Grosse journée en perspective devant moi. Ce matin de bonne heure, j’étais parti faire une mission de rang inférieur avec des nouveaux promu. Bon, si on considère un vétéran d’un mois (moi par exemple) comme un nouveau, alors ce n’est pas cool... Revenons à nos moutons, je devais aider trois Genin fraichement promu de l’académie à attraper un chien sans le blesser. Facile, hein? Eh bien, c’est encore drôle. Les trois petits garçons n’arrivait pas à le rattraper, ils faisaient tout pour que ma main finisse sur mon visage. Je paris qu’à la fin de cette mission, je vais avoir des mains rouges étampés sur la face. Bon, leur Sensei ne faisait rien et se contentait à les regarder et de rire. Non mais est-ce qu’ils sont tous comme ça ? Si jamais c’est le cas, je plain l’avenir de Kumogakure no Satô. Nos futurs Genin ne seront pas Chunin avant une bonne décennie. Finalement, j’ai pété un câble sur leur Sensei. Je lui reprochais d’être irresponsable et incompétent, que le village pouvait se passer des putes de son genre. Après ce petit discours très agréable qui l’avait laissé sur le fait, j’attrapais moi-même sans mal le petit caniche en désertion de son territoire (sa maison, quoi) et le lança au Chunin qui n’avait pas encore avalé ce que je lui ai dit et ses élèves qui était bouche bée face à mon comportement. Oh que ça va faire mal dans mon rapport, je le sens. Je vais tout décrire dans les moindres mots et surtout, comment cette enflure laisse ses élèves aussi faibles que ça ! Kumo prétend vouloir la paix. Je veux bien participer à cette idée sans hésitation, mais par pitié, comment arriverons-nous à nous défendre avec des lopettes de la sorte ? Pour une fois, je remercie Dieu de nous donner des connards pour devenir plus puissant, Yugure en est un bel exemple !

Passons. J’étais désespéré et je rentrais chez moi pour faire ce rapport de la mission. Pourquoi un rapport ? Car le véritable but de cet exercice était d’analyser le professeur et non de les aider à faire leur petite mission. J’arrivais devant mon appartement et chercha ma clef dans ma poche alors qu’un petit message sur le tapis d’entré y était posé, ce qui attira bien entendu mon attention. À ma grande surprise, c’était signé de Yugata Yugure, mon Sensei, chef de l’équipe Yoake. Il a promis de faire de moi et le reste de l’équipe de l’aube des machines de guerre. En vérité, je ne souhaite pas en devenir une, mais si la puissance est au rendez-vous, pourquoi pas ? J’ouvris la lettre sans me presser et regarda l’intérieur. Il n’y avait qu’un lieu et une heure d’écrit : « Terrain d’entraînement # 1, 12h30 ». Je rentrais chez nous et déposa ce qui était inutile. Qu’est-ce qu’il voulait bien nous vouloir, cette fois ? Une rencontre en équipe, une mission, un entraînement ? Enfin, avec lui, toutes les possibilités étaient possibles. Je pris un sandwich déjà tout préparé avant de me diriger vers les terrains d’entraînements et marcha tranquillement vers l’endroit indiquer sur la lettre. En marchant, je pris un air songeur. Si jamais Yugure n’aurait pas interrompu le combat contre le Seki, est-ce que j’aurais pu m’en sortir ? Je ne sais pas, mais une chose est sûre : j’me fais latter par le kawarimi à chaque fois que quelqu’un l’utilise. Et ça, s’en ai honteux.

Cinq minutes en avance sur le terrain numéro un et toujours personne à l’horizon, à croire que je serais le seul présent et que les autres vont se prendre des vacances. Je pris place sur un rocher de ses deux mètres de haut et regarda le ciel, quoi de mieux que de passer le temps en attendant ces coéquipiers. Les minutes défilèrent et finalement, ce n’est qu’après une quinzaine de minutes que j’aperçu mon Sensei qui avançait à contrecœur, dirais-je. Soit il n’a pas envie d’être ici, soit qu’il a la flemme aujourd’hui. Pour être honnête, j’opte plutôt pour la première option. Je descendis du rocher et avança à sa rencontre, les mains dans les poches comme à mon habitude. Je ne vais pas le déranger avec son petit dix minutes de retard, ce n’est pas ça qui me dérange le plus et j’en ai rien à battre. D’ailleurs, être tout seul avec lui sans mes coéquipiers est angoissant. Qu’est-ce que je vais avoir comme mauvais surprise ? Je ne le laissais pas deviner mes pensées, j’affichais toujours mon expression neutre et impassable sur mon visage. Nous nous arrêtons à une distance de deux mètres chacun. Je fus celui qui prit la parole en premier, question d’être « poli envers son supérieur hiérarchique ».

- Salut Sensei. Comment allez-vous ?

Arf… J’aimerais tellement lui péter la gueule à ce connard ! Malgré qu’il soit sympa quand il veut, le latter est d’une irrésistible envie. M’enfin, j’attendis sa réponse à ma salutation. Insulte, vanne, politesse ou je-m’en-foutisme ? Ce que j’attendais vraiment, c’est la raison de ma présence ici, moi-même avec mon professeur. Le reste, je crois que nous nous en balançons réellement tous les deux.

Ah, ce bon vieux Yugure tout craché ! Il répond avec amour et sérénité… Bon, pour de vrai, il est un peu fou, ce mec. Ça colle avec le style du personnage, mais je ne le savais pas aussi chiant que ça. La première fois, il m’engueule pour être impolie et la deuxième fois, il m’insulte car j’suis polie. À partir de maintenant, j’vais me limiter aux salutations et seulement ça. À vrai dire, je viens aussi de remarquer que Sensei n’aime pas les hypocrites. Pourtant, il doit être aussi égoïste que moi en ce moment. Bref, j’ai fait exprès pour voir sa réaction. Au moment de sa première interpellation, soit sa première insulte, j’avais affiché un sourire moqueur. Signe que j’me foutais bien de sa gueule et que j’avais fait ça dans l’intention de rire. Mais bon, c’est dans mon humour. S’il voit quelque chose de méchant la dedans, c’est qu’il est con. Ça veut dire que je ne pourrais plus rire de sa gueule, ce qui est très chiant pour moi. Les insultes de Yugure, je ne les prends pas personnels. Pourquoi ? Simplement parce qu’il est comme ça avec tout le monde, à croire que c’est sa façon de saluer « poliment ». Bon, je ne vais pas répondre à ses insultes pour commencer une bagarre de vannes qui pourrait s’avérer très amusante, mais le sourire était assez en ce moment De plus, je ne voulais m’enfoncer plus dans la merde si jamais il le prend mal, chose qui est fort probable.

Il reprit immédiatement avec la phrase de la journée, il voulait m’apprendre une technique de rang B, soit de puissance moyenne. Tiens, un cadeau, quoi. C’est une des choses que je n’attendais pas de sa part. Enfin, non. C'est plutôt son devoir en tant que Sensei qui lui oblige de m'entrainer. Quoi qu'il en soit, j'en sors gagnant pour aujourd'hui. Qu’est-ce cette technique, j’en ai aucune idée pour l’instant. Le mieux serait défensif puisque mon seul bouclier qui peut arrêter les jutsus est trop faible pour arrêter des techniques de puissance supérieure au niveau C. Bien que mon répertoire offensif manque cruellement de puissance, il est important que j’obtienne quelque chose de plus en défense. Si j’aurais eu le choix, j’aurais demandé la technique qu’il s’est servi pour me protéger. Il n’a composé aucun signe et un bouclier de chakra est apparu comme par magie sur son dos. Mais bon, il semblerait que Yugure-Sensei soit décidé. S’il juge que c’est parfait pour moi, tant mieux. Il continua en me demandant si je peux supporter l’entraînement qui m’attend. Drôle de question, il me prend vraiment pour un imbécile. Plus tard, j’aimerais bien le remettre à sa place. L’envie me tue et je crois que Seki Feng, mon équipier, pourra être d’accord avec moi. Je répondis à sa question tout en me craquant le cou en deux mouvements, question de ne pas me le bloquer si jamais il m’attaque ou veut faire un échauffement avant de commencer pour de vrai.

- C’est une question qui ne se pose même pas, bien sûr que je suis prêt.

Sigillum Protector. Vachement con comme nom. C’est une technique personnelle de Yugure. Il commença son explication en précisant que c’est un Fuinjutsu de rang standard, soit B, qui protège automatiquement en cas d’attaque. Donc, pas besoin de mudra ? Intéressant et très utile. Il termina sa tirade en me rappelant que c’est une technique de scellement. Tu m’apprends quelque chose de nouveau, gros con ! Tu gaspille vraiment ton temps à me rappeler des points forts inutiles. Je n’affichais pas la mine qui allait avec mes pensées, mais mon regard voulait tout dire. C’est quelque chose qui passa inaperçu puisque Yugure commença à déboutonné sa chemise et sa veste de cuir. C’était clair comme de l’eau et de la roche qu’il allait me montré le sceau en tant que tel. Après avoir tout enlevé sur la partie supérieure de son corps, y compris son chapeau de guignol, il se retourna et m’expliqua sans me regarder comment fonctionnait la technique en totalité. En effet, à ma grande surprise, il faut deux sceaux permanant pour créer ce bouclier. L’un sur la nuque, l’autre au bas du dos. Il continua sa tirade en me disant qu’il y a deux choses à savoir pour apprendre cette technique : les sceaux pour avoir la technique de manière permanente est une bande rectangulaire de dix et cinq centimètres et c’est une écriture complète. Le deuxième point est fort intéressant, il existe une variante permettant de poser ce sceau à un allier. Je n’ai qu’à poser une certaine écriture sur les deux endroits nécessaire pour la technique, comme la manière permanente, mais seulement pour l’espace d’un combat, soit temporaire.

Alors, pour faire court, ce Fuinjutsu me permet de garder dans mon dos la technique de manière permanente et je peux l’imposer sur mes alliés temporairement. C’est très utile. Yugure se retourna et s’accroupit pour dessiner quelque chose sur le sol poussiéreux du terrain. Il dessina à l’aide de son doigt un cercle et à l’intérieur se situait un carré. Il précisa que c’est le signe central qui permet l’utilisateur d’imposer la technique sur quelqu’un pour un certain temps. Le dessin n’était pas très bien fait, à croire que Yugure-Sensei n’a pas de talent artistique mais je comprends l’essentiel. Coupé en pleine réflexion, mon prof me demanda si je comprenais tout à la perfection. Hélas, je comprenais tout ce qui consistais la technique elle-même, mais j’ai des questions sur l’utilisation du jutsu. J’ai déjà vu à l’œuvre la technique et cela me permettait de tirer des conclusions sur les conséquences de son utilisation et aussi, comment l’utiliser. Il m’a grand ouvert la porte pour poser des questions, alors je m’y lance !

- Je comprends la constitution de la technique à la perfection. Par contre, j’ai des questions sur la technique elle-même. Premièrement, de ce que je vois et de ce que j’ai vu lors du combat contre Lamia et Seki, cette technique ne protège que le dos de l’utilisateur ? Deuxièmement, est-ce que je peux l’utilisé à volonté ou il y a une limite entre chaque utilisation ? Et troisièmement, pour que ce bouclier s’active, il faut qu’il soit réactif au chakra, non? Alors, il réagit donc seulement au Ninjutsu, pas vrai ?

C’est drôle, je crois que je vais recevoir une remarque de sa part pour avoir dit ça. Soit qu’il va dire que j’suis con et j’ai faux, ou il va dire qu’il ne me savait pas aussi intelligent. Si c’est le cas, c’est rendu trop facile de lire dans le jeu de Yugure.

Qu’on me donne une médaille, j’ai lu dans son jeu à la perfection ! Bon, ce n’est pas grand-chose mais tout de même. Alors qu’il me dit qu’il ne me savait pas aussi intelligent, je lui fis un regard. Ce regard voulait simplement dire « ta gueule et passe à la suite, enfoiré ». Il marqua une pause, signe qu’il est en train de formuler ses phrases dans sa caboche. Je repris mon sérieux à mon tour, histoire de ne rien louper d’important. C’est ma future technique, il est important de tout savoir sur son utilisation, ce serait vachement idiot de ma part sinon. Il commença par m’affirmer que la technique ne protège que le dos de l’utilisateur et qu’il se déclenche lorsqu’un chakra étranger à mon corps s’approche trop près de moi. Donc, du Taijutsu qui demande du chakra se fera aussi stopper par le Sigillum Protector. Même fonctionnement pour les personnes qui s’approche trop du dos de l’utilisateur, leur dégagement de chakra activera le sceau pour ce Fuinjutsu de rang standard. Donc, le seul risque est les projectiles banals… En effet, c’est le prochain point que mon Sensei y porta une explication : les projectiles ne dégageant aucune énergie ne se feront pas arrêter dans leur course par le bouclier de chakra. Il arriva enfin au point le plus important, celui qu’il ne faut jamais négliger. Le bouclier doit prendre un temps de recharge, comme je m’en doutais bien. Le laps de temps est court, mais il faut en prendre compte. À pars ce point, c’est une bonne technique.

Yugure va donc m’apprendre ce que je trouvais de la bonne came. La technique en elle-même est excellente, surtout le fait qu’elle protège le dos de l’utilisateur. Le rechargement est une conséquence, mais bon. Tu t’en sers et après, tu dégage en attendant que le bouclier recharge. Il y a divers moyen de s’en servir et de contre-attaquer après. Mais je ne m’attarderais pas sur ce point aujourd’hui. Ce qui compte le plus, c’est apprendre cette technique de défense à partir de deux sceaux. Mon attention revint sur le signe central, ce qui permet de l’imposer à des coéquipiers. Ceci est aussi un paramètre crucial en combat avec des alliers. Mon prof me regarda et me demanda si nous pouvons enfin passer à la pratique. Je ne crois pas avoir oublié de points concernant les questions. De plus, je doute que Sensei ne me fasse part de d’autres conséquences, ce serait cruel de sa part. Je le regardai et lui fis un signe de tête, le feu vert pour passer à la suite de l’entrainement. Un micro sourire apparu sur le coin de ma lèvre, ça va être chiant et amusant à la fois, je le sens.

La suite de l’entrainement de ne se passerait pas comme je l’ai prévu. Il me donna un pinceau, de l’encre et des feuilles. Il m’annonça que la prochaine étape consiste à dessiner le motif à la perfection. J’ai tout le nécessaire pour me pratiquer ainsi qu’un modèle, alias le dos de Sensei. Il prit position proche d’un parchemin et ne bougea plus, dos à moi. C’était en effet le moment idéal pour lui asséner un coup, mais il y a justement un bouclier qui stoppera toute attaque. Je peux reculer et lancer des projectiles, mais ce serais complètement inefficace car il stopperait facilement les projectiles. Un jour, je pourrai peut-être lui en donner un, un bon coup de pied dans le fion. L’intensité du moment ce jour-là serais à son paroxysme ! Retournons aux explications du clown. Il m’expliqua la marche à suivre pour compléter le Fuinjutsu. Je devrais me coucher deux fois dans le parchemin après avoir parfaitement recopier les motifs du sceau. À cet instant, après avoir injecté mon chakra dans le rouleau, les motifs viendront se coller sur ma peau à l’endroit désiré. Ça l’air facile, hein? Eh bien, si j’me loupe comme un con, j’aurais un beau tatouage à la con sur le dos. Une autre raison pour ne pas foirer lamentablement. Je pris place à un mètre de Yugure et m’installa confortablement pour pouvoir dessiner en paix. Après cinq minutes de pratique, je réussis à ma quatrième tentative de faire une réplique parfaite du motif. Les trois premières feuilles étaient à cette heure que des boules de papiers froisser sur le terrain d’entraînement. Juste pour être sûr, je refis un dessin de pratique pour être sûr que j’ai bien réussis mon coup et encore un nouveau motif pour le deuxième sceau sur le bas du dos. J’ai maintenant deux feuilles qui ont chacun un motif parfaitement calligraphié.

J’enlevais ensuite mon t-shirt pour pouvoir « imprimer » les sceaux sur mon dos. Je fis tout le tralala que Yugure m’avait expliqué. Enfin, à l’injection de chakra, j’ai eu un petit peur d’avoir un sceau qui ne sert complètement à que dalle. Après deux minutes d’attente stressantes, les deux motifs étaient posés. Je me frottais la nuque où le sceau était maintenant imprimé et le bas du dos. Je reportais toute mon attention sur le dos de Yugure, je n’ai fait aucune erreur dans le dessin, alors aucune raison d’avoir la frousse. Je repris mon t-shirt à l’aide de ma main gauche avant d’annoncer la fin de l’entraînement… Merde, c’est vrai ! Il avait dit plus tôt qu’il restait une dernière étape, c’est un apprentissage de technique en trois échelons. Alors, je donna le ok de mon côté pour passer à la suite.

- Fini et prêt pour la suite.

Ps : Tu fais encore une réponse, puis on fait valider la technique !

Un mélange entre un sourire et un regard autoritaire, ça signifie quelque chose de mauvais en temps normal. Avec Yugata Yugure, plutôt quelque chose de con qui allait arriver dans les prochaines secondes. Il me fit presque rire avec son regard, c’était assez inattendu et la tronche qu’il faisait valait un beau portrait. M’enfin, je peux me tromper, cet imbécile ne se lit pas comme un livre ouvert. Il se leva et se plaça dans mon dos tout en marchant tranquillement. Je le laissais faire, la troisième étape était sûrement de tester si les sceaux fonctionnaient à 100%. À la suite de quelques secondes d’attente, il m’annonça en en effet que le troisième échelon est de tester la technique, savoir si les calligraphes sont parfaits. Je fermais fermement mes poings, prêt à recevoir un jutsu en cas d’échec. Je n’étais pas très confiant de la réussite de cette technique puisqu’une erreur dans le motif et c’est un beau tatou que nous avons sur la nuque à la place d’un sceau. Du coin de l’œil, je vis Yugure cracher ses dix senbons de foudres. La technique se dirigeait vers moi à une vitesse effrayante dans mon cas. Je regardais toujours vers l’avant, serrant mes dents. Puis, un bouclier apparu dans mon dos. En un instant, je fus soulagé d’avoir réussi le calligraphe et de ne pas m’avoir pris une belle technique Raïton dans le cul. Technique acquise, mission accompli.

J’enfilais mon t-shirt et me retourna pour le remercier pour cet apprentissage, bien que ce soit à contrecœur. Comme toujours, il commença à déguerpir de ma vue avant que je puisses dire quoi que ce soit. Il fit seulement un signe de main en me disant que c’est tout pour aujourd’hui. Pas très bavard et il se moque de ses élèves et je crois qu’il nous enseigne seulement pour prendre de l’importance au sein du village. C’est chouette et cool d’avoir un Sensei de la sorte. Au moins, il n’est pas collant et il se fou de la plupart de nos actions. Il se contente seulement de nous apprendre des choses et de nos rappeler nos erreurs. Alors qu’il disparut complètement de ma vue en tournant le coin à l’extrémité du terrain, je remarquais son accoutrement de clown sur le sol. L’imbécile l’a oublié ici et est partit torse nu…

- Quel con…

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