Une divinité rencontre un simple humain [ Shinsuke ]

Dernière édition par Seki Aosawa le Mar 27 Nov 2018 - 0:35, édité 1 fois

Je vous regarde du haut de mon siège de Divin. La miséricorde sera pour toi ton unique salut ♫

[i]Assis ... seul dans ses pensées, le divin réfléchi au futur de sa vie. Faire le bien ? faire le mal ? Rejoindre le coté bien plus tentant de l'hirigakure ? Dans cette espèce de bar restaurant, la divinité ne s'avait plus trop quoi penser. Servir une cause juste ou une cause noble ? Faire de sa lame l'instrument du juge et du bourreau. Ou choisir de faire couler le

" Toi le larbin en tenu blanche. Sert donc dans les plus bref délais un verre à ton Dieu. Pauvre insecte !! "

Intro

Un cavalier dans une tornade, chevauchant le mal-être arpentant le long et sinueux chemin de la clarté avec pour seul boussole, la haine et la tristesse qu'il avait, il y a de cela longtemps semé sur sa route. On récoltait ce que l'on semait. C'est le mécanisme de la vie, l'effet boomerang. Peut d'homme pieux. Pas beaucoup sont assurés d'accéder à la paix. Ils hantent encore les champs de bataille. Sable sous la paupière. Pleurant des files de terres échappant à l'enfer. Lui marche, dans lesrues, il les connaît par cœur, il vagabonde nuit et jours ici bas. Faux à la main, il prêchait le vrais chassant le faux. Il apportait la vide, dans lequel ils tombèrent. Dans ce puits sans fin ou leur cries ne peuvent être entendus. IL marche depuis trois heures. Pas à pas laissant derrière lui empruntes à tout vas. Il le voix. Un ange ? Un être divins ? Il prétend être ici de sa lumière divine. Toi saligaud ! Toi celui qui sera châtié. Toi qui sans doute ne peu comprendre le sens des choses bornés à ton jugement codifié par une étique dépassée par les millénaires.

Ce visage était familier, Shinsuke le connaissait, lors de cette missive où il perdit son sabre. Cet autre samouraï recherché depuis des lustres. Alors il était bel et bien lui aussi résident de Kumo. A en croire ce qu'il voyait ce gars était son parfait opposé. Et pourtant il ne savait comment l'expliquer , mais il était attiré par cet étrange bushi. IL avait un tas de chose à lui demander. Mais il avait aussi envie de le tester, de se mesurer à celui-ci. Cigarette à la bouche et bokken à la ceinture sa queue de cheval noir de jais se balançant au grès du vent. Il s'assit dans la table de cette taverne. Observant celui qu'il avait repéré. Il croisa ses jambes. S'étala sur la banquette de cuir rouge. Commanda du saké. Son alcool fétiche. Une serveuse très jolie par ailleurs lui apporta ce qu'il désirait.

IL sirota du bout des lèvres la liqueur. Celui lui procurait un certain soulagement. Il se sentait apaisé, un réconfort après une dure journée. Quant l'autre s'adressa à un homme en tenue blanche. Il inspirait la crainte. Et Shinsuke aimé ça. Il s'avança vers lui prenant soin de prendre la bouteille pour s’asseoir à sa table. Il la posa fortement sur la table. La fumé dans le bar accompagnait la scène digne des plus grand western. D'un charisme à en faire palir Eastwood en personne. Shinsuke s'assit l'air roublard il dit à son ami.

- Dites moi, c'est rare n'est-ce pas ? Qu'un ange puisse rencontrer un de ses semblables auquel on a arraché les ailes ?

Dernière édition par Seki Aosawa le Mar 27 Nov 2018 - 0:37, édité 1 fois

Je vous regarde du haut de mon siège de Divin. La miséricorde sera pour toi ton unique salut ♫

Je suis l'élu. L'homme ou plutôt un dieu parmi les hommes. Je les gouvernes sans qu'il ne sache que leurs fardeau sera effacé. L'ange bleu venu du ciel, de son astre blanc, assis sur le trône du monde, je regardais vivre des êtres sans aucune compassion. Vivre sans aucun but, et une vie qui ne sert à rien. Je suis né pour faire du monde un havre de paix, donner du réconfort au plus démunie. Je n'enlève pas de vie innocente, je libère des pêchés les hommes ou les femmes n'aillant plus de but sur cette magnifique terre. N'y juge, n'y force hiérarchique ne peu me dicter ma conduite. Je n'obéis cas un seul et unique chef. Moi même.

