Et bon appétit bien sûr[PV Ryusai]

**Akuzu Tenma** Informations **Messages** : 5

Bref. Je viens à peine de sortir de l’antre familial des Kadoria que l’envie me prend de redécouvrir la ville. Je sors tellement rarement de ce taudis de merde que ressentir l’air que je qualifierai quasiment de « pur » de Kumo me procure un putain de bien. Sauf que concrètement, je ne sais pas vraiment quoi faire. Ca fait pas mal de temps que je suis un simple Genin et pour l’instant, posséder ce grade ne me dérange pas tant que ça. Mais va falloir que je pense à mon avenir au bout d’un moment. Rester aussi faiblement gradé, c’est toujours naze et mal vu selon moi. J’ai la flemme d’être uniquement considéré comme un vulgaire sous-fifre. Je dois donc remédier à cela en embrassant totalement ma sainte carrière de ninja ! Et pour cela, rien de meilleur qu’un bon entraînement !

D’ailleurs qu’est-ce que je pourrai pratiquer ? Je suis moyen dans à peu près tous les domaines même si je me débrouille quand même en Ninjutsu tout en étant une brêle en Genjutsu. Tiens, j’ai une soudaine d’envie d’entraîner mon corps, de suer comme un porc et développer mes muscles pour faire fondre ces demoiselles. Forcément la récompense est plutôt alléchante si je la prends sous cet angle.

Cependant avant tout effort, il faut bien manger ! C’est une sacro-sainte condition à tout entraînement qui se respecte. C’est toujours mieux d’avoir le ventre rempli lorsque l’on compte faire de l’exercice. Vu qu’on brûle des calories lors de l’entraînement, techniquement si on a plus de calories à cramer ben on peut s’entraîner plus longtemps ! Logique implacable, vous ne croyez pas ? Et rien à foutre que vous ne soyez pas d’accord avec moi.

Dernière étape, trouver le restaurant qui pourra satisfaire mes babines. Je ne suis pas ce qu’on pourrait appeler de fine bouche mais aujourd’hui je n’ai pas envie de mettre n’importe quoi dans mon estomac. Malheureusement la recherche du Saint Graal s’avère plus compliqué que prévu si bien que je me retrouve comme un idiot à errer dans les rues de Kumo tel un chien égaré ne sachant pas où aller. Bref, je suis paumé.

« ‘TAIN, JE VEUX MANGER DE LA BONNE BOUFFE !! »

**Oppa Gangnam** Informations **Messages** : 221

Ce jour là, je m'étais réveillé de super bonne humeur. Il était environ neuf heure du matin et il faisait doux dehors. Le soleil était belle et bien présent, étant donné que nous étions en été. Aujourd'hui, j'avais un rendez-vous avec une jeune fille que j'avais dragué il y a deux jours de cela. Je l'avais arrêté dans la rue, je l'avais tchatché et j'avais ainsi un rencard pour ce midi au restaurent du coin. vus le temps que j'avais devant moi, je décida d'aller faire un petit footing dans les montagnes du pays de la foudre. Je rentra chez moi, dans le quartier du clan Seki environ deux heures après. J'allais alors directement à la douche car je puais la transpiration. La sueur, il n'y avait que ça de vrai pour un homme mais étant donné que j'avais un rendez-vous avec une jolie demoiselle, je ne pouvais me permettre d'arriver dans cet état là. Ha oui, je ne vous avais pas parlé de mon rencard. C'était une jeune fille de dix-huit ans, brune aux yeux bleus, plutôt bien gâtée par la nature. Elle était la fille d'un vendeur de journaux et d'une directrice des espaces verts de Kumo Gakure No Satô. Elle se nommait Nakio. Je l’avais donc interpellé dans la rue, ayant littéralement flashé sur elle. Nous avions parlé sur l'un des nombreux banc du parc floral du village caché de la foudre et avons rapidement sympathisé. Je lui avais demandé si nous pouvions nous revoir et elle avait ainsi accepté et donné rendez-vous dans un restaurent que je ne connais pas à midi. Je sortis de la douche vers onze heure trente car j'eu pris tout bon temps pour être propre de partout. Je m'étais même rasé les aisselles, c'est pour vous dire. Je m'habilla rapidement et prit de suite la route pour le restaurent. Sur le passage, je vis un fleuriste. Je me souvins que lorsque nous nous trouvions dans le parc floral, elle m'avait dit qu'elle adorait les lauriers des montagnes. C'était une plante qui poussait beaucoup dans la région mais qui était apprécié par peu. Nakio adorait cependant cette plante qui était pourvut d'une tige où au bout se trouvait de petites fleurs violettes. Il ne me restait que peu de temps avant l'heure du rendez-vous, environ dix minutes mais je pris quand même l'initiative de lui acheter un bouquet de sa fleurs préférée.

