N'oubliez pas que vous pouvez voter toutes les deux heures sur les cinq Topsites pour le forum !
Rappel : Chaque RP doit au minimum faire 15 lignes, soit 1400 caractères espaces non compris minimum.
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

Partagez
 

 Dommage collatéraux (PV Sayoko)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Nukenin
Asshu Kaderik
Asshu Kaderik
Informations
Grade : Nukenin de rang S
Messages : 1607
Rang : S

Dommage collatéraux (PV Sayoko) Empty
Message(#) Sujet: Dommage collatéraux (PV Sayoko) Dommage collatéraux (PV Sayoko) EmptyJeu 4 Oct 2012 - 22:01

    Cela ne faisait que deux mois, que j'avais quitté Konoha en me faisant passer pour mort. Sendaï faisait ce qu'il avait à faire avec Haru, pendant que moi, j'avais ordre de ne faire absolument aucun bruit... J'avais choisis pour cela Tsuchi no Kuni. Pays en guerre civil perpétuelle, en proie aux guerres de clan et de bandits. Il n'y avait pas le moindre pouvoir centralisé là-bas. Aucune organisation. Les informations filtraient et les shinobis de l'extérieur intéressait pour le moment que très peu les membres de ce pays.
    Je m'étais posé surtout dans unique village. Il était tenu par un clan Yakuza du nom Toshiba. Les Sekigawara tentaient de temps à autre de prendre la première ressource financière de ce clan. Un bordel de luxe dans lequel je m'étais définitivement logé. Le marché était simple, pas de question à mon encontre, le gîte le couvert et la finition de l'une de leur fille, en échange j'aidais dans les affrontements. Ils se faisaient rare et ne causaient pas vraiment de soucis de toute façon.
    La fille en question a laquelle je m'étais attaché s'appelait Kiyoko. Une très belle jeune femme. Souvent nous nous contentions de discuter. Mais pour cette journée. Je découvris de la bouche de mon "employeur" que ce ne serait pas Kiyoko qui viendrait me voir.... Ce fut le début de cette curieuse histoire.

    La journée fut fade. Nous avions essuyé une attaque d'ampleur. Koga, un vieillard habillé comme un samouraï avec une queue de chevale, me tenait compagnie dans l'une des pièce commune. Une sorte de salon avec divans, coussins, grande table avec à boire et des femmes... Je ne buvais jamais d'alcool, il était donc seul à boire, mais je n'étais pas sans vice, puis que je me délectais d'une bouffé de tabac en tirant sur ma pipe. J'étais fatigué, il se faisait tard, environ 22 heures et il continuait de pleuvoir dehors. Cela ne s'était pas arrêté depuis le matin. Pour cette fois, il y avait peu de garde, il y'avait eu une refonte comme ils appelaient ça. Pour remplacer les femmes assassinées par leurs ennemis. C'est à ce moment qu'il me balança la nouvelle. Nous parlions bas et gravement à la fois. Je me sentais à l'aise avec cet homme parce qu'il était comme moi, froid, neutre, calme,... Étrange...


      -Au fait je suis désolé, mais tu n'auras pas Kiyoko pour ce soir.
      -Pourquoi cela ?
      -Je l'ai envoyé au nord, pour satisfaire un client.
      -Nous étions d'accord pour qu'elle n'ait plus à faire ça il me semble.
      -Ne t'en fait pas. Il ne s'agit que de négociation.
      -Je serais donc seul pour ce soir. Dommage. Je dormirais plus tôt au moins.
      -Allons... Tu te doutes bien que je n'ai pas vite pris les devants.
      -Tu vas me présenter une nouvelle ?
      -Elle est arrivé hier. Elle a besoin de quelqu'un de facile à prendre pour se faire la main.
      -Merci de compliment. J'ai d'un formateur de putain ?
      -Ne le prend pas comme ça. Tu verras tu ne seras pas déçu.
      -Elle n'aura rien cette nuit. Il n'y a que Kiyoko qui m’intéresse.
      -Ce que tu es borné. Mais quand tu la verras tu changeras d'avis.


    Le viellard fit un signe de main à l'un de ses hommes. Celui quitta immédiatement la pièce. Et à peine le temps de discuter des pertes, que je le revoyais en train de se faufiler entre les clients et les hôtesses. Cependant il n'était pas seul. J'admets volontiers qu'une pareille beauté ne laisserait aucun homme de marbre... Mais malheureusement, je fonctionnerais différemment, un beau visage ne suffisait pas. Il fallait une belle âme en plus, pour qu'une femme puisse m'atteindre. Mais la pauvre n'y était pas pour grand chose. Et je savais ce qui l'attendait si je refusais de l'emmener. Une nouvelle qui tombe entre les mains d'un sadique comme ceux qu'on trouve ici risque toujours d'en ressortir traumatisé si elle n'est pas un minimum préparé. Celle jeune femme, ne semblait pourtant pas bien effrayé par quoi que ce soit. Elle me paru même un peu trop à l'aise. Peut-être ignorait-elle dans quel fourbis elle s'était fourré en même temps. Je dirais même, à force de la regarder, que quelque chose clochait mais sans pouvoir dire quoi. Mes yeux sanguins étaient fixé sur elle, tandis que je me retenais d'utiliser un genjutsu sur elle pour fouiller son cerveau. Le Jigokugan ici avait fait ses preuves. Même si heureusement, bien que les gens s'étaient habitués à voir mes yeux, personne ne comprit de quoi il résultait réellement. Je laissais ma pipe sur la table et me redressait sans la quitter du regard. Je pris un ton calme et serein, bien qu'un tant soit peu autoritaire. Le vieillard sourit, mais n'intervint pas. Trop de bruit, lumière tamisé, il s'était manifestement arrangé pour que je sois à mon aise. Peut-être craignait-il mon départ et ainsi une nouvelle attaque. Alors que je n'avais absolument pas l'intention de m'enfuit pour le moment d'ailleurs...

      -Je te suis, mène moi là où tu dois.
Revenir en haut Aller en bas
Nouveau
Fuji Sayoko
Fuji Sayoko
Informations
Messages : 109
Rang : C+

Dommage collatéraux (PV Sayoko) Empty
Message(#) Sujet: Re: Dommage collatéraux (PV Sayoko) Dommage collatéraux (PV Sayoko) EmptyJeu 4 Oct 2012 - 23:44


Rouge, tel le sang, rouge, tel l'amour. Rouge, tel la haine que je te porte.

La colère se lisait dans les yeux de bien des personnes. Pourquoi? Parce qu'un autre homme qu'eux aurait la première fois d'une petite pucelle (vous avez dit pucelle ? Dois-je en rire?) Une haine brûlante et dévorante qui pourtant se taisait face à un fait bien plus grand: la force. L'homme a qui la nouvelle allait appartenir cette nuit était bien plus fort que tous ses hommes, et même réunit, ils savaient tous qu'ils ne pourraient absolument rien face à lui.

La belle avançait. Ses pas faisaient claquer les talons hauts de ses botes de cuir. Elle suivait de près le garde qui était venu la chercher. Elle observait les hommes autours d'elle, avait elle réellement besoin de faire ses preuves? La "fillette" observait. Elle s'amusait des regards langoureux qu'on lui portait. De ses airs rêveurs à son passage, de ses œil lubrique et de ses idées salaces. Mais, aucun n'avait d'utilité. Aucun n'était apte à se qu'elle voulait. Aucun n'étais apte a lui apportait la couverture qu'elle désiré
Aucun ne pouvait la protéger comme elle le désirait.
Sauf un.

