Matin quand tu nous tiens. Ce matin, je suis matinal. Un marché se fait avec des stands et la gamine veut des fruits. Oui des fruits. Vous y croyez. En tout cas moi c'est clair vous ne me verriez jamais manger se truc qui pousse sous terre ou sur les arbres. C'est pour les macaques ce genre de chose. Pour des mecs qui n'en ont pas vraiment dans le pantalon. Comme Phénix quoi, vu que c'est une gamine. Une pisseuse de sept ans, une aveugle dont je m'occupe par obligation. Enfin que je martyrise serais plus correcte. C'est donc dehors que je vais faire mes courses. Des courses oui, mais à ma façon car non je ne mangerais jamais des légumes certes, mais il est aussi hors de question que je les paye. Il est donc j'opte pour l'arnaque. Phénix marchant sur une grande distance devants moi. Elle vient faire la mendiante en profitant de son handicap d'aveugle. Bousculant les gens en disant qu'elle s'est faite mal ou d'autre subterfuge pour que leur pitié leur fasse offrir l'objet tant convoité par l'enfant. Cela marche plutôt bien. Du moins quand l'on croise les rares personnes qui ne nous connaissent pas car maintenant à Suna nous sommes plutôt bien reconnues pour nos entourloupes et notre violence gratuite. Que de souvenir de tabassage de clochard ou même de bastonnade avec le groupe de jeune petit prétentieux. Enfin, maintenant c'est plutôt des regards sombres et l'obtention de pouvoir faire avec la foule ce qu'a fait moise avec le Nil. Qu'ils pensent ce qu'ils veulent ses rebuts de la société, ses larves qui ne sont même pas capables de se protéger eux même. Je suis un Ninja de Suna et j'ai protégé leur tronche de plusieurs dangers. Pourtant qu'ils ne se fassent pas à l'idée que c'est pour eux que je l'ai fait. Je ne vis que pour moi et fais de ma route une trace de mes propres désirs. Je pourrais laisser mourir dans des souffrances atroces n'importe qui si je ne vois pas l'utilité de l'épargner. Cela je ne le cache guère et c'est surement la cause du mon rang si bas.

Passons. L'enfant étant en plein travail pour se nourrir car elle sait pertinemment que ce n'est pas moi qui vais faire ça pour elle. Je vois d'un coup une de ses sables qui semble plutôt distraite. Une prise de choix. L'impact fait. La petite rouquine ne se met non à pas à jouer le rôle de la pauvre petite aveuglé égaré non. Elle eux une idée différente comme toute personne Phénix tente de ressentir ce qui va faire balancer le plus en sa faveur la comédie qu'elle va faire et là se fus des dires dits juste après se de l'homme :

HHHaaaaaa, un violeur, il veut me Kidnapper HHAAAAaaaaaa. Je suis salamandre Attaque flammèche.

Faisant deux signes incantatoires, Phénix se met à cracher des flammes. Bon se ne fus pas une chose extraordinaire vue que Phénix contrôle encore trop mal son chakra, mais l'attaque eux tout de même une belle apparence :

Messieurs aidez-moi il y a un vilain monsieur qui me veut du mal Haaaa.

Cela tout en prenant discrètement une des oranges qui s'est égaré assez prêt de la petite comédienne. Dans cette scène, je vois bien une opportunité de ramasser un peu de blé, de tune pour pouvoir faire le tour des bars, avançant plus rapidement, je fus rapidement arrivé au lieu de l'embrouille :

Gamin, tu opportunes Phénix ? Tu veux que je t'arrache la tête ?

Hein, mais il plaisante le gamin. Il me ricane au nez tout en me provocant. Comme quoi certain freluquet dans ce village ne semble toujours pas me connaitre. S'ils pensent que les geôles du village peuvent m'arrêter c'est mal me connaitre. Le gamin semble rigoler et donner une orange à la gamine. Mon gourou ne s'apaisera pas par une offrande orangeâtes et sans véritable goue. Pendant qu'un ring délimité par les larves humaines qui peuple ce village. Je regarde ma future proie tout en transformant mon arme. Que je me décide. Ne t'en fais pas. L'arme se transforme pour se former là ou son coup est positionnais, il est sûr que s'il ne bouge pas la réalisation de mon arme seras aussi le temps ou ça tète roulera au sur le sol :

Ta mort est proche Gamin.

