Le dépotoir magique [Saibogu Seya]

(#) Sujet: Le dépotoir magique [Saibogu Seya] Lun 24 Mar 2014 - 20:02

Le rêveur était en train de fuser contre le dépotoir de Suna, qui se trouvait à l'arrière du village, on avait demandé son aide, enfin, d'après les deux Jônins croisés tout à l'heure on avait besoin d'un Genin pour donner un coup de main urgent dans le lieu où l'on jetait ses déchets. Alors, sans trop demander le pourquoi du comment, Kibō se dirigea là-bas, on avait besoin d'aide et l'utilisateur du Onkyôton adorait venir en aide aux gens, mais il ne savait pas du tout ce qui l'attendait. Le défenseur moral de la paix était sorti pour faire ses courses, car son frigo pleurait, il était vide et il tomba par hasard sur deux de ses supérieurs. Les deux ninjas de Suna discutait entre eux et ils furent contents de voir le Genin, comme si en fait c'était eux qui devaient se rendre là-bas, mais quoi qu'il en soit la chose ne dérangeait pas plus notre jeune héros.

Le jeune homme à la chevelure blanche arriva devant le champ de poubelles, des bruits étranges parvinrent à ses oreilles et ils venaient tout droit du dépotoir. Tous les rebuts du village se trouvaient aux pieds de notre héros, qui, du haut d'une colline de sable, dominait ce paysage spécial. En effet, ce n'était pas tous les jours qu'on avait l'occasion de contempler une mer de sacs poubelles. Le Genin ne savait pas qui ou quoi l'attendait, mais on avait besoin de lui ici. Le ninja de Suna remarqua une espèce de plate forme au milieu de ce tas d'ordures, de là, on allait l'apercevoir facilement et la personne ayant demandé de l'aide comprendra qu'il était là pour lui, car en fin de compte, il n'y avait pas beaucoup d'individus qui se promenaient dans le dépotoir du village.

L'élève de Kioshi dévala à vive allure la montagne de détritus pour se rendre au centre de ce lieu. La descente ne fut pas des plus évidentes, le sol était tout sauf stable, même le sable était bien plus convenant pour courir. Le confident de Yuki remarqua qu'il marchait sur tout et n'importe quoi, on pouvait vraiment trouver des choses hallucinantes dans de genre d'endroit, en tout cas, le dépotoir devait être une mine d'or pour les bricoleurs. Le membre de l'équipe Miira posa le pied sur de plate forme centrale et les bruits se firent de plus en plus intense, mais notre jeune héros n'arrivait pas à comprendre d'où cela provenait, une chose était sûre, il y avait quelque chose d'étrange là-dessous.

(#) Sujet: Re: Le dépotoir magique [Saibogu Seya] Mar 25 Mar 2014 - 18:11

Quoi, le grand jour est arrivé. Pour cela, je vais devoir recruter deux grands Ninjas pour tester mes nouvelles inventions faites pour le bien du village et le loisir de pouvoir vivre dans un village propre. Qui sais si je fabrique mes engins à la chaine, je ferai peut-être de mon pays un pays des plus propres. Si j'imagine plus loin, je pourrais faire de ce monde un monde sans déchet et détritus. Ma demande se faisant loin du peuple et là ou les détritus se font à la ramasse. J'ai embauché deux Ninjas pour mes inventions. Une chose qui semble simple, enfin si vous ne connaissez pas mon clan, car si vous le connaissez vous savez que les inventions que nous créons se font souvent après mainte fouarage. Bon se n'est pas tout, mais le temps passé et j'ai encore deux ou trois réglages à faire avant que mes deux Ninjas fait pour sécuriser en cas de problème, enfin ça et aussi pour tester des machines.

Me promenant dans un tas de pièces détaché, je cherche des pièces uniques. Le temps passant je réapparais au lieu de rendez-vous par un trou d'e se même tas. Regardant par ce recoin, je vois un homme. En plus d'une carrure plutôt jeune et ne ressemblant pas vraiment à un Junin. Qu'es qui se passe. Ils ne devraient pas être deux. Puis je voulais un rang plutôt élevé. Bon je vais vérifier cela:

Hé salut gamin. Tu es ici pour la mission? Si c'est le cas, j'attendais deux Juunin et non un Genin. Enfin, je n'ai pas le temps pour attendre d'autre personne tu feras l'affaire. T'es prés. Regarde bien et admire ma première invention. J'appelle ça le bruleur détecteur de chaleur. Il prend en cible les mauvaises herbes grâce à l'évapotranspiration de ses dernières. T'es prêt? Regarde.

Faisant apparaitre l'objet. La machine se met automatiquement en marche. Plusieurs mauvaises herbes dans un endroit bizarrement le bous du canon ne montre pas la position des herbes, mais celle du Genin. Hein? Non mais c'est fou:

Attention le feu brule à 250°.

Visant le Genin, le lance flamme vise notre homme. Réfléchissant au problème. Le canon doit confondre la chaleur humaine avec la condensation de l'eau par les plantes. Après mure réflexion tout en prenant mon temps, je commence les modifications pour arrêter la machine. Oui car bien entendus j'ai oublié de crée un moyen d'arrêter la machine. Ben sinon se ne serais pas drôle:

Attend j'en ai pour deux ou trois minutes pour l'arrêter.

(#) Sujet: Re: Le dépotoir magique [Saibogu Seya] Mer 26 Mar 2014 - 8:28

Kibō attendait patiemment que quelqu'un vienne l'accueillir pour lui donner des renseignements concernant sa propre venue dans le dépotoir de Suna. Le Genin n'allait pas rester là longtemps, il avait autre chose à faire et peut-être que les deux Jônins de tout à l'heure lui avait fait une farce, en fait il n'y avait personne ici. Si c'était le cas, notre jeune héros était bien tombé dans le piège, il était sûr de venir en aide à quelqu'un en acceptant de rejoindre la déchèterie du village. Soudainement, d'autres bruits vinrent s'ajouter à ceux de tout à l'heure, l'utilisateur tourna son regard et aperçu un homme à la chevelure et à la moustache blonde.

Ce dernier salua le rêveur et lui demanda s'il était là pour la mission, d'un signe de tête le garçon aux rêves démesurés lui répondit « oui ». L'inconnu souleva la remarque qu'il attendait deux Jônins et non un seul Genin, comment faisait-il pour savoir que l'élève de Kioshi était Genin, était-ce écrit sur son front ? Kibō regarda attentivement l'individu, mais il en était sûr, il ne l'avait jamais vu auparavant, comment se faisait-il qu'il soit au courant du grade du jeune homme à la chevelure blanche ? Le Genin voulait le lui demander, mais l'autre enchaîna dans son discours en disant que ce n'était pas grave et que notre héros allait faire l'affaire. Il lui demanda de bien regarder et d'admirer sa première invention, qui était sensé capter la chaleur et prendre en cible les mauvaises herbes pour les brûler. Cependant, lorsqu'il mit en marche sa machine, qui d'ailleurs sorti de nulle part, celle-ci se tourna contre l'utilisateur du Onkyôton.

