique en défense impénétrable. Le dragon fut coupé littéralement en deux sous la puissance de ma technique. D'une tête, le dragon passé à deux moitiés. Dans l'instant qui suivait, je ne voulais pas laisser le temps à mon adversaire de comprendre quoi que ce soit. Il était l'heure pour lui de souffrir. Un claquement de doigt et disparu. Les plumes ne tombaient plus du ciel, et le dieu de la terre retournait dans son antre. Il était maintenant temps pour le Bannin de comprendre la douleur mental.

- Maintenant tu vas comprendre la souffrance ! Pauvre fou ...

Spoiler:

Comme Kisen s’y attendait, son adversaire réussit avec brio à parer son attaque. La dragon de pierre, pourtant très impressionnant avait été bloqué par les talents indéniables des samouraïs pour manier le sabre. Celui-ci se montrait particulièrement coriace, mais il n’attaquait pas, se contentant de se défendre et d’utiliser le genjutsu. Les arcanes d’illusions étaient très puissantes et pouvaient faire la différence lors d’un combat, mais il fallait les maitriser à un très haut niveau pour être capable de neutraliser un ennemi avec son utilisation exclusive. Eiko allait bien vite se rendre compte que cela ne suffisait pas pour le battre.

Ce fut justement après avoir contré son attaque qu’il décida d’annuler ses techniques d’illusions. Les plumes et la statue immense disparurent de la vision du Bannin. Bien qu’il fusse au courant de leur inexistence, leur disparition fut un véritable choc mental pour lui. Il décida donc d’abandonner sa stratégie initiale de garder ses distances avec lui. Il avait commencé le combat en se disant qu’il avait l’avantage s’il restait éloigné, mais il commençait vraiment à apprécié ce combat. Il ne voulait exploiter son avantage, il voulait voir ce que son adversaire valait vraiment. Il réalisa que quitte à combattre un samouraï autant le faire au corps à corps pour juger de son talent.

L’expression du visage de Kisen avait changée, la victoire ne l’intéressait plus, seul le combat importait. Kisen se mit alors à utiliser son affinité pour le métal afin de former un gantelet à pointes autour du bras droit. Les évènements qui en découlèrent se passèrent alors très vite. Fort de son entrainement intensif récent, il jaugea tout d’abord la distance qui le séparait de son adversaire puis mécaniquement, il concentra une bonne quantité de chakra dans ses jambes. Une dizaine de mètres séparaient les deux combattants, mais en moins d’une seconde, Kisen l’avait traversée. Il avait répété ce mouvement dans cette même salle jusqu’à ce que ses jambes ne soient plus capables de le soutenir. Cette fois-ci, l’exécution fut parfaite.

Grâce à l’adrénaline créée par le corps d’un combattant, il arrivait fréquemment que ceux-ci aient parfois l’impression que le temps ralentit. Évidement, leur corps n’allaient pas plus vite, mais cela permettait à certains d’entre eux de réagir plus vite. Kisen espérait que son adversaire ne fasse pas partie de ceux capables d’esquiver une charge telle que celle-ci. Comme il avait également l’habitude de le faire, lorsqu’il arriva à moins d’un mètre d’Eiko, il balança sa jambe pour le faucher tandis qu’il frappait son épaule avec son gantelet. Chaque coup en soi était plutôt fort, mais la combinaison des deux était dévastatrice.

Spoiler:

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