Cet homme là, assis à la table de son soi disant maître. Il paraissait qu'il gardait près de lui une magnifique femme. L'une des favorites pourtant, mais qu'il avait le loisir de l'avoir que pour lui. Enfin, officiellement. Et pourtant, à l'heure actuelle elle n'était pas là, était cet un coup du sort ? Certainement pas, la belle n’y était pour quelques choses et son regard azur se posa enfin sur les pupilles rouges du jeune homme assis là.

Sayoko le regarda, il était autoritaire dans ses mots, cela la fit sourire, un sourire félin, amusé. Elle croisa les bras devant elle, l'observant un instant. L'homme était bien salle, et ses yeux d'un rouge scintillant semblaient porter la galaxie en leurs cœurs, brillant d'un bleu discret. Elle observa le reste de son corps, couvert de sang, elle n'avait aucune envie de le toucher. Il devait porter l'odeur de la mort, comme elle, elle devait être gravée, encré dans sa peau.

Alors, Sayoko leva la tête, semblant prendre un instant pour réfléchir. Ses yeux bleu se fermèrent et ses lèvres fine se pincèrent. Elle porta une main sur son cou ou elle dégagea ses cheveux long ébène qui tombait jusqu'en haut de ses hanches. Un serpent fin, finement tatoué se lovait sur son corps. Se dressant, semblant siffler, monter et mordre jusqu’à sa bouche. Comme pour un baisé. Un baisé empoisonné. Enfin, lorsqu'elle sembla décidée, elle baissa les yeux sur le jeune homme. Elle tendit la main vers lui et lui offrit ses doigts gantés.

- «  Venez donc, vous êtes trop salle pour monter dans une chambre.

Devait-elle choqué? Devait-elle vendre son corps? Faire semblait d'être fragile et complice? Devait-elle être claire? Devait-elle être vraie? Peut lui importait, mais, apparemment le vieillard fut tout de même surprit des mots de la jeune femme.

- Il me semble qu'il n'en aime qu'une non? Pourquoi me fatiguer à faire semblant juste pour lui plaire une nuit.

Elle souriait pourtant toujours lorsqu'elle eut ses mots, s’adressant particulièrement à son mac. Mais, avant que celui ci n'ouvre sa vilaine bouche, elle attrapa la main du Ninja (elle était sur qu'il en soit un, il avait les mains qu'il fallait) et fila tout droit en direction du bain, toujours souriante, comme une enfant. Sayoko poussait les hommes devant elle pour qu'ils dégagent le chemin. Leurs regards d'abord colérique, près à frapper, se changeait ensuite en un regard craintif. Ils s'écartaient donc sans en réclamer plus. Sayoko s'amusait. Rapidement, ils arrivèrent au bain, vide, ou plutôt, elle avait réservé ses derniers pour être totalement à son aise avec l'homme, et que lui, de ce fait, le soit aussi. Ou peut être pas. Dans les deux cas, cela ne pouvait qu'amuser et plaire à Sayoko. Elle n'était pas bien difficile après tout lorsqu'elle était en mission.
L'Ange laissa le Démon s'installer et s’asseoir sur l'un des petits bancs de bois sombre.

- Je suppose que vous aider ne serait pas du luxe.

Alors, la demoiselle commença par défaire ses propres apparats. Lentement mais sans sensualité, elle défit ses gants, puis ses botes. Elle resserra le obi de son kimono de soie trop fine puis se pencha sur l'homme, un sourire amusé toujours aux lèvres. Lorsqu'elle approcha, et bien que l'odeur ne la gêner par réellement, elle feinta un rictus de dégoût et une mimique surprise.

- Combien doit-on avoir de mort sur les épaules pour porté une odeur pareille? Se n'est peut être pas plus mal que Kiyoko-san ne soit pas là.

Doucement, elle défit se qu'elle pouvait défaire. Lambeau de tissus et autre, mais, il y avait bien des choses qu'il portant qu'elle ne pouvait pas faire seul. Mais pour le moment, elle devait s'occuper d'une autre partie de son corps : son visage.
Ses traits lui semblaient finement tailler dans la glace, un visage apollonien qui devait susciter bien du désir. Mais, il était bien trop froid, bien trop distant a son gout. Il n'était ... Presque pas drôle se disait elle.
Elle prit une petite éponge qu'elle avait dans une boite préparée juste à cet effet, puis tamponna celle ci sur le visage du jeune homme. Lentement, avec délicatesse. Soudain, la jeune femme eut une moue bien triste sur son visage d'ange. Elle sembla surprise, puis triste de découvrir les traits et les creux de cette homme. Comme si sa vie de misère en aurait valu mile, temps sa peau semblait tannée par des années qui n'en étaient pas. Elle soupira, plus triste encore.

- Je ne suis pas elle, mais je peux au minimum vous tenir compagnie. Mais aidez-moi pour le reste. »

Revenir en haut Aller en bas
Nukenin
Asshu Kaderik
Asshu Kaderik
Informations
Grade : Nukenin de rang S
Messages : 1607
Rang : S

Dommage collatéraux (PV Sayoko) Empty
Message(#) Sujet: Re: Dommage collatéraux (PV Sayoko) Dommage collatéraux (PV Sayoko) EmptyVen 5 Oct 2012 - 21:08

    Très franchement, au début, elle ne m'intéressa pas vraiment. Mais quand elle ouvrit la bouche. Alors tout changea. Une femme aussi, belle soit-elle, ne pouvait m'atteindre tant qu'elle paraissait ne pas cacher son âme. Ce naturel me plaisait, son culot aussi, Il était loin d'atteindre celui de la Nomade, mais qui le pouvait... Mais elle me rappelait surtout quelqu'un d'autre, encore plus que Kiyoko. Il aurait suffit que ses cheveux soient attaché plus en hauteur et que son regard se fasse plus bienveillant. Alors je l'aurais retrouvé quelques instants. Je ne laissa malgré tout rien transparaître. A cette époque, les années à me cacher n'avait pas n'avaient pas encore amoindrit ma dureté. Cependant ne l'a pas quitté, je l'ai totalement laisser faire. Impossible de délogé mes yeux de sa silhouette. Heureusement, mon visage restait de marbre. Presque inerte, toujours cette capacité, que je transformais bien plus tard en calme, que j'avais de faire comme si rien ne m'atteignait.

    L'idée du bain m'avait tout de suite séduite. Dans cet état je ne devais pas être des plus agréables, Kiyoko avait mit des semaines à s'y habituer. Elle prit directement les choses en main à la première rencontre... Seulement. Personne dans le bain... J'eu l'impression sur le moment de tomber dans un Guet à pan. Mais là encore je ne laissa rien transparaître. Me laissant volontairement toujours guidé, quelque peu intrigué par cette étrange ressemblance. Une nouvelle gêne s'accumula. Mais je ne dis toujours le moindre mot. Elle m’ôta tous les lambeaux possible. Je me trouvais assis sur un banc, la moitié de la peau de mon buste nu... Ce ne fut pas la meilleur façon de me mettre à l'aise. En ce temps, ma pudeur était chose précieuse, et peu pouvaient dire m'avoir vu dans ce genre de tenue... Sa question ne me dérida pas. Mais cette fois je ne restais pas silencieux. Ma réponse se fit automatique et courte. Affreusement fataliste.


      -Toujours trop...


