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 Profession improvisée, situation de crise au village de Kumo [Quartier Résidentiel - Aide médicale]

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Kinzoku Kotai
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Message(#) Sujet: Profession improvisée, situation de crise au village de Kumo [Quartier Résidentiel - Aide médicale] Profession improvisée, situation de crise au village de Kumo [Quartier Résidentiel - Aide médicale] EmptySam 2 Fév 2013 - 18:33

Je claquais la porte derrière moi de rage, faisant presque trembler la maison sous l’écho. Un coup de poing dans la boite aux lettres (qui n’avait rien demandé) plus tard, je rejoignais l’avenue principale du quartier résidentiel. La boule au ventre, je fulminais de rage pour empêcher mes larmes de monter. Passe encore qu’ils se détruisent entre eux, mais qu’ils ne commencent pas à m’embarquer dans leurs histoires tordues. Mes propres parents…
Plus tôt cette journée-là, une lettre était arrivée au petit appartement que je louais depuis peu. Ce n’était pas du goût de ma famille que je m’éloigne du clan, mais déjà que j’y passais un dixième de ma vie, il était temps d’affirmer mon indépendance vis-à-vis de ces gens-là. Mais ils ne voyaient pas ça du même œil que moi. La fameuse lettre me conviait à la demeure familiale pour assister à un diner. Lettre manuscrite, aucun ton particulier, j’étais plus curieux que méfiant à vrai dire. Je ne les portais pas dans mon cœur, mais je n’étais pas mal élevé pour autant (quoi qu’on puisse parfois se poser la question…), donc je fis un effort dans ma tenue vestimentaire, et je rangeais au placard pour cette fois-ci mon équipement et mon écharpe.

Le diner se déroula comme je m’y attendais, d’un calme mortel, hormis peut-être ces trois invités que je ne connaissais pas. Un couple qui me semblait de haute lignée et une jeune fille à peine plus jeune que moi. Très peu de mots étaient échangé, mais cela dit, je remarquais que la conversation tournait presque à chaque fois autour de cette demoiselle ou de moi. Ma situation, ses études, mon travail, ses qualités, etc…
Une fois desservis, mon père croisa les doigts devant son visage en soupirant légèrement, histoire de se donner du courage.

- Mon fils, tu n’ignores pas la situation de notre clan… Les affaires familiales sont au plus mal en ce moment.

- Pour être honnête père, je me soucie guère des affaires du clan, et vous le savez…

- Certes… Mais il est grand temps que cela change. En tant qu’héritier, il est de ton devoir de faire prospérer notre nom, et ce que nous représentons.

- Mais encore ?

- Kotai ! Ne sois pas impolie avec ton père !

Le regard foudroyant de ma mère ne pesait même plus sur mes épaules depuis le temps. Je la dévisageais un instant sans rien dire, avant d’écouter la suite.

- Comme nous te l’avons précisé tout à l’heure, cet homme assit à notre table, accompagné de sa femme et de sa fille, est le chef d’un autre clan respecté du pays de la foudre. Après plusieurs négociations, nous avons décidé, que l’ainée de notre clan, devait épouser la première fille du leur, afin de fusionner nos familles. Cela permettrait de faire prospérer nos deux clan pour…

- Attendez père… vous sous entendez que je vais participer de mon plein gré à un mariage arrangé qui profitera seulement à VOS intérêt ?

- Et bien…

- C’est hors de question… Je ne participerais pas à votre mascarade. Je m’en vais.

Je me levais de table sans rien ajouter de plus.

- Assis toi tout de suite ! Sinon…

- Sinon je ne ferais plus parti du clan ? Vous tracassez pas, cela fait bien longtemps que je ne me considère plus comme en faisant parti.

- KOTAI !

Je me retournais pour commencer à partir avant de me stopper et jeter un regard vers cette jeune fille assise et silencieuse.

- Et vous mademoiselle. Je sais que votre éducation stricte vous dictes ce que vous devez faire, mais un conseil… Suivre les lubies de gens comme ça, ne vous mènera jamais nulle part dans la vie. Donc prenez là en main.

- BON CETTE FOIS KOTAI S’EN EST TROP ! QUITTE CETTE MAISON ET NE REVIENS JAMAIS !

Devais-je ajouter que je ne comptais pas revenir de toute façon ? Mon père n’avait pas pour habitude d’élever la voix, mais c’était suffisant pour me pousser à sortir de cette maison.