Et bon appétit bien sûr[PV Ryusai] Sans_t38

J'arriva sur place deux minutes après, le restaurent n'était finalement pas loin du fleuriste. J'attendis un peu, le coeur serré, ayant un peu le traque, espérant que le rendez-vous ce passe au mieux. Cette fille me plaisait vraiment beaucoup physiquement. Mentalement, c'était autre chose. Elle m'avait l'air bien gentille mais j'avais l'impression que quelque chose clochait quand même. Mes doutes disparaîtront lorsqu'elle sera enfin là. Et puis au pire, même si elle a un caractère à la con, je pourrais toujours me la faire et puis basta. J'étais devant le restaurent depuis cinq minutes lorsqu'elle arriva enfin. Elle était vêtu d'une longue robe rose, de petite ballerines blanches et un noeud dans les cheveux dans les mêmes teintes que sa robe. Elle était vraiment époustouflante, une vrai déesse. Je la regarda arrivé vers moi d'une marche légère. J'eu alors un petit sourire en coin à la vue de cette si charmante demoiselle. Elle était si jolie que la plus part des hommes autours la regardèrent passer. L'un d'entre eux se fit même gifler par sa femme qui vit son mari mater une autre femme. Une fois qu'elle fut arriver en face de moi, je lui adressais quelques mots:

~ Tu es vraiment magnifique Nakio. Allons donc nous asseoir à une table et déjeunons ensemble comme convenus. ~

Je lui sortis alors le grand jeu: je choisis la meilleur table, tira sa chaise et la repoussa lorsqu'elle s’essaya. Un serveur nous apporta alors les cartes pour qu'on puisse choisir nos plats. Les prix étaient exorbitants. J'eu la tête qui tournait à voir tout ces chiffres s’enchaîner les uns après les autres. Nous commandâmes alors nos plats et en les attendant, elle me parlait d'elle et de ce qu'elle avait vécut. Elle parla, parla et parla que d'elle et de ses petits problèmes. J'en avais vraiment marre, c'était vraiment un solo de sa part. Elle ne voyait vraiment que son nombril. Heureusement, les plats arrivèrent enfin. Je commença à mettre ma serviette sur mes genoux et pendant ce temps, elle commença à ingurgiter son plat comme une morfale avec ses doigts. J'ai carrément eu la nausée lorsque je vis cette vision. C'était une vraie sauvage. Je mangea quand même mon plat, évitant de croiser son regard pleins de sauve sur ses joues, fronts et habits. Une fois mon plat finit ainsi que le siens qui était terminé bien avant le miens, elle reprit à ne faire parler que d'elle. Bien sûr, je ne l'écoutais qu'à moitié, voir même pas du tout par moment. Son solo fut d'un coup interrompu par une voix forte qui résonna dans tout le restaurent.

