Un homme seul n'est pas forcément faible, il faut simplement que cet homme porte une âme assez forte pour supporter la solitude. Enfin c'est soit cela soit il trouve une solution pour trouver une manière de faire que cela ne rendent pas cette chose un désavantage. En même temps, être seul est aussi un avantage. Personne à protéger et donc un poids en moins sur les épaules. Même si je ne pense pas que de faire une description disant que la solitude enlève un poids et que par conséquence je peux créer une technique permettant augmentant ma vitesse ça en reste tout de même un avantage ou plutôt ça n'engendre pas une faiblesse. Que l'on choisit le côté du mal ou du bien, les deux engendrent des difficultés que l'on se doit de comprendre si l'on veut avancer. L'un se voyant pour la plupart du temps obliger de sauver des gens ou du moins les personnes que tu aimes, afin de préserver un dénommé « lien d'amitié ». Pour le côté plus sombre, la chose est à son opposé, le fait d'être sans pitié, déchirer tout lien pouvant nous mener à ce genre de lien qui nous rendrait aussi faible qu'eux et surtout aussi c'est celle de satisfaire nos pulsions. Que ce soit de meurtre ou d'autre chose, pour ceux qui sont comme moi, ils ont tousses une raison, qu'elle soit petit ou grand dépend seulement de leur degré d'immersion dans la noirceur. Cela se montre sous plusieurs formes dont les plus petits qui sont le vol ou simplement l'envie de faire mal et pour les plus irrécupérables pour changer le thème, c'est le meurtre, même si cela peut varie aux violes au contrôle cérébrale, la torture, cela revient à la même chose, dans ce plaisir, un autre en compatit

Voilà-moi comment j'évacue le mien. C'est simple quand j'étais petit, mon jeu était de jouer la proie et à la fin d'inverser les rôles afin de donner le coup de grâce. J'aimais cela et même si ce n'est pas le seul jeu sadique que je faisais, j'apprécie ce jeu qui me permettait de montrer que les faibles se font toujours traquer et qu'il suffit de montrer une force supérieure pour réussir à vivre dans ce monde. Un jeu qui en même temps m'emprisonne dans une cage dorée et illusoire. Pourquoi je dis cela alors que j'ai expliqué que cette noirceur nous libère d'un poids ? C'est simple, mon père était cette cage, je ne pouvais fuir face à une telle force de la nature. Un homme adepte de tous les jeux dont les hommes plongés dans l'obscurité peuvent imaginer faire. N'importe qu'elle de ses jeux fut fait par mon père, un vrai démon. En même temps je n'ai connu que lui dans mon enfance, tous les autres furent soit sauvé par le fait qu'il ne l'a pas vu et donc ne m'a pas côtoyé asses longtemps. Soit mort par le bon plaisir de mon père. Une vie dont je n'ai pas souffert. Je ne connais que cette vie et donc cela revient rapidement à ce faire de cette noirceur. C'est donc obliger de vivre une vie que je trouve normal malgré le fait qu'elle ne le soit pas, mais enfermé par un paternel dont cette action ne peut être décrite. Une vraie cage dorée et illusoire quoi.

Aujourd'hui je ne suis plus sous l'emprise de personne. Pourtant toujours enfermé dans une cage dorée du nom de Kiri. Envoyer par mon vieux, qui n'est pas le même que mon paternel. C'est simplement celui qui m'a pris en charge après que j'ai assassiné mon père. Il a tenté de m'inculquer des choses, certaines ont réussi à traverser ma carapace, d'autre sont restés à l'extérieur. Pourtant certaines habitudes sont restées. Comme quoi j'ai dû quitter ce vieux trop rapidement. Enfin, c'est ce qu'il devrait surement penser s'il sait les faits que je crée des fois.