Après cette péripétie, je marchais au hasard dans le quartier. La tête baissé et rentré dans les épaules à me repasser mentalement et inlassablement tout ce qu’il venait de se passer. On ne pouvait pas compter sur ces gens-là. Qu’espéraient-ils ? Ils ne me voyaient presque pas le reste de l’année et ils pensaient que j’allais revenir comme ça pour suivre leurs ordres comme un petit chien ? Ça fait bien longtemps que j’ai pris ma vie en main et que je me débrouille sans eux. Au moins cette fois-ci, les choses ont été officialisé…

Un moment de silence, suivit d’une violente explosion. Je plissais les yeux avant de les relever, juste à temps pour voir un gros nuage de poussière me foncer dessus. Levant un bras pour me protéger, le souffle me fit presque perdre l’équilibre. Des cris de terreur, des bruits sourds, de la panique, aussitôt effacé par l’onde de choc de l’explosion et ce nuage dense de poussière. J’étais légèrement sonné, et ma gorge me piquait, mais je courais en direction du vacarme qui avait retenti. Des bombonnes de gaz venait peut être d’exploser ? Au bout d’une centaine de mètres, des gens me croisèrent. J’essayais tant bien que mal de les arrêter et de leur demander ce qu’il se passait, mais les pauvres étaient beaucoup trop paniqués pour me répondre. C’était peut être beaucoup plus grave que je ne le pensais… Soudain, un type habillé d’orange apparut dans ce brouillard marron en me fonçant dessus, kunai en main. Penchant ma tête sur le côté pour éviter la lame, je le stoppais net en logeant mon poing dans sa tête. Le pauvre gisait au sol ensuite, inconscient. C’est quoi ce bordel…

Perçant à travers la brume, une voie familière retentie. Je plissais les yeux pour mieux voir et je vis non loin d’ici, Hikaru, penché, une main au sol, en train de dresser un mur de terre pour bloquer une ruelle. Immédiatement après, un homme surgit sur son flanc pour lui sauter dessus. N’ayant même pas le temps de le prévenir, le colosse le saisi par la gorge en plein air, le stoppant net, avant d’articuler « non… tu ne sais pas voler. ». D’un geste souple et puissant, il le jeta par-dessus le mur de boue qu’il avait précédemment érigé pour le piéger derrière. Pour un genin, j’ai toujours pensé que ce type avait des capacités surhumaines.
Rassuré de voir un visage familier parmi toute cette panique, il me mit rapidement au courant de la situation. La prison du village de la foudre avait explosé, laissant s’échapper la quasi-totalité de ses occupants, lesquels se baladaient à présent librement dans toute la ville. Je comprends mieux désormais… Autour de nous, des gens paniqués et des blessés et pas une trace des forces du village pour s’en occuper. Nous étions livrés à nous même face à tout ça, et surement très peu de temps avant que la situation s’envenime. D’un commun accord nous nous séparions les taches. Lui s’occuperait de conduire les civils en sécurité, et moi je m’occuperais des blesser les plus grave en attendant que les secours arrivent.

J’interpelais les quelques personnes blessés et égaré que je croisais pour les conduire avec moi en lieu sûr. Et le seul que je connaissais était…
D’un violent coup de pied, j’enfonçais la porte d’entrée de la maison familiale pour faire rentrer la population m’accompagnant, sous le regard ahuris de mes parents que j’avais envoyés chier il y a un quart d’heure de ça. Malgré leur protestation, j’installais tout ce beau monde dans la grande demeure. Je n’étais pas bien doué en médecine, mais je rassemblais toute les serviettes de la maison et le peu de médicament que nous possédions pour aider comme je pouvais. Des jambes cassés, des saignements plus ou moins grave, et j’en passe… J’ignorais si j’étais capable d’aider efficacement dans ce genre de situation, mais je ne me posais pas la question. Je n’avais pas vraiment le choix après tout. Postant quelqu’un à l’entrée de la maison pour conduire les autres blessés ici, je redoutais chaque seconde qu’un nouveau drame ne survienne.
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Message(#) Sujet: Re: Profession improvisée, situation de crise au village de Kumo [Quartier Résidentiel - Aide médicale] Profession improvisée, situation de crise au village de Kumo [Quartier Résidentiel - Aide médicale] EmptySam 2 Fév 2013 - 19:25

    CONTEXTE RP :

      Vous transportez quelques blessés du mieux que vous pouvez jusqu'à un petit garçon qui murmure quelques mots, malgré ses légères blessures. Pourtant, malgré les apparences, le petit s'évanouit soudainement. Ne sachant pas quoi faire, et voyant le sang du petit continuer de couler, vous regardez autour de vous. Vous n'êtes pas médecins, pouvez-vous faire quelque-chose pour lui ? Faut-il appeler un médecin confirmé ? Le temps presse...