    Quand elle en vint à débarbouiller mon visage. Et que cela, fut aussi agréable, que rapide, je ne pu rester cette fois de marbre devant son visage changeant. Je me sentais désolé... Kiyoko eut la même réaction. Je ne pouvais pas lui en vouloir. Mon faciès se fit plus doux, l'air désolé.

      -Cela a été une journée bien rouge... Mais je ne suis pas toujours comme ça.


    Enfin, quand elle me fit sa demande. Je lâchais l'esquisse d'un sourire. Je n'étais pas épris d'elle, ni apprivoisé, mais cette franchise m'a simplement plus. Alors je me redressais et l'invita à en faire de même. Encore une fois, son visage me frappa. J'avais envie de garder sa compagnie, au moins le temps que Kiyoko revienne. C'était odieux de ma part, car en vérité, ce n'était pas elle que je cherchais, mais bien cette fille à qui elle ressemblait. Heureusement elle ne le savait et ne savait rien de cette fille. Je n'allais d'ailleurs pas luire quoi que ce soit à ce sujet. Je passais devant elle pour me diriger vers le bain, les yeux fixés dessus et donc longuement détacher des siens. C'est bien en marchant que je lui répondis, jusqu'à arriver à l'eau pour y entrer aussi délicatement que possible.

      -C'est gelé... (bas à moi-même). Je m'appelle Jin-Roh... Ce sont les Yakuza qui m'ont appelés comme ça. Tu me donneras ton nom quand tu le jugeras utile et si tu le souhaites. Je vais essayer de te faciliter la vie. Le vieillard va t'obliger à rester au près de moi. Si tu ne dois pas déjà m'espionner pour son compte il te demandera de le faire, comme pour Kiyoko. Ca ne me dérange pas vraiment. Si je te repousse ça risque de mal finir pour toi. Mais par contre, évitons de faire quoi que ce soit de (temps d'arrêt), enfin qui pourrait sembler hors conversation...


    Je posais les mains sous le niveau de l'eau, mais avant je m'étais déjà dévêtu tout le torse. Les fuin sur les poignets étaient donc visible, mais surtout celui de la poitrine, semblant apparenté au bouddhisme. Je fis alors rougir mes mains pour réchauffer l'eau. Elle atteignait à mesure du temps que je pris à continuer de parler, une chaleur avoisinant les quarante cinq degrés...

    • -Pour moi, l'eau doit être aussi brûlante qu'elle le peut pour vous, Sinon elle me parait glacial. Tout corps humain s’habitue au bout d'un certain temps à la température de l'eau. Particularité physique étonnante d'ailleurs. Mais je comprendrais que tu le refuses. Kiyoko n'accepte pas toujours. Ça ne brûle pas. Mais il y'a risque de palpitation.


    Mes mains sortirent enfin de l'eau. Puis je me saisissais de la bassine pour me la verser dessus. Encore une fois, je frissonnais de froid. Je vis alors le sang se diluer dans l'eau... Je le regardais un moment, puis je repris la parole. Mais mon regard s'abaissa de honte, alors que je faisais mon possible pour que rien n'y paraisse de dos.

      -N'entre pas du tout dans cette eau en fait... Elle est malsaine.
Revenir en haut Aller en bas
Nouveau
Fuji Sayoko
Fuji Sayoko
Informations
Messages : 109
Rang : C+

Dommage collatéraux (PV Sayoko) Empty
Message(#) Sujet: Re: Dommage collatéraux (PV Sayoko) Dommage collatéraux (PV Sayoko) EmptyVen 5 Oct 2012 - 22:42


« Lorsque j'aurais revu ton visage, alors je ne pourrais plus m'arracher a la lueur de ton regard.»
Parce que plus rien n'agite ton coeur;

La jeune femme l'écouta, sans rien dire, elle but ses mots. Un à un, elle les analysa. Intégrant les émotions des ses mots ternes. Tentant de deviner une idée, une allure à prendre. Tentant de savoir. Mais, la belle femme à la trop longue chevelure d'un noir corbeau vit dans les yeux du jeune homme une lueur qu'elle avait vue dans les yeux de bien d'autre homme avant lui. Ce n'était pas elle qu'il voyait. Mais, c'était plutôt comme ci il regardait par dessus son épaule. Chacun de ses regards qui la dévisageaient gravement semblaient se porter bien plus loin que se qu'elle même pouvait voir. Mais, bien que, sans doute, pour une femme commune la situation aurait pu être fort déplaisante, Sayoko s'en fichait royalement.

Il ne lui fallait que du temps pour ajuster ses formes et son humeur. Il ne lui fallait que quelques autres mots pour comprendre. Pour savoir. Pouvait-elle faire de lui la protection de sa vie pour cette mission? L'observant toujours, elle vit les sceaux sur son corps qu'elle détailla quelques fractions de seconde. Evidemment, elle n'était pas maîtresse de fuinjutsu et elle ne comprenait pas ses derniers. Mais si elle les gardait imprimé assez longtemps dans son cerveau, elle pouvait peut être demander quelques explications plus tard. Alors, Sayoko détailla du regard le corps de l'homme. Passant sur ses fesses comme sur ses cuisses, ne se lassant pas de cette perverse observation. Elle laissait couler dans ses yeux une capricieuse envie.

- « Sachez, commença Sayoko, que je ne suis pas là pour vous espionnez. Je pense que je ne suis pas assez doué pour ça ou plutôt, il pense. Mais retenir tous un tas d'information, c'est tellement ... Pas amusant. On m’a juste demandé de vous garder ici pour cette nuit, le temps que Kiyoko-san revienne.

Sayoko approcha enfin, ramassant se que l'homme avait posé pour les éloigner le plus de l'eau. Posant ses derniers non loin, mais tous de même à bonne distance pour ne risquer aucun maux d'eau. Puis elle se remit à l'observer. En effet, plus il avançait dans l'eau et plus cette dernière devenait cramoisie. Sayoko n'en était nullement dégoûté, elle n'aurait pas dit que cela l'excitait mais elle voyait en ses actes une espèce d'absolution pour tous les crimes qu'il avait commis durant cette journée. Encore une fois, elle sourit, un fin sourire félin, en coin, qui plissa légèrement ses yeux bleu.
Lorsque les yeux de la Princesse furent assez rincés de la vision presque angélique de cet homme, elle approcha enfin de l'eau, se dénudant un peu plus à chaque pas, déliant son obi pour ouvrir son kimono. On ne voyait qu'un fragment d'une très longue cuisse très palle ainsi qu'un somptueux décollète ouvert sur une poitrine n'y trop menu n'y trop vertigineuse. Levant les doigts vers ses épaules, elle fit glisser son kimono sur son dos, roulant à ses chevilles. Malheureusement, aucune meilleure vision ne se laissa offrir. Bien trop longue, la chevelure de la jeune femme cacher à merveille les deux beaux et hauts seins qu'elle portait. Quand à une plus basse intimité, elle était elle aussi masqué mais cette fois derrière une petite serviette carré. S’assaillent au bord de l'eau, de profils à l'homme elle posa le bout du pied dans l'eau. Trop chaude sans doute pour la plupart des êtres humains.
Sayoko fut parcourut d'un long frisson. Son regard bleu joueur et souriant laissait voir des émotions de jeune femme en fleur, confiante, peut être même trop, en la situation. L'Ange semblait bien trop innocent en ses lieux de lubricité. Elle releva la tête et enfin plongea une partie de sa jambe qu'elle ressortit presque aussitôt avec un sourire en coin ainsi qu'un frisson sur la nuque.