Implore ma Miséricorde, tout particulièrement pour les pécheurs. Et ne fût-ce que pour un bref instant, plonge-toi dans ma passion, en particulier au moment où j'ai été abandonné lors de mon agonie ! C'est là une heure de grande Miséricorde pour le monde entier. Je te laisserai partager ma mortelle tristesse ; en cette heure, Je ne saurais rien refuser à l'âme qui me prie, par ma passion.

Je te rappelle, mon fils, que chaque fois que tu entendras l'horloge sonner trois heures, immerge-toi tout entière dans ma miséricorde en l'adorant et en la glorifiant, fais appel à sa toute-puissance pour le monde entier et particulièrement pour les pauvres pécheurs, car à ce moment elle est grande ouverte à toutes les âmes. À cette heure-là, tu peux tout obtenir pour toi et pour les autres, à cette heure, la grâce été donnée au monde entier- la miséricorde l'emporta sur la justice. Mon fils, essaie à cette heure-là de faire le chemin de croix autant que tes occupations te le permettent, mais si tu ne peux pas faire le chemin de croix, entre au moins à la chapelle et célèbre mon coeur qui est plein de miséricorde dans le sacrement, et si tu ne peux entrer à la chapelle, plonge-toi dans la prière là où tu te trouves, ne serait-ce que pour un tout petit moment.

Les yeux bleu de mon être regardé s'asseoir à mes cotés, un homme. Longue chevelure noir, plongeant jusqu'au bas de son dos. Un prophète ? Un simple messager du très haut ? Le tout puissant venait de m'envoyer une âme en perdition. Dois je le châtier ? Ou lui indiquer la source de son repenti ? Dois je le guider dans sa misérable vie de cloporte. Que dois je faire Oh grand saint, de ce pauvre homme fumant une cigarette au odeur indélicate pour mon nez. Que faire de toi ? Pauvre et stupide humain, venant me traiter de semblable ? Je ne suis rien de toi, nous sommes totalement différent ! Je te suis supérieur, je suis ton maître, celui en qui tu dois allégeance, culte et plaisir. N'oublie pas toi à qui la vie a était donné, qu'elle peut être reprise par Dieu. Je suis ici sur terre pour faire rennaitre la paix qui échappe pour le monde depuis trop longtemps.

" Hmm, je te reconnais toi, l'homme dont j'ai fais équipe pour combattre des serviteurs. Nous ne sommes pas des semblables. Nous n'avons rien en commun mon ami. Sais tu que en temps que Divin, t'es paroles m'incombe. Te définir comme un ange sans ailes, fait de toi, qu'un simple être vivant portant le fardeau de la médiocrité. A croire que tu n'as rien retenu de l'enseignement du Bushido. Toi Shinsuke Nitobe, fils du fer, enfant de la nature, crois tu vraiment être un homme ? "

Assis là et l'air vantard le samouraï disait vrais ils s'étaient déjà rencontrés par le passé. Lorsque le chef du village avait commandité des troupes afin de stopper ce qui était appelé serviteur. Le serveur vêtu de blanc arriva tremblotant, sans doute effrayé par l'agressivité du jour de celui qui était sans l'ombre d'un doute aussi un adepte du bushido. A vrais dire cet homme avait une manière de s’exprimer qui plaisait fortement au samouraï. Ce coté prétentieux et hautain lui allait comme un gant hélas pour sa personne il était tombé nez à nez, face à un autre de son espèce. De ces gens talentueux et égocentrique au point de faire valoir leur puissance à la moindre déci belle. A la moindre syllabe. Donc Shinsuke qui avait pris un saké pour ne pas changer, commençait à siroter son breuvage en écoutant les dires de celui qui était communément appeler Yukita Eiko. Jamais il n lui avait dis son prénom mais lorsque le samouraï à la chevelure noir eût et vue qu'un autre exilé de Tetsu vivait ici à Kumo. Il enquêta quelque peut sur sa personne attendant le jour fatidique de sa rencontre. Les cieux maudissait cet homme, mais lui se sentait bénit par la force des choses.