    RÈGLES :

    • Vous devez absolument résumer vos actions dans un spoiler à la fin de votre post.
    • Il faut choisir entre faire une action sur le petit ou appeler un médecin.


    AUTRE : /
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Message(#) Sujet: Re: Profession improvisée, situation de crise au village de Kumo [Quartier Résidentiel - Aide médicale] Profession improvisée, situation de crise au village de Kumo [Quartier Résidentiel - Aide médicale] EmptyDim 3 Fév 2013 - 21:33

La situation s’envenimait. Depuis plusieurs minutes déjà, j’étais au chevet des blessés les plus graves, à faire tout ce que je pouvais pour les maintenir conscient. La peur et la panique commençaient doucement à s’insinuer en moi, à tel point que j’en avais un goût amer dans la bouche, comme une vieille nausée qu’on s’efforce de refouler. Pourtant, c’est cette même peur qui me poussait à continuer sans me poser de question. Mais mes mains ne pouvaient s’empêcher de trembler… Tous ces gens… Je me sentais profondément inutile, avec le sentiment qu’ils allaient mourir si je baissais les bras ! Le bruit des gens paniqué et souffrant autour de moi, les cris, les explosions, j’avais la sensation qu’à chaque seconde ma tête allait exploser ! Est-ce que tout ceci servira à quelque chose au final ? Non, ne pense pas comme ça. Ne te laisse pas pervertir par la peur de l’échec, garde la tête froide, respire…

Alors que je pratiquais un massage cardiaque sur un habitant du village, un grand bruit retenti à l’entrée de la maison. Quelqu’un venait de s’écrouler au sol avec fracas en rentrant. Une nouvelle personne à ajouter sur la liste des blessés. L’homme chargé de recueillir les nouveaux arrivants le souleva légèrement avant de me faire signe de venir en vitesse. Je confiais ma tâche à quelqu’un d’autre avant de me précipiter vers lui. L’homme souffrait de nombreuses blessures, mais sa vie ne semblait pas en danger, il avait juste l’air assez sonné. Faiblement il articula :

- D’autres… Il y en a… d’autres…

- Calmez-vous ! Dites-moi quoi faire !

- Des villageois… des blessés… ils errent dans les rues en petit groupe… vous devez les aider ! J’ai été attaqué… Sauvez les !

- D’accord, je vais aller les chercher, ne vous en faites pas !

- Mais on a besoin de vous ici ! Vous ne pouvez pas partir comme ça !

- On n’a pas vraiment le choix… Occupe-toi de lui en attendant, je vais essayer de faire vite !

Sans attendre, je bondissais hors de la maison, avant de me mettre à la recherche de ce fameux groupe. En chemin, je croisais plusieurs prisonnier, des petites crapules sans grand talent, mais qui avaient malgré tout le don pour me ralentir ! Mon sang battait à mes tempes à vive allure, le souffle saccadé et toujours cette même boule au ventre. Il fallait que je fasse vite pour retrouver ces gens, avant que le pire n’arrive. Dans un bref moment d’accalmi, je fermais les yeux pour me concentrer. Je cherchais les vagues présences autour de moi en me concentrant sur les sources de chakra. Des civils n’en dégagent que très peu, mais tout un groupe devrait être repérable facilement. En effet, quelques instants plus tard, je trouvais une signature semblable à ce que je cherchais. Des villageois regroupé, en train de déambuler dans les rues au hasard. Des hommes, des femmes, des enfants… Les moins amoché tenaient quelque chose en main pour se défendre, comme des débris tombé au sol, ou autre. Prenant la tête du groupe je le conduisis en lieu sûr, en repoussant les rares attaques qui arrivaient. Mais selon le témoignage de certains, d’autres manquaient à l’appel, raison suffisante pour me pousser à chercher dans les rues une nouvelle fois.