- Mmm chaud ... Gémit elle.

Alors, encore, elle plongea la jambe, cette fois accompagner de sa sœur jumelle. Jumelle? Pas tout à fait, l'une semblait bien plus étrange que l'autre, pour une femme de joie. Elle était blessé? Pas vraiment, une longue cicatrice courrait sur l’extérieur de sa cuisse marque indélébile d'une arme de combat qui aurait pu l’amputer de ce si jolie membre qu'est cette jambe si longue.
A l'aide de ses mains, elle fit remonter l'eau jusqu’à ses genoux qui rougirent un moment au contact de cette eau trop chaude. Des vapeurs s'élevaient dans le lieu, emmitouflant d'une brume vaporeuse le corps de la belle. Elle soupira, soufflant, rougissante dans cette chaleur. Ses pommettes se faisaient plus rouge, son cœur s'emballait, elle eut un autre sourire, comme dans un moment d'extase, et pencha la tête sur le coté, par envie.
La chaleur semblait la rendre complètement intoxiqué de plaisir. Ses lèvres s'ouvrirent pour soupirer et s’essouffler mais, ses reins, oscillant, semblaient vouloir aller bien plus loin dans cette dévorante chaleur, dans ce dévorant plaisir.

- Cette eau vient de vous lavez de vos "péchés", pourquoi serait elle malsaine? Elle est juste d'une jolie couleur d'un amour vermeille. Déclara la jeune femme tous en observant l’eau couleur vin.

Un autre sourire vint fleurir son visage, elle tourna la tête vers le jeune homme, l’observant alors que dans sa poitrine s’agitait son cœur. Elle ne savait plus bien pourquoi, était ce pour la chaleur ou pour cet homme?
Nul doute que lui le la laissez pas indifférente. Comment l’être de toute façon? Même la putain la plus pratiqué de toute la ville n’aurait sans doute pu que se trouver belle face à son regard. Même la plus laide des femmes du monde aurait pu succomber à n’importe quel fantasme si elle avait croisé ses yeux. Même la plus entrainé des Shinobi aurait pu se laissé allait à des débris de rêve.
Et, Sayoko n’était aucune de ses trois personnes. N’y une putain trop pratiqué (bien au contraire.). N’y une femme laide. N’y une grande Kinoishi.
Elle ne pouvait donc que naturellement succombait à quelque envie et fantasme

- Ai-je au moins le droit de penser à des choses … Hors conversation? » Demanda-t-elle enfin après un long regard tendancieux.
Revenir en haut Aller en bas
Nukenin
Asshu Kaderik
Asshu Kaderik
Informations
Grade : Nukenin de rang S
Messages : 1607
Rang : S

Dommage collatéraux (PV Sayoko) Empty
Message(#) Sujet: Re: Dommage collatéraux (PV Sayoko) Dommage collatéraux (PV Sayoko) EmptySam 6 Oct 2012 - 12:41

    Elle savait parlé. C'était un bon point. Mais d'instinct, j'analysais toujours tout, la confiance que je pouvais porter en quelqu'un ne changeait rien à cela. C'était comme respirer. Et elle, bien qu'elle ne me laissait pas de marbre, ne dérogeait pas à cette règle. Elle savait parlé encore une fois. Il y'avait dans son discours, la preuve d'une éducation. Fille de noblesse déchu vendu comme prostitué ? Cela arrivait si souvent sur Tsuchi no Kuni... Les gens éduqués étaient par définition plus dangereux. Les tyrans des anciens temps ne s'y trompait pas, en conservant les domaines artistiques comme l'écriture à des élites. Elle avait choisit l'eau. Sans même avoir un regard dégoûté. Il n'y avait qu'une âme sombre pour faire cela. Se plonger délibérément dans le sang des morts. Ce n'était pas un bain de sang heureusement. Mes les filets étaient là, elle cela ne l'a pas gêné. La chaleur ne l'avait pas laissé indifférente. Je l'avais bien vu. Mais ce ne fut pas le détail qui m'interpella le plus.

    En plongeant dans cette eau, mon regard un peu trop vagabond n'a pas pu s'empêcher de remarquer cette cicatrice. Elle était loin d'être le coup d'un accident domestique. C'était un coup de sabre ça... Son profil se précisait déjà un peu plus. Combattante ? Pas forcément. Mais la possibilité était désormais suggérée. Elle pouvait aussi être une victime d'une attaque de village. Tsuchi no Kuni connait un lot d'histoire dramatique aussi banale qu'un impressionnant. Je prévoyais déjà en ce temps de commencer à y mettre un terme avec la Nomade. Sans encore savoir comment...

    Quand je dis que l'eau ne l'a laissa pas indifférente. J'étais encore loin du compte. Ce genre de réaction, parvint à me faire perdre une fraction de seconde la neutralité de mes traits. Surpris, intrigué peut-être, elle était bien plus charismatique, à sa façon que bien des femmes que j'avais connu. Il me paraissait aussi évident qu'elle en jouait. Elle jouait simplement son rôle Peut-être, à moins qu'elle ne soit réellement ainsi, dans tous les cas la "prestation" valait le coup d'oeil pour n'importe quel homme. Sa phrase concernant la couleur de l'eau, me fit plisser le regard sur le sien. J'attendis quelque seconde avant de répondre. Alors, je restais neutre, mais d'une intonation plus élevé qu'à l'accoutumée.

      -Le rouge.... Ce n'est pas la couleur de l'amour. C'est celle de la passion. Mais la passion à souvent des conséquences néfaste, pour qui en jouit.


    Quand elle répondit, bien après ce long sourire captivant, cette fois je ne rompis pas la glace. Je me sentais mal à l'aise. Très mal à l'aise. La situation, je ne la gérais pas. Et quelque chose je ne peux pas contrôler, je m'en n'éloigne inévitablement. Ce n'était pas tellement elle le problème. Mais moi qui ne voulait pas d'une sorte, d'explosion de passion dans une baignoire remplit de sang. Et puis,... Sa ressemblance avec Saya était encore trop frappante, mais aussi pas assez, pour que je puisse me libérer. Je me dirigeais hors de l'eau, maintenant que je me sentais plus proche. Sa chaleur redescendit d'une bonne dizaine de degré dès que j'en fus totalement sortit. Je lui tournais enfin le dos. Il ne devait rien transparaître, et mon visage cette fois risquait bien de me trahir. Le mensonge, est tout un art, et il est loin d'être aisé contrairement ce que beaucoup pensent. Mon ton heureusement, resta glaciale.

      -Les vrai démon ressemblent plus à un ange, qu'un ange... Je vais me coucher. Si tu es de celles qui font le service, on se verra au déjeuné de demain. Sinon à demain soir.
Revenir en haut Aller en bas
Nouveau
Fuji Sayoko
Fuji Sayoko
Informations
Messages : 109
Rang : C+

Dommage collatéraux (PV Sayoko) Empty
Message(#) Sujet: Re: Dommage collatéraux (PV Sayoko) Dommage collatéraux (PV Sayoko) EmptySam 6 Oct 2012 - 14:54

Sayoko eut un fin sourire. Elle regarda partir l'homme et, elle était plutôt satisfaite de se qu’elle avait apprit cette nuit. Elle n'était pas restée très longtemps avec lui, mais cela n'avait pas grande importance. Se faire un allié en une nuit est impossible. Mais, elle pouvait tout de même voir les progrès qu'elle avait faits. Il lui parlait. Il lui avait même indiqué, subtilement et peut être même consciemment qu'il voulait la revoir. Devait-elle céder à cette tentation? Renforcer le lien? Ou déjà teindre leurs liaisons d'un rouge si profond qu'on le croirait ténèbres. Couleurs poison.