Donc il écouta attentivement ses paroles vraisemblablement il se sentait supérieur '' divin '' pour reprendre ses mots et Shinsuke lui n'était qu'un misérable insecte. Si et seulement s, il savait à quel point l'homme face à lui était néfaste de part ses agissements passés. Il aurait sans doute changer de ton et s’emploierait de respect afin de lui parler. Amuser par les choses. Le samouraï au bokken pris la parole à son tour, sur un ton provocateur souriant, narguant son opposant entrepris de se présenter de manière à ce que son nom ne soit jamais oublié :

- Un homme ? Mais aujourd’hui Eiko ? Qu'est ce qu'un homme ? Penses tu en être un ? Ou penses tu être un dieux ? Prends garde mon ami tu es face à un véritable démon, mon épée se délecterai bien de ton hémoglobine mais aujourd'hui j'ai envie de boire. Boire à la chaleur ardente et au Styx.

Il buvait d'avantage scrutant les alentours, des femmes aussi belles les unes que les autres, un brouhaha si intense qu'il était difficile de se faire entendre. Il semblait apprécier cette atmosphère qui était très conviviale et continua son beau discours comme à son habitude lorsqu'il rencontrait une personne d’intéressante le jeune homme demanda :

- Mon frère as tu des nouvelles de Tetsu ? Et aussi, que penses tu du monde actuel ? Ne penses tu pas que les choses doivent changer ? Que le système d'hier et devenue obsolète aujourd'hui ? Parles m'en ! Ne joue pas les divas, je suis plutôt un véritable impatient...

Je vous regarde du haut de mon siège de Divin. La miséricorde sera pour toi ton unique salut ♫

Assis ... seul dans ses pensées, le divin réfléchi au futur de sa vie. Faire le bien ? faire le mal ? Rejoindre le coté bien plus tentant de l'hirigakure ? Dans cette espèce de bar restaurant, la divinité ne s'avait plus trop quoi penser. Servir une cause juste ou une cause noble ? Faire de sa lame l'instrument du juge et du bourreau. Ou choisir de faire couler le sang des gens non méritant. L'ange de la mort... Yukita Eiko. Kami pour les Dieux.

Ignorant, perfide idée que tu te fait de moi. Je ne suis pas n'importe qui, je suis pas un homme comme vous. Je suis au dessus de vous, je suis le tout puissant ! La miséricorde que je vous accorde arrivera bientôt à son terme, et dans le firmament indeluctable de mon égaux je reviendrais vous imbiber de vos pêcher. Je ne suis pas l'ange de la mort, mais celui de la justice, celui qui juge les crimes et qui exécute la sentence que lui même à donné. Je suis le bourreau sur cette terre, terre que le Dieu dojin m'a demandé de protéger des hommes de votre espèce. Vous souillez cette terre sacré, cette beauté construite de les hommes bons, et non pas pour des hommes aillant soif de sang et meurtre.

Pourtant, ici, dans ce bar mal fréquenté, il y allait avoir un jugement, et ainsi un châtiment. Celui qui connaitra la parole de dieu pourra enfin ce repentir des actes qu'il à produit dans le passé. Alez toi, assit devant moi me parlant de qui je suis. Raconte moi ton histoire, offre moi, délecte moi de t'es pensés même les plus sombres. Donne moi envie de te laisser la vie, défend toi face au accusation de la cour, n'oublie pas que l'épée de damocles tourne au dessus de ta tête. Celle du bourreau, l'épée à pour nom " Hito ". Le katana du divin, celui dont le nom ne veut dire d'autre que Dieu. Kami.

" Je pense être ? Je pense, non je suis sur, d'être le futur du pays du fer. Je suis venu au homme par la lumière emchanteresse, je suis un dieu, et pour toi tu n'es qu'un insecte ce prenant pour un samourai alors que tu n'en est aucunement un. Tu es un faible, je te suis supérieur, ton sabre si jamais je dégaine le miens, ne te sera d'aucune utilité. "

Le visage froid, tel un homme qui serait prêt à tout, je me levais de mon siège. Main sur le manche de mon parapluie, j'allais dégainer la décision de la justice. Hito. Le katana du bourreau allait bientôt frappé. Les paroles de Shin n'avait pas satisfait le juge, qui rendait alors son verdict. Coupable. Pour ne pas avoir suivi le crédo de Dojin, coupable pour crime contre moi même, coupable de honte envers le pays du fer. Répond de t'es dire maintenant toi jeune samourai, vient donc combattre le divin, vient donc choquer mon fer. J'attends que çà depuis ton arrivé, laisse moi te montrer l'antre de l'obscurité, vient donc rejoindre Kami.