Tout en disant cela je me mets à faire étendre mon aura jusqu'au dehors de mon corps ? Une aura sombre qui fit voler les pierres entourant ma position. Une aura sombre, je n'avais guère envie de faire durer le plaisir du combat, un enchainement de deux coups peut me suffire. Enfin je me prépare à attaquer quand je sens la présence familière d'une personne. Je m'arrête quelques secondes et regarde au loin. Un homme sur un toit. Assez éloignée pour que l'on n'en voie pas les détails sauf qu'il est plutôt vêtu d'un large haillon. Il est loin, mais je sais exactement qui c'est. Je plante mon épée au sol. Tout en regardant cet homme. Phénix étonné de ne pas entendre de brut de combat ne comprend pas. Cherchant à élucider un mystère que son handicap l'empêche de comprendre d'analyser. Je regarde autour de moi, les hommes qui ont fait des pas en arrière en voyant mon aura déferlée, je regarde l'enfant et dis :

Une autre fois, mais sache que ses barreaux que la plupart d'entre vous vous font obstacle ne sont pas les miennes.

Soufflant, je me mets à avancer. Phénix regardant de ses yeux blancs l'enfant, moi je suis parti. Je l'ai complètement oublié celle-là. Le cercle fait par ses gens s'écarta pour me laisser passer, voulant éviter de recevoir un coup malencontreux. La petite épluchant son orange se mit à gouter le fruit. Une certaine tranquillité sur cette action complètement intolérable pour un homme qui est en charge d'une enfant. Enfin c'est moi quoi rien de nouveau. La gamine regardant tranquillement le dénommé Eichi, puis se met à dire :

Heu, il vaut mieux que tu me ramènes à Goren, car sinon je risque de rester ici un lloonngg moment.

La bagarre finie, me voilà en train de me diriger vers cette personne au fond. Cet homme qui a attiré mon attention pendant le divertissement provoqué. La présence de cet homme qui est physiquement est là, mais ne semble pas présente dans ses lieux. Cette façon de se montrer à la personne qu'il souhaite. Logiquement impossible que ce soit lui pourtant tout me montre l'inverse. Suna. Dans le plein centre de ce village bondé d'élite. Moi-même j'en ai conscience et fait de mes actions des extrêmes qui ne dépasse pas les limites. Peux d'homme sont capables d'entrer incognito dans ce genre de lieux. Enfin incognito si c'est la personne que je suppose c'est son mot d'ordre depuis un long moment maintenant. J'ai hâte de savoir si c'est bien lui. Cinq minutes plus tard, trois hommes sortant de l'ombre se présente à moi. Je les regarde et aucun des trois n'est l'homme que j'ai vu. Pas la même présence et pas le même ressentirent de cet homme. Une preuve de plus montrant la ressemblance avec l'homme que je connais. Encore une sorte d'épreuve sur ma personne. Ses trois hommes furent facilement mis à terre et cela sans même montrer les capacités dont j'ai eu don en arrivant au village. D'autre viennent dont l'homme qui m'a regardé au loin. Le visage et le corps caché par un hayon large ne montrant aucun parti de son corps mon cœur commencent à s'accélérer, ma fureur est à son paroxysme, mon sang bouillonnant, je me devais de me fait souffrance pour ne pas foncer sur cet homme. De la haine. Non aucunement, je sentais ce lien étroit que j'avais dans le passé cette immense nécessité de survie que j'avais depuis mon enfance. Je ne peux me tromper :

Ça fait un bail père, bizarrement tu as tout mis en place sauf cette toile obscure dont tu aimes tant.

Dans ce genre de situation ce n'est guère possible. Étonnant, aucune hésitation dans ta voix. Tu ne sembles guère pas étonné de me voir.

Des choses se sont passées et j'avais un doute sur le fait que t'ai réussi à survivre après un certain évènement.

Une larve comme toi me vaincre n'ai guère possible, mais disons que tu à tenter un coup des plus... Performant. Enfin à l'époque car, tes décisions présentes sont plutôt, folle, tu es un neutron libre ses lieux sont un danger pour toi. Une question sur cet acte me trottine. Tu l'as fait par nécessité de survie ?

Par simple caprice. Pourquoi tu es ici ? Venir dans un tel lieu ne te ressemble pas.