Cette fois c'est dans les prisons de Suna que ça s'est passé et se fut la première fois dans ce village. Un meurtre barbare dont personne ne peut me soupçonner. Cela fait trois semaines que je suis dans le village et l'on m'enferme dans une prison pour violence sur des citoyens qui n'ont rien fait. Rien fait est le thermes juste, pourtant pour moi c'est bien cela la faute. Dans mes lois rien faire devrais être puni de mort. Les gens devraient tous faire pour devenir fort, c'est la base d'une vie normale. Ou du moins d'une vie normale dans mon idéal de vie. Enfin bref, ce fut l'écarlate elle-même qui m'envoie au trou pour un temps d'une semaine. Maintenant qui va oser dire que je suis chouchouté, j'ai connu la tôle quasiment dès mon arrivé. Enfin je suis dans ses geôles remplie de voyou. Un vrai paradis des yeux, pour moi en tout cas car pour certain ce genre d'environnement n'est gère supportable. Moi vivre dans la torture, je n'ai connu que cela et donc venir ici est un peu un nouveau passage à la source. Mon envie de meurtre se fait sentir, j'ai le sang qui bout. Après avoir reçu une telle leçon d'une Ninja d'un telle rang, je n'avais qu'une hâte, gouter au sang. J'étais satisfait de ce combat, mais mettre une halte et un arrêt aussi direct ne peut que me donner l'envie de meurtre. Ici dans les prisons je n'aurais pas de mal à trouver un bouc émissaire. Après tout c'est une prison et donc ses lieux sont remplis d'homme malhonnête. Souriant je profite de ma seconde journée pour mettre la zizanie dans l'enceinte. Une vraie rébellion. Ce ne fut pas vraiment difficile à provoquer, ici ils ont le sang chaud aussi. J'en vois un accroupi pleurant les larmes de tout son corps. Deux hommes le tabassant à coup de pied. Les gardes trop occupés à calmer l'émeute. Je n'ai guère à m'occuper de la vigilance de ses hommes. Le sourire aux lèvres j'éclate le crâne du premier agresseur sous les yeux des deux autres. L'un courant, je le prends au col lui cassant une jambe. Je me mets à regarder l'homme agonisant au sol. Levant le pied je me mets à lui mettre une pression sur le torse sans pour autant lui briser quoi que ce soit, afin de faire croire qu'il est mort roué de coups. Après une dizaine de secondes, l'homme sous mon pied ne se débat plus. Son corps est inerte et sans vie. Approchant l'homme que je tiens d'une main, je lui chuchote à l'oreille :

Si tu parles de moi une seule fois, ils me ramèneront ici et je te tuerais. Si tu cours je te liquide de suite. Donc maintenant tu vas écouter. Tu as tué se petit con car il a réussi à liquider l'autre crétin pigé ?

L'autre fit un simple signe positif. Me mettant dans la foule je passe inaperçus. Personne ne m'a vue à part celui qui va morfler. Ma soif est maintenant apaisée et le seul témoin ne risque pas de parler, puis de toute façon avec les preuves qu'il a avec les taches de sang. Tout est scellé pour lui.

La mort fait partit du cycle de la vie. Pourtant tant d'hommes ont peur de cette vérité, tellement peur que cette idée même dirige leurs vies. De véritables larves qui ne peuvent pas apprécier la vie de la manière la plus intense. Ses pulsions que nous avons quand nous jouons notre propre vie et quand nous hottons celle d'un autre. Cette fois le ce n'est pas en prison que mon texte va vous plonger, mais plutôt après une sortie dans un bar après une mission confier par le village ? Une mission à deux pièces, un truc tellement minable que ça en devenait vraiment agacent. J'en suis irrité et je pars me détendre dans les bas quartiers à la recherche un bar avec la solde gagné. Je réfléchis, j'ai promis une chose en échange de deux choses, la première étant pour ma libération afin d'avoir la possibilité de devenir un Ninja et la seconde celle de ne pas m'ennuyer dans ce village et d'avoir assez d'occupation entre les maitres des dojos ou des malfrats avec une pointe de mission intéressante. Pourtant le village ne tient pas les promesses que je pensais trouver et me donne un gout amer dans la gorge. L'envie de rompre ma promesse m'irrite franchement, pourquoi tenir une promesse si les gens en face de moi ne le font pas. Je l'ai pourtant bien dit clairement, dompter un animal sauvage n'est pas possible, on peut simplement l'appâter en lui donnant son gibier, en disant cela je voulais de l'action, de quoi me donner satisfaction et en échange j'offre mes muscles contre toute opposition et cela sans réfléchir. Je n'ai pas se que je souhaite et attendre n'est pas mon fort. Pourtant j'ai aussi eux cette fille dont je me suis un poil attaché.