" Tetsu ? le monde actuel ? Mais peu m'importe ce genre de chose, ne comprend tu pas à qui tu parle ? Eiko est bien loin mon ami. D'ailleurs tu vas aller le rejoindre. "

Moi, dieu reculais juste après mes paroles divine, je me reculais de trois pas en sautillant sur la pointe des pieds. Ma main droite, celle de la justice dégainé rapidement mon katana. Le swinguant vers l'avant pour le positionnait dans la garde du Issen. Mon art. Ma main gauche, elle saisissait dans ma poche de veste, deux kunais qu'elle lançait en direction de Shin. Défends toi pauvre fou !

Tu vas kiffer bébé:

Étrangement, il n'avait plus en rien en commun avec l'Homme que Shinsuke avait rencontré. Que se soit sa posture, ou son regard. C'était comme si au plus profond de son être. Ce satané Yukita Eiko possédait en lui une autre personne. Qui parfois prenait le dessus. Le poussant à agir d'une manière brutale. Était-ce la bête infernal qui sommeillait en chaque homme ? Ce coté obscur régnant sans faille sur le mental de chacun ? Celui qui maniait le bokken, le tueur en série de Yumiya. Prenait toute précaution. Avec un être aussi instable, il redoutait le fait de pouvoir passer en un combat dantesque d'une minute à l'autre. Le futur de Tetsu no kuni ?

Non ce ne pouvait pas être ce à quoi le samouraï pensait. Son idéal, son objectif primaire était en stand by après son entré à Kumo. Old boy son mentor rencontrer en prison en serait grandement déçu. La prétention d'un être si étrange et lugubre la menace planante Shinsuke en était sur, dans les anciens récits qu'on lui contait lorsqu'il n'était encore qu'un enfant certain homme était comme possédé par une entité. Et il serait prêt à ce couper le bras. Car d'après ce qu'il voyait et entendait il était bel et bien face à ce genre de créature. La confirmation ne tarda pas à venir visiblement. Eiko n'était plus. Le sabre déguainait il prit ses distance avec Shinsuke.

* Et bien, voilà que le bal commence. *

Il s'adressa rapidement aux employés et clients qui peuplaient le bar :

- Sortez immédiatement, ne prévenez aucune personne du village je me charge de lui.

Il n’eut le temps de sortir son sabre, que deux Kunaïs se dirigèrent vers lui, avec l'aide d'un très bon réflexe et à la manière d'un film de Kung Fu il donna du pied un coup dans la table de bois. Les projectiles de fer vinrent s'encastrer en elle. Accroupit à l'arrière il dénoua le lien de son sabre de bois à sa ceinture. Si cet espèce de chose qui parlait à la place de l'homme qu'il avait face à lui. Alors il devrait se faire accepter comme étant digne. Le tueur en série, ricanait sombrement. Il avait attendu un adversaire si fort depuis de nombreux jours. Il attendait de pouvoir voir un sang si préstigieux nourrir le bois de son bokken et être tranché de son aura.

- Nise michi.

Il se déplaça l'attention du samouraï détourner. Pour entamer ça prochaine action.

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Je vous regarde du haut de mon siège de Divin. La miséricorde sera pour toi ton unique salut ♫

Je suis l'élu. L'homme ou plutôt un dieu parmi les hommes. Je les gouvernes sans qu'il ne sache que leurs fardeau sera effacé. L'ange bleu venu du ciel, de son astre blanc, assis sur le trône du monde, je regardais vivre des êtres sans aucune compassion. Vivre sans aucun but, et une vie qui ne sert à rien. Je suis né pour faire du monde un havre de paix, donner du réconfort au plus démunie. Je n'enlève pas de vie innocente, je libère des pêchés les hommes ou les femmes n'aillant plus de but sur cette magnifique terre. N'y juge, n'y force hiérarchique ne peu me dicter ma conduite. Je n'obéis cas un seul et unique chef. Moi même.