La jeune femme sourit encore, un léger sourire qu'elle laissa se figer et s'attendrir. Elle l'observa partir, se demandant si elle pouvait réellement se servir de cette homme. Un homme qui l'avait surprise de sa douceur et de sa profonde gentillesse.
Sayoko pensait qu'il voulait certainement, juste être tranquille. Juste se reposer. Mais se reposer après quoi?

Sayoko ne le retint donc d'aucun mot. Et lorsqu'elle eut elle même finit de se laver, elle sortit des bains pour rejoindre sa propre chambre.

Prête à se mettre au lit, du moins, à reposer son corps pour la nuit, elle grimpa les escaliers de la maison close, Lorsqu'une main dure et ferme vint la retenir par le bras. Sayoko se retourna, elle observa les yeux révulsaient de colère de ce vieillard qui n'était pas satisfait de la prestation de cette femme qu'il avait pourtant acheter très cher a un homme qui y tenait beaucoup. Sa grande beauté y était sans doute pour quelque choses mais ... Comment avait elle pu laisser filé ses ordres ainsi?

- « Qu'es ce que tu fais là?
- Vous me fête mal.
- Qu'es ce que tu fais là ! Répéta t il, hystérique.

La jeune femme eut un sourire. Elle se pencha sur lui et lui dit d'une voix douce, comme un soupire.

- Vous n'êtes pas satisfait?
- Bien sur que non! Tu devais être avec Jin-Roh!
- Pourquoi déjà ? Ah! Oui, pour lui faire oublier cette Kiyoko. C'est vrai qu'elle s'est tellement attaché à lui qu'elle n'est plus bonne a rien. Ou l'inverse peut être.
- Tss... Si tu ne veux pas faire ton travail, j'ai bien d'autre homme à te faire tenir toute la nuit ...

Un sourire vicieux accompagna les mots du vieux pervers. Sayoko y répondit elle même par un sourire.

- Pensez vous vraiment que votre homme sera satisfait de moi si je couche avec un autre alors que je devrais être à lui?

Rien n'accompagna ses mots. La jeune femme arracha son bras des mains du vieil homme.

- Bien. Nous sommes d'accord. Laissez-moi faire maintenant. »

Sayoko s'inclina devant le vieil homme, qui était, l’espace de quelques semaines, son chef. Elle s'éloigna donc en direction de ca chambre et entra en soupirant, regardant dormir bien d'autre fille qui n'était pas de service cette nuit. Même les putes avaient besoin de se reposer de temps à autre.
La jeune femme se mit dans un coin de la pièce près de la fenêtre, observant la lune qui la fixait avec mécontentement.
Oui, Sayoko savait. Cette mission était très dure, à faire sur deux fronts. Avoir la confiance de bien des hommes pour pouvoir aller plus loin. Le maître des lieux devait lui faire assez confiance pour la donner à ce grand seigneur, mais, il ne devait pas assez l'aimer pour avoir l’égoïsme de la garder pour lui. Et en même temps, Sayoko n'avait aucune envie de donner son vagin à n'importe qu'elle homme qui passerait dans cette auberge de plaisir. Elle voulait se garder intacte et l'idée même d'offrir son corps la répugné. Mais si il le fallait … Elle soupira encore lasse de cette dure journée. Le serpent sur sa gorge frémit et la jeune femme s’emmitoufla dans une lourde couverture.

Au moins, pour cette nuit, elle était relativement tranquille. Elle ne pouvait pas encore se permette d'aller dans la chambre du Guerrier, cela aurait été bien trop rapide. Mais Sayoko s'imagina qu'il était en train de la désirer, au moment même où elle, elle sombrait dans un demi sommeil gardait par le serpent de vie.

La nuit fut courte, car évidement, lorsque l'on est prostitué de bas étage, on doit faire toute les salles besogne du matin. Se qui est de sortir les ivrogne qui se sont effacer devant la porte d'entrer, nettoyer les saletés des chambres et du rez de chaussé. Saleté innommable que Sayoko voyait brillait, et collé sur les sols et les coussins.
Beurk, se disait-elle quelques peu dégoûté à l'idée de toucher la substance de gens qu'elle ne connaissait sans doute même pas.

- «  Merde! Fit une voix rauque, en même temps qu'un claquement, sans doute une gifle.

Sayoko eut un sourire intérieur, elle releva la tête et fit sortir une fille en larme et au sanglot rauque des coulisses de la 'somptueuse' scène de cabaret obscène du borde.

Le vieillard en sortit à son tour. Se massant la main accompagné de l'un de ses sous fifre. Sayoko tendit l'oreille pour comprendre les mains, lisant dans leurs esprits.

- Si on ne trouve pas de chanteuse pour se matin les clients ne vont pas être content! S'écria le vieux.

Son sous-fifre hocha la tête. Sans rien ajouter, lui qui n'était qu'un pantin ne pouvait sans doute pas trouver une idée. Sayoko attendit. Elle tourna les yeux vers la femme qui s'était jeté sur un coussin et s'approcha d'elle d'un air désolé. Elle lui tendit un mouchoir. Après tout, même si Sayoko était coupable d'avoir enraillé la voix de la chanteuse matinal, mais, évidement, elle ne pouvait pas laisser une femme ainsi larmoyante. Après tous, elle était la cause de se chagrin.

- Y'a pas une putain de traîné pour chanter se matin?!

Une "putain de trainé" ? N’était ce pas là une répétition plutôt abjecte pour désigner les femmes qui travaillaient pour lui? Sayoko eut un pincement de lèvre puis approcha.

- Moi je sais. Dit-elle alors.

Le vieillard la regarda, soupçonneusement. Mais aucun mensonge ne s'afficha sur le visage de la belle femme.

- Bien, prépare-toi. »

Gagner. Se dit Sayoko. Pourquoi avait elle était envoyée en mission ici? Parce que ca cible était un grand amateur de chanteuse. Il aimait s'accoupler avec se genre de donzelle, pour des raisons esthétiques et, Sayoko, en plus d'être belle avait une voix plutôt intéressante.

La jeune femme lâcha son balai et s'approcha de la scène. Elle la gravit, s'éloigna dans les coulisses. Ces derniers étaient si petite qu'on aurait jamais crus s'imaginer la dizaine de femme qui dansaient le soir s'entasser ici pour se changer. Mais le matin était résolument calme et ne servait qu'à appâter les clients. Une femme, bien entretenu était servit en entrer sur une belle scène illuminait seulement de quelques rayons de soleil.

La jeune femme se prépara donc, ne s’ornant d’aucun détail ou d’aucune parure. Revêtant seulement une simple robe d’un blanc presque immaculé

Sayoko n’était pas trop calculatrice en temps réel. Si elle avait connu ses gens dans d’autre circonstance, ils l’auraient sans doute trouvé bien distraite. Mais, au contraire, en mission, c’était presque un plaisir de faire se genre de coup. Des plaisirs tombés du ciel qui s’abattaient sur les hommes et les femmes autours d’elle pour qu’elle-même puisse être en avant sans même être au centre de la scène.

