Vous allez bien dormir ce soir...(PV Akio-PNJ et Sayoko)

Il y a deux ans, quand je me promenais pour trouver une personne pour calmer mes pulsions meurtrières, j'ai fait une superbe rencontre. Ce que je trouve bizarre c'est que je ne l'ai pas tué. Je l'appréciait même. Cependant, je me demande toujours comment un démon comment moi pouvait apprécier un être humain comme cette ancienne victime. En fait, notre rencontre ses passés comment ceci.

Dans le village de Yuki no kuni, dans la soirée, j'ai décidé de me promener dans les rues enneigées pour...avoir de l'air. Je voulais réfléchir à mes plans pour la destruction des Grands villages, surtout celui de Kumo qui avait enlevé la vie de ma petite soeur pour une raison stupide. Oui, ce ''supposé'' village qui combattait pour la paix a assassiné sa petite soeur qui était tellement innocente (elle ne ferait même pas mal à une mouche) pour préserver la paix entre Yuki et Kumo. Tout ceci était absurde! Pourquoi tuer MA soeur pour avoir une paix durable? À quel niveau dans l'importance que ma famille avait pour Kumokagure? Pourquoi suis-je le seul survivant dans toute cette histoire? Assez bizarre...mais j'avais quand même une dent contre Kumo. Que ce soit la vérité ou non, ils avaient tué une personne qui m'était très chère à mes yeux et ça...je les pardonnai et pardonnerai jamais pour ceci.

En tout cas, je me promenais dans les rues sombres de Yuki et de plus en plus que je pensais à mes plans, disons, sadiques, plus que mes pulsions meurtrières se réveillaient. Ensuite, après quelques minutes, je ne fus plus capable de tenir en place. Il fallait que je tue quelqu'un. Il fallait que je vois du sang voler dans les airs. J'en étais en manque...alors, je cherchais et cherchais. Pendant plusieurs heures, je cherchais désespérément une victime qui pourrait me servir de jouet. Ayant abandonner mon projet de soir, je soupirai et allai proche d'un arbre. Par contre, en m'approchant de l'arbre, je vis un petit animal. Un mignon lapin noir. Je le fixai longuement en me disant si je devais faire ce geste. Tant pis! Un lapin de moins dans ce monde à la con! Je pris délicatement ma katana et, après quelques secondes d'observation, je bondis sur le lapin qui fut transpercé par la mince lame. Je ne ressentis aucune sensation de bien être, même si j'avais tuer ce lapin tout mimi. En fait, j'avais toujours envie de faire un meurtre. Suis-je devenu psychopathe par hasard? Nah! Pas tellement!

Alors, soupirant une autre fois, je me dirigeai à ma destination soit l'arbre abandonné en plein milieu d'une plaine et je sortis un instrument de ma poche. Je sortis un truc très rond, de couleur noir et rouge. Et oui! Vous avez bien deviner! C'était un ocarina, mais pas n'importe quel. En fait, cet ocarina était en bois et le fabriquant était Akio Haku, soit moi-même. Je laissai un léger soupire avant de me coller les lèvres sur le becs. Ensuite, je plaçai mes doigts correctement et je commençai à jouer une mélodie. Je jouais gracieusement cet instrument et, sans vouloir me vanter, j'avais un énorme talent pour jouer de la musique. De plus, les filles ne pouvaient pas résister à mon charme. En parlant de fille, j'aurais aimé n'en rencontrer une. Cependant, on ne peut pas avoir tout dans la vie. Non, on ne peut pas...

Non, on ne peut pas. Sauf si, peut être, la chance nous macule de sa douceur et plonge son regard tendre sur l'abime de notre espoir.

L'heure tardive avait fait sortir le serpent de sa tanière. Il était maintenant temps de remplir sa mission, après ses quelques jours de recherche fructueuse dans se petit nid douillet mais froid qu'était Yuki no Kuni. Non, pour une fois, elle n'avait pas eut pour mission d'assassiner qui que se soit. Sa mission avait même était étonnante. Elle avait était envoyer là par Kiri, son propre village, pour traquer un espion.
Yuki avait des fuites d'informations mais, comment demander aux hommes de Yuki de traquer un homme soie disant de Yuki? Alors Yuki avait demandé un coup de pousse à Kiri, et elle était là maintenant. Du haut de ses 16 ans, elle n'était nullement une femme impressionnable. Et bien que sa jeunesse soit passée bien trop vite à son goût, elle n’avait pourtant aucun regret. Sa vie de Kinoishi était douce et on lui faisait assez confiance à présent pour lui donner des missions de 1er importance elle qui n'était même pas natif de Kiri même.