Pourquoi je ne sais pas, même si ce n'est pas vraiment en grand sentiment car, même si demain je ne la vois plus ou qu'elle meurt ne me ferais ni chaud ni froid. Je me sais surveiller par une troupe qu'à envoyer cette écarlate. Tuer veut signifier que je vais me faire attraper. Enfin si je ne m'y prends comme un barbare, pourtant je sais faire preuve d'ingéniosité et cela peut surprendre beaucoup de monde grâce au fait que mon apparence et mon caractère laissent croire le contraire. Un atout majeur et aussi dans ce genre de situation. Entrant dans un bar pour calmer mes pulsions sous des litres de bière. Je croise deux ninjas, non pas un, mais bien deux. La poisse totale, je suis venu pour être pénard et je me ramasse deux emmerdeurs et ce n'est pas peu dire. M'étant assis sur une chaise et ayant offert à la gamine assez d'alcool pour qu'elle me laisse tranquille, j'ai un des ninjas entrant dans le bar qui vient se coller à moi. Le second arrivant pas longtemps après, se la jouant à la mode suicidaire man, en prenant l'alcool de ma gamine. Une chose que je ne peux point supporter. Bien sûr fidèle à moi-même je m'emporte assez vite et réclame mon dû. La couleur de l'ambiance fut déclarée. Un ninja dans le lot voulant ne pas avoir de dispute dans le lieu, fait comme si de rien n'est pendant que le pseudo-rappeur pense faire le kéké. La dispute n'importe pas beaucoup, avec moi ce n'est pas rare que les lieux sont mouvementés. C'est simplement l'acte qui importe, car celui-là m'a donné envie de tuer une personne. Après un petit temps, je quitte les lieux prenant l'enfant avec moi. Je me mets à partir dans la direction des bas quartiers, avec l'idée de soulager cette envie de meurtre. Une heure de marche quand je vois ma cible un ivrogne qui semble se poser dans une ruelle abandonnée. Venant dans la même Ruelle, les lieux semblent ne pas être accessibles de vue. Faisant apparaitre par le biais d'un sceau un marteau de taille normal, avec la petite sur l'épaule qui semble commencer à comprendre ce qui se passe. Une chose bien visible par le silence neutre qui apparut d'un coup. Je me mets à éclater le cerveau du pauvre homme n'ayant rien demandé. Me voilà satisfait. Rien d'extraordinaire, mais je fus rassasié de mon envie de sang et cela même si je me vois maintenant avec une enfant qui tient mon secret. Phénix cette petite dont j'ai sauvé la vie. Cet enfant semble être maintenant un peu perturber par l'action qui s'est produite.

Pour. Pourquoi ?

Je te l'ai dit les faibles meures des coups des puissants. Il n'y a pas d'exception. Si tu ne veux pas finir pareil devient forte rapidement.

La dure réalité de la vie. Celle que je connais. Une vie sans pitié et sans scrupule. Pour le corps, c'est simple, je n'y touche même pas. Le vent qui souffle dans le village recouvrera le cadavre en une dizaine de minutes et il n'y a quasiment aucune chance qu'une personne ne passe dans cette ruelle avant le siècle prochain. La seule chose que je fais c'est de rapidement quitter les lieux afin que ceux qui me surveillent ne viennent pas vérifier ce que je fais.

De nouvelle rencontre, de nouvelle idée. Après phénix et la femme au cheveu de feu, je rencontre une femme manipulant le sang. Elle se nomme Hana, une de ses gonzes qui n'est pas du genre à se laisser faire, mais qui en même temps n'est pas non plus aussi nerveuse que moi. Une partenaire idéale ou presque. Ma première rencontre avec elle fut pendant mon tour des dojos du village afin de me défouler sur des mecs en pyjama blanc. Les combats étaient pour certain intéressant. Chacun à sa technique même si pour la plupart des dojos se ne sont que des branquignols. J'ai vu dans d'autre des hommes qui sont « passionnée ». Bon je dis cela car c'est un peu ce que je ressens. Ils apprennent l'ars du combat pour simplement dire qu'ils savent l'utiliser, car la plus par à par les défis qu'ils lancent ou qu'on leur lance, l'art qu'ils utilisent n'a jamais étés usés pour autre chose. En gros une arme magnié pour épater la galerie, ce qui est un peux gâcher le plaisir de savoir combattre. Un avis personnel et donc un avis régissant mon monde. Hé oui je suis un homme donc les valeurs son véritable. Si je pense, c'est que c'est vrai ou juste. Enfin, dans tous les cas cette idée me déplaît un peu, mais dans ma situation cela me plaît beaucoup, car ça me permet de ne pas avoir à chercher les ennuis et donc de ne pas rompre ma promesse et cela malgré le fait que le retour n'y est pas. Non les défouloirs que j'attends de mon village n'est pas vraiment dans l'ordre de leur priorité. Un véritable ennui qui n'est pas fait pour me plaire. Enfin cette journée est radieuse et plus j'avance dans les dojos, plus j'ai de chance de trouver un partenaire intéressant à combattre.