Lorsqu’enfin se fut l’heure de l’ouverture, la jeune femme sortit des coulisses et s’installa sur un haut tabouret posé la. Une guitare à la main, la jeune femme gratta les cordes, réaccordant l’instrument tous en attirant l’attention sur elle. Oui, la chanteuse était différente se matin, mais se n’était pas un mal! Elle était bien différente de la dame habituelle, mais, on ne pouvait encore dire que c’était un mal ou un bien.

Sayoko fredonna d’abord un air doux, comme pour éveiller les sens. Le micro près de ses lèvres répercutait le son de sa voix dans la pièce ainsi que dans les couloirs et dans quelques chambres. Puis, lorsque sa voix fut enfin elle-même prête, elle souffla quelques mots:

" ♫ Loin, loin, au monde, je sais la menace ♪
♪ Dans l‘insouciance, je fais la promesse: ♫
♫ D’être là, offrant de ma bouche fine ♪
♪ Des pensé clandestine. ♫
 »

Certain restaient muet, d’autres bavassaient avec d’autre. Certain n’avaient même pas fait attention à cette sublime voix dont la douceur angélique narrait des mots douloureux enrobé d’amour et de délicatesse. Et Sayoko s’en fichait pas mal.

«  ♫N’est pas de regret, fait moi confiance. ♪
♪ Et que tes douloureux doutes s’effacent.♫

♫ J’ai brisé se que j’étais. Pour faire saigner mes larmes. ♪
♪ J’ai fait de ta haine, de mon amour, une nouvelle arme. ♫

♫ J’ai fait tout ça, seulement pour toi. ♪
♪ Mais… J’ai mentit, j’aimerais quand même ♫
♫ Que quelqu’un me tendent la main. ♪
♪ J’aimerais quand même, que quelqu’un m’aime. ♫
 »

Sayoko leva les yeux sur l’auditoire, cherchant des yeux la personne pour qui elle devait chanter, le fameux ministre, et cherchant aussi la réel personne pour qui elle voulait chanter, l’homme aux passés torturé. Jin Roh, si seulement c’était ton vrai nom.
Revenir en haut Aller en bas
Nukenin
Asshu Kaderik
Asshu Kaderik
Informations
Grade : Nukenin de rang S
Messages : 1607
Rang : S

Dommage collatéraux (PV Sayoko) Empty
Message(#) Sujet: Re: Dommage collatéraux (PV Sayoko) Dommage collatéraux (PV Sayoko) EmptyMar 9 Oct 2012 - 22:02

    La nuit fut bonne. A peine dans le futon que je m'endormis. La fatigue, l'émotion, les gens comme moi n’éprouvait jamais de difficultés à dormir contrairement à ce que l'on pourrait croire. Trop de sommeil à récupérer pour veillez... Je me levais tôt, et me préparait rapidement comme chaque matin. Je mis les vêtements d'usage dans la maison pour les Yakuza, je m'y sentais ridicule mais je n'avais pas vraiment le choix. Une chose me manquait. Mes sabres... Je les avais laissé à Konoha pour mieux faire croire à ma mort... Du coup je me contentais de Katana, de mauvaise facture, qui se brisait bien trop souvent à mon gout aussi.
    En sortant de ma chambre, j'aperçu dans le fond du couloir l'ange de cette nuit qui transportait je ne savais quoi. Un regard fugace qu'elle n'eut pas le temps d'entrevoir... Je pris tout de suite la direction du salon. Il faisait faim comme on disait chez moi dans les temps de disette. Beaucoup étaient déjà présent, le vieillard en bout de la longue table et le reste assis sur un coussin tout autour. Je pris à côté de Kinan. Un petit jeune, qui m'ennuyait moins que les autres... Bien que parfois il avait le dont de poser les questions qui fâche.
    Les femmes servaient de puis un moment et continuaient de le faire. Je ne vis pas la donzelle pour cette fois. Mais Kinan ne pu s'empêcher de m'en parler dans ses termes...


      -Alors ? Raconte ? Parait que vous êtes allez au bain. C'était bien ?


    Il ne put s'empêcher de le dire avec ce petit sourire pervers et avare. Comme un gredin à l’affût de racontars. Je me crispais bien que ne bougeant pas, et demeurait silencieux. Mais il reprit. Comme si je ne pouvais simplement pas manger en paix...

      -Je te demande pas forcément les détails mais au moins un petit quelque chose.


    Je me saisis de mon sabre pour le redressais à ma hauteur. Il en avala de travers. Mais le vieillard me coupa dans mon élan d'une voix aussi élancé que mon action.

      -Garde ton sabre pour ce soir. Tu es en mission.


    Je redirigeais immédiatement mon regard le plus froid vers lui. Une mission ? Encore... C'était de l'exploitation. Et entre nous j'aurais préféré la passer autrement. Inutile de dire avec qui. Mais quand il me l'annonça je m'en suis satisfait et répondit d'un simplement hochement de tête suivit de quelques questions.

    • -Tu vas venir au restaurant, et veillez sur le ministre qui nous visite.
      -Ministre de quoi à Tsuchi no Kuni si je peux me permettre ?
      -De la ville principale de la région.
      -Comme tu voudras.
      -La nouvelle lui fera une chanson. Il parait qu'il est assez porté sur la chose.


    Je me crispais à nouveau. Un brin de jalousie peut-être, ou une manigance de ce vieillard qui arrivait à ses fins. Mais il n'arriverait rien tant qu'il ne ferait qu'apprécier son chant c'est ce dont j'étais sur. Veillez sur un imbécile de plus qui croire réunir le pays de la terre à coup de pot de vin. Le genre d'homme qui pour moi n'avait pas la moindre valeur. Au soir du fameux spectacle j'avais recouvré mes vêtement habituel. Lors de mission je refusais de porter ce Kimono ridicule. Ma place se trouvait juste derrière la table du ministre. Dans la pénombre. J'y étais et je n'avais absolument pas touché à mon verre. Je me contentais d'observer de ci de là dans le sombre et le visage voilé par la fumée de ma pipe. Quand le rideau s'ouvra, je redécouvris l'ange de la nuit dernière. Je me pris sur le moment à penser des paroles qui ne me ressemblaient pas. Du genre, "sa seule présence illumine cette salle"... Mais je me repris rapidement heureusement. Le choix de la chanson m'obligea à fermé les yeux ensuite malgré moi. Si beau, si souple, les musiques les plus douces peuvent dissiper les pires révoltes... Elle était la représentation incarnée de ce dicton. Ces paroles résonnaient de curieuse façon en moi. Comme un chant prophétique, si proche de mon existence qu'il en paraissait me faire perdre quelque instant toute mon impassibilité.
    Quand elle termina. Je relevais le regard sous un tonnerre d'applaudissement. Le pourceau de ministre apprécia tout autant. Je me levais instinctivement de ma chaise pour me diriger vers la scène. Je le fis en toute quiétude, en sortant de l'ombre et sans jamais cesser de la contempler. Étais-je conquis ? Peut-être pas encore, mais le premier pas était fait c'était certain.
    Le vieillard me servant de patron regarda cela d'une étrange façon, sans pouvoir dire qu'il s'agissait d'un bon ou d'un mauvais oeil. Quand j'atteignis enfin la scène, elle était en hauteur par rapport à moi, j'avançais au maximum de l'estrade et lui adressa la parole tout en lui tendant doucement la main. Pour la première fois, mon visage relevé vers le sien paraissait apaisé, un sourire sincère se discerna même sans problème sur mes lèvres.