Offre moi toute la folie que tu possèdes, offre moi tout les désirs que tu as enfoui en toi. Libère toi des pêchés qui te submerge de tant de souffrance. Donne moi l'opportunité d'unifier ton corps et ton esprit. J'entrerais dans ton subconscient pour y faire parvenir la dose d'insouciance qu'il te manque pour voler dans ce monde. Moi sur mon trône de divin, je te regarde sombrer sans réel envie de te battre. Je retarde l'échéance la plus funeste pour ton corps, il sera envoyé vers les cieux rejoindre les autres samourais aillant perdu la vie. N'oublie toi, qui porte le fardeau du pays du fer, toi qui regarde avec de simple yeux rond les gens qui t'entoure. Observe, fixe un point, ne te détourne pas de ce point, et maintenant réfléchi au fondamentaux de ta vie passé en cette terre.

Crois tu vraiment tenir dans la pomme de t'as main une vie riche et pleine d'espoir ? Pense tu vraiment que t'as vie mérite d'être existante plus que celle d'un autre ? Les huit anges de gabriel viendront rendre leurs verdicts. Moi en tant que juge, je prononcerais la peine qui te sera donné. Puis avec mon bras de la justice, je frapperais le marteau de bois sur mon bureau, pour te faire part du châtiment qui t'es du. Ouvre grand ton coeur face au bourreau et son épée, ne baisse pas les yeux, et regarde moi fixement. Mets toi à genou devant ma grandeur, et admire mon pouvoir. Il est temps pour toi de connaître la chose au de la ton esprit. Affronte moi stupide insecte.

Le bar, ou plutôt le lieu ou la scène du dernier acte allait tourné. Dans le premier rôle, nous deux, deux samourais du fer, originaire militairement de Kumo. Moi, maintenant Kami, le divin, qui fera ce prosterner tout les plus grands puissant de ce monde. Moi fils du créateur de la terre, Dojin. Père, tu seras fier de moi, de la ou tu te trouve, regarde moi, je vais rependre le fléau des dieux. Que crois tu faire concrètement avec la table mon jeune enfant ? Penserais tu être capable de faire de moi ta chose ? Il faut que tu capte très vite, que la seul chose ici qu'il y à, c'est moi, et moi seul.

Ce faible voulait créer une diversion pour tenter de m'atteindre. Une technique de fourbe et de roublard. Il pensait que j'étais aussi nul que çà vraiment ? Ne respecte tu pas la personne que je suis ? Je te suis supérieur sombre merde ! Je suis Kami, il va falloir te le rappeler combien de fois ? Ton ami le Eiko, n'existe plus, il ma laisser la place, pour que son corps puisse devenir meilleur. Admire donc mon pouvoir. Dégainant rapidement, voir instantanément mon katana, je coupais en deux la table en bois. Personne ? Petit con, comment peux tu oser me défier ? Je dégainais alors mon autre katana. Double katana prêt pour faire couler le sang. Je me préparer à recevoir Shin, il serait très bien reçu.

- Approche, je suis ton Dieu pauvre fou !

hrp :
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Il dégaina et coupa la table en deux. Shinsuke avait vraisemblablement disparue. A gauche ou à droite ? Non , alors en bas ? Non plus le samouraï, était monté à l'étage sautant par dessus la barricade de bois qui donnait sur le rez de chaussé du Bar il donna un coup de bokken sur le lustre ce qui le fit tomber au sol. Le crépitement des flammes se fit entendre. Le feu ne tarda pas longtemps à conquérir l'établis et forma un cercle autours des deux hommes. Les deux sabre en mains. Le dieux ou homme se tenait prêts. Avançant d'une marche macabre Shinsuke dont le sang bouillait dans ses veines se léchait la lèvre inférieur.

- Et bien un dieux dans les flammes de l'enfer. N'est-ce pas drôle ? Dis moi dieux ! Ne devrais tu pas t'occuper du pays du Fer ? Tu t’en-tâches à faire ce que je fais ici ? Vois tu tu supprimes quiconque se trouve sur ta route. Cependant, mes noirs dessins m'oblige à agir de la même sorte. Vois tu je viens récemment d'éliminer six personnes. Néfastes à la bonne conduite que ce monde doit avoir. Ce combat est inutile, mais j'ai besoin de savoir si tu es forts, si tu es autoproclamé divinité ou si tu l'es réellement. Oui toi dieux j'ai besoin de toi. Alors montre moi si tu es aptes à être celui que tu prétends être.

