Informations Grade : Taïchou Messages : 175 Rang : B
| (#) Sujet: Un aventurier en herbe !(Mission Rang C-Solo) partie 3 Ven 26 Déc 2014 - 0:43 | |
| Précèdent --> http://www.shinobinohattan.com/t12847-un-aventurier-en-herbe-mission-rang-c-solo-partie-2#102517 - Rappel de mission rang C:
Aujourd'hui vous êtes quémandé pour une mission des plus banales. L'un des membres de la famille du Daimyo désire traverser plusieurs pays de l'alliance et demande à la capitale de lui envoyer quelques genins à titre d'escorte. Il n'y a en soi pas eu de menace ou autres, mais il vaut mieux prévenir que guérir. À vous donc d'escorter cette personne saine et sauve jusqu'à sa destination. Bonne chance !
†Notre arrivée au pays de la neige† La nuit avait été longue, je n’avait pas pu dormir aussi confortablement que d’habitude. Le bruit des vagues m’en empêchait. J’avais une trouille bleue de l’océan, sa vaste étendue bleue me faisait mal aux cours rien qu’en y pensant. Se forcer à monter sur ce navire ne m’enchantait guère. Mais étant une mission, quand il faut y aller, il faut y aller. Même ce proverbe ne m’enchantait point. La grimace au visage, contre ma volonté, je finis par embarquer dans la nacelle. Nous avions décidé d’amarrer à la tomber de la nuit, car apparemment la pleine lune allait montrer son visage. Les courants marins allaient donc être beaucoup plus puissants et nous pourront voyager beaucoup plus rapidement. Au lieu de prendre deux semaines, nous gagnerons au moins une semaine sur notre durée totale de navigation. Une aubaine pour moi vous pourra dire. Bien que monter dans ce navire ne m’enchante toujours point. «Misère Misère Misère… BOUARK !!!étalant mon vomis dans la mer bleu.» Là-bas sur l'océan Dans ce phare qui scintille Le gardien vigilant Demeure sans famille. Seul dans l'immensité Quand le flot se soulève Parfois comme en un rêve Il se prend à chanter. L'océan sous sa garde Le soir fait miroiter Par la lune blafarde Ses replis argentés. Dans cet apothéose Porte vers l'horizon Sa joyeuse chanson Océan grandiose !
Mais un soir le gardien Quelque folie en tête... Au village voisin Va revoir sa brunette. Près d'elle il s'attarda Car elle était jolie Mais le phare-vigie Le soir n'éclaira pas.
L'océan sans son garde Paraît désorienté Les étoiles hagardes Ont terni leur clarté. Prenez garde au naufrage Pauvres petits bateaux Balancés par les flots Car l'océan fait rage !
Au village voisin Des gens courent dans l'ombre On sonne le tocsin Pour un bateau qui sombre. Pour lui porter secours Le gars dans l'eau s'élance Mais les flots par vengeance Le prennent pour toujours
L'océan n'a plus de garde Car dans l'obscurité C'est la folle camarde Qui vient de l'emporter. Sorcière toujours avide Entraînez au lointain Celui qui fut gardien De l'océan perfide. Décidément ils s’étaient tous ligués contre moi. Voici, quelques heures que nous avions quitté la terre, qu’ils s’étaient mis à chanter des chansons de marins, triste et sans vie de surcroît. Seul dans mon coin, un coin sombre, j’essayais d'entrer en contact avec les esprits environnants. Qui sait peut-être que je pourrais rencontrer l’âme d’un pirate perdu. Dans ce bas monde les esprit et démon de ce monde étaient pour l’instant mon seul réel ami. Pauvre de moi. Après quelques jours passés en mer, nous arrivions enfin à destination. Nous pouvions apercevoir les terres du pays de la neige droit devant. Je n’avais pas arrêté de rendre mon déjeuner tout le long du voyage. Merci lune chérie de mon cours, au moi je sais que toi tu es de mon côté. Descendant lentement, nous avions bien senti le changement température depuis quelques jours, et nous nous étions équipés pour cela, le prince et la princesse furent les derniers à descendre du navire, le temps que nous sécurisions les lieux pour ces derniers. J’avais foulé le sol enneigé du pays des neiges. Cette sensation de neige sur mes pieds et de froids sur mon visage fit ressurgir en moi de nombreux souvenirs, à la fois chaleurs, mais également très douloureux. Un voyage au pays des souvenir était nécessaire pour rebondir de milles pied à travers le désert blanc. Ma hargne et ma volonté de sortir de cette torpeur, de ce tourbillon maléfique augmentait à chaque foulées.