Pour mon fils évidement. J'ai des projets et je viens de faire une proposition. Vient à mes services et nous ferons mes dessins ensembles. Tu penses ne plus avoir de famille ? Tu en as une. Le total opposer de nous. Une vermine ayant le même sang que nous, mais n'ayant de loin cette capacité à comprendre la véritable force et l'inutilité des faibles.

Tu me proposes un génocide, comme quoi tu me connais bien, ce genre de chose est un vrai festin de plaisir. Cependant n'ai guère envie de me remettre au pied d'un autre. Je ne te suivrais guère. Ma fureur est unique et tu n'es qu'une tache.

Je ne te demande pas de me suivre définitivement, mais simplement de participer au massacre. Enfin tu sais ou me trouver. Mes préparations prendront trois mois. Je t'attends sous ses délais.

Le silence fut de nouveau-là. Fixant la carrure de cette chaire dénommée père. L'homme dont je pense avoir tué et qui me fut dévoilé vivant pas une prédiction. La raison du fait que je ne sois pas étonné de sa présence. Nous avions un lieu plutôt étroit et difficile à comprendre. Pourtant la mort nous unit. Cette haine et cette puissance obscure. Disparaissant d'un clin d'œil cinq hommes semblent apparaitre de toute part. Un peu comme pour laisse le temps à mon père de quitter les lieux. Telle une ombre celui-là et une vraie anguille. Un monstre invisible semant le K.O où il passe.

Pendant ce temps. Phénix qui est présent à côté de notre second protagoniste goute se quelle convoite tant. Profitant de ce temps pour flâner et répondre au dire du Ninja :

Tu sais quoi qu'il arrive cet acte aurais dû avoir lieu. Goren n'est pas du genre à s'embêter à avoir une excuse pour taper sur quelqu'un. Cependant l'arrêt des hostilités est vraiment étonnant.

Le temps passe et Eichi se met à cherche ma présence. Pour le moment en vain Phénix commençant aussi à s'inquiéter non pas pour elle, mais de ne plus me voir se mets à se concentrer. Elle sent ma présence et celle de cinq personnes. Elle sent aussi la fureur et l'envie de meurtre m'habitant. Une fureur qui semble différente de celle habituelle. Elle sent en elle qu'une chose s'est passée que si on le laisser seul cinq personnes finiront dans des sacs isolants. Cependant là il n'y aurait aucune façon de sortir de cette impasse et ce genre d'acte serait pour ma part au meilleur des cas la prison à vie :

Cinq hommes attaques Goren. Dépêchons, il faut intervenir quelque chose cloche. Trois cent mettent à cette direction on y sera en à peine dix secondes si tu vas vite.

Dix secondes sera le temps que je vais mettre pour ratatiner ses hommes. Il ne me restait plus qu'à les achever

hrp:

Hrp :

Spoiler:

Croyance, religions, patrie, idéologie. Tant de mot mise sur des objectifs humains nécessitant une puissance supérieure pour dicter la voie à suivre. Que de piètre idée menant à une seule chose. Faire ce qu'un autre te demande de faire, le règne d'un plus puissant sur des faibles. Que ce soit dieu ou n'importe qu'elle autre abrutit, s'il pense que c'est avec des mots bien prononcés qu'ils vont avoir de l'emprise sur moi, ils ont tort.

*Flash-back*

Vie pour toi, ne pense qu'à toi.

Voilà la phrase qui régit mon monde. Contrôlé par ce que l'on appelle la faiblesse humain mes chaines ne peuvent se délier, du moins pour le moment. Obliger de survivre dans un lieu hostile avec comme seul compagnie le plus grand tueur vaguant incognito dans le désert aride. Ma vie à cette époque tient qu'à un fil. Pris entre une nature hostile et les crises de nerf d'un père dont la punition peut m'amener à la mort. Je ne compte plus le nombre de fois qu'il m'a laissé en plan, entre la vie et la mort et aussi le nombre de fois auxquelles j'ai bien pensé y passer. La mort n'est plus une chose qui me fait peur, la côtoyant maintenant depuis bien trop longtemps. J'en suis devenu un de ses prêcheurs. Telle mon père étant jadis, je n'ai guère suivi ses conseils. Sauf cette phrase qui se décrie simplement avec sept mots qui se suivent. Maintenant, je me suis juré de suite ça. Quitte à que cela mène à plonger se monde dans n'importe qu'elle méandre :

Hé je ne capte pas quelque chose mec.