Alors que le mécanisme pointait Kibō avec son canon, le scientifique fou, lui précisa que ce feu brûlait à plus de 250°, c'était intéressant de le savoir, mais le Genin aurait préféré que le blond arrête la machine au lieu de donner des informations inutiles. Quelques étincelles sortirent du canon avant de faire sortir les flammes, qui se dirigèrent droit contre le membre de l'équipe Miira. Il ne restait plus qu'une chose à faire pour le garçon aux yeux de glace, prendre la fuite. Notre jeune héros se mit à courir, sans perdre de vue le feu qui le suivait, il sautait, courait, roulait, il faisait tout ce qu'il pouvait pour ne pas se faire toucher par ces foutues flammes. Finalement, il trouva rempart derrière une grosse tôle, le feu s'écrasa contre celle-ci et désormais Kibō était à l'abri, il ne restait plus qu'à attendre que le fou arrête sa machine, dans quelle aventure venait-il de mettre les pieds ?

(#) Sujet: Re: Le dépotoir magique [Saibogu Seya] Jeu 27 Mar 2014 - 15:41

Chaud chaud chaud. Ce feu est d'une puissance plutôt intéressante pour bruler rapidement les mauvaises herbes. La machine tournant car notre cher compagnon esquive comme il peut les flammes de mon engin. Moi je me vois bardasser de droite à gauche selon la direction de notre cher camarade. Je crois que pour se travaille ma machine a besoin de quelques petits réglages. Celui-là trouvant refuge derrière une tôle qu'il prend comme bouclier de fortune 'engin s'arrête de bouger et après cette arrêt, j'eu plus de facilité à arrêter l'engin de folie:

Hé, on peut dire que t'as eux chaud et même que tu t'es presque grillé. Tu es en un morceau? Bon tant cas faire j'ai une ou deux questions genre. Tu as pue vérifier là température des flammes ? Les endroits où ça à cramé, il y avait des mauvaises herbes?

Question prioritaire. Puis je suis gentil, j'ai demandé s'il allait bien, mais en réalité se que je veux savoir c'est le statut de ma machine. Ben quoi, je fais des engins d'utilités publiques pouvant servir plus d'une personne donc je pense que c'est plus important. Chacun ses priorités. Bon après, lui aussi il est important, quand l'on y réfléchit, j'ai encore besoin de lui vivant pour tester plusieurs engins :

Parfait engin suivant, tes prêt? Cette invention peut en faire baver de jalousie plus d'un. Roulement de tambours. Tada, les chaussures de sécurité dernié crie. Regarde se dessine, cette courbe, ses protubérances. Si s'était une femme, je lui ferais l'amour ici même. Enfin, je m'emporte, mais avoue que ça donne envie hein. De l'essayer, je parle hein, reste un petit peu professionnel voyons. Bon, je te laisse les essayer. Non en fait, je t'oblige de à pénétrer tes pieds dans le troupe fait pour cela. C'est un test sur ses chaussures.

Tester des chaussures de sécurité. Vous allez me dire que c'est surement pour voir si elles sont aussi résistantes que cela. Bon je suis un génie un poil singlet, mais crée de simples chaussures de sécurité, même pour moi, c'est plus que simple. Et je n'ai pas rajouté une sécurité supplémentaire dans ses chaussures. Non, elles sonten réalités faite pour augmenter le potentiel de rapidité du travailleur dans ça course poursuite contre les déchets de l'environnement. Le cran de sécurité enlevé sur les pompes. Je le regarde, puis pense à une chose dont je n'ai pas réfléchit avant:

Hé tant que j'y pense, je vais te donner une tenus de sécurité de mon invention.

Trop tard. Je n'ai même pas eux le temps de la faire apparaitre que l'effet spécial des chaussures firent leurs effets. Augmentation de vitesse de rang S powa. Certain dirait que c'est trop rapide pour balayer. Moi, je dis qu'avec le temps, on s'y habituera. Oui, il sufi que la rétine s'y habitue pour que nos mouvements se mettent en concordance avec celle-là, bon après c'est une théorie. De plus cette amélioration, je l'ai adapté avec mes véhicules de travail. Je regarde donc cette enfant partir à toute allure. Quand d'un coup, je me mets à réfléchir:

Merde, j'ai pensé à l'accélération, mais j'ai complètement zappé la manière de les arrêter. Bon tempi, il devra trouver tout seul.

(#) Sujet: Re: Le dépotoir magique [Saibogu Seya] Jeu 27 Mar 2014 - 16:09

Le bout de métal, derrière lequel notre jeune héros se cachait, commençait gentiment à fondre, mais heureusement que scientifique fou parvint à arrêter la machine à temps. Kibō ne savait qu'il existait des personnes autant folles, mais par la même occasion aussi créative. Malgré les défauts de la machine, le Genin n'avait jamais rien vu de tel, un mécanisme capable de repérer la chaleur pour automatiquement s'enclencher et cracher du feu. Le vieil homme à la chevelure et à la barbe blonde ne paraissait aussi intelligent, mais il montrait avoir quelque chose dans le crane. Le rêveur ne l'avait jamais vu dans le village, il devait sûrement passer ses journées dans ce genre d'endroit ou bien, enfermé dans un laboratoire secret, afin de mener des expériences tordues les unes plus que les autres.

Enfin bref, le ninja de Suna se retira de derrière le bout de tôle et contrôla qu'il n'avait pas eu de blessures durant sa fuite contre les flammes de la machine, mais tout avait l'air en ordre. Le scientifique demanda à notre jeune héros s'il était toujours en un seul morceau, ce type était vraiment étrange, mais sa question fit sourire le garçon aux rêves démesurés. L'élève de Kioshi lui fit un signe du pouce pour lui faire comprendre que tout allait bien et l'autre ne perdit pas de temps pour avoir un retour sur sa machine. Cependant, le membre de l'équipe Miira ne put répondre, car il n'avait pas fait gaffe à ce genre de détail, il avait uniquement pensé à survivre.

" Désolé, mais je n'ai pas fait attention à ce genre de détails, j'étais bien trop occupé à sauver ma peau. "

Le blond ne s'arrêta pas et sortit une nouvelle invention, celle-là était bien plus petite et plus inoffensive. Il s'agissait de simple chaussure de travail, rien de bien dangereux, du moins c'est ce que pensait Kibō. Le créateur demanda à notre héros de les essayer, pourquoi pas. Le Genin enfila les souliers, testa le confort et la dureté de celle-ci, mais lorsqu'il les tapota à terre, celles-ci firent courir le confident de Yuki à tout allure au milieu des déchets de Suna. Les chaussures étaient vivantes ! La vitesse des souliers était vraiment surprenante, mais il y avait un problème, le jeune homme aux yeux de glace ne savait pas comment s'arrêter, comment faire à présent ?! Une idée lui vint en tête, il fallait que ses pieds ne touchent plus rien. Il courut en direction d'un poteau et sauta, pour s'y agripper. Désormais le Genin était pendu au poteau, il n'attendait plus qu'une chose, que l'inventeur fou vienne lui enlever ces souliers maudits.