Sifflante, la dame marchait dans la neige. Ses hautes chaussure de bois empêchaient ses orteils gelés de toucher encore plus le froid de ce printemps là et, vêtu d’un kimono on ne pouvait pas trop deviner si la jeune femme avait chaud ou non. Mais, cela faisait plusieurs jours qu'elle s'était acclimaté au terrain et maintenant, elle pouvait remplir sans trop de heurt sa missions. Dénoncé le ninja ennemie qui c'était infiltré à Yuki ou le tuer de ses propres mains si il résistait…
Beaucoup de pressions. Le serpent ne voulait pas tuer si la personne pouvait être interrogé, cela aiderait son village autant que Yuki.

Bref, marchant, se lançant guider par ses pieds - ou peut être par le son d'une douce musique - la jeune femme vint rapidement aux limites d'un parc intérieur de Yuki. La douce se demandait vaguement pourquoi faire un parc dans se petit village si les seuls choses qui poussaient ici c'était de la neige ?
Qu'importe alors qu'elle en était toute proche elle vie, tachant le sol d'un rouge cerise, un animal étendu là. Un lapin, si noir qu'il pouvait en rappeler les ténèbres. ( Un lapin noir dans la neige blanche ? Suspect…) Elle approcha, ne se penchant nullement sur la pauvre petit créature mais reconnaissant là le troue d'un Katana - un animal l'aurait déchiqueté. Un Katana, pour une sabreuse, c'est facilement reconnaissable. Mais elle ne s'attarda pas, entendant une douce mélodie, elle approcha de celle ci. Sans aucune furtivité.

Et là, elle vit un autre beau lapin noir. Sombre et semblant succulent. Le serpent en gouta l'air et ses lèvres. Il était de Yuki, elle l'avait vu dans ses dossiers. Et il ne faisait pas partie des gens soupçonnés. Bien qu'il semblerait qu'il est ... Une case en moins. Son magnifique visage fort et parfaitement taillés aurait pu faire chavirer une fleur non entrainée. Mais Sayoko n'était nullement une fleur. Elle était un serpent, un serpent venimeux mais tendre et câlin. Parfois capricieux, cela allait de soie.
Alors elle approcha. Non sans signaler sa présence par le crissement de la neige sous ses hautes chaussures de bois.

A la Lueur des étoiles, le jeune homme paraissait aussi sombre qu'elle. Sa peaux pale semblait lunaire, translucide, resplendissante. Ses cheveux sombres mi long, quelque peu en bataille semblait être aussi doux et brillant que la fureur des étoiles.
Elle approcha, laissant un bon mètres 50 entre le jeune homme et elle. Mais leurs aura, leurs atmosphères étaient radicalement différentes. Les sourire enjouer et loin d'être sérieux de Sayoko lui donnait un air pure et angélique sous cette cascade de cheveux ébène. Mais l'autre, malgré la musique, malgré la douceur de sa peau, on ne pouvait que sentir une odeur de sang.

- « Bonsoir , fit la jeune femme d’une voix douce. Puis-je rester là à vous écouter ? »

Un tendre sourire sur les lèvres elle se pencha un peu en avant, s’inclinant dans son grand kimono d’hivers, prêter par le village.

PS : Je changerais l'image de fond de la boite en thème Yuki après là j'ai juste eut le temps d'ecrire! Je supose que tu te fiche de l'image, que les ecris sont les plus important ?! lol alors j'ai posté quand même :p

Nao's lullaby

La solitude...voila ce que j'en dis. De plus en plus que je jouais cette mélodie, de plus en plus mes pulsions se calmèrent. Je devins plus nostalgique qu'autre chose. En fait, ce que je jouais était la berceuse de ma petite soeur. Je m'en rappelle, quand Nao revenait à la maison en larmes et qu'elle n'était aucunement capable de dormir le soir, je venais dans sa chambre avec mon ocarina, que ne retrouve plus d'ailleurs, et je jouais une partie de cette chanson pour l'apaiser. Ouais, quelle apaisement, dirait ma mère. D'après elle, je rendais ma soeur plus dépressive. Cependant, je n'ai jamais cessé de jouer cette chanson pour ce petit ange. Ouais, c'était tout une petite fille. Ouais...