    • -Je t'en prie. Accompagne moi.


    Nul sur le moment n'osa dire quoi que ce soit ou hurler. Ils attendaient surement tous de voir la réaction de la jeune femme.

Revenir en haut Aller en bas
Nouveau
Fuji Sayoko
Fuji Sayoko
Informations
Messages : 109
Rang : C+

Dommage collatéraux (PV Sayoko) Empty
Message(#) Sujet: Re: Dommage collatéraux (PV Sayoko) Dommage collatéraux (PV Sayoko) EmptyMer 10 Oct 2012 - 0:04

« Une écharde planté en plein cœur
Je t’observe graviter dans mes pleurs.

Lorsque tu mens, je sens mon âme se briser.
Lorsque tu mens, je sens la mort approcher.

Si seulement, oui si seulement, tu pouvais
Me dire la vérité. Alors peut être je pourrais
Rien qu’un peu, rien qu’un instant
Peut être que je pourrais t’aimer. 
»

Des mots qui résonnaient, comme le sont de millier d’oiseaux. Des sons qui sifflaient, comme les chants des anges dans les cieux, réconfortant leurs dieux des erreurs des Hommes. Des Pitoyables Hommes.
Je me balance encore sur les rythmes de la musique qui m’accompagne, mais je sens la fin proche, et je n’ai aucun mot à ajouter. J’observe les regards, je me sens étrangement bien là, sur cette scène. Je crois bien que si mes talents de ninja n’avait pas excité, je serais peut être devenu chanteuse. Peut être pas une chanteuse très connu, mais aux moins, j’aurai assouvi quelques pulsions. Des pulsions similaires a celle que je ressentais maintenant.
Lorsque je vis un homme se levait dans le fond de la salle, et le silence s’imposé, mon cœur manqua un battement.
Je le vi, lui, l’homme a qui j’avais fait inutilement la cour, approcher alors, qu’au fond, je n’avais plus réellement besoin de sa présence. Mon plan venait a son terme, j’allais, après encore quelques mimiques et quelques douleurs, pourvoir rentrer chez moi mais…

Son visage, celui qu’il m’offrit, fit enfin s’arrêter mon cœur. Mon âme fut plongeait dans les songes, et je ne sus plus très bien que faire. Je ne pouvais détacher mon regard de son cadeau. Dans ses yeux brillant, elle put lire l’apaisement. Dans son sourire fin, elle pu comprendre la tendresse. Que voulait il d’elle ? Que désirait il ? Sous le charme certain du jeune homme elle ne réalisa pas son geste avant d’entrer en contact avec la peau étonnamment douce du jeune homme.

Je cligna des yeux. Je n’avais pas pu contrôler le mouvement de mes doigts vers la paume du criminel. Je n’avais pas pu contrôler mes émotions et mon cœur avais reprit des battements bien plus rapide et désordonné.
J’ouvris la bouche, je voulais l’appeler, mais, aucun son ne sortie de ma bouche. Je ne put l’appeler, je ne connaissais pas son vrai nom. Je ne pus le nommer que par des idées qui me traversaient l’esprit … Sauvage, beau, noir, rouge, passion. Oui une passion ardente que je ne pu contrôler. Des mots que je ne pouvais dire. Qui était il? Que me voulait il ?
Qui étais je déjà?

Je lui souris, je caressa la paume. Le pouvais-je vraiment? Pouvais-je tous oublier pour répondre à nos désirs?
Mes envies dominé ma vie mais, dans tous ça je n’étais pas la seul à décider.

Oh et puis, qu’importe, je pourrais m’en sortir tôt ou tard. J’en étais presque sur, et, bien que ses yeux m’enfonçaient dans l’abysse d’un songe hardent, je répondis:

- J’irais où vous voudrez. »

Lui murmurais je alors d’un un souffle, descendant de scène, toujours ma main dans la sienne.

Mais, il était certain que cela n’allait pas forcement plaire a tous le monde. La fête était pour le ministre. J’étais là pour lui, comme un cadeau, un pot de vin pour laisser la maison close tranquille. Un jouet. Une offrande. Un présent empoisonné.
Revenir en haut Aller en bas
Nukenin
Asshu Kaderik
Asshu Kaderik
Informations
Grade : Nukenin de rang S
Messages : 1607
Rang : S

Dommage collatéraux (PV Sayoko) Empty
Message(#) Sujet: Re: Dommage collatéraux (PV Sayoko) Dommage collatéraux (PV Sayoko) EmptyVen 12 Oct 2012 - 18:24

  • Le contact avec sa main fut tendre, assez pour l'apprécier comme il se devait. Quand elle descendit je lâchais sa main. Mais jamais mon visage ne perdit de sa bienfaisance et de son apaisement. Je ne pu lui répondre dans l'immédiat, je voulais faire durer au maximum cet instant. Où je voulais dit-elle. Je restais plusieurs secondes silencieux, tout en lui offrant le plus bon sourire que je pu. Quand je rompu le silence, je le fis sourdement, comme un expiration lâchée.

      -A côté de moi.


    Nous fûmes hélas interrompu. Le vieillard et maître de maison nous interpella, il se trouvait désormais à la table de son ministre et nous inviter à nous y joindre. Je pris cela d'un mauvais oeil, mon plissement des yeux ne trompait personne et mon sourire s'effaça immédiatement pour retrouver toute la neutralité du faciès.

      -Nous n'avons pas le choix j'ai l'impression.


    Je nous dirigeais vers cette table, table que je vis comme un fléau l'espace d'un bref instant. Je m'assis pile en face du ministre. J'ouvrais la place à mes côté pour ma jeune et belle accompagnante. Je vis bien dans le regard du vieillard une réticence, sans doute espérait-il voir plutôt mon amie s'aventurer plus prêt du porc politicien. Ce genre de choses n'allaient surement pas se passer devant moi. Je déposais mon visage sur mes mains jointes, en dessous du nez, et me contentait d'observer silencieusement. Le ministre souriait en zieutant sans gêne la jeune femme, et le vieillard me fixait moi, avec une insistance donnant un étrange sentiment de persécution. Je m'adressais au ministre pour mettre fin à cela.

      -De quoi êtes-vous ministre ?


    Le vieillard sourit de plus belle. Il ne répondit aucunement à ma question. Quand son regard se posa sur moi, ce fut comme s'il était satisfait. De quoi je l'ignorais. Mais il y'avait bien que chose d'étrange.

      -Ton maître de l'heure, Sakighara m'a parlé un peu de toi. Tu dois me protéger hein ? J'ai déjà vu ton visage une fois à Konoha. Dans le colisée j'en suis certain.


    Son sourire à lui vira en coin, tandis que mon regard à moi ce glaça. Je penchai ensuite la tête sur le côté pour mieux apprécier son regard. Hors Genjutsu je n'avais plus que la gestuelle pour lire en lui.

      -J'ai un visage bien banale (glaciale)
      -J'en suis certain. Toi et ta copine allés m'aider.
      -C'est à dire ? Je te protèges et tu la souilles c'est bien ça ?
      -Non... Elle séduit et tu assassines.


    Je me redressais vivement en haussant les épaules d'étonnement. Et c'est ce qu'il voulait dire que notre imbécile de maître avait fomenter un complot et que cet homme en était au courant. C'était mauvais, très mauvais, je me crispais jusqu’à ce qu'il expliqua.

