Une journée un peu plus agitée que la moyenne, les consommateurs défilaient rapidement et je n’avais pas le droit à une pause. Mais j’adorais sa. Il faut dire que je n’avais pas choisis ce métier pour être dans le calme. Oui, pouvoir parler comme on le veut avec qui on le voulait tout le temps. Il s’agissait la d’une passion, quelque chose que j’adorais et pour rien au monde j’aurais échangé ma place avec qui que ce soit. Oui, je me sentais bien. Posé derrière mon bar à recevoir les commandes des clients. Marchant entre les tables lorsque quelqu’un voulait commander. Aller servir les clients. Habituellement il y avait des employés pour faire ce genre de chose mais ce soir, je voulais juste le faire moi-même. Même si de temps en temps l’un d’eux venait me filer un coup de main. C’est donc de façon à la fois calme et agitée que je passais ma journée. L’esprit en paix j’évoluais dans mon établissement comme un chat qui se sent chez lui.
Désormais il faisait plus fraie. La nuit aller bientôt commencer et j’avais déjà allumé les feu dans les cheminée. Ceux-ci ronfleraient toute la soirée jusqu’au moment ou il n’y aurait plus personne dans la salle à mangé. Oui, il s’agissait de faire en sorte que les clients n’aient pas froid. Mais il fallait aussi que je fasse attention à la réserve de bois qui commençait dangereusement à diminuer. Un des employés était déjà entrain d’estimer combien de temps on pourrait encore tenir mais, dans tous les cas, il faudrait bientôt aller en acheter. Alignant les verres de façon à pouvoir les attraper efficacement, je soupirais en pensant à ce prochain achat qui m’attendait. Dépenser de l’argent. Cela ne me gênais pas outre mesure mais si je pouvais économiser afin d’agrandit mon auberge, j’étais toujours preneur. Je souris en pensant qu’un jour, mon Auberge ressemblerais a un petit palace, à force de l’agrandir, celle-ci pouvait accueillir de plus en plus de personne et, un jour, je serais reconnus dans le monde entier. Un jour, la clientèle affluerait de tout les pays. Oui, c’était la ce que je voulais. C’est donc avec un magnifique sourire, mes lunettes bleu posée sur mon nez cachant mes yeux, que je regardais un client pénétrer dans l’enceinte de mon établissement.
Enfin un client, ou une cliente, allez savoir. Il arrive qu’il soit un peu délicat de déterminer à qu’elle sexe appartenait une personne. Surtout lorsque ces dites personnes était habillé. Il, elle portait un sabre à sa ceinture, rangée dans son fourreau il ne représentait aucune menace. La guerre était terminé, depuis peu mais tout était finit. Cela je l’avais apprit grâce a un voyageur de passage. Mais il n’était pas rare de croiser des gens avec des armes et bien que je préférais les garder derrière mon bar, les clients avait parfaitement le droit de les garder sur eux. J’examinais donc cette personne dont je ne connaissais pas le nom et, apparemment, il, elle ne possédait pas de poitrine. Pour l’appeler, j’optais donc pour tout ce qui était masculin. Au pire, je me tromperais et je m’excuserais. Avec un physique pareil il devait avoir l’habitude. Mais ce qui me dirigeais vers la faite qu’il s’agissait la d’un homme était aussi le faite qu’il portait un sabre. J’avais rarement vue de femme avec un sabre, et sans être féministe, je trouvais que c’était beaucoup mieux ainsi. Il parla et sa voix me confirma qu’il s’agissait d’un homme. Après, ce n’était la que mon avis et cela n’engageais que moi mais bon. Ainsi il voulait à boire et un endroit où dormir.
-Bonsoir bonsoir, alors pour la boisson va falloir me dire ce que tu veux et… pour la nuit…
Je réfléchis quelques secondes avant de me décider, il me restait trois chambre, l’une avait était libéré il y a une heure de cela par un homme qui préférais voyager la nuit. Oui, drôle de personne. Et d’après ce que je savais, cette chambre n’avait pas était nettoyer il était donc hors de question que je lui fournisse cette chambre. Il me restait donc la chambre B7 et C9. La B7 se trouvant au deuxième étage et la C9 au troisième. Je terminais donc ma phrase.
-Pour ce qui est des chambres, il reste la B7 et la C9 respectivement au deuxième et troisième étage.
Il ne lui restait plus qu’à choisir ce qu’il préférait bien qu’il n’y avait pas vraiment de différence entre les deux, juste la vue et le sens des installations. J’avais bien fais attention en construisant cette établissement à faire en sorte que toute les chambres soit les même afin de ne pas faire de jaloux. Mais bon, l’être humain est étrange et chaque chambre trouve sont locataire préféré. Oui, certaine personne revenant plusieurs fois finissent par prendre leur marque dans une pièce et la demande systématiquement. C’est une chose assez amusante à constater et surtout à voir, bien que je comprenais parfaitement se sentiment.