Ma route croise celle du dernier dojo dont je vais rendre visite. Gloire à ceux dont je n'ai pas dit bonjour, ils ont gagnés une journée de répit. Ouvrant la porte coulissante en grand, le sourire carnassier posé sur mon visage de tueur à la tire. Je me baisse un poil afin d'entrer dans le dojo, ou là je suis accueillir comme un homme normal. Que de honte pour eux. Ils ne voient pas que je suis exceptionnel ? Boon, déjà c'est mieux que certain qui tentent dès que j'entre de me refaire sortir en me bottant l'arrière train. En vain bien sûr. Demandant un combat contre le plus doué du lieu, je reçu ce que l'on peut dire, le second. Ils pensent me dire que si je suis digne en gagnant se combat, je pourrais combattre l'homme le plus fort du dojo. Une jolie phrase servant pour que leur adversaire combatte plusieurs fois afin de le fatiguer et rendre son prochain combat plus difficile. Je m'en fous, au contraire plus y a de combattant, plus la valeur du combat est géniale, puis eux ils combattent pour sauver une enseigne dont je n'ai même pas vraiment envie. Le premier combattant est intéressant, il bouge comme une vraie anguille avec une rapidité incroyable. Pourtant ses coups ne peuvent même pas faire mal à une mouche, c'est trop moue et comme cela il lui faudrait une éternité pour me faire tomber. Je pense que même avant qu'il ne me face tomber je mourrais de déshydratation. Enfin, après avoir subi deux ou trois enchainements de tapette man. J'arrive à analyser son enchainement et à l'atteindre. Un coup, une victoire et même pas fatigué par le combat. Je suis content et après avoir donné la raclé a ce type, deux autres personnes arrive dans le dojo, un gamin qui ne montre qu'un aspect d'enfant pleurnichard qui est encore plus trouillard que la petite que je traine. Pour l'autre c'est un bon petit lot qui arrive vers moi. N'empêche que ce petit duo m'a bien étonné. Oui la nana prenant la place de l'autre dont mon seul coup l'ayant touché l'a fait sortir de la maison en passant par le mur. Ha, ha. Cette femme est vraiment douée, elle esquive mes coups tout en enchainant pour tenter de me fatiguer. Une vraie furie. Le combat est à son paroxysme et nous étions comme en train de danser ensemble comme elle semble dire, elle semble, elle aussi s'amuser. Pourtant, pour une raison bizarre le combat s'arrête net à vrai dire s'en ai difficile à expliquer, mais se fut très contrarient, je n'apprécie pas vraiment que l'on me laisse sur ma faim. Le combat terminé, mon envie de combattre d'autre personne s'estompe aussi rapidement que la rapidité que j'ai eue à ne plus la voir cette dénommée Hana.

J'enrage et ne peux arrêter de penser à ce combat pendant que je cherche un lieu où dormir. Je n'ai pas souvent la possibilité de combattre avec de telle adversaire alors quand ça se passe j'ai du mal à comprendre qu'il faut s'arrêter. Surtout quand le combat n'est même pas achevé. C'est certain, ce combat signifie de nouveau la mort d'un pauvre citoyen de Suna. L'homme va servir à me défouler est un clochard que j'ai pu appâter avec un petit travail qui se passerait non-loin du village. Je lui promets monts et merveilles et il me suit jusqu'à sa future tombe. Assez éloigné du village et le sans domicile fixe commençant à se douter de quelque chose. Je me mets à me retourner et à le démembrer. Une vraie boucherie de sang que le sable va rapidement cacher. C'est quand même bizarre, car ce meurtre ne me fit pas ressentir la même chose que les autres fois. Le meurtre me fait toujours plaisir, mais cette fois se fut différente, un peu comme une sensation bizarre dans mon être. Enfin je ne suis pas du genre à m'arrêter pour ce genre de détail.

En voilà un temps que je n'ai tué personne, à vrai dire ce n'est pas l'envie qui m'en ai manqué, mais c'est plutôt que pour un grand solitaire je fus pas mal pris. Oui, même moi je me fus embarqué par ce tourbillon quotidien qu'engendre l'ambiance d'un village. Un fumé donnant envie de gerber, certain appellerait ça l'amitié ou de la sympathie, moi j'appelle ça une gêne passagère. Le meilleur remède ? Couper ses liens le plus rapidement possible. C'est ce qu'il y a de mieux à faire car, s'attacher à une personne ne donne rien de bon, surtout quand l'on a une vie comme la mienne. La trahison, la jalousie ou même l'incompréhension est souvent un facteur mortel avec ce genre de lien. Je ne peux guère faire confiance aux autres. Je ne dois de ne faire confiance qu'à moi. Ce fut le cas de mon père. Ca seule faille depuis qu'il est née fut moi. Je ne sais pas s'il s'est lier d'affection à ce qu'il aurait pu appeler fils, mais cela dit en passant, quoi qu'il en soit, la seule personne qu'il a épargné fut celle qui a creusé ça tombe ou pour être plus claire a donné un corps pour ça pierre tombale. L'enterré ? Et quoi encore, ce n'est pas comme si j'aimais cet homme. Pour moi c'est un simple géniteur, m'ayant donné des connaissances nécessaires à ma survie.