Dis-je en regardant mon père :

Pourquoi, suivre la route du sable et ne pas étendre ta furie dans le monde ? Je t'entends souvent dire que de rester ici est d'un ennui et aussi que c'est prendre des risques importants ?

Chaque mot que j'adresse est comme défier la mort. Mon père peut prendre n'importe quelle parole comme de la défiance envers lui ou même attirer son attention vers moi ce qui peut le pousser à assouvir ses pulsions meurtrières. Oui malgré nos liens de sang, rien ne peux nous dénommer père et fils. Ma vie se résumant seulement à un de ses caprices pouvant se finir à n'importe qu'elle moment et cela je le sais parfaitement aujourd'hui, il semble de grâce et répondre sans aucune forme de mutilation ou de pression psychique :

Pour cacher une ancienne réputation, il faut s'en forger une autre.... Pourquoi je te réponds moi, dit-moi ? Je me demande même pourquoi je te laisse vivant.

Surement pour cette fameuse réputation. Enfin qui sais cacher une vie sanglante et de solitude par une réputation de deux personnes. C'est mieux que de suivre la boucle seul non ? Du moins pour un homme pouvant se contrôler. Je ne répondis guère plus, ne continue pas le dialogue, je sais sinon que ce qui m'attend si je continue ne serais surement pas beau à voir. Même à l'époque j'étais une tête brulée, mais je connaissais les limites à ne pas franchir.

« Fin du flash-back »

Les yeux rouges montrent la rage que je porte. Prêt à tuer n'importe qui, qui se dresse vers moi. Mon père sait exactement ce qui faisait. Cinq hommes se mirent à apparaitre pour le laisser quitter les lieux. Du moins c'est ce qu'il montre, mais pensez-vous qu'un homme ayant réussi à entrer dans un grand village a besoin de cinq hommes pour fausser compagnie à un Genin du village ? Non loin de là l'idée qu'il avait est bien plus sournoise. Cela, moi-même je l'ai vue et pourtant je ne peux plus contrôler mes envies de meurtre, m'abaissant au niveau de se tueur seule la mort sans aucune retenue envahie ma tête. Cela menant à deux choix à la suite. La prison ou la fuite. Mon père ne doit pas vraiment apprécier le choix que j'ai fait de suivre un grand village. Les raisons n'étant qu'encrées dans sa propre tête, je ne pouvais savoir pourquoi, mais les choix peuvent être misés sur une longue liste à tous les coups.

Là l'intervention de celui que j'ai agressé il y à peu se fit venir. Je fus même pris par une surprise qui retient mon premier coup. Les hommes encore cachés par l'ombre on voit simplement une ombre grandissant. Je n'étais toujours pas sorti de ma stupeur et mon envie de mort. À vrai dire les mots que le jeune Sunajin m'a confiés furent brièvement analysé et compris simplement par un « occupe-toi de l'autre » Cet homme qui en quelque seconde m'a plonger sur mes pulsions les plus basses. Endiguer la mort aux autres est un cadeau, mais ne pas maitriser cette rage s'est être mort soit même. La suite fut une succession d'enchainement de mon « allier » temporaire et une riposte d'une attaque d'un des cinq agresseurs. Des coups lents et sans aucun intérêt. Même Phénix ne pouvait craindre de tels coups. Tout cela montre bien que la véritable raison de mener ses cinq hommes est la simple idée que je l'ai tues. Dicter mes gestes sans mon consentement ? Jamais, je me fis souffrance en préfèrent écouter ce que je nomme souvent de vermine. Les hommes ayant peu de chance de me tenir tête. Enfin, dans cet état je n'ai guère la capacité d'analyser une personne. D'une fraction de seconde, en ayant simplement exécuté des signes, je disparut. Du moins j'eux une vitesse qui avec cet fumé en fis pense ainsi. J'use d'une technique augmentant ma vitesse par cinq se qui m'amène juste derrière mon géniteur. Une chose qui fut suivie d'une riposte simple de mon père qui combine ses reflex de sensoriel avec une maitrise de son chakra impressionnante poussant les deux pointes de ses pieds sur mon visage en lâchant d'un coup une pression de chakra qui me fit éjecter sur une maison qui n'a pas vraiment tenu à mon crash. Mon état fut après cela déplorable et cela montre la différence de force encore flagrante entre nous. Trois mois alors à attendre, vais-je venir au rendez-vous ? Je ne sais pas encore ? Les hommes étant surement des personnes sous l'emprise d'un sceau explosif bien placé et d'une menace, ses hommes sont surement de simples civils qui ne le savent pas mais sont déjà morts. Mon père ne laisserait jamais une personne l'ayant vue vivant.