Hitokiri no Yumiya. L'assassin, celui qui ne vit que part l’hémoglobine cela fait une année que Shinsuke est définit de la sorte en terre de Tetsu. Il avait dans l'idée de lui faire connaître une techniques de son cru. Il chargea le bokken en aura une forte dose. Il attendait qu'il vienne.

*Yukita, je en sais pas ce que tu caches en toi, mais cela est fort intéressant. C'est d'homme comme toi que j'ai besoin pour redorer le blason de Tetsu. Laisses moi encore un peu de temps que je fasse plus ample connaissance de cette autre personnalité qui t'habite.*

- Alors toi entité miséricordieuse, donnes tout ce que tu as, je t 'attend.

La fumé gagnait de plus en plus la pièce, les ruines et les poutres commencèrent à céder sous l'impulsions des flammes démoniaques. La chaleur était si forte que l'on suffoquait à l'intérieur. La conclusion de ce combat approchait, enfin elle était obligatoire si les deux souhaitaient s'en sortir en vie.

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Je vous regarde du haut de mon siège de Divin. La miséricorde sera pour toi ton unique salut ♫

Je suis l'élu. L'homme ou plutôt un dieu parmi les hommes. Je les gouvernes sans qu'il ne sache que leurs fardeau sera effacé. L'ange bleu venu du ciel, de son astre blanc, assis sur le trône du monde, je regardais vivre des êtres sans aucune compassion. Vivre sans aucun but, et une vie qui ne sert à rien. Je suis né pour faire du monde un havre de paix, donner du réconfort au plus démunie. Je n'enlève pas de vie innocente, je libère des pêchés les hommes ou les femmes n'aillant plus de but sur cette magnifique terre. N'y juge, n'y force hiérarchique ne peu me dicter ma conduite. Je n'obéis cas un seul et unique chef. Moi même.

Alors le cadeau est empoisonné, ou bien ce samourai ne valait rien. Il venait de mettre le feu au bar, nous encerclant totalement. La il ce m'était à délirer sur les flammes de l'enfer ou je ne sais quoi. Puis revenait de sa bouche encore une fois, le pays du fer. Ma action ne les regardaient en rien, et actuellement, il n'avait pas besoin de ma présence la bas. Puis il divaguait sur des sujets que je ne maitrisais pas, et que surtout je m'en foutais. Qu'il est tué deux, trois, six personnes me rend indifférent. Il subirait le sort que je réserve à toute personne inférieur à moi même. Le droit de vie ou de mort sur ces terres qui était souillé par ce genre de personnage à la vie abjecte qu'il en fait. Tu mérite juste de connaître la mort, de la voir en face de toi. Permet moi, de te présenter Dojin, le dieu de la terre, créateur du monde terrestre.

Alors que pour lui, nous étions entouré des flammes venu tout droit de chez lucifer en personne, au plus profond de l'enfer, la ou tout âme qui y est envoyé, ne revient jamais. Nitobe Shinsuke, par la présence, Kami, divin auto proclamé, ange parmi les dieux, juge et bourreau. Te déclare coupable des crimes qui te son reprochés. Tu seras châtier avec le châtiment digne d'un samourai. Tu seras frapper jusqu'à te son sang lave t'es pêchés. Tu vas connaître la souffrance, tu vas me supplier d'arrêter et je n'en ferais rien. Je vais laisser ton âme quitter ton corps et enfin rejoindre l'enfer au qu'elle elle appartient.

- Tu as terminé ? Les flammes de l'enfer moi ne me dérange pas.

Déployant mes ailes d'ange blanc, je venais comme qui dirais instantanément de sauter dans les airs katana vers l'avant en direction de la jambe droite de Shin. La vitesse du à la rapidité de la technique, plus la faible distance entre nous, m'empêché de savoir si j'avais réussi à tout le tendon du genou droit de Shin. Fallait la jouer rapide, le timing était serré. Me relevant rapidement en m'appuyant sur la pointes des pieds et gainant les abdominos. J'effectuais un mouvement de anche, pour envoyer mon corps faire une rotation pour libérer ma puissance au milieu de son corps.

