Hyô Fune lui avait envoyé cette missive des jours auparavant, toujours sous sa couverture d’esclave, le jeune Hyô devait accomplir les obscures missions de sa matriarche, mais cette mission était différente. Sans poser de question, il s’était donc mis en route, à la recherche de cette personne dite spécial. Un jeune homme fort intéressant qui malgré son passé douloureux appartenait à un clan qui faisait apparemment partie des plans de la vieille femme. Le premier Ketsueki qu’il rencontrerait. En général, c’était d’autre type de personne, notamment des Kaguya, des Hyôs perdus ou même des Samui quand l’occasion s’en présentait, bref presque tous les clans, mais les manieurs de sang avaient une bien mauvaise réputation.

Courent à sa limite, l’homme designer comme le chasseur trouva enfin celui qu’il cherchait, le petit blond u yeux ronds s’était aventurer dans une clairière et tout seul en plus. C’est trop facile ! Se dit l’homme tout en sortant un couteau de chasse d’une de ses sacoches d’arme avant de lui foncer dessus avec l’intention de le tuer.

Seulement, Kaneki était chanceux. Protéger du Hyô par ordre de la vieille femme, il ne succomberait pas aujourd’hui. L’homme se montra le bout du nez et à la seconde ou il vit sa cible, un double lancé de shuriken fendit l’air, les deux projectiles passèrent littéralement à environ un mètre de chaque côté de l’homme qui éclata de rire sous le lancé raté de son agresseur.

- Tu devrais apprendre à vis…

Puis, il se rendit compte de son erreur, les deux projectiles étaient reliés à un mince fil de fer qui venait de lui enserrer la gorge, le projetant au sol dans un fracas sonore des plus incroyable. C’est se moment que choisit le grand blond pour sortir de l’ombre, se précipitant sur sa victime pour lui porter un coup final au niveau du thorax.

Taché du sang de sa victime, Matawa rangea ses armes et jeta un coup d’œil à l’enfant qu’il était venu protéger.

- Ketsueki Kaneki, je présume ? Je suis Matawa. Cet homme avait été engagé pour venir te tuer, mais il semblerait que tout comme moi, la vie d’esclave n’est pas ton truc.

Curieux de voir l réaction de son hôte, Matawa lui adressa un bref sourire avant de fouiller l’homme qu’il venait de tuer de sang-froid. Comme si la chose était plus naturelle que de simplement… parler.