Soudain, j'entendis des pas se rapprocher vers moi, ce qui me sortit de mes profonds souvenirs. Je restais sur mes grades tout en continuant de jouer la mélodie. Je ne voudrais pas finir ici par un con qui a décidé de m'éliminer, car je suis un déserteur. Là...il verrait une grosse colère et réveillerait mes pulsions meurtrières. Ah....pis un con de moins dans le monde, ça ne peut pas faire de tort. Il y en a déjà beaucoup, de toute façon. Par contre, quand j'entendis cette magnifique voix féminine, je ne pus m'empêcher de frissonner de l'intérieur. Enfin, il n'y a longtemps que je n'ai pas rencontrer UNE victime. Je levai ma tête pour voir la jolie demoiselle aux yeux océans et aux cheveux sombres. Quelle magnifique créature que j'avais devant moi. Sa peau pâle brillait par la lumière de la Lune. Voilà ta chance Akio, tu pouvais maintenant la charmer, l'emmener dans un hôtel et hop, la tuer dans une douceur absolue. Cependant, je ne ressentis plus mes pulsions. Non, même si une jolie demoiselle était proche de moi, mes pulsions avaient disparus d'un coup. J'étais plutôt calme, mystérieux, mais très doux à son égard. C'était soit que cette femme m'attirait ou soit qu'elle m'avait ensorcelée avec un genjutsu. Je découvrirais à temps et lieu.

La jeune femme me demanda si elle pouvait écouter ma douce mélodie que je jouais. Je pris un instant pour fixer intensément son regard, puis, pour la première fois depuis X nombres d'années, je souris. Non pas un sourire malsain ou sadique, un doux sourire sincère. Par contre, je restai aussi mystérieux que possible en gardant toujours la possibilité de me défendre si elle me sautait dessus pour m'attaquer. Pour autre chose, ça ne me dérangerais pas...*sifflote*

-Si tel est votre choix, demoiselle. répondis-je

Ensuite, je déposai mes lèvres sur le bec et recommença à jouer pendant plusieurs minutes. Je pouvais très bien faire un jutsu pour l'hypnotiser ou quoique se soit, mais je ne le fis pas. Je ne pouvais pas! Quelque chose m'en empêchait de le faire. Alors, toujours aussi gracieux dans mes mouvements et toujours aussi virtuoses que tout à l'heure, je levai dès fois les yeux pour lui laisser un sourire. En fait, c'était surtout pour voir si elle avait resté. Après quelques minutes, quand ma chanson fut terminée dans le fond, je rangeai mon ocarina dans ma poche et je m'approchai doucement de la kunoichi et, quand je fus proche d'elle, je baissai légèrement la tête en guise de bonsoir et glissa quelques mots entre mes douces lèvres délicates.

-Bonsoir, jolie demoiselle. Je suis Akio Haku, ninja du village de Yuki. Puis-je savoir à qui ais-je l'honneur?

Cette fois, il n’y avait plus besoin de courir. Cette fois, il n’y avait plus besoin de réfléchir, assise là, dans la neige de Yuki no Kuni, elle avait les yeux clos. Ses mains posaient sur ses genoux, ouverte et paume vers le ciel ne montraient absolument aucune agressivité. En fait, si quelqu’un l’avait attaqué, elle serait sans doute morte.
Bien qu’autre chose veille sur elle.

Ne dit on pas que la Musique à le pouvoir de charmer les serpents!
Douce ondulation de plaisir.

Elle écouta, elle écoutant longuement la douce et mélancolique mélodie. S’abreuvant de cette douceur et semblant l’apprendre par cœur intérieurement. Pour s’en rappeler pour toujours!
Lorsque la mélodie s’acheva sur une douce note, se fit comme un sacrilège à l’oreille de la jeune femme. Mais elle n’en dit mot et laissa s’approchait le jeune homme aux yeux foret. Enfonçant l’azur de son regard dans l’émeraude brillant des yeux de l’autre. Il disait s’appeler Akio Haku, un nom qui sonnait tous aussi juste que ses musiques. La jeune femme répondit donc ensuite à sa question:

- « Mon nom ? Appelez-moi comme vous le souhaitez. Nul nom ne m’a été donné ici. Fit-elle avec douceur, taquinerie.

Ses yeux couleur du ciel se fermaient un instant. Elle eut un fin sourire, puis les r'ouvrit pour l’observer encore. Elle qui mentait pour chacune de ses missions, elle n’avait nullement le droit de lui dire son réel nom en se jours. Mais elle n'avait pas envie non plus de lui mentir. Pourtant, il fallait quelle se fasse discrète. Et, en ses mots, elle lui avait déjà divulgué une partie de la vérité. Elle ne pouvait pas être nommée ici, mais peut être lui donnerait elle son nom à un moment ou à un autre. Si la confiance s’installé.
Le serpent gouta l’air. Levant la tête vers le jeune homme qui était tous de même plus grand qu’elle. Il aurait pu l’écraser d’un geste si il l’avait voulut. Elle aurait pu l’empoisonné d’une seul amer pensé, si elle l’avait désiré.
Mais rien de tous cela ne traverser son esprit.