      -Celle on me l'avait jamais faite...
      -Il s'agit pas de moi. Mais du candidats qui pourrait me remplacer.
      -Et c'est ?
      -Mon fils.
      -Charmant...
      -Tes opinions familiales ne m’intéressent pas. Et tu n'as pas le choix. Je sais qui tu es.
      -Tu es une belle ordure (glaciale)
      -Toi aussi il me semble (froid)


    Le vieillard frappa des mains joyeusement à ce moment. Méthode pour améliorer l'ambiance et rappeler avec une certain ridicule son du. Moi, ce qui m'embêtait, c'était de savoir si mon maître le savait lui... J’espérais bien non, cependant, ce ministre lui, quoi qu'il advienne, avait signé son arrêt de mort. La sentence frapperait un jour ou l'autre.

    • -Et moi j'aurais ma part en liquide.
Revenir en haut Aller en bas
Nouveau
Fuji Sayoko
Fuji Sayoko
Informations
Messages : 109
Rang : C+

Dommage collatéraux (PV Sayoko) Empty
Message(#) Sujet: Re: Dommage collatéraux (PV Sayoko) Dommage collatéraux (PV Sayoko) EmptyVen 12 Oct 2012 - 23:06


Sayoko se pencha sur la table. Elle, elle posa ses mains sur le verre posé devant elle et laissa ses doigts filer sur le verre fin. Elle eut un sourire, leva la tête vers le Ministre pour enfin demander d'une voix calme :

- « Et moi? Qu'es ce que j'y gagne? Séduire un fils de ministre, se n'est pas évident. Et les gains que peut avoir cette homme (Sayoko désigna le vieillard avare) ne sont pas les miens.

Toujours souriante, elle pencha la tête sur le coté. Reposant ses mains sous la table. D'un geste lent et calculé, elle frôla avec légèreté le genoux du garde du corps au yeux parfois flamboyant. Elle le toucha, invisiblement, sans que nul autre qu'eux deux le remarque.
Mais que pouvait bien vouloir dire se genre? Voulait elle lui faire comprendre qu'elle pouvait gérer? Qu'il n'avait pas a sans faire ? Voulait elle le faire intervenir ?

Ou, la chose la plus certaine, voulait elle simplement et sincèrement le rassurer?

Le fils ne faisait nullement partit de sa mission, et elle n'avait aucun droit de lui retirer la vie. Elle devait simplement réussir sa mission. D'une manière ou d'une autre, alors, devait elle aussi s’occuper du fils? Un sourire fin s'afficha sur son visage, a aucun moment elle ne tourna la tête vers Teichiro, comme si elle n'avait d'yeux que pour le Ministre. Observant es courbes disgracieuse et sa ventre omniprésent. Sa carrure de phoque et son alêne fétide. Son regard lubrique en disait long sur ses réels attention.

- AH AH AH elle me plaid bien elle! Elle a du caractère.
- Vous m’honorez Monsieur.
- Alors qu’es ce que tu veux.
- Mm.

La jeune femme soupira, levant les yeux aux ciel et posa ses coudes sur la table. Elle caressa l’une de ses mèches de cheveux, l’entortillant autours de son doigt. Enfin, après quelque seconde de réflexion, une lueur apparut dans les yeux de la nymphe.

- Je veux que vous deveniez mon Messène, dit elle enfin.
- Quoi? Fit le gros homme.
- Mon Messène. Que vous m’achetiez robe, bijou, fleur et meuble pour ma chambre jusqu’à la fin de ma vie pour financer ma voix.

Le ministre haussa un sourcil.

- Comprenez, j’aime ma voix, et j’aimerais l’exploiter. Avec votre aide, je pourrais … S’expliqua la Belle.
- Et bien … Pourquoi pas! Marché conclu alors! S’exclama l’autre.

Il semblait satisfait. L’autre homme, qui les avait engager, semblait lui aussi pleinement satisfait. Sayoko posa a nouveau ses mains sur la table, les croisant autours de son verre à pied, buvant le vin qui y était.
Sous la table, elle passa son pied près de celui de Jin-roh, le caressant à nouveau subtilement.

- Bien, je vous ai trouvez a tous les deux des passes pour la fête qui mène demain soir.

Sayoko leva un sourcil. Se préparer à une infiltration en une journée. Était il fou? Il lui avait déjà fallu plusieurs semaine pour repérer le village ainsi que les différents lieux pour ensuite trouver une technique pour approché se vieillard. Au final, elle allait même devoir tuer son fils, qu’importe, elle devait avant tous tuer cette grosse chose discrètement, sans se faire remarquer. Et, même si elle aurait bien fait un carnage ici, elle n’était pas sur que Teichiro la laisserait faire. Il n’était pas assez proche, mais chose était sur : il oublierait sans doute cette autre femme pour quelques jours.
Sayoko en fut intérieurement ravie, et, elle écouta le reste des propos de l’autre. Paraissant intéresser mais feintant le non savoir et n’affichant pas dans ses yeux azur la pointe d’énervement qu’elle ressentait à l’idée de devoir exécuter une partie de sa mission le jour d’après.

- Vous passerez pour une cousine éloigné de la famille qui vient exprès pour la réception. C’est son anniversaire alors …

Un cadeau. Elle allait offrir son corps? N’était elle pas de la famille? Dégoutant, à cette soirée il y aurait sans doute bien d’autre personne, sans doute plus belle et mieux faite que Sayoko. Alors ... Que devait elle faire, quel attitude ?

- D’accord. Fit enfin. Avec un sourire. Je crois que nous ferions mieux d’y aller. Nous avons beaucoup à préparer, n’es ce pas Monsieur Jin Roh ? »

Elle tourna son visage vers lui. Le regardant sans réel insistance, pour ne pas lever les soupçon. Mais elle espérait pourtant qu’il comprenne la manœuvre. Quoi que, la penserait il si subtile ?
Qu’es qui l’intéressait ? Pourquoi ?
Soudain, elle repensa au sourire qu’il lui avait offert. Elle se demanda a qui il avait bien pu l’offrir. Es ce que c’était a Sayoko, la vrai, ou a celle qu’il croyait voir ? Avait il comprit qu’elle n’était pas là pour rien? Qu’elle était loin d’être une prostituer ?

Se qu’elle lui avait fait, dit, elle n’avait pourtant pas tout simulé. Car, le meilleur moyen de faire croire à la vérité, c’est dans raconter une partie. Alors … a quel point pouvait elle bien lui plaire?
Sayoko reposa les yeux sur son verre, soudain soucieuse de leurs relations étrange, sentant son cœur s’agitait. Devait elle faire durer tout ça? Pour rester avec lui, pour comprendre … Elle devait faire en sorte que sa dure.

Et pourtant … Elle sera les doigts sur son verre.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Informations

Dommage collatéraux (PV Sayoko) Empty
Message(#) Sujet: Re: Dommage collatéraux (PV Sayoko) Dommage collatéraux (PV Sayoko) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Dommage collatéraux (PV Sayoko)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Vous allez bien dormir ce soir...(PV Akio-PNJ et Sayoko)
» De douce retrouvaille... Dommage que ca n'est que de manière professionelle [PV ma petite glace :p ]
» La seule nuit [Pv Fuji Sayoko]
» Intouchables II : Le Lutin Fou et la Belle à Roulettes [PV Sayoko]
» Une rencontre sans importance [Sayoko & Sora]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Shinobi no Hattan :: Archives :: SnH Legacy :: Passé & Lettres :: Flashbacks-