" Tu peux venir m'enlever ces chaussures, s'il te plaît ? "

(#) Sujet: Re: Le dépotoir magique [Saibogu Seya] Sam 29 Mar 2014 - 11:00

Merde, merde, merde, j'ai oublié de mettre une technologie pour arrêter la course de mes chaussures. Le gamin va mourir d'épuisement. Il faut que je fasse quelque chose. Bon tempi, si cette technologie et aussi en essaie, je me dois de secourir notre cher Genin. Apparition powa d'un de mes véhicules et augmentation de la vitesse étant de rigueur. Je réitère la même application que sur ses maudites chaussures:

Je vais te secourir frêle ninja. HHaaaa

Le véhicule allant à la même vitesse, je me débrouille pour passer de part et autre à la recherche de l'homme fusée. Criant à chaque recoin quand d'un coup suspendu et stagne, je vois se Ninja arrêter. Ioupi. Une petite larme de joie et de fierté avec la pensée des réflexes des Ninjas de ce village. Je le regarde, arrivant à toute allure sur lui:

Gloups, mais quel con, j'ai zappé, je ne peux pas non plus arrêter le véhicule vue qu'elle utilise le même fonctionnement que les chaussures.

Impacte dans trois, deux, un kaboom.

Protège mon invention quoi qu'il en coute hhhaaaaa. Mes précieux.

Bon, éjection automatique. Sans chakra, le véhicule ne peut fonctionner. Le siège commence à se propulser, un souci survient. Ben le plafond ne s'enlève pas et me fait simplement recevoir un coup des plus violent sur le sol. Bordel. Je me dois de trouver un moyen. Bon bidouillage de quatre ou cinq boulonts et hop on quitte les lieux de manière manuelle. Sortant des lieux le chakra n'est plus produit pour donner de l'énergie au véhicule. Le temps que le véhicule ralenti pourtant. Il ne tourne pas non plus, ben oui, je ne suis plus au volant. Prenant un amas de déchets métallique. Cet impact me fait projeter en avant. Tendant la main pour attraper le guss pendant mon éjection. D'une agilité digne d'un Junin, je posais mes deux pieds au sol réduisant la pression en pliant les jambes:

Fiou on a eux chaud.

Mon partenaire étant les pieds en l'air je n'avais qu'à lui enlever ses pompes et à les reposer dans un sceau. Reprenant mon souffle et soulagé que les chaussures n'aient rien, je me relève comme si rien ne c'est passé:

Bon, je prends note. Invention suivante. Bon tant quelle est sortit je te la montre. Voilà la tenue de protection. Une anti choque. Je sais j'aurais pue la mette, mais je n'y ai pas vraiment pensé. Tien poste moi ça.Oui cela peut penser que je vais lui tirer dessus ou même prendre des sécurités en voyant comment c'est déroulé le début des expériences, mais en fait se n'est pas du tout le cas. C'est bel et bien la prochaine invention à tester. Le souci dans cette tenue je la connais déjà d'avance. Le poids. Disons que dans cette tenue ce n'est pas la défense que produit cette tenue qui est lourde. Mais tous les autres gadgets posés dessus qui entaille son poids. À vue de nez je dirais trois cent kilos.

(#) Sujet: Re: Le dépotoir magique [Saibogu Seya] Sam 29 Mar 2014 - 19:49

Le scientifique était vraiment fou, il fit apparaître une nouvelle machine, plus précisément un véhicule, afin de venir en aide à notre jeune héros, qui lui, était suspendu à un poteau, en attendant que l'inventeur des baskets vienne l'aider. Cependant, le blond n'avait pas prévu le système de freinage sur le véhicule, tout comme sur les chaussures et il n'y avait qu'une solution pour arrêter la machine, c'était de s'écraser. Le créateur fou réussit tout de même à sortir du véhicule, pour ensuite venir en aide à Kibō, qui attendait avec impatience, le moment où l'on viendrait le secourir. Par contre, le Genin s'attendait à tout, sauf à ça, en effet, le scientifique sauta pour s'agripper au rêveur et le faire tomber sur le cul. Ayant les pieds en l'air, l'homme à la moustache blonde profita pour lui ôter les souliers et ainsi le libérer de cette malédiction, qu'était la rapidité sans contrôle.

Comme tout à l'heure, l'inventeur taré ne perdit pas un instant pour faire essayer une nouvelle invention à l'élève de Kioshi, mais ce dernier commençait à se douter du bon fonctionnement des objets créés par le blond. Il s'agissait, à présent, d'une combinaison, une tenue, que pouvait-il lui arriver là-dedans ? Peut-être que cette dernière se contractait et tuait la personne ayant endossé le vêtement, on pouvait s'attendre à tout avec un tel scientifique. D'un soupire, Kibō s'empara de la tenue et l'enfila, il voulait faire plaisir au créateur de cette invention. Cependant, une fois à l'intérieur de cette habille, le Genin remarqua qu'il ne pouvait plus bouger, la tenue de protection dépassait le poids de trois cents kilo. À quoi servait une tenue, si on ne pouvait pas se déplacer ?

" Je suis censé faire quoi à présent ? Je ne peux pas bouger, c'est bien trop lourd pour moi. "

Le jeune homme aux yeux de glace attendait les prochaines indications de... Mais au fait, comment s'appelait-il ? Ça devait faire facilement une demi-heure que les deux hommes se côtoyaient, mais aucun des deux ne connaissait l'autre. La situation fit rire notre jeune héros, qui trouva ça hilarant. Comment pouvait-on passer du temps avec un individu sans même savoir comment ce dernier s'appelait, cela allait contre les principes du rêveur, qui corrigea immédiatement le tir.

" En fait, on a oublié de se présenter. Je m'appelle Kibō et je suis un Genin du village. Et toi, tu es ? "

Le garçon aux rêves démesurés voulait connaître le nom de cet inventeur fou, il fallait qu'il en parle à ses amis, de cette rencontre plus qu'étrange et surtout de ce scientifique.

(#) Sujet: Re: Le dépotoir magique [Saibogu Seya] Lun 31 Mar 2014 - 17:41

Munie de trois cent kilos de bazar de haute technologie sur lui, dont une armure de défense suprême. Enfin suprême, cela reste à prouver. Après, en voyant l'allure qu'il a avec, une tenus orange pétante avec un masque à gaz et tout ce qui en suit, il vaut mieux que ça marche sinon se serait une honte inutile de porter cette tenue. Enfin, il me demande ce qu'il doit faire avec, tout en me précisant que le poids est plutôt pesant. Enfin, une chose que je devrais palier par un entrainement suprême. Un sourire sadique, quand il continue de parler pour me demander mon prénom. Enfin il reconnait mon ingéniosité. Je suis certain qu'il est devenu l'un de mes Fans.

