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 Examen Genin

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Hyûga Hito
Hyûga Hito
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Message(#) Sujet: Examen Genin Examen Genin EmptyDim 13 Juil 2014 - 12:25


    J’étais encore au plus profond de ce profond sommeil lorsque je me réveillai. Cette fois ci il ne suffit point des lueurs du soleil, du chant de l’oiseau perché à l’arbre, Il fallut pour me tirer de ma léthargie la douce voix de mon réveille. Je me dressai effaré de mon séant. En ce moment, par l’étroite et haute fenêtre de ma chambre, je vis au plafond, seul ciel qu’il me fût donné d’entrevoir, ce reflet jaune où des yeux habitué aux ténèbres d’une chambre savent si bien reconnaître le soleil.

    J’aime le soleil !

    Il était plein jour, et l’immeuble où je vivais était plein de bruit. On entendait ouvrir et fermer les lourdes portes, grincer les verrous et les cadenas de fer, carillonner les trousseaux de clefs entrechoqué à la ceinture du concierge, trembler les escaliers du haut en bas sous des pas précipité, et des voix s’appeler et se répondre des deux bous du corridor.
    Moi seul muet dans ce vacarme, seul immobile dans ce tumulte, étonné et attentif, j’écoutais. Je me levai ; mes dents claquaient, mes mains tremblaient et ne savait où trouver mes vêtement, mes jambes était faibles. Au premier pas que je fis, je trébuchai comme un portefaix trop chargé. Cependant je sortis.

    Je traversai une cour intérieure ; L’air vif du matin me ranima. Je levais la tête. Le ciel était bleu, et les rayons chauds du soleil, découpé par les longues cheminées, traçaient de grands angles de lumière au faîte des murs hauts et sombres de l’académie. Il faisait beau en effet.
    Je traversai un escalier tournant en vis ; je passai un corridor, puis un autre, puis un troisième ; puis une porte s’ouvrit. Un air chaud mêlé de bruit, vint me frapper au visage ; c’était le souffle de la foule attendant leur tour.

    C’était mon tour, j’entrai dans une salle vide que seul deux chunin ornaient. Les fenêtres étaient grande ouvertes ; l’air et le bruit de la ville arrivaient librement du dehors. La salle était claire comme pour une noce ; les gais rayons du soleil traçaient ça et là la figure lumineuse des croisées, tantôt allongée sur le plancher, tantôt développée sur les tables, tantôt brisées à l’angle des murs ; et de ces losanges éclatants aux fenêtres chaque rayon découpait dans l’air un grand prisme de poussière d’or. Les chunins au fond de la salle avaient l’air satisfait, probablement de la joie d’avoir bientôt fini. Le visage des shinobis, doucement éclairé par le reflet d’une vitre, avait quelque chose de calme et de bon.

    En face de moi, une fenêtre était grande ouverte. J’entendais rire sur le quai des marchandes de fleur ; et, au bord de la croisée, une jolie petite plante jaune, toute pénétré d’un rayon de soleil, jouait avec le vent dans une fente de la pierre. Comment une idée sinistre aurait-elle pu poindre parmi tant de gracieuses sensations ? Inondé d’air et de soleil, il me fut impossible de penser à autre chose qu’à la victoire ; l’espérance vint rayonner en moi comme le jour autour de moi ; et, confiant, je commençai.

    J’avais les mains liées le décore avait changé du tout au tout. La pénombre régnait sur mon regard, le silence quant à lui prenait un malin plaisir de m’agacer. Des visages défilait devant moi, mon père que je ne connaissais que de photo, il me ressemblait beaucoup avec un visage fatigué ridé par la guerre, puis se fut le tour de ma mère, elle apparut en pleurs, un visage de pitié, une tête à giclant au sol découpé de son cou. Enfin celle de mon seinsei, je ne pouvais allez plus loin. J’avais fait usage du Kai, et c’est avec un visage terrifié que je revins dans le doux paysage qui m’entourait. Commencer par une illusion qu’elle pitoyable, mesquine idée. J’en étais surpris et très soulagé, la technique la plus difficile était passée.
    La tête baissé j’haletai de toue mes force, puis d’un coup je la relevai en leur adressant un sourire au coin de mon visage. Mes yeux avaient un air différent, des rides s’y étaient dessinées. Le byakugan activé j’étais prêt à toute surprise. Une petite brise vint soulever ma chevelure. J’ouvris grand les yeux, je ne voyais plus que des ombres noirs que je pouvais reconnaître grâce au chakra qu’il porte.

    -Maintenant je suis prêt, murmurais-je au bout d’un sifflement.

    Trois clones apparurent à mes cotés chaqu’un un kunai à la main. Il était si ressemblant, à tout point le byakugan, les armes, les habits tout sauf une chose le chakra. Quand je fis un petit tour de tête j’aperçu le vide d’énergie dans leur corps. Ce fut l’erreur à ne pas faire, car j’eu à peine le temps de tourner ma tête que deux kunai fonçaient sur moi à toute vitesse. Non ! Ce n’est pas possible, ma vie ne peut pas se terminer dans un foutu examen de genin. Je vaux plus que ça, le temps c’était figé à mes yeux, les kunais flottaient en air immobilisé. Enfin, c’est la fin les deux kunais c’étaient planté dans leur cible, une buche. Oui j’avais disparut, j’étais en ce moment derrière la fenêtre collait au mur en dehors de l’académie, les deux chunin se précipitèrent me voir planter sur le mur. En le voyant je sautai, me laisser tomber était la plus stupide idée que je n’ai jamais eue, car le lac que je visai était à quelque mètre. Je me repris, alignai des signes puis je me rattrapé et m’élancer ver le lac. L’examen allez finir.

    J’étais tombé sur le lac et non dedans, car j’étais debout dessus, je ne flottais pas, je marchais sur ce liquide bleuté. Je pris de l’élan pour sauter et ainsi j’atteignis le niveau des deux chunin pour finir par une belle métamorphose. J’étais devenu un jeune et belle fille aux cheveux noirs, des yeux blancs, un corps fin. J’étais devenu Kyouki. C’est ainsi que le bandeau tomba entre mes mains.
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