‘TAIN, JE VEUX MANGER DE LA BONNE BOUFFE !! »

A ces mots, je déduisit que la personne qui venait de le dire était un jeune garçon d'un peu près mon âge et ayant terriblement faim. Son langage était vulgaire mais à quelque chose près comme le miens lorsque j'étais énervé. Nakio me regarda alors d'un air outragé et me dit:

« Hé bien, qu'est-ce que tu attends, vas lui régler ce compte à cet énergumaine puisqu'après tout, tu dois faire régner l'ordre dans notre village non ? »

Mais pour qui elle se prend à me parler comme ça celle-là ? Bon, elle est mignonne mais elle est vraiment chiante et très dégueulasse mais elle n'a pas à me prendre de haut comme si elle valait mieux que moi. Soit je me casse, soit je la baffe. Dans les deux situations, de toute façon, ma réputation de loveur sera gâchée. Il faut que je trouve une solution... Ha bah oui, elle veut que je m'occupe de ce type dehors, et bien je vais le faire. Sans un mot, je me leva et prit la direction de la porte de sortie du restaurent? Je pus voir du coin de l'oeil que Nakio me regardait comme si j'étais son héros. Je sortis du restaurent et vit un jeune garçon aux cheveux blonds hurler tout ce qu'il savait. Je le regarda de plus près et vis que c'était lui aussi un shinobi du village caché de la foudre d'un peu près mon âge, peut-être plus vieux. Je marcha en sa direction et cria à haute voix pour que mon rencard entende:

~ JE VAIS TE FAIRE LA PEAU SI TU CONTINUES !! ~

Je repris alors à voix bas pour que seul mon interlocuteur m'entende.

~ Merci mec, tu m'as sauvé la vie. J'ai crus comprendre que tu avais faim alors laisse moi te payer à manger et que je te conte ainsi mon histoire pour que tu puisses comprendre car tu dois te poser des questions. ~

Ma réputation n'allait pas être ternis grâce à ma feinte. Nous marchèrent ensemble alors pendant une dizaine de minutes, à une allure rapide pour s’éloigner le plus possible du restaurent que je venais de quitter et arrivèrent enfin dans un petit resto tranquille. Nous nous y installèrent et lui expliqua alors mon récit. Je ne sais vraiment pas comment il allait le prendre, s'il allait se moquer ou rire de l'ironie, ou bien mal prendre le fait que je l'ai légèrement utilisé mais après tout, je lui paye un repas, alors qu'il ne soit pas indifférent et non-respectueux pour autant.

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Hum, je suis rentré dans un restaurant plutôt visité vu le monde qui s’y trouve. Et j’ai clairement attiré l’attention avec ma petite phrase ma foi bien placée et tout à fait dans le contexte. Ca n’est pas pour me déplaire d’avoir les yeux de ces humbles individus rivés sur moi. Je dirai même que ça m’fait du bien ! Apprécier l’incrédulité de ces gens face à l’élément perturbateur que je suis, ça n’a pas prix. Bref, j’avance lentement pour commander un bon petit plat lorsqu’un mec se lève brusquement de l’une des tables, abandonnant par la même occasion une sublime demoiselle. Déjà d’une, j’ai l’impression que ce type va me poser problème ou m’emmerder à mort. Et de deux, comment peut-il laisser en plomb une si belle jeune fille ? M’enfin quoi, faut savoir profiter de ce qu’on a. En l’occurrence, ce mec me montre un bel exemple de gaspillage. En tout cas, il se dirige vers moi avant d’hurler qu’il compte me frapper si je continue. Mais si je continue quoi ?

« Oulà, j’vais t’calmer vite fait toi. Je me demande bien ce que je peux continuer lorsque je n’ai rien commencé mais passons. Si tu veux t’battre, je suis ton homme ! Et puis comment t’as pu abandonner une fille comme ça ? Franchement quoi, t’as quoi à la place des yeux… »

Et alors que je suis parti dans un monologue qui promet d’être palpitant, ce type se permet carrément de me couper la parole ! Et là, c’est le pompon, il a vraiment tout gagné. Je me prépare à lui faire sa fête lorsque je me rends que ce qu’il me dit est en réalité plutôt intriguant. Alors ce petit speech n’est qu’une vulgaire comédie en fait ? J’ignore pour quelle raison celui-ci s’est senti obligé de faire ça mais j’ai l’intime conviction qu’il souhaite m’en faire part. Et c’est ce qu’il compte faire ! Et le pire, c’est qu’il veut en plus me payer à bouffer. Je ne le connais pas mais putain il m’a l’air bien aimable ce type. Néanmoins, je ne compte pas partir de cette manière Surtout après vu le canon que ce mec a lâché.