Moi, qui je suis? Je suis le grand Seya Saibogu, j'ai crée tout le réseau fluvial. Assainissement, traitement d'eau potable et usé. Stockage des eaux dans des lacs ou des réservoirs d'eau. Enfin le grand train train et cela au temps ou à tes pieds il n'y avait que sable et aucune maison de faite. Le grand moment ou notre cher village n'avait que l'huile de coude d'homme de mon espèce pour survivre, après se sont des informations tellement secrètent qu'ils mon enlevés toutes mémoires concernant les informations importantes sur ce sujet. Tu imagines ce genre d'information aux mains d'ennemis? Hé, hé Enfin ça c'était avant mon accident.

Oups j'en ai trop dit. Bon tempi, je m'arrête là et qui a-t-il de mieux pour changer de sujet qu'un tir au pigeon. C'est vrai, tirer sur un animal sans défense est une chose qui est attrayante pour beaucoup de personnes. Cependant dans ce genre de lieu, trouver un animal à dégommer devient compliqué. Sauf les chats errant ou si je tire dessus on me jettera la pierre en me traitent d'homme maltraitant les bêtes et ce genre de titre ne plait que rarement aux femmes. Cependant j'ai une idée. Sortant mon bazooka d'un sceau. Un bazooka que j'ai trouvé dans une ancienne mission. NNNiiaaahahahahaha:

Bon, étape suivante, teston la résistance. Un coup de ce genre d'arme peut donner des séquelles irréversibles pouvant mener à des liaisons pouvant t'empêcher d'être ninja. Prie ton dieu où je ne sais quoi d'autre pour ton salut.

Une aura sombre se mêlant à la prêtions que j'envoie au frêle ninja. D'une prêtions sur la détente, la roquette fonce à bout portant sur le jeune ninja portant l'armure. C'est quitte ou double. Soit je le cloue sur une chaise roulante à vie, soit mon invention est une réussite et cela complètera mon artillerie. Le coup faisant impacte la fumée et le sable s'éparpille pour faire un amas de brouillard. Après un petit temps, le corps du frêle ninja commence à se dessiner derrière le brouillard de sable. Etonné, un second coup part sans le faire exprès:

Oups, eux. Kido c'est ça. T'es vivant? J'ai d'autre invention à tester. Hé mon petit ras de laboratoire, tu peux encore tenir pour quelques tests?

Le grand Seya Saibogu ? L'homme à la chevelure et à la moustache blonde parlait de lui comme si tout le monde était censé le connaître, mais notre jeune héros n'en avait jamais entendu parler. Pourtant, d'après les dires du scientifique, il était quelqu'un d'important dans le village, il avait créé un réseau fluvial pour permettre à Suna d'avoir de l'eau, mais on lui avait effacé la mémoire pour qu'il oublie tout ça, afin qu'il ne révèle rien à l'ennemi, si malencontreusement il se faisait capturé. Le Genin ne savait pas trop s'il devait le croire ou pas, ça lui paraissait un peu gros tout ça, mais pourquoi pas, peut-être qu'il était vraiment ce qu'il prétendait être, le grand inventeur de Suna, Seya Saibogu. Cependant, quelque chose attira l'attention du rêveur dans le discours du scientifique. On lui avait retiré la mémoire avant son accident, quel genre d'accident ? Il n'aurait jamais dû dire cela, à présent, le jeune homme aux yeux de glace voulait en savoir plus.

Malheureusement, le garçon aux rêves démesurés n'eut pas le temps de dire quoi que ce soit, que Seya enchaîna à l'étape suivante, tester la résistance de la combinaison. Le Saibogu venait de sortir un bazooka, qu'il pointa sans hésitation sur le confident de Yuki. Était-il sérieux ? Toutes ses inventions avaient quelques choses qui ne jouaient pas, alors ce n'était pas très prudent de tester la tenue ainsi, on ne pouvait pas mettre un mannequin à la place de Kibō ? Il était trop tard, la roquette était déjà sortie du museau de l'arme et se dirigea à toute vitesse contre notre jeune héros, qui n'avait qu'une chose à faire, prier son dieu, comme le lui avait conseillé le Jônin.

Un bruit fracassant retentit dans tout le dépotoir, soulevant poussières et détritus, créant un nuage verdâtre. L'élève de Kioshi n'avait pas eu la sensation d'avoir bougé et en effet, il était encore sur pied ou du moins la protection était encore sur pied, intact. Le Genin entendit Seya lui marmonner quelque chose, mais il ne comprenait rien, le bruit de tout à l'heure l'avait bien sonné. Il ouvrit les yeux et remarqua qu'il n'avait subi aucun dégât, heureusement pour lui. Sans attendre un instant, il sortit de la tenue et put enfin souffler, on mourrait là-dedans. L'inventeur fou donnait l'impression de vouloir encore tester d'autres inventions, la journée de Kibō n'allait vraisemblablement jamais se terminer.

" J'ai une idée, on fait une petite pause et tu me racontes ce qui s'est passé lors de ton accident ? Sinon je rentre chez moi et on ne test plus rien. "

C'était au tour de notre jeune héros de dicter les règles à présent, ça faisait un moment qu'il subissait les tortures de ce scientifique, alors qu'il n'avait rien demandé, il avait également son mot à dire. Le défenseur moral de la paix voulait vraiment savoir qu'est-ce qui était arrivé à ce scientifique, il adorait les histoires des personnes et qui sait, peut-être qu'il pourra l'aider en une quelconque manière.

Mes machines ne fonctionnent pas vraiment comme je souhaite. Pas du tout même, on dirait plus des armes de combat que des armes pour entretenir la propreté du village. Enfin avec quelque modulation je vais pouvoir avoir au moins une panoplie d'armes plutôt loufoque. Vive la mécanique qui nous donne des choses intéressantes malgré que ce soit différent de ce que l'on souhaite. Bon, l'émotion du jeune garçon étant surement sur quel phénomène il est tombé. Me regardant, il se demande bien se de quoi je parle. Mhh. Réfléchissons. Après tout moi, je m'en taponne complètement, mais bon, je ne peux pas tout dire au risque d'avoir des problèmes avec les autorités :

Si tu veux, enfin, tu devras te contenter de ce que je te dis. En gros, j'ai travaillé sur un sujet top secret dans un lieu reculé du monde. Plusieurs années sur cette même chose à travailler quand d'un coup j'étais à peu de chose pour trouver la solution. Le souci c'est que j'aurais dû faire plus de vérifications et ses années de travailles on dut abimer ma patience du détaille. J'ai tenté de faire fonctionner cette maudite machine et elle a explosé. Cependant des choses étranges dans cette explosion m'ont rendu un poil. Eux comment dire différent. Disons que ma personnalité a changé pour devenir la personne que je suis maintenant. Je ne peux en dire plus. Le reste est secret défense. Je peux aussi dire qu'en gros, j'ai du monde dans ma tête. Heu de le sens rhétorique du terme hein. Sinon malgré l'évolution de ma boite crânienne, il n'y aurait pas la place.

Je respire puis dis :

Et toi t'es qui au juste ?

C'est bien aussi de savoir après tout s'il a des informations sur moi, que je parte aussi avec des informations sur lui. Prenant la direction de la sortie je me mets à dire :

Pour les autres inventions cela risque de devenir bien plus compliquer si ça rate. Je me débrouillerais autrement. Aller Bambin, je t'offre un truc à boire.

Un sourire je trottine en direction du centre-ville. Offrir un verre ne va pas faire descendre de beaucoup l'argent que le village m'a offert pour mon travail. Voici un bar. Le lieu qui à mon arrivé est des plus calme est tranquille semble bien changer. Cela ressemble plus à une banlieue qu'autre chose. Entrant dans un bars qui à son ouverture était ouvert par un de mes anciens camarades. J'ouvre la porte et voir cette tête de poireau toujours derrière le comptoir. Sauf que par rapports à avant son sourire semble avoir quitté les lieux de son visage. Avançant. Il ne me reconnaît pas de suite. Après avoir commende un verre se met à dire :

Mais tu n'es pas Seya par hasard ?

Un brin de sourire en se rappelant le bon vieux temps, je me mets à dire :

Oui en chair et en os. Puis aussi avec quelque tige métallique. J'ai aussi perdu quelque boulon à mon retour. Il est advenu quoi ici ? C'est glauque.

Ne m'en parle pas ici c'est devenu les sous-quartiers, il n'y a que la racaille qui viennent boire des verres.

Je vois.

Seya accepta la proposition du Genin et fit une pause, avant d'entamer un monologue pour lui expliquer sa situation. Cependant, Kibō allait devoir se contenter du peu d'informations, car à voir, le Saibogu n'était pas autorisé à en parler. Le scientifique avait travaillé sur un projet hautement confidentiel dans un lieu loin d'ici, inconnu pour la plupart des personnes, mais alors qu'il avait finalement trouvé la solution au problème, il fut tellement pressé d'en conclure, qu'il oublia de faire quelques dernières vérifications, qui étaient d'une importance cruciale, la preuve tout explosa. Depuis, l'inventeur devint l'homme qui l'est aujourd'hui, mais pour notre jeune héros il était normal, du moins, il ne l'avait pas connu auparavant, alors c'était dur de dire s'il était différent ou pas, mais il crut en ses paroles. Il fit comprendre qu'il était devenu fou, mais peut-être que désormais il avait une vie plus heureuse, qui sait. Le Jônin demanda au Genin de se présenter également, car mise à part son nom, il ne savait rien.

" Moi ? Je suis Kibō et non pas Kidō. Je suis un Genin du village, la tête remplie, non pas d'autres personnes, mais de rêves. En effet, je compte un jour répandre la paix dans ce monde, non pas par la violence, mais par la parole, la négociation. Voilà qui je suis, un mec encore plus fou que toi. "

Dit-il en souriant à l'homme à la moustache blonde, alors que ce dernier décida d'en arrêter là pour les inventions et il invita le jeune homme aux yeux de glace à aller boire un verre en ville. La proposition surprit notre jeune héros, mais ça pouvait être l'occasion pour faire de plus ample connaissance avec cet étrange personnage. Le garçon aux rêves démesurés suivit le scientifique, il avait l'air de savoir où aller boire un verre et il se dirigea dans la banlieue de Suna. L'inventeur fou entra dans un bar, qu'il connaissait, du moins c'était l'impression qu'il donnait et effectivement, lorsqu'il entra, l'homme se tenant derrière le comptoir cru reconnaître Seya.

Le Saibogu engagea le dialogue avec son vieil ami, la chose fit sourire notre jeune héros, qui trouva la scène très touchante, c'était toujours beau de voir des retrouvailles. Il patienta en s'installant à une table dans la salle, il n'y avait pas beaucoup de monde dans le bar, mais d'après le propriétaire c'était normal, car c'était devenu les sous-quartiers du village. Kibō attendit que son nouvel ami vienne le rejoindre à la table pour commander un bon jus de fruit et commencer à papoter afin d'en savoir plus sur le scientifique.

Kido. Cool, simple et pas chiant à retenir. Enfin sauf se putain de D, mais cela reste dans les catégories, je ne t'éjecte as à cause de ton nom. Marchant jusqu'au bar que je veux revoir. Cela fait des siècles que je n'ai pas mis les pieds ici et les lieux ont bien changés. Le lieu et délabré et ils ont réussi à enlever le sourire de mon vielle ami. Une chose que l'ancien Seya n'aurait jamais pardonnée, mais maintenant que je me dois de partager ma conscience avec plusieurs âmes et donc personnalités, je dois faire des concessions. La voie de ma personnalité qui semble le plus se manifester pour le moment, est plus intéressé à discuter et à tenter de se faire offrir un verre que de faire le ménage de ce lieu. Souriant de manière banale en prenant les boissons qui nous sont destinées. On part sur une table plus loin. Remettant l'ancienne discutions sur la table je me mets à dire:

Fou, hhoooo non, même avoir un rêve surdimensionné n'est pas vraiment acte de folie. Il est simplement plus judicieux de montrer une voie que l'on pense à ça porter. Même si cela n'est guère digne d'un homme faisant notre métier. D'expérience je peux dire que les Shinobi étant les plus talentueux, mais surtout respectable, on tousse eux comme rêve des rêves surdimensionnés. Vouloir atteindre un rêve nous donnent la possibilité de nous surélever, de garder la tête sur les épaules et de ne pas perdre nos idées de vue. Une vie menée sur un objectif bien précis. Après je peux aussi te parler avec mon expérience. Si tu penses réussir par le simple dialogue à arriver à bout de tes adversaires. Dans la vie il. Tu mourras au premier affrontement. Shinobi n'est pas vraiment le boulot qui permet souvent des négociations. Surtout au moment les plus importants. Après à toi de penser si ton objectif final vaut assez le coup pour que tu te salisses les mains pour le réaliser.

Rêver est une bonne chose, cependant pour survivre dans notre métier, on est obligé d'avoir un minimum de réalisme. Les pièges les fausses idées sur les gens ne sont que monnaie courante et s'il se voit berner par la cause de son rêve cela peut détruire tout son monde. Une chose qui est difficile à se remettre. Voir que par ses propres choix que la voix et les choix qui l'a pris ne le mènent pas là ou il voulait au départ. J'en ai connu des personnes qui vivaient sous des chimères et des idéos qui les ont fait tout perdre. Une chose qui pour certain les ont menés à virer totalement de bord. J'en ai connue et il y a de grandes chances que j'en connaisse encore. Là pendant notre discutions, un groupe d'homme ivre se mirent à venir vers nous, tapant sur la table et buvant dans mon verre de Wisky. Calme sans un mot je les écoute déblatérer des phrases qui dise clairement que l'on n'est pas à notre place:

Hé le papy et son fiston. Vous nous cassez les pieds avec votre discutions, du bien et du mal. Ici c'est le bar des loups des sables. Des nigauds de votre genre n'ont rien à faire ici.

Loups des sables? On leur à dis que dans le désert il n'y à pas de loup. En plus un animal sauvage et dangereux ne lui vont guère bien. Mais le pire, ce n'est pas qu'il ait bu dans mon verre ou même qu'il me manque de respect. C'est le fait qu'ils se mettent à dire que ce lieu donc mon ami à construit de ses propres mains en même temps que la majorité des bâtiments de ce quartier. Qu'il dise que de bien qui n'est qu'à mon amie est le sien. Calme sans la moindre once de nervosité, je me mets à répondre:

Dégagez mes bons hommes. Vous êtes risible. La seule chose que vous pourrez vraiment vous dire posséder se sera les quatre misérables planches qui vous serviront de tombe. Jamais des hommes comme vous aura le courage de bâtir ce que le réel possesseur de ces lieux à fait. Partez ou vous le regretterez et je vous montrerez la réelle signification du mot "courage"

Malgré le fait que je les ai prévenu ses hommes commencent à s'agiter se mettez à m'attaquer. D'un coup disparaissant de leurs yeux. Seules les Shinobi peuvent comprendre les mouvements m'étant permis de faire croire à la disparition de l'endroit où j'étais. Réapparaissant sur l'épaule de cet homme, je fis une pirouette tout en donnant un bon coup de pied sur son crâne le faisant étaler sur la table. Les enchainements des coups de manière aussi aisée que ma manière de bouger qui pouvait me faire paraitre à une parfaire anguille.

Kibō était à table alors que Seya était en train de finir de parler avec son vieil ami, celui qui avait construit ce bar, ainsi que la plupart des bâtiments de ce quartier. L'inventeur fou arriva aux côtés du rêveur et son ami vint les servir, un jus de fruit pour le Genin et un whisky pour le Jônin. Pourquoi est-ce que les personnes plus âgés que notre jeune héros buvait constamment de l'alcool, était-ce une habitude chez les ninjas de boire pour oublier ses problèmes, ses proches morts, ou autre ? Décidément, le garçon aux rêves démesurés ne comprenait pas et n'essaya même pas de trouver la solution à ce mystère, lui, il était bien avec son jus de fruit et c'est tout ce qui comptait.

Le scientifique revient sur le sujet des objectifs, des rêves et plus spécialement sur celui de l'élève de Kioshi. Les paroles du vieil homme était quelqu'un de bien, au lieu de descendre notre jeune héros en lui disant que c'était utopique, le fait de vouloir répandre la paix dans tout le monde, il le motiva en lui disant que les plus grands ninjas avaient tous des rêves surdimensionné et c'est ça qui les faisait se surpasser et devenir de très grand homme, ainsi que des puissants shinobis. Cependant, le blond avertit Kibō qu'il ne sera pas toujours possible de négocier avec l'adversaire et sur cette question, le Genin avait changé d'avis. Avant, il pensait que c'était possible, mais avec les diverses missions effectuées et les personnes rencontrées, il savait que parfois il devra utiliser la force, mais en aucun cas allait tuer ses adversaires. Le spécialiste en Fûinjutsu écouta les paroles de l'ancêtre avec attention, chaque point de vue ou conseil était bon à prendre, c'est ainsi qu'il trouvera la réponse, concernant, la paix.

" Merci pour tes conseils Seya, je les porterais toujours avec moi... "

Mais alors que le confident ait à peine eu le temps de répondre à son nouvel ami, que des ivrognes s'approchèrent de la table pour montrer leur mécontentement de la présence des deux ninjas. Le bourré explicita qu'ici, c'était son bar et là, le Saibogu n'apprécia guère le commentaire, mais il garda tout de même son calme. L'inventeur fou les invita à partir, sinon il allait les faire sortir lui-même, mais les paroles ne plurent pas aux quelques ivrognes qui se ruèrent sur le moustachu, qui disparut, laissant ses adversaires dans la confusion la plus totale. Bien trop ivre pour voir les mouvements du Jônin, qui se trouvait sur l'épaule du chef du groupe, avant de lui mettre un gros coup de pied dans les dents. Le Saibogu se défoula et mit KO tous les autres, sous le regard de notre jeune héros, qui lui, sirotait tranquillement son jus de fruit, il ne voulait pas se salir les mains avec ces pauvres déchets.

" Mais que font des déchets pareils ici ? Les ordures ne se trouvent pas au dépotoir normalement ? Si tu as besoin de cobaye pour tes expériences, tu as tout ce qu'il te faut sous la main. "

Le Genin posa un sceau sur chacun d'eux afin de les tenir immobile, Seya en fera ce qu'il voudra une fois leur rencontre terminé. Il pourra les prendre en voiture et les amener au dépotoir et ainsi les mettre à leur place.

Trois hommes faisant les cons, trois cobayes pour mes expériences. Que demander de plus. Ben c'est simple. Un homme qui est là pour me les paralyser. De plus tout en me disant que ça peut très bien faire l'affaire de cobaye pour mes expériences, c'est comme si se jeune Kibo lisait dans l'esprits d'un fou. Je le regarde, puis lui répond:

C'est se qui m'a traversé l'esprits. Cependant pour un homme adepte des paroles. Les mettre dans la fosse de mes machines m'étonne de toi. Hé, hé. Sachez mes bons hommes que mes inventions sont des plus saccadé et peuvent très bien vous péter à la gueule vous faisant des séquelles irréparables ou même vous tuer qui sais. Enfin, je dis cela comme si vous aviez le choix. Bon, je suis généreux, je ne vous empêche pas d'en avoir un coup sur la tronche avant de servir de cobaye.

Les yeux des trois hommes commencent à montrer de la peur. Comme s'ils comprennent l'erreur qu'ils ont fait et de qu'elle danger cela va se répercuter pour leur propre existence. Ha, mais tant qu'à faire, en parlant d'invention loufoque. Vue que c'est un peu le souque ici, je peux toujours en utiliser une pour passer un petit coup de nettoyage. Je regarde le barman, puis je me met à dire:

Hé mon amis, je peux utiliser une de mes inventions expérimental ici pour nettoyer se souque.

Va y fais comme chez toi.

T'inquiète de toute manière cette invention est plutôt rudimentaire. Elle ne fera pas de gros dégât.

Faisant apparaitre l'invention d'un sceau c'est un balais qui fut invoqué. Un balais oui, mais pas un simple balais un balais tout en métal avec des lames à la place des poils. Pour passer même dans les recoins les plus inaccessible. Invoqué et posé au sol, les lames se mirent à se planter dans le sol. Bon, ben invention raté encore une foi. Je regarde le barman gêné, puis je lui dis sous ses propre éclat de rira:

Oups, ben ce n'est pas une réussite. Heureusement que c'est sur un sol que je l'ai expérimenté cela.

Ha ha ha. Hé ben toi qui était tellement sérieux avec tes inventions, tu as bien changer depuis ses années que je ne t'ai pas vue.

Autant dire que cela n'a pas vraiment rassuré nos futures cobaye du dimanche. D'un sourire je regarde puis je ne pus lancer une petite blague a deux sous concernant mon nouvel attribut:

Surement la folie des grandeurs Ha, ha, ha

Effectivement, les paroles de notre jeune héros pouvaient sembler bizarre pour quelqu'un de pacifique comme lui. Cependant, il fallait tout de même faire comprendre à ces pauvres ignorants qu'ils ne pouvaient pas se balader et dicter leur loi comme cela. En fin de compte, ils n'allaient pas souffrir avec le Saibogu, même si ses inventions tournaient souvent au vinaigre, elles étaient bien conçues et les trois hommes n'allaient pas perdre la vie lors des expériences de Seya, mais ils réfléchiront deux fois la prochaine fois de menacer qui que ce soit. Le Jônin n'hésita pas à dire que les paroles de notre jeune héros le surprirent, puis il s'adressa aux trois hommes, en leur faisant prendre la peur de leur vie, on pouvait clairement lire la peur sur leur visage.

" Il faut bien les punir non ? Ils ne peuvent pas faire leur loi ainsi et puis bon, tes expériences sont un bon moyen pour les faire arrêter, tu ne trouves pas ? "

Dit-il avec un sourire. Le moustachu demanda à son ami s'il pouvait nettoyer le bar avec une de ses inventions, mais Kibō n'était pas trop pour, l'inventeur fou était capable de tout, du bien comme du pire, alors croisons les doigts et espérons que sa machine marche comme il se doit. Grâce à un Fûin, Seya invoqua un balai, un sceau ? Le ninja de Suna maîtrisait également l'art du Fûinjutsu ? Intéressant. Peut-être qu'il avait des techniques utiles à apprendre au Genin ? Enfin bref, il allait lui poser la question plus tard, examinons plutôt l'efficacité de cette machine à nettoyer. Cependant, lors de son apparition, la brosse se planta dans le sol, en effet, cette dernière était faite avec des lames métalliques, trancheuse les unes les plus que les autres. C'était quoi cette invention de psychopathe et alors que le barman et le Saibogu éclatèrent de rire, l'élève de Kioshi en fit de même, sous les regards perplexes de trois autres hommes. Ils avaient devant eux de vrais fous ! Les deux ninjas de Suna avaient quand même un point commun, c'était qu'ils étaient fous tous les deux, peut-être pas dans le même sens, mais ils devaient posséder le même grain. Le garçon aux rêves démesurés prit la parole une fois que son supérieur et lui se soient calmé.

" Dis-moi Seya, j'ai vu que tu maitrises le Fûinjutsu, tu n'aurais pas une technique intéressante à m'apprendre ? "

Le confident de Yuki était vraiment heureux d'avoir fait la connaissance de cet étrange personnage, jamais il ne serait pas attendu de faire une telle rencontre aujourd'hui, en fin de compte, il avait bien fait de venir l'aider au dépotoir.

Pendant que je rameute les identifiants de nos chers camarades pour qu'ils ne puissent pas se débiner. Je les libère du sceau que notre ami Kibo leur a posé. Les regardant courir à toute allure, je me mets à faire disparaitre mon balai puis à m'excuser des dégâts occasionnés. Avançant vers le comptoir, je pose derrière celui-ci une somme des plus que coquette pour qu'il répare et n'ai pas de problème dans ses recettes à cause de se petit soucie. Mon compagnon du jour voyant ma manière de faire apparaitre mon balai comme toute autre invention se met à comprendre que je maitrise le Fuinjutsu. Je le regarde, puis d'un sourire, je me mets à dire:

Le Fuinjutsu est la spécialité la plus rependue chez les Saibogu. Tout ceux qui créent des inventions pour s'en servir en combat ou dans la vie courante s'en servent pour éviter de transporter partout tous leur attirail. Une chose plutôt pratique. Imagine, si je dois transporter avec moi les centaines d'objets que j'utilise pour mes inventions, sans compter ses mêmes inventions. Pour les techniques, je suis partant. Cependant, je pars en voyage dans peu de temps. Donc si tu souhaites apprendre des techniques se sera en route.

Un sourire, je regarde mon partenaire qui vient de me rafraichir la mémoire. Il me faut faire un inventaire de mes sceaux. Imaginez si pendant un combat dans ma route se fait et que pendant que j'active un sceau celui-là ne libère rien du tout. J'aurais l'air con, puis en plus s'est un peu risqué, imaginez si je dois me défendre. Bon se n'est pas le moment de réfléchir à ça. Je me dois aussi de faire une demande. Moi surement plus âgées que ses chefs qui sont niveau échelon bien moins âgée que moi. Enfin, la hiérarchie m'oblige à suivre le protocole. Bon repassons sur le sujet. Je peux ou je ne peux pas lui apprendre quelque chose d'intéressant ? Évidemment que je peux, j'ai bien deux ou trois choses en Fuinjutsu qui fera l'affaire :

Evidement, mais j'aimerais aussi savoir tes affinités pour savoir sur quelle branche je vais t'enseigner mon ars.

Quand j'enseigne, je ne le fais pas de manière bancale, et cela même si je suis fou, je reste un homme sérieux. Enfin presque car ma folie en reste quand même présent. Ce qui est sur, c'est que ce jeune homme n'a pas froid aux yeux, car la plus pars des jeunots de son âge éviteraient le plus possible de me fréquenter et par la même occasion de suivre un homme aussi détraqué que moi. Surtout qu'aujourd'hui je l'aime bien, mais demain il est possible que je ne puisse plus le blairer pour aucune raison apparente. Ca c'est le risque quand l'on fréquente la folie.

Seya avait raison et en fait, ça paraissait logique que quelqu'un comme lui maîtrise cet art, comme ferait-il pour transporter toutes ses inventions, Kibō aurait dû y penser avant de dire des choses évidentes. Enfin bref, le plus important était que l'inventeur fou était d'accord d'apprendre des techniques à notre jeune héros, qui avait soif d'apprentissage, il était dans la fleur de son âge et il avait envie de progresser le plus vite possible, il sentait que le Saibogu pouvait être un excellent professeur, il donnait l'impression d'avoir pas mal de vécu et d'expérience. Maintenant qu'il y pensait, le rêveur n'était même pas au courant du grade de son futur maître, mais peu importe, l'essentiel était qu'il soit capable de lui apprendre quelque chose d'utile pour son avenir.

Cependant, il y avait une condition pour que le scientifique lui apprenne quoi que ce soit, ce fut que l'apprentissage se fasse sur le chemin. En effet, le moustachu avait l'intention de quitter le pays et n'avait pas le temps d'apprendre quoi que ce soit entretemps. Était-ce un signe ? Le jeune homme aux regards de glace devait justement quitter le pays du vent pour se rendre à Konoha, espérons que la destination du Jônin soit sur le chemin du village caché de la feuille. Il fallait également espérer que Seya soit Chûnin, car en tant que Genin, Kibō n'avait pas le droit de quitter le village et encore moins sortir du pays.