technique:

La différence est flagrante et sans compter les blessures physiques que j'ai eues, c'est une forte blessure morale que j'ai reçue de la force de mon père. Une pression physique qui n'est surement pas dénuée de sens. Fin et ingénieux est mon père dans ces actes et celle de ses décisions, même prise sur le feu de l'action. Montrer une telle violence en pleins milieux d'une zone aussi bien surveillée n'est surement pas donné dans le vent ou pour un simple plaisir. Je fus en sang. Mon corps s'agglutinant de sable et du sang rouge. Plutôt impressionnant, mais loin d'être nuisible pour ma vie. Il me faut des soins c'est clair, mais de là à les prendre dans un hôpital, il me faudrait être au seuil de la mort ou évanouie pour venir m'amener dans un lieu rejoignant des hommes puissants à des moins-que-rien. On ne mélange pas les serviettes avec les torchons non mais. Il me faudrait être évanoui, car même aux seilles de la mort, jamais au grand jamais un faible ne touchera ce corps d'apollon sans en perdre la vie.

Mes pensées sont sur ce rendez-vous que mon père m'a donné. Je ne sais guère si je vais y aller et si j'y vais avec quelle intention ? Réfléchissant mes nerfs sont à vif, mais aussi plutôt distrait. Étant là sans vraiment l'être. Les morceaux de mur me gênant, je dus augmenter ma force pour me dépêtre le bras des amas de roches. L'enfant qui semble encore intacte après l'affrontement des cinq hommes. Cela montre qu'il n'est pas du lot de ses tafiolles, même si cela n'est pas un exploit, ça démontre un certain potentiel dans ce gringalet. Écoutant d'une oreille, mais comprenant bien les mots qu'il me dit, je me mets à prendre la main de l'homme voulant m'aider. Une action qui semble banale pour le commun des mortels, mais qui dans mes habitudes de roublarde sans scrupule devient un miracle. Ce n'est pas le cas, je vous rassure après cette raclée, cela n'a pas ouvert les portes du paradis et je n'ai pas vue la sainte vierge avec ses plumeaux enfoncés dans le cul pour les faire passer pour des ailes d'ange, non. Simplement perdu dans mes pensées se fus la seule réaction que j'ai eue. Cela avec un accompagnement de mots :

L'hôpital ? Tu me prends pour qui ? Phénix se chargera de guérir ce qu'il y a à guérir. Enfin je suis Goren. Sinon les....

Une explosion se fit entendre. En fait-il en eux cinq qui furent simultanées. Les cinq hommes ont explosé c'est certain et la réponse que j'attendais n'eux plus aucun sens maintenant vue que je sais ce que je veux, donc pourquoi finir de le demander. Un sceau implanté sur le haut du crâne fut posé sur eux ce qui fit exploser l'entièreté de la tête à chacun.

Bon, ben ils sont morts.

Comme quoi, il a bien tout prévu.

Hé ben ça secoue. Un vrai coup de malade comme il avait l'habitude de faire à l'époque. Après m'être posé à un endroit plus convenable. Phénix se mets à dire:

Ton bras est déboîté.

Avec toutes les douleurs sur mon corps je ne m'en ai même pas rendu compte. Je regarde le bras examiné puis le tiens avec ma main. Comptent dans ma tête, je tire d'un coup sec. Un cri s'échappe de ma bouche. Même un colosse comme moi ne peut retenir ses cris face à une douleur pareille. Après tout remettre un os en place n'est pas vraiment agréable. Le type en face de moi semble bien trop curieux. Il veut savoir dans quoi il se met. Après pour ma part, je ne lui ai rien demandé et même sans son intervention, j'aurais surement posé ma fureur sur ses sbires improvisés. Bon dans un sens j'aurais surement tué ses mecs et j'aurais eux de fort problème. Un petit souffle, puis un instant de réflexion. Après tout certain détails ne gênerons pas vraiment et cela même dévoilé. Après d'autre dire me disant comment c'est d'être à la place de la victime, je me mets à dire:

Trouver des types plus puissants que soit est une chose unique qu'il faut savoir savourer. Pour les affaires dont tu t'es mêlé simplement une affaire familiale. Mon père est venu me rendre visite. Disons qu'il est loin d'être le père banal. Pour être plus précise c'est un des hommes qui fut le plus recherché dans le désert de Suna. Du moins jusqu'à que je le tue. Ou plutôt que j'ai cru le tuer, vu qu'il semble encore vivant. Pour l'aide, je vais me débrouiller seul. Sauf si tu veux me payer un petit wisky.