Dernière édition par Mamoru Ando le Dim 25 Jan 2015 - 18:29, édité 1 fois |
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Informations Grade : Taïchou Messages : 175 Rang : B
| (#) Sujet: Re: Un aventurier en herbe !(Mission Rang C-Solo) partie 3 Lun 12 Jan 2015 - 4:22 | |
| †Le palais† Marchant à travers la banquise, nous remontions le fleuve en direction du palais, là où se trouvait la famille de la princesse, mais également l’une des plus grande bibliothèque de l’alliance, la plus grande étant basé au Shukai. Ce pays possédait une géographie assez inappropriée à ma peau. Des températures extrêmes peuvent frapper le pays lors d’intempéries. Ce pays est géographiquement et socialement séparé d’une manière un peu anarchique, mais la vie se fait bonne tout de même. Nous n'avancions pas à pas à travers la neige. Nos équipements et les manteaux de fourrure que nous portions nous tenaient assez chaud pour que nous ne puissions pas ressentir le froid. Il me hâtait d’atteindre le palais pour pouvoir découvrir la bibliothèque et tout ce qui s’y trouvait. Plus je marchais et plus quelque chose me chiffonnait dans mon plan de lire des livres… J’étais aveugle… Comment allais-je bien pus récupérer les informations dont j’avais crucialement besoin ? Sûrement je pourrais demander l’assistance à quelqu’un. Qui sait… «Regarder nous y somme presquecriais-je pour rebooster l’equipe.» Mes pieds me faisait atrocement souffrir. De là où nous étions, nous pouvions apercevoir la forêt, et le palais qui timidement se cachait derrière. Plus nous avancions et plus ce dernier semblait se rapprocher, et plus nous pouvions apercevoir les gardes et toute le reste… Oui, lorsque nous sommes privées d’un sens l’imagination prend le dessus. Je ne pouvais faire que cela Durant le voyage. Imaginer à quoi les choses que je touchais, pouvaient-elles bien ressembler. Cela faisait en quelque sorte fonctionner ma créativité, mais m’attristait parfois. J’entendis des portes grincer non loin. Il savait que nous arrivions ; Nous fumons accueillis par des chants et des symphonies de trompette accompagnés de cris de joie. C’était fou à quel point la royauté pouvait susciter chez les gens des émotions et des sentiments de joie et de folie... Enfin au chaut et à l’intérieur du palais, étant donné que nous escortions le fils du daimyo, nous avions été tous conviés par ce dernier au palais pour y festoyer. Festoyer. J’adorais d'ores et déjà ce mot. Après quelque heure, à la fin du délicieux repas, je décidai, et avec l’accord du maitre de maison, de me rendre dans la bibliothèque pour potassé sur mon sujet. Bien entendue, l’un de mes petits démon aura la tache de me les lires bien sure. Quelque heure plus tard, je tombai sur un sujet assez intéressant. ********** La lecture fut bonne, mais il était temps pour moi de me défaire de cette mission. À, je devais encore prendre ce moyen de transport qui m’indignait profondément… Littéralement… Sur le chemin de mon passé et de mon avenir, j’ai cru pouvoir briser la profondeur de l’immensité, par mon chagrin tout nu, sans contact, sans écho. Je me suis étendu dans ma prison aux portes vierges de mon âme, sans possibilités de voir enfin la lumière, comme un mort raisonnable qui n’a point su mourir. Un mort non couronné sinon de son néant. Je n’avais encore rien accomplis d’honorable dans ce monde rempli de Méphisto humain. Je me suis étendu sur les vagues absurdes et peut-être irréalisables, d’un certain idéal et ordre mondial. La solitude m’a semblé plus vive que le sang. Je voulais désunir la vie où les gens connaissaient jusqu’à présent, pour leur proposer une vision, un modèle de vie nouveau. Je voulais unir, la mort avec la vie, les démons avec les anges, les hommes et les femmes. Je voulais Rendre, mon cœur au vide et le vide à la vie, tout effacer, qu’il n’y ait rien ni ne vire ni buée, ni rien devant ni rien derrière rien entier. Un nouveau monde unifié. Rien n’est simple ni singulier. La mer est dans les yeux du ciel ou de la nuit. La forêt donne aux arbres la sécurité, et les murs des maisons ont un pot commun et les routes toujours se croisent. Les hommes sont faits pour s’entendre, pour se comprendre pour s’aimer. Ont des enfants qui deviendront pères des hommes. Ont des enfants sans feu ni lieu qui réinventeront les hommes, la nature et leur patrie celle de tous les hommes, Celle de tous les temps. Mon itinéraire n'était différé qu’à l’aller. Je me devais de faire le moins de trajet sur mer. Cela pourrait compliquer mes organes Interne. Une nouvelle fois je quittai la terre ferme, pour me diriger vers l’archipel du Pays de l’eau. Faire un long détour pour rentrer chez soi était pour moi la seule solution.
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