Au bout de quelques minutes, un cri de femme retenti non loin de moi. Me précipitant dans sa direction, j’étais à présent témoins d’une scène atroce. Deux hommes, habillé de orange menaçaient une femme et son enfant. L’un d’eux tenait la mère par les cheveux, laquelle se débattait tant bien que mal ! Le gamin âgée d’à peine 8ans voulu défendre sa mère, mais fut violemment projeté en arrière après un coup de planche en bois derrière la tête.

- NON !

Je me précipitais vers eux pour mettre fin à tout ça. Mais les secondes semblaient durer des heures, et même si je voulais par-dessus tout arriver à temps, j’avais la sensation que mon corps pesait une tonne. Horrible cauchemars qui se jouait devant moi. Incapable, inutile. La femme ne cessait de crier et de se débattre. Un dernier hurlement, et l’homme qui la tenait captive, porta une lame sur son cou avant de l’égorger sous mes yeux. Mon sang se glaça instantanément. Comme figé en pleine course en un mauvais effet de couleur inversé comme on en voit dans les animés déprogrammé. Mais tout ceci ne dura qu’une fraction de seconde. Cette même fraction qui me semblait être la plus horrible de mon existence… La colère, la panique, la folie, tous ces poisons vicieux qui n’avaient de cesse que de s’emparer de moi. Croisant les bras, je dématérialisais mes bracelets métalliques pour leur donner la forme de dague, lesquelles je lançais avec précision dans la carotide des deux individus qui s’effondrèrent au sol comme cette femme juste avant eux. Mon cerveau semblait être éteint. Auprès de celle-ci je lui relevais la tête, écartant ses cheveux de son visage, presque inconscient du fait qu’elle était d’ores et déjà partie… Mais un faible murmure ranima cette étincelle qui m’aidait à agir ! Le petit garçon gisait toujours au sol et murmurait quelque chose. Reposant sa mère sur le sol, je sautais à ses côtés, en le posant sur mes genoux.

- Hey mon bonhomme, parles moi ! Comment tu te sens ?!

- Maman… ma maman… qu’est ce qui se passe ?...

Je me mordais la lèvre, ne sachant quoi lui répondre, tout en l’examinant de plus près. On dirait qu’il ne souffrait que de légères blessures… Pourtant l’instant d’après, ses yeux se fermèrent, le plongeant dans un état d’inconscience.

- Non, reste avec moi ! Ne t’endors pas !

Je posais la main derrière sa tête pour le secouer un peu, avant de me rendre compte que quelque chose collait dessus. En fait, l’arrière de son crane était englué de sang ! Le coup qu’il avait reçu était beaucoup plus violent que je ne le pensais, et voilà qu’il se trouvait dans un sale état. Je posais mon oreille sur son torse pour écouter son cœur et celui-ci battait toujours, mais faiblement. Cet enfant avait besoin de soins urgent que moi seul je ne pouvais lui donner. Je réfléchissais à toute vitesse, au point de me faire exploser les synapses. Je n’avais pas le choix, il fallait que je le conduise à l’hôpital du village, au risque que son état s’aggrave en route.
Avec précautions je le soulevais dans mes bras, avant de me mettre en route. Sautant sur les toits des maisons du village, l’ascension était compliquée ! L’architecture du village de Kumo était assez particulière, et le nivellement différent à chaque nouveaux sauts. Mais bien vite l’hôpital était en vue. Je jetais de temps à autres des coups d’œil au garçon pour surveiller son état. Faites que j’arrive à temps ! Arrivée devant les portes de l’hôpital, l’endroit était étrangement calme.

- AIDEZ-MOI ! J’AMENE UN BLESSÉ GRAVE !

Est-ce que quelqu’un me répondra ?

Spoiler:
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Message(#) Sujet: Re: Profession improvisée, situation de crise au village de Kumo [Quartier Résidentiel - Aide médicale] Profession improvisée, situation de crise au village de Kumo [Quartier Résidentiel - Aide médicale] EmptySam 9 Fév 2013 - 18:28

    CONTEXTE RP :

      Le petit meurt, RP fini.

    RÈGLES :

    • Non respect de la consigne (on demande de soigner un petit et t'inventes pleins de trucs), RP totalement à part. RP clos.


    AUTRE : Blessé mort. 0/1 points.
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Message(#) Sujet: Re: Profession improvisée, situation de crise au village de Kumo [Quartier Résidentiel - Aide médicale] Profession improvisée, situation de crise au village de Kumo [Quartier Résidentiel - Aide médicale] Empty

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