Cette enfant ne peut m'aider. Non pas à cause de ça force, mais de son caractère, ce type est loin d'être aussi cruelle que moi. Je suis même certain que c'est le genre de type prés à risquer ça vie pour la veuve et l'orphelin. Pour moi, je n'ai guerre d'intérêt à prendre pour ce genre de caractère. Se type peut être puissant et il sera surement une arme bien utile à son village, il suivra les ordres et se confondra dans la chaine que produisent les Ninjas d'un village. Même les titres les plus prestigieux sont en réalités que de petit trophée pour récompenser de rares hommes affins de faire continuer à suivre les autres moutons. Une stratégie de contrôle plutôt bien planifier. Cela sous un titre pouvant leurrer le plus intelligent des hommes un nom nommé "village".

Si, une gonze faisant partit du clan maitrisant le sang du nom d'Hana dans le village. Fait en sorte quelle se foute pas dans la merde si un jour j'ai une absence trop prolongé.

hrp:

Je ne comprendrais jamais l'esprit détraqué des humains. Moi un des leurs et qui pourtant n'en est pas vraiment un. "L'humanité" à leurs bouches, cela semble vouloir dire tant de bonnes choses, la compassion, le patriotisme, l'amour. Ce son des choses complètement inconnu pour moi. Qui peut donc me considérer comme humain. Seul cet amas de chaire qui dès que je pourrais m'en débarrasser je le ferais peux me mettre dans le même pot que ses personnes. L'homme en face de moi est du genre bien plus humain. Du moins ça le semble. Je le regarde étonner d'accepter aussi facilement, mais aussi tout autant triste de voir que peu de choses peuvent tisser tant d'obligation. Enfin cela m'arrangeait, mais ça il ne sait pas vraiment dans quel merdier il s'est fourré. Plus fourbe qu'elle, je ne connais pas et plus folle je pense qu'elle tient facilement la seconde place. Cette femme n'est vraiment pas du genre à tenir en place et encore moins d'avoir un type dans ses basques. Un peu plus et j'en serais attristé de ne pas le voir galérer. Me tendant la main, je le regarde, puis réponds à ça nouvelle question:

Phénix ne m'a jamais quitté depuis qu'on s'est vue, puis.....

Non pas la peine. Le petit peuple ne peut pas comprendre ce genre de chose et cela même si la plupart des villages cachés utilisent cette façon de faire, cela n'empêche pas à la plupart de la population de dénigrer ses manières de faire même s'ils en son content du résultat. Phénix est un peu comme automatisé. Elle est comme formée pour que si elle s'éloigne de trop loin trop longtemps elle se suicide pour éviter que toute information sur moi ne filtre. Une sorte de sécurité pour ma propre personne. Mon comportement est froid et sans aucun remords, Phénix à vouer ça vie pour moi depuis que j'ai sauvé ça misérable vie. Moi des sentiments, même pour une si petite personne que j'ai tant côtoyé je n'en ai gère, seul mon objectif ne compte. Ca et mes propres désirs:

Laisse tomber, elle viendra quoi qu'il arrive avec moi.

Hé ouai, tes jaloux hein avoue? Moi je vais voir le monde. Enfin, pas vraiment voir mais tu as compris hein?

Me tendant la main, il n'avait toujours pas pigé que ce genre de chose n'est pas mon truc, cependant après m'avoir proposé son aide, je ne peux pas refuser pour la simple raison qu'il ne change d'avis. Même si en commençant à le connaitre, je vois qu'il n'est pas du genre à rebrousser chemin. Puis prenant la main la serrant d'une façon plutôt brutale m'attend de nouveaux assis je clôturais le pacte. Tempi pour le whisky. Je profite de cet poignet de main pour me remettre debout tout en profitant pour le déstabiliser. Debout, il va me falloir un bon mois pour me remettre de mes blessures et avoir un état correct. Je lève la main en signe de salut, mais qui sait-il n'a ne peux être pas fini avec moi?

hrp: