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 L'attaque est la meilleure défense... [Solo, C]

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Suna
Tsugeku Getaku
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Message(#) Sujet: L'attaque est la meilleure défense... [Solo, C] L'attaque est la meilleure défense... [Solo, C] EmptyDim 23 Oct 2011 - 10:31

Citation :
Mission C | Un marchand fortuné a besoin de toi pour l'escorter jusqu'aux frontières de pays de la pluie. Attention, des malfaiteurs pourraient bien en avoir après ses biens.

Je tenais le parchemin officiel de Konoha, mon chien à quelques mètres de moi dans les bois, en train de renifler et respirer l’air. Les chiens, même ceux dressés par le Clan Inuzuka, avait besoin d’aller comme leur nature le demandait. Est-ce que je pouvais lui en vouloir ? Certainement pas. J’étais d’ailleurs persuadés que si Konoha ne laissait pas les Inuzuka obéir à leurs mœurs ancestraux, c'est-à-dire, vivre en accord avec la meute et la nature, les laisser sentir l’ivresse du voyage, le sentiment d’être presque partout chez soi, le Clan ne supporterait pas longtemps le manteau du Village, un manteau qui protège du froid deviendrait une prison. Je ne pouvais en être sûr pour les autres, mais je savais que je ne survivrais pas à l’appel de la liberté sans réponse, j’avais besoin de ne pas vivre entouré de gens. À moins que l’idée d’être attaché à un foyer m’empêchait tout simplement d’agir efficacement ? Les anciens guerriers du Clan Inuzuka n’avaient pas le droit de se marier, car un vieil adage dit « La liberté d’agir, c’est le pouvoir d’agir sans conséquence ». Était-ce vrai ? Non, pas complètement. Mais pouvoir combattre sans craindre de perdre ce qui est sien, c’était une formidable liberté.

Je jetais un regard avant de froisser l’ordre de mission et la glisser dans ma poche. Un marchand… Fortuné… Un homme qui vivait pour l’argent ne me posait pas de problème, mais il était incapable d’en assurer la surveillance. Pourquoi ? Le monde était devenu si dangereux que combattre était une spécialité en soi. Je plissais le nez avant de remonter ma jambe qui pendait en bas de la branche. Je me redressais un peu en posant la paume sur la branche qui me servait de lieu de repos. Le contact de l’écorce me ravit d’autant plus quand je dus serrer mes doigts pour pivoter et me laisser retomber de deux ou trois mètres au sol. Baku réagit immédiatement en cessant ses enfantillages, ses chienneries, pour se rapprocher de moi. La nuit approchait, Konoha serait plus tranquille, je serais plus à l’aise à rencontrer mon client. Le marchand partait demain selon le parchemin et il semblerait que le Pays de la Pluie n’était plus de tout repos. C’est dans cette région que mon frère avait perdu la vie, dans des circonstances inconnues, mais aussi que les hauts édifices industriels mettaient mal à l’aise mon Clan et moi-même.

Je parcourais les rues de Konoha en regardant les rues vident, la plupart des maisons fermaient leur dernières lumières. À la fenêtre de certains, on voyait les silhouettes des gens s’apprêtant à dormir ou profitant du calme comme moi. Baku trottinait derrière, moins nerveux que lors de mon dernier passage, quand les passants envahissaient les rues ou les gamins le courraient à cause de son air étrange. J’espérais arriver tôt, mais me retrouver dans ces rues étaient difficiles. Le marchand habitait sûrement au-dessus de son commerce, mais trouver simplement l’adresse me semblait impossible dans ce dédale de rues. Au bout de presque une heure, je trouvais la boutique de l’homme. Je fis quelques tours de la bâtisse avant de me rendre compte que les lieux n’étaient que sur un étage et que le reste servaient de maison à l’homme. Je levais les yeux vers le toit en poussant un léger sifflement impressionné. En approchant d’une fenêtre à l’arrière, je voyais de grandes pièces, avec un espèce de foyer orné de sculpture en forme de serpent ou de dragon… Difficile à dire dans le noir. Je reculais de nouveau en admirant les murs, presque trop simples, au vu de l’intérieur.

Je m’approchais de la porte en serrant le point avant de frapper. Aucune réponse, alors que mon chien venait se poser près de moi. Je frappais une deuxième fois avant de voir une lumière s’allumer. Un gros bonhomme, le visage plissé de frustration, mais au regard endormie me répondit avec mauvaise humeur. Sans ouvrir la porte complètement, une chaîne la retenant, il demanda sans politesse qui c’était. J’ouvrais la bouche, avant qu’il ne me coupe et me dise de partir maintenant. Mon chien se redressa, sur ses gardes, alors que je mettais mon pied dans l’entrebâillure de la porte.

- « Vous êtes riche, mais vous avez demandé mes services demain… Alors si vous voulez que ça suffise, il va falloir m’aider. »

Il me fixa quelques secondes, toutes brumes de sommeil chassé de son regard. Glacial, à tel point que je dus me ressaisir. Je dus me rappeler que c’était idiot de craindre un homme qui avait besoin de moi et ne pouvait pas me faire de mal. Pourtant, dans son air courroucé ne suffisait pas à camoufler un trait d’intelligence qui me mettait mal à l’aise. Comme un enfant, je reculais d’un pas. J’entendis le verrou se dégager avant que la porte n’ouvre. J’entrais pour le voir habiller d’une robe de chambre. J’entrais et sentis immédiatement un malaise à l’intérieur, une lourdeur sur mes épaules entre ces quatre murs. Il se retourna et haussa un sourcil. Je me contentais de penser les lèvres alors que mon chien, encore dehors se lamentait.

- « Donnez-moi votre itinéraire. Je vais partir maintenant et je m’assurai que personne ne vous attend. Rester avec vous et vos marchandises en espérant ne pas subir d’attaques serait stupide. Je vais prendre les devants et évitez que nous jouions les proies… »

L’homme me regarda dubitatif pendant quelques secondes avant de se tourner. Avançant en contournant ses magnifiques canapés, il fouilla dans un bureau d’aspect massif et en bois, reluisant, avant de tirer un des tiroirs qui, à part un bruit feutré, ne brisa en rien le silence de la pièce. Il en sortit un papier qu’il me tendit sans rien dire avant de hocher la tête et de me faire signe de partir en pointant la porte. Il ne prit pas la peine d’ouvrir, mais me laissa faire. En ouvrant la porte, le chien recula d’un bond en reculant les oreilles, avant de me reconnaître. Je continuais à avancer avant de lui tapoter la tête pour lui signaler que tout allait bien. Il était temps de repartir dans le campement Inuzuka pour me préparer. Rapidement, je m’équipais de fil de fer pour les pièges, de couteaux et de shurikens. J’avertis mon père d’un simple mot, sans oublier de prendre quelques provisions. Il était temps de partir.

Pourtant ne pas les attendre ? Je courrais plus de risques d’être attaqué par des bandits, mais un homme seul avait peu de risques d’attirer leur attention. Avec Baku, je parviendrais sûrement à déterminer si des gens tournaient autour de l’itinéraire du marchand. Je m’assurerais plus de discrétion pour observer mes adversaires. Je garderais certainement une excellente avance, puisque le marchand avancerait plus lentement que moi. En plus, il avait sûrement prévu une protection plus classique. Si mes potentiels adversaires s’avéraient être des Shinobis, je devrais rebrousser chemin et je devrais avertir le marchand de progresser autrement. S’ils tentaient de me capturer, dans les bois, il y avait de bonnes chances que je puisse atteindre la caravane et joindre mes forces avec les gros bras qui assuraient la protection de mon client. Si ce n’était que des bandits, je pourrais aisément tenter de damer le lieu de l’affrontement ou directement m’attaquer à leur campement. Oui, si c’était des bandits ordinaires, ils étaient certains qu’ils seraient plus nombreux, donc moins discrets et moins prompts à s’adapter.

Rapidement, je traversais la zone surveillée de la forêt pour me diriger vers les terres abîmées par la guerre du Pays de la Pluie. Une vieille légende racontait chez les miens que les habitants de ce Pays avait poussé la Terre jusqu’à ce qu’elle taise ses bienfaits et abandonne les habitants à leur sort. On disait que le Ciel pleurait depuis la mauvaise humeur de sa promise. Je souris. Une légende pour les enfants, mais je savais que ce Pays, plus que les autres, était aux prises avec les criminels et les vagabonds sur ses terres. Je ralentis le pas dès la zone sécurisée traversée. Je laissais Baku marcher lentement au sol, en reniflant aux alentours, alors que je le suivais loin du chemin, directement dans les bois. Il passerait pour un chien sauvage de cette manière et je me doutais bien qu’un camp de bandits de grands chemins se trahirait forcément. Lorsque le soleil éclaira les bois, je ne pus m’empêcher de m’arrêter. Je laissais le chien explorer les alentours avant de siffler pour qu’il approche. Il valait mieux rester ici, durant la journée, car les bandits ne camperaient pas de jour et risquaient d’être plus difficiles à repérer. En plus, le marchand risquait de s’arrêter aux derniers postes de Konoha pour la nuit où je pourrais prendre de l’avance. Je devais aussi avouer que la nuit m’était mille fois plus douce que le jour, mais aussi que la fatigue de ma veille me faisait un peu tourner la tête.

Je suivis ce schéma pendant plusieurs jours, jusqu’à mettre les pieds dans le Pays de la Pluie. En approchant, je sentais la chaleur de ce pays commencer à étreindre mes forces. Je commençais à ralentir l’allure pour économiser ces forces. Je m’arrêtais contre un arbre, près du chemin, pour examiner ma carte. Les zones avaient été couvertes, les zones principales, aucun camps ne semblait vouloir nuire jusqu’à l’arrivé du marchand aux frontières où ma mission s’arrêtais. Pourtant, je savais que ce n’était en rien l’assurance d’une sécurité. Si je devais attaquer ce marchand de manière organisée, j’éviterais de rester en campement près du chemin, je m’installerais loin et mettrait au point une tactique adaptable pour éviter d’être repéré par de potentiels éclaireurs. Non, cette fois, je devrais rebrousser chemin et observer les alentours au fur et à mesure que le marchand avancerait. Avec Baku, j’étais certain de trouver les bandits s’il y avait lieu.

En quelques heures je revenais vers les marchands. Pourtant, même si je me considérais comme un spécialiste de la survie en nature, la tension des derniers jours commençaient à se faire sentir. L’humidité commençait aussi à m’agacer. Sans cesse, je devais passer mes doigts dans mes lunettes étranges pour chasser la pluie. Elle me protégeait du soleil, de l’eau, mais en saison pluvieuse, elle nuisait à ma vision. Sr ma droite, j’entendis les pas aussi caractéristique à mes oreilles que le serait le rire d’un nourrisson à sa mère de Baku. Le chien, au lieu de simplement continuer à se promener s’arrêta devant moi et s’assis, me refusant le passage. Je fronçais les sourcils, d’un geste léger, comme un balancement de bras, je fis signe à l’animal d’avancer et le suivi. Il me guiderait vers la piste. Je me mis à sourire pour moi-même. La chasse commençait. En quelques minutes, Baku s’arrêta. Je regardais rapidement le sol en sachant que la boue me laissait peu de chance de trouver une trace. Dès l’état du sol confirmé, je levais les yeux autour de moi. Je vis des branches, cassées, de petites branches, mais surtout des feuilles déchirées à plus de 1,50 m de hauteur. Le vent ne brisait pas les feuilles. Je m’approchais de la piste pour renifler un peu les feuilles en question et chercher les branches cassées au sol. Baku lui reniflait plus vigoureusement.

En fouillant la boue, je trouvais une branche cassée. Je souris. Il y avait au minimum deux hommes sur cette piste, deux proies. Si on avait cassé une branche d’arbre sur le sol, jamais la pluie ne l’aurait fait calée, elle aurait simplement flottée sur l’eau. Le fait qu’elle soit enfoncé voulait dire qu’on l’avait recouvert de boue, c’est-à-dire, qu’on avait probablement marché dessus. Avec cette pluie, si Baku avait pu sentir l’odeur, il ne devait pas y avoir plus de deux ou trois heures de différences. En avançant, je vis peu d’hésitation et d’arrêt. Je plissais le nez, comprenant que ces hommes n’erraient pas, mais savaient directement où aller ou ce qu’ils voulaient. On pouvait en déduire deux choses, la caravane du marchand était devant eux ou ils voulaient atteindre un point avant son passage. Dans le premier cas, ils attendaient que la caravane atteigne un endroit précis, ce qui signifiait qu’il y avait des renforts ou des pièges, probablement la première option. Dans le deuxième cas, s’ils cherchaient à rejoindre un endroit avant la caravane, ils connaissaient la trajectoire de cette dernière, donc ils avaient des informations privilégiés. Dans les deux cas, j’avais bien suivre de me séparer du marchand.

Après près d’un heure, mon chien s’arrêta, s’accroupit en position d’attaque, sans émettre un son. Je savais que c’était le signal convenu pour me renseigner sur le fait que la piste s’arrêtait et que les proies n’avançaient plus. Une pente descendante se dessinait et je m’en approchais pour me cacher dans un arbre. J’observais au contre-bas pour apercevoir deux hommes près du chemin. La caravane était plus loin sur la route, mais elle approchait. Deux hommes ? J’observais les alentours en les regardants faires quand j’en vis tirer sur un long fil. J’observais le chemin, craignant un piège, pourtant le fil n’y menait pas. En suivant le parcours de soie, je vis un autre homme un peu plus loin qui tira à son tour sur le fil. Ils communiquaient. Je fronçais les sourcils. Deux hommes derrière la caravane et un devant. Trois contre quatre simples gros bras du marchand et ce dernier. Certainement pas beaucoup plus d’ennemis, car vu le peu de protection, la caravane ne valait pas si chère. Donc trop de bandits égal un butin trop séparé. Ils n’étaient pas plus de quatre en tout. Si deux étaient derrière et un devant, ils tenteraient de prendre leur cible par surprise à revers, envoyant là le gros de leurs forces. Cela voulait dire que l’homme du devant avait assez de pièges ou de puissance pour obliger les gros bras du marchand à se positionner contre lui. Mais pas assez pour les éliminer, puisqu’il avait besoin de ses deux comparses à revers. C’était là qu’il fallait frapper, empêcher l’assaut par derrière déstabiliserait l’attaque et le dernier adversaire. J’attendis…

En arrivant près du troisième homme, la caravane subit les assauts. Ce dernier, au lieu de simplement attaquer, se contenta de tirer sur un fil. J’entendis le sifflement des branches d’arbre et des kunaï volèrent en direction de la caravane, mais surtout vers les gros bras qui la suivait. Malin, les bandits évitaient de tuer les animaux de trait pour ne pas rester bloqués ici. Immédiatement, un homme protégea le marchand et les autres s’avancèrent prudemment vers l’avant. Rien ne se passa, jusqu’à ce qu’un dernier fil ne soit tiré. Même de là où j’étais, je vis le crépitement du parchemin qui obligea les protecteurs du marchand à reculer et à être légèrement soufflés. Les deux hommes passèrent alors à l’attaque, se préparant à sortir de leur position d’observation. Je bondis en bas de l’arbre et poussa un son rauque en désignant le troisième homme. Moi, je m’occuperais des deux autres. J’attachais un shuriken à un de mes fils de fer, avant de faire les mûdras. Les deux hommes, ne m’avaient pas encore vu, quand je pointais le sol devant eux.

Quelques secondes plus tard, un épieu sortit du sol. Le premier s’arrêta, pas assez vite pour ne pas se frapper le nez durement contre la pointe. Le deuxième se retourna. Je lançais le shuriken dans sa direction et il l’évita facilement. L’étoile de fer parcouru un arc derrière le pieu de terre. Ma cible ayant évité le shuriken sorti une grande lance, au manche souple, mais à la pointe acérée. L’autre au nez sanguinolent préparait une attaque. Trop tard, le fil de fer de mon shuriken venait de s’appuyait contre le pieu. Une fois fait, sa trajectoire se mit à se courber plus fortement pour s’enrouler autour de l’épieu. Je le sentais, simplement, à la pression qu’il exerçait sur mon doigt auquel il était attaché. En tournant autour, il finit par atteindre l’homme au nez hémorragique qui poussa un cri de douleur en portant la main à sa gorge. Puis il s’effondra. Les shurikens sont des armes faibles, mais malléables. Ils demandent de toucher avec précision. Je relevais la tête vers le dernier homme qui voulait m’attaquer. Il était temps de les mettre en fuite ou de gagner du temps.

- « Ne compte pas trop sur le type à l’avant. Dans quelques secondes, il va se faire dévorer par les loups avant de déclencher les pièges… »

Furieux, l’homme me fixa, ignorant si je bluffais ou pas. Je souris en coin. J’avais raison, s’ils avaient été deux à l’avant, il serait déjà venu en renfort. Si les pièges ne se déclenchaient pas, les mercenaires viendraient immédiatement, mon adversaire ne l’ignorait pas. Alors que l’homme s’apprêta à attaquer, je passais la langue sur mes lèvres. Baku aurait dû déjà avoir atteint le dernier comparse. Je vis la tension dans sa jambe, mon adversaire prenait appuie pour charger, quand le cri et les aboiements de Baku confirmèrent mes paroles. L’homme s’arrêta et les mercenaires réagissaient. Certains vers l’arrière, d’autres vers l’œuvre sinistre de mon animal. En quelques instants, malgré leurs coupures et les quelques coups du bandit à la lance, ils le submergèrent. En le retenant, ils le rouaient de coups. Les mercenaires revenaient déjà. Nulle trace de Baku, il était dans les bois, autour, sûrement. L’homme fut attaché et abandonné dans les bois, à quelques mètres de la route.

Je m’approchais du marchand qui souffrait d’une blessure au bras. En approchant, il me serra la main, échangea quelques mots. Il semblait un peu blême, à cause du combat, mais aussi à cause des cris horribles de la victime de Baku. Même moi, les premières fois, malgré ma longue expérience avec mon compagnon, avait eu des malaises en le voyant faire. Ces animaux ne connaissent pas la pitié une fois que la proie supplie. Chaque gémissement est une gifle à leurs instincts. En quelques phrases, je lui expliquais que la route était libre, que je l’escorterais avec le reste de la troupe, jusqu’aux frontière du Pays de la Pluie, là où ma mission s’arrêtait. En quelques heures de plus, ce fût chose faite, les hommes avaient hâte de s’arrêter à l’auberge pour panser les blessures. En sortant enfin du groupe, je pus rejoindre Baku, qui nous avait suivis de loin. Sa fourrure sur son cou et autour de sa gueule était encore tâchée de sang…

[Long, mais je ne voulais pas profiter des points pour une mission solo. J’en est surtout profité pour définir mon personnage et son côté plus traqueur/agressif. Note, ce ne sont pas des shinobis, mais des types ordinaires avec des "épées".]
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