Depuis la dernière fois, j'ai eu pas mal de mouvement et en particulier deux évènements que j'ai particulièrement appréciés. L'un étant d'une mission qui semble plus ou moins intéressante. Elle consiste à tabasser des mecs, donc ça me convient très bien et pour cela je fus accompagné du type le moins caractériel que j'ai pu rencontrer dans ma vie. Ce genre de type dont la voie porte si bas qu'on a l'impression qu'il ne dit jamais rien. Un mec ne s'imposant jamais à la limite de se faire piétiner par des fourmis estropiées. Vous allez dire que j'exagère. Heu en fait je pense même jen> j'arrondis les bords. De toute manière là n'est pas la question, rien à foutre des gamins ne sachant pas s'imposer. Au contraire, ils me donnent envie de les tuer rapidement. Pour lui je ne peux pas le tuer, vu qu'il est dans une mission avec moi ça risque d'envoyer des soupçons sur ma personne et je ne suis pas suicidaire. La mission se déroule, on marche jusqu'aux lieux d'impact et arrivé à l'endroit il eut un dévoilement d'un nouveau caractère de mon allier, comment exprimer cela ? S'enflammer au moment d'un combat est-ce qui semble le plus proche de cet évènement. Une chose impressionnante, tant de hargne dans les combats alors qu'il ne montre que de pitié dans les moments quotidiens, j'en frémis. Je ne pouvais tenir mon envie de l'affronter. Ce qui fut le cas après l'aboutissant du combat qui me rassasie amplement. Pour une foi Suna a tenu ses promesses et cela même si se ne fus pas de leur gré.

La seconde fut une mission produite avec phénix et Hana, vous savez cette femme qui m'a tenu tête dans un dojo. Ben voilà, nous avons-nous deux une mission et j'ai apporté mon poids avec moi. Nous devons faire une mission des plus chiantes, un truc consistant à faire que des clodos et des commerçants ne soit plus furax les uns entre les autres. D'un côté pleurant pour manger, l'autre pleurant car ils font fuir les clients. Pour ma part ma solution aurait était radicale. Liquider tout se beaux monde, mais ça le village ne le permet pas. Second choix, les tabasser jusqu'à qu'ils fassent amis, amis et de les menacer de revenir s'ils causent problèmes. Ça c'est ma coéquipière qui a refusé. Bon ce n'est pas que je suis du genre à écouter, mais bon elle me paye de la bouffe pour éviter de tout casser, rentable quoi. Ce qui fut intéressant, c'est en réalité une émotion bizarre que j'ai ressentie quand nous avons terminé la mission. J'ai moi-même avec l'aide de mon allier trouvé un moyen de donner à ses types une code de sortie. J'étais un poil fier de moi, même si cela je ne le montre pas, ce fut plutôt un bon sentiment. Enfin, même si je l'avais remplacé sans-souci avec une bonne bagarre ou une bonne cuite gratis. Enfin, le truc cool c'est que depuis, j'ai des parts de marché sans bouger le petit doigt.

Là fut le malheur, une fête qui normalement devait faire de moi un homme riche, un grand fiasco. Créant un bar où je fais payer dix fois le pris de mon alcool avec à côté une table de jeu avec une bonne récompense pour celui qui me bat au bras de fer. Bien sûr j'avais réussi à me faire un paquet de pognon. Le souci fut l'intervention de plusieurs personnes voulant me dépouiller à mon insu. Une colère noire qui fit ressortir mon côté animal. Un vrai bête pré à taper toutes personnes s'approchant de trop près de moi. Autant dire qu'après cet évènement, j'ai fait une sortie touristique à la recherche d'un groupe d'alcoolique prés à asservir mes pulsions de meurtre. Un vrai carnage qui se réalise après mon passage. Un groupe que j'ai rapidement envoyé sous sceau pour cacher les corps dans un lieu qui est difficilement accessible et rarement approché. Un sceau dont je changerais de place plus tard. Ce fut une pulsion que j'ai fait taire trop longtemps. Je m'en sens faible rien qu'à voir que j'ai arrêté aussi longtemps une telle manière.