« Hmm, attends un peu. J’ai envie de faire un petit truc avant. »

Rapidement je rejoins cette jeune femme, injustement lâché par son mec. Il est donc de mon devoir d’aller réconforter cette pauvre et sensible et fleur. Bah, son copain me pardonnera bien hein ? Après tout, il n’a pas hésité à l’abandonner…il peut bien me la donner hein ?

« Bonsoir beauté. Je me demande bien comment une fille comme vous puisse se retrouver ainsi seule ? Mais ne vous inquiétez pas, je suis l’homme de la situation. En quoi puis-je vous satisfaire ? »

« Comme ceci... »

Et elle me lance son verre d’eau à la gueule, la s*****.

« Espèce de malpropre! Mon copain va vous régler votre compte! »

Je me lève d’un coup, hurlant comme un dégénéré :

« MAIS ELLE EST MALADE C’TE **** !»

Les hostilités sont lancées.

**Oppa Gangnam** Informations **Messages** : 221

Finalement, je n’eux pas le temps de lui expliquer ce qui se passait entre la jeune fille et moi que le jeune garçon prit la parole en m’adressant quelques mots :

« Oulà, j’vais t’calmer vite fait toi. Je me demande bien ce que je peux continuer lorsque je n’ai rien commencé mais passons. Si tu veux t’battre, je suis ton homme ! Et puis comment t’as pu abandonner une fille comme ça ? Franchement quoi, t’as quoi à la place des yeux… »

Ayant marre que ce garçon qui devait me sauver ne commence à m’embrouiller alors qu’il ne connaissait rien de l’histoire, je lui murmurais alors toute l’histoire. Je vis que mon interlocuteur regardait fixement la fille avec qui j’avais rendez-vous comme s’il allait la manger. C’est vrai qu’elle est magnifique mais quand même, pas la peine de ne plus faire attention à moi à cause d’elle quoi… Enfin je dis ça, je dis rien, parce qu’en temps normal, si cette fille était normal et que le mec la matait comme ça, je l’aurais limite tué, mais puisque j’en avais rien à faire de la gueule de cette pauvre fille, je le laissai faire. De plus, il ne savait pas comment elle était, alors le voir se rapprocher d’elle tranquillement et écouter ses paroles qui m’était adressé me firent rire des plus aux points :

« Hmm, attends un peu. J’ai envie de faire un petit truc avant. »

Je le regardai alors s’asseoir à table, sur la chaise où j’étais assis auparavant. Il la regarda droit dans les yeux avant d’engager la conversation avec elle.

« Bonsoir beauté. Je me demande bien comment une fille comme vous puisse se retrouver ainsi seule ? Mais ne vous inquiétez pas, je suis l’homme de la situation. En quoi puis-je vous satisfaire ? »

Bonsoir beauté, bonsoir beauté… Je vais t’en mettre là où je pense des bonsoirs couillon, il n’est pas beaucoup plus tard que midi. Enfin bref, j’étais quand même plié en deux, sur une chaise du bar qui était dans la même pièce, juste à quelques pas de la table où se passait la scène. Et puis pourquoi il demande comment elle peut se retrouver seule ? Je te l’ai dit connard, c’est un monstre cette fille alors je l’ai mise en plan. J’en tombai carrément de ma chaise lorsque je vis qu’elle lui jeta son verre d’eau dans la gueule. C’était vraiment le comble, lui qui voulait la draguer parce que je la laissais, ce prend un énorme râteau. Rahlala le pauvre, il faudrait peut-être que je l’aide, mais la scène est vraiment trop hilarante pour que je puisse intervenir. Alors que le jeune homme commença peu à peu à s’énerver, je pus constater qu’elle me regardait et ouvrit les lèvres au même moment. Putain, elle va encore me faire chier, je le sens.