Sayoko, ninja de Kiri, ne faisait qu’observer la situation d’un œil externe. Le jeune homme était bien trop proche d’elle. Mais cela ne la mettait étrangement pas mal à l'aise. Il était maintenant coutume de continuer la conversation puisque elle avait achevé celle-ci avec tous de même un soupçon de brutalité.

- Sans doute, dans d’autre circonstance, je vous aurez révéler celui-ci. Mais en attendant, je préfère que se ‘rêve’ dure encore un peu.

Un sourire et la jeune femme se redressa un peu tendant lentement une main vers le visage du jeune homme.

- Puis je ?

Elle n’attendit aucune réponse, touchant de ses doigts fins les cheveux souple du jeune homme. Et ils étaient exactement comme elle l’avait imaginé : doux et brillant. Délicatement parfumé et bien que le sang soie omniprésent autours de lui, Sayo réussissait tous de même a sentir une autre odeur que celle du sang, un autre gout. Un soupçon d’autre chose.

Une chose qu’elle n’arrivait pas à identifier convenablement. C’était comme un mensonge enfoui, comme une vérité déchiré. C’était une odeur d’amertume, un sentiment de trahisons. De solitude.

- Vous avez une très belle chevelure Akio Haku. »

Un nouveau sourire rafraichi le visage de la jeune femme. Un large sourire plein de sincérité et d’une douceur. Une douceur qui n’avait rien de maternel et qui se faisait plus féminine et coquine.

Vous allez bien dormir ce soir...(PV Akio-PNJ et Sayoko) 120510043154447150

Elle n'avait pas de nom? Impossible! Tout le monde à un nom, même s'il est merdique ou non. Je ne pouvais pas croire qu'une aussi belle demoiselle ne pouvait pas avoir d'identité. À moins que..oui...c'est surement ça! La demoiselle aux yeux océan étaient surement une ANBU et, étant ANBU moi-même, la première règle que tu apprenais était ''ne jamais dire son véritable nom''. Bon, oui, j'ai dit mon nom, mais, j'en ai strictement rien à foutre de ces règles à la con. De toute façon, si quelqu'un voudrait me tuer, eh bien, il serait soit inconscient ou suicidaire. Donc, je peux l'appeler comme je le veux. Ah ouais? Mais, je ne voulais pas lui donner un nom. En fait, je vais attendre qu'elle me donne son vrai nom, vu qu'il est impossible de ne pas avoir d'identité. Ensuite, elle m'avoua qu'elle me révélerait son prénom dans d'autres circonstances. Dans d'autres circonstances? La magnifique femme sourit et se redressa un peu en tendant la main vers mon visage. Je ne laissai qu'un sourire un peu mystérieux, mais très doux, puis, je me laissai toucher les cheveux par la douce adulte. Elle m'avoua que j'avais une belle chevelure.

Sans vouloir me retenir, je déposai à mon tour ma main sur la joue de la belle demoiselle et je la fixai profondément. C'est fou comme qu'elle avait de beaux yeux! Il fallait à tout prix que je ne rate pas ma chance avec cette charmante demoiselle. Alors, j'approchai lentement mon visage proche du sien et je plaçai mes lèvres proche de son oreille gauche pour lui suggérer quelques en disant doucement.

-Étant donner la température, j'aimerais vous inviter chez moi pour ne pas que vous prenez froid. Vu que vous ne venez guère de ce village, vous attraperiez surement froid et je m'en voudrais qu'une aussi belle demoiselle comme vous tombe malade.

Je déposai mon front sur le sien et je souris en observant profondément les yeux cristallisés de la femme. Et, du coup, comme pour briser cette manière charmante et douce, je reculai et repris mon expression facial quotidien, soit froid et mystérieux. Je me retournai et commençai à marcher vers mon ''ancien'' chez-moi. Oui, je dis ancien, car, vu que je suis un nukenin, je n'ai plus de maison et ni de village. Seulement une bande de con que je devais suivre sans les tuer. Dommage...

Durant le trajet, je voulu mettre quelque chose au clair avec la demoiselle.

-Vous pouvez m'appeler Akio seulement. En fait, je n'aime pas qu'on utilise mon nom de famillle. De plus, j'aimerais vous avouer que je n'ai aucunement envie de vous donner un autre prénom autre que le votre. J'attendrai patiemment pour avoir votre réel prénom.

Arrivée à la maison, je fis entré la demoiselle avant de refermer la porte derrière moi et je me dirigeai au salon pour allumer le foyer

-Dites, vous voulez quelque chose à boire? Un café? Du lait? De l'alcool? De l'eau?

Spoiler:

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