" D'accord, cependant, il y a deux choses, tu es au moins Chûnin ? Car, en tant que Genin, je n'ai pas le droit de sortir du village et de deux, est-ce que ta destination passe par Konoha ? Car, je dois me rendre là-bas pour des raisons privées. "

Si le blond remplissait ces deux conditions, alors le duo de fou pourrait même partir le lendemain. Ça faisait plus d'un an que le garçon aux rêves démesurés cherchait par tous les moyens de revoir sa douce flamme, mais les évènements mondiaux, on fait que leur rencontre devait à chaque fois se reporter à plus tard. Il sentait que cette fois-ci c'était la bonne et le Jônin pouvait être la clé de ce succès. En parlant du moustachu, ce dernier demanda à l'élève de Kioshi de l'informer concernant ses affinités, cependant, il n'en avait qu'une seule, pour le moment.

" Je suis d'affinité Raiton, mais je maîtrise également le pouvoir du son, le Onkyôton. "

Encore quelques échanges de paroles et leur première rencontre touchera à sa fin, mais ils allaient se revoir pour un voyage, qui peut-être les changera à jamais, en tout cas du côté de notre jeune héros, il ne reviendra pas à Suna comme il partira, il sera un autre homme.

La route destination aventure semble plutôt prendre forme et ce qui n'est pas prévu c'est que j'amène quelqu'un dans mon bagage. Un Genin, cette impétueux semble me demander si j'ai un rang supérieur à Genin pour pouvoir passer la frontière du village. Je ne sais même pas cette règle. À vrais dire à l'époque où j'ai commencé mon isoloir les frontières sont en construction et la grande rempart ne fut pas terminé. Dans un sens, ce genre de monument qui maintenant protège nos maisons ne c'est pas construit en une journée. Je peux même dire en connaissant l'époque que c'est ce qui a mis le plus de temps et de réflexion dans ça construction. Si je veux l'amener avec moi, je me dois de m'arrêter à Konoha. Pourquoi pas et pourquoi ne pas faire aussi une halte. Konoha fut un Pays dont je n'ai jamais vu l'intérieur se serais vraiment intéressant de voir ce village formé en pleine forêt . C'est donc décidé. Je vais partir direction la verdure et les moustiques. Une forêt qui à une protection différente de notre désert. Si notre désert lui est protégé par la chaleur du soleil et le manque d'eau. Sans compter la difficulté de se repérer dans le désert. Konoha a une forêt qui est accompagnée d'une diversité d'animaux tousses plus menaçant les uns des autres:

Kiri, mais je vais peut-être faire une halte à Konoha. Sinon ne pas être sur que je suis un rang au dessus de Genin m'est un poil insultant. Je sais que je fais jeune, que l'on peut me prendre pour un jeune fougueux d'une dizaine d'années, mais mon rang est bel est bien supérieur et j'ai le droit de sortir du village. L'ingénieur fou est Juunin. Oui, oui. Bon pour l'instant qui sait si Zanshi ne va pas changer d'avis sur mes responsabilités. Enfin pour le moment, il n'y a aucune raison ma folie ne fut pas mise à l'encontre du village, du moins pas beaucoup, hahahaha.

Oui je parle de trop, mais j'aime parler c'est dans ma nature et je suis loin d'être un homme qui va à l'encontre de mes envies par simple formalité. Après cela Kibo me fit part de ses facultés. Merde. Raiton et une affinité que je possède, mais dont je n'ai pas encore utilisé le potentiel. Puis le son moi je n'y connais pas grand chose. Enfin je dis cela mais je n'en suis tout de même pas démunie. Dans mes autres vies j'ai un homme qui était plutôt doué en Raiton. Sans compter les combats qu'il à faire contre un ou deux manieurs de son. Bon, je pense pouvoir m'en sortir, même si je ne peux faire d'exemple.

Ok on verra pour le reste en route. Juste une question que je suis obligé de te poser, sécurité du village tu comprends? Que veux-tu faire à Konoha?

Après réponse:

Ha ok, bon ben sur se, nous partons des que j'ai l'autorisation que notre Kage. Prépare tes bagages.

Seya devait se rendre à Kiri, village que notre jeune héros avait déjà visité et du moins que l'on puisse dire, cette cité avait changé la vie de Kibō, car ce fut-là, qu'il rencontra son âme soeur, Yuki du fameux clan Samui. Il avait également rencontré un afro, du nom de Ikari, mais le rêveur n'avait plus eu de nouvelles concernant cet étrange individu. Enfin bref, le plus important était, que la trajectoire du Saibogu passait par le village caché de la feuille, soit Konoha. Il était préférable de faire le voyage accompagné que seul, même si la chose n'aurait pas dérangé le garçon aux rêves démesurés et puis bon, il n'allait pas être seul, vu qu'il était à cheval, oui, il avait la jument de Yuki avec lui et il devait la lui amener.

Ainsi le moustachu était gradé Jônin, c'était tout de même insultant de lui demander son grade, mais les apparences sont trompeuses et il ne donnait pas l'impression d'être un ninja, mais simplement un savant fou. Tant mieux, il n'aura donc pas de mal à quitter le village pour se rendre dans le Pays des Vagues, il fallait tout de même avertir la Kazekage de son départ, car si jamais elle avait besoin de lui, il allait devoir reporter son voyage. En tant que haut gradé, le blond devait posséder des techniques bien puissantes et intéressante pour le défenseur moral de la paix. Le vieil homme plaisanta sur le fait que l'Habashi pourrait revoir le grade de l'inventeur fou, chose qui arrivait rarement et si ça devait arriver, ça serait sûrement pour une faute grave et à ce qu'en savait l'élève de Kioshi, Seya n'avait rien commis de grave.

" Excuse-moi si je t'ai insulté, je ne pensais pas que tu étais un ninja, mais un simple savant. "

Dit-il l'air gêné par son impardonnable erreur, alors que le scientifique se sentait dans l'obligation de demander pourquoi le jeune homme aux regards de glace devait se rendre à Konoha. Le membre de l'équipe Miira allait là-bas pour deux raisons, une personnelle et une pour Suna. Kibō devait aller voir son âme soeur, Yuki, qui était une réfugiée politique, cependant, Zanshi lui donna l'autorisation à une seule condition, qu'il accomplisse une mission secrète, récolter des informations sur Météora. Le Genin n'avait pas le droit de révéler quoi que ce soit sur sa mission, mais pour ce qui était de l'ordre privé, il pouvait sans autre partager sa cause.

" Je me rends à Konoha pour retrouver la fille que j'aime... "

Dit-il à nouveau l'air gêné, il n'avait pas l'habitude de parler de cela à quelqu'un qu'il connaissait à peine, mais comme ils allaient faire le voyage ensemble, le Saibogu était dans le droit de savoir pourquoi notre jeune héros voulait aller dans le Pays du Feu. Sur ces paroles, le Jônin quitta le Genin pour aller demander l'autorisation au chef du village et il demanda au rêveur de préparer ses bagages, leur départ était imminent.

Spoiler:

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