« Espèce de malpropre! Mon copain va vous régler votre compte! »

Mais merde, elle ne peut pas fermer sa gueule un peu celle-là ? Je voulus la rembarrant dans les buts mais je fus couper par l’autre dégénéré qui hurle :

« MAIS ELLE EST MALADE C’TE **** !»

( Pensez à nos enfants, censurez vos propos )

Et merde, la situation partait trop en vrille. Le propriétaire du restaurent s’approcha alors de moi et me demanda alors de payer et de partir. Comme-ci ce n’était pas assez, pourquoi il vient me les casser c’vieux crouton ? Je regardai alors mon sauveur qui était trempé puis lui cria tout en courant vers la sortie :

~ ON S’CASSEEEEEE, ÇA VAUT MIEUX !! ~

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Elle me lance carrément de l’eau à la figure cette fille. Mais pour qui est-ce qu’elle se prend ? N’a-t-elle pas peur de ce qui peut lui arriver si je m’énerve ? La seule chose qui compte à cet instant, c’est la vengeance que je suis en train d’élaborer contre elle. Deux choix s’offrent à moi. Soit je lui fais tâter ma conception de la gravité et il semble clair que la pauvre fille va subir. Ou tout simplement, je la laisser s’en tirer comme une fleur et partir comme si rien ne s’est passé. Le doute commence à s’installer en moi et que dois-je faire ? Un conflit comme à s’instaurer en mon for intérieur. Je dois lui éclater la tête ! Mais mon esprit de gentleman m’empêche de commettre de sang froid une telle atrocité. Bref, mon compagnon de fortune m’indique qu’il vaut mieux déguerpir de cet endroit et le plutôt sera le mieux. Pour une fois dans ma vie, je vais l’écouter et ne pas faire d’histoires. Mais rien ne passe jamais comme prévu, hein ?

« Ouais, j’arrive… »

Le pas lent, je me dirige vers la sortie afin de me tirer de ce restaurant où j’enchaîne gaffe sur gaffe. De toute manière qu’est-ce qu’il peut encore arriver de pire après avoir été humilié en public par une demoiselle aussi mignonne ? Un homme surgit alors sans prévenir devant nous. Mais qu’est-ce qu’il veut lui encore ? Le spectacle n’est donc pas terminé ? Même selon mon point de vue, nous avons fait beaucoup trop de boucan et causé de problèmes pour rester ici.

« Laisse-nous passer. »

« Vous avez fait de cet endroit un foutoir et qui plus est, tu as ennuyé cette charmante demoiselle. Penses-tu sincèrement que votre crime, car vous êtes tous les deux impliqués, peut rester impuni ? N’espérez pas vous en tirer comme ça ! »

« Et merde. »

L’homme décoche un coup de poing que je me prends en pleine poire sans avoir pu résister. Il faut dire que je ne l’ai pas vraiment vu venir non plus ce petit manège. Je reste à terre sans faire le moindre mouvement. Peut-être que si je fais le mort il nous laissera tranquille…ou pas. En fait c’est trop chiant. D’un bond rapide je me relève, cette fois prêt à en découdre. Je décide de prévenir mon compagnon de fortune de mes futures intentions. La moindre des choses.

