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| (#) Sujet: Je ne veux pas me battre contre toi. — [PV : Yôgan Amako] Lun 1 Juin 2015 - 20:56 | |
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Terrain d'entraînement Je ne veux pas me battre contre toi.
Cela faisait déjà plus de trois heures que je m’entraînais durement au terrain d’entraînement. J’essayais d’accéder au shôton supérieur que mon oncle surnomme « Suishô », malheureusement en vain. Difficile, très difficile. Cela dit, je n’étais pas du genre à abandonner. Certes, ça faisait plusieurs mois que je tentais tant bien que mal d’accéder à ce shôton supérieur, mais sans résultat. Si je ne parvenais pas à maîtriser ce cristal de haut niveau, je ne pourrai jamais surpasser ma mère. Je ne pouvais donc pas abandonner, pas aujourd’hui … ni demain … Je me relevai du sol boueux du terrain et je me lançai à vive allure sur le mannequin. Je composai les signes du Suishô dans le but d’enfermer la poupée en paille dans une prison du cristal.
« Fait chier … » lançai-je d’un air mécontent. « J’arriverai … » enchaînai-je, tentant tant bien que mal d’augmenter ma volonté.
Ma tentative fut de même que les précédentes. Je parvenais à créer une fine couche de cristal autour du mannequin, mais celle-ci disparaissait avant la formation de la prison. Cela m’agaçait, mais j’essayais de garder mon calme. Avant de poursuivre, je décidai de manger le repas que mon grand-père m’eut préparé. Je me posais sur un tronc d’arbre, malgré l’état de mes vêtements, et je mangeais tranquillement mes boulettes de riz. C’était bon, trop bon … Je ressentais mon réserve de chakra se remplir … Bon c’était peut-être un peu exagéré, mais je me sentais un peu plus en forme.
Quelques minutes plus tard … Je me relevai du tronc d’arbre et je me préparai à lancer un nouvel assaut sur le mannequin. Mais avant, les cristaux qui traînaient m’empêchaient de me concentrer. Je décidai donc de nettoyer le terrain. Contrairement à mon oncle, je n’avais pas le niveau de détruire les cristaux en mille morceaux. Je ramassais donc tous les morceaux qui traînaient et je les jetais dans les bois. J’espérai que ces cristaux ne blesseraient personne. Mais vu l’heure, il n’y avait pas besoin de s’inquiéter. En effet, il n’était que huit heures du matin, à cette heure-ci, peu de chance de voir quelqu’un dans le coin.
« C’est parti ! » M’exclamai-je tout en me lançant sur le mannequin.
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