Tu vas pouvoir gouter à la tragédie de la mort, je vais trancher ton corps de faible en deux au niveau du dos. La blessure sera tellement importante que celle ci te laissera comme un insecte écrasé par une botte. Si le coup te percute, j'aurai montré à t'es yeux de simple humain, que la puissance d'un samourai ne réside pas que dans son arme. La conviction d'être le meilleur, penser être le plus fort, voila ce qu'il te garda en vie. Admire moi à présent, celui qui va te porter le coup de grâce, le coup qui te montrera la lumière des cieux. Regarde la beauté blanchâtre de ce lieu saint, écoute le champ des larmoyants, écoute ses paroles si douce. Laisse toi accueillir par les anges, ils prendront soin de toi, comme si tu étais leurs enfant. Laisse moi te guider ...

- Dojin, le tranchant du Divin.

J'activais ma technique la plus puissante pour le faire plier. Le jeu est en place, et moi Kami, le divin adoré ce genre d'émotion durant un combat. La soif de vaincre, la soif de sang, tuer, ou blesser, est pour moi, un pouvoir si basique pour un Dieu. D'un seul claquement de doigt, et il me suffirais de le plonger dans un genjutsu de faire de lui ma marionnette.

hrp :
Spoiler:

Chaleur incandescente, hymne à la folie. Le purgatoire terminus des plus vils. Enchantement des fous. Sous le gourou du plongeons ailé. Il fendait l'air de sa lame. Elle approchait vers sa jambe gauche. Un mouvement inopiné pour l'éviter non ? Ce n'est pas dans ce monde que vivent les supers héros. Eux sont réservés pour d'autre histoire. Ici bas sous le gourou de infidèle se tenant face à un dieux. Un être qui en était la parfaite antithèse. Autre fois preux chevalier, l'homme brandissant l'épée de bois fut par les échéances que lui accordèrent la vie devenu l'antipode des ses hommes. Sans talons d’Achille, la folie et l'envie de détruire à leurs paroxysmes respectifs. Il le vit arriver, les yeux couvert de sueurs. Face à l'adversité, de grâce ! Il n’avait peur. L’effroi n'était plus une option, il vivait avec comme un ami, il l'embrassait le soir comme un amant. Il fit partir de son être sa force auratique afin de la transposer dans son arme de bois. Lorsqu'il approcha il dévia la trajectoire de la lame in extremis grâce à sa défense.

- Kaigen.

Cette attaque d'aura consistant à parer toute technique, une invocation se retrouve découper, un ninjutsu ou une barrière également. Ici le choc lame face à lame à simplement réussis à dévier la trajectoire de l'affront porter par celui qui habitait désormais le corps du samouraï. Shinsuke le savait il ne lui restait plus beaucoup d’énergie. Il fallait y mettre un terme vite. Et qui que cet homme pouvait bien être. Il en avait vus assez. Oui il était digne de Tetsu, digne de marcher pour le fer qui résidait dans leurs sangs. Comme dans les légendes lorsqu'il était enfant Shinsuke voulait en finir d'un seul coup. Charge contre charge. Le plus adroit l'emporterai. De toute manière il pouvait placer un seul coup. De toute manière le feu qui régnait dans la pièce devenait trop dense pour pouvoir espérer faire durer le combat plus longtemps. Il fallait que ce carnage se finisse vite. Chargeant ce qui lui restait dans sa lame. Shinsuke donna alors son entonna son dialogue. La pièce en était à son acte final.

- Je marche pour Tetsu no Kuni, j'ai tué et je tue pour mon pays. Vois tu je suis comme un ange protecteur à qui on aurait arraché les ailes. Ceci sera ma dernière attaque vient affrontons nous comme dans ces histoire shambarra ou les deux samouraï chargent l'un sur l'autre.

Se mettant en garde, il fixait l'adversaire, dans une danse flamboyante il surgit, dans le souffle des flamme il attaqua son attaque favorite, l'Iaido rapide, vif tel un aigle, tel un guépard.

- Sayonnara.

C'était le nom de la technique. Il ne lui dit pas mais il était fiers d'avoir combattus un homme de cette trempe, fiers d'avoir put jouter à ses cotés. Dojin tu es grands. Mais marchand seul tu n'iras pas bien loin, ici les hommes pensent avoir acquis la force des dieux. Il fallait quitter le lieu dit enfin la ruine qui était autrefois la taverne.

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