« Perso, je ne vais pas y aller de main mort. Fais gaffe à ton cul ! »

**Oppa Gangnam** Informations **Messages** : 221

La tension dans le restaurent montait de plus en plus. Les clients se plaignaient de plus en plus fort à cause de la scène qui continuait de se dérouler dans le grabuge. Alors que je commençais à partir du restaurent, je regardai alors mon nouveau compagnon qui commençait à bouillir de son fort intérieur. Il était sur le point de péter un câble sur la jeune fille avec qui j’avais rencard, il ne manquait plus que ça. Alors que je lui avais dit, poliment et d’une voix douce et légère qu’on allait partir :

~ ON S’CASSEEEEEE, ÇA VAUT MIEUX !! ~

Tout en me dirigeant vers la sortie, il décrocha le regard inquiétant qu’il avait sur celui de la beauté fatale, me passa devant et commença à sortir du restaurent quand tout un coup, un homme se présenta devant nous, l’air méprisant à notre égard. Il était grand et avait un physique impressionnant. Une vraie massa de chez les masses hein, je vous parle pas du petit branleur qui fait de la gonflette. Alors qu’il nous regardait de haut, mon compagnon, dont d’ailleurs j’ignorais le nom en y repensant, lui adressa la parole.

« Laisse-nous passer. »

C’est vraiment l’embrouille assuré vus la façon dont il venait de lui parler. Je regarda de nouveau l’homme qui se décida à lui répondre.

« Vous avez fait de cet endroit un foutoir et qui plus est, tu as ennuyé cette charmante demoiselle. Penses-tu sincèrement que votre crime, car vous êtes tous les deux impliqués, peut rester impuni ? N’espérez pas vous en tirer comme ça ! »

C’est vrai que ce coup-là, on avait abusé mais c’est cette gonzesse qui foutait le bordel… Enfin c’était nous mais c’était à cause d’elle. De plus, l’autre shinobi répondis une un bout de phrase que je dis souvent, celui de « Et merde ». Lui et moi nous ressemblons fortement, c’était vraiment l’ironie du sort. Nous étions toujours là, en face de l’homme avant qu’il… en fait je n’étais plus que seul face à l’homme puisque l’autre venait de se prendre une puissante droite de la part de notre interlocuteur. Je vis alors qu’il resta à terre, mais cela était impossible qu’il était déjà KO avec une droite pareil, même si elle était puissante car après, comme moi, il était shinobi et l’autre n’était qu’un civil. Le regardant au sol, non loin d’un tas de bois, d’un geste vif, il fut de nouveau sur ses jambes. Il me regardait, je le regardai et je puis voir qu’il me regardait. Alors puisque je le regardais il me regarda (Houlaaa >.<). Ce plaçant non loin de moi, il m’adressa quelques mots :

« Perso, je ne vais pas y aller de main mort. Fais gaffe à ton cul ! »

Je lui répondis alors :

~ Bon bah vas-y man, fais toi plaisir. Sérieux, je t’avais prévenus qu’il fallait se barrer mais t’as pas voulus m’écouter alors tu te démerdes. ~

Je rigola fortement à la réponse que je venais de lui dire. C’était œil pour œil, dent pour dent. Le fameux « c’est toi qui te fous dans la merde alors tu te démerdes ». Je m’asseye au bar, commanda un verre de saké tout en regardant la scène qui allait se passer. Le barman me regarda et me répondit :

- Vous êtes majeur au moins ? Car je ne peux vendre de l’alcool au mineur. -

Logiquement, c’était à moi de lui répondre mais une pulsion me prit, je l’attrapa par le col, le souleva et le lança. Je pris la bouteille de saké qui était posé sur le bar, en bue deux ou trois gorgées puis je lui répondis sans me tourner dans sa direction.

~ Qu’est-ce que ça peut te foutre, je suis votre client non ? ~

Après quelques secondes, un peine cinq, je me retournai dans sa direction. Je vis que je l’avais lancé sur mon nouveau compagnon qui était dos à moi.

~ Et merde, j’suis désolé. En fait, je ne sais pas comment tu t’appelles. ~

Je laissa un blanc s’installer, tout en regardant la scène qui allait avoir lieu tout en buvant mon saké.

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Et bon appétit bien sûr[PV Ryusai]

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