Après un long voyage, le jeune agent secret put poser pied sur les plages du Pays des Sources Chaudes, près de la ville de Chiheisen. Par ce matin d’été, le temps était doux et rien ne viendrait briser le calme du vent ou la délicate houle des vagues marines. L’odeur iodée et salée des environs ne quitterait le jeune homme que quelques mètres après la plage, pour être retrouvée plus à l’intérieur des terres en approchant des Marécages recouvrant une grande partie du Pays.

Quelques informations supplémentaires avaient été transmises au jeune Chef de l’Unité Sasayaki avant son départ. Le Clan Jôki s’était vu attaqué à hauteur d’une grotte importante non loin de thermes. S’ils avaient tentés de neutraliser leur assaillant, ils avaient rapidement renoncé et préféré prendre la fuite devant un adversaire semblant doué d’une détermination absolue à tous les éliminer. L’un d’entre eux décidant de rester en arrière pour couvrir les siens, il avait été supprimé de façon brutale et cruelle, sans que les traces de combat n’indiquent qu’il ait réussi à blesser son adversaire.

Le Clan Jôki s’était depuis retiré près des Thermes au sud de la ville de Chikagai. Un Clan nomade, qui restait installé sur ces terres et accordait ses services à ceux qui les payaient – ici, le Daimyo de cette nation paisible. Mais avec un adversaire aussi redoutable, le Pays ne devait-il pas craindre pour sa sécurité et sa tranquillité ?

Le Daimyo de la Nation des Sources Chaudes se trouvait à cette époque aux Thermes non loin de la ville de Doketsu. Il s’y prélassait pour oublier le froid hivernal et profiter des premières chaleurs aqueuses et ensoleillées. Le déranger à un moment pareil n’était pas nécessairement le plus recommandé … .

Le jeune Hiko Sairyo devait donc commencer son enquête. Pour cela, plusieurs chemins étaient possibles : allait-il privilégier le lieu de l’affrontement ? ou se dirigerait-il vers la ville du nord pour interroger un Clan fier et austère ?

Deux possibilités :

• Partir en direction du Nord pour retrouver les Jôki et obtenir un témoignage sur cet adversaire,
  
• Ou partir en direction de l'Ouest pour étudier la scène de l'Affrontement et trouver des indices.

Tire un dé: entre 1 et 5, il faudra fouiller davantage ou rechercher une autre piste. Sur un 6 à 10, les résultats se montreront convaincants et permettront une belle avancée ! Mais avancer trop vite ... ne risque-t-il pas de te rapprocher du danger ?

Hrp:

JOKI

S’étant replié sur les Thermes du Nord, une faction nomade des Jôki s’était permis une halte afin de se ressaisir, de panser ses plaies, et de comprendre ce qu’il venait d’arriver. Depuis plusieurs années déjà, ce Clan s’était épris de cette contrée, et s’y était installé avec l’aval du Daimyo de la nation, pour y prospérer et lui vendre ses services. Malgré ces nombreuses années, à développer un réseau de confiance avec le peuple et les instances locales, et avoir bâti une réputation solide qui lui évitait les provocations ridicules et vengeresses de petits sans intérêt, il venait de connaître sa première refoulade, sans même comprendre ce qui lui arrivait.

Dans un lieu sous haute sécurité, le Chef du Clan se reposait et contemplait sa main blessée. Ce n’était pas grande chose, certes ; mais il avait laissé deux doigts dans cet affrontement dont il ne comprenait toujours ni les causes, ni la finalité. En acceptant de se replier pour préserver l’unité et la cohésion du Clan, il y avait perdu l’un de ses guerriers les plus zélés et un ami fidèle. Refermant sa main à trois doigts, son regard se perdit dans le vide pour mieux se remplir de colère. Le temps de se remettre, et le Clan se remettrait en selle, afin de trouver le coupable et lui faire payer !

Ce cœur colérique fut accéléré par l’apparition mystérieuse d’un individu attendu. Certes, ce n’était qu’un simple gamin, mais le fait qu’il ait pénétré les lieux sans même s’être fait démasqué montrait bien qu’il n’était pas d’un chétif garçon sans danger. Choisissant de se présenter rapidement et sans attendre, il eut la mise sauvée grâce à l’attention du Chef.

> C’est bon, laissez …

En effet, les deux gardes présents s’étaient placés entre cet inconnu et leur chef avec la rapidité de l’éclair. Et même s’ils restaient bras le long du corps, les yeux brillants dans un décor de brume montrait qu’ils avaient déjà leur Jutsu en place, prêts à exploiter les lieux pour se battre et ne plus reproduire l’erreur de cette journée. Deux Dragons de Vapeur broyaient déjà le gamin du regard, prêts à faire de cette pensée une réalité. Mais l’intervention du Chef du Clan avait mis une pause à cette initiative. Était-il si facile à convaincre ? Pas dit ; car si son corps était bien visible, les lieux eux s’étaient emplis d’une vapeur étouffante ; et bien que les bains de vapeur aient pour habitude de faire défaillir les moins habitués, cette chaleur écrasante n’était certainement pas des services proposés par les l’hôtellerie des lieux … .

> J’ignorais qu’un « enquêteur » était détaché par notre Seigneur sur cette affaire. Je répondrais volontiers que c’est inutile, mais étant donné ton intrusion jusqu’ici et qu’il s’agit certainement d’une décision de notre Seigneur, je suppose que nous nous y plierons … .

Sur un regard, le Chef se voyait laissé par ses gardes du corps, qui quittaient les lieux. Après tout, venir s’en prendre au Chef du Clan manipulateur de Vapeur dans ces lieux serait une pure folie. Et même s’il avait lésiné sur les présentations et les motifs exacts de sa présence, un gamin ne mentirait pas avec une telle précision d’informations sur les évènements récents. Calmant la tension qu’il dégageait naturellement, l’homme fit redescendre la température, et retint son carcan Fûûton.
Il observait maintenant le jeune Ninja de la tête aux pieds. Il était certainement habile, mais était-il bon enquêteur pour autant ? Ca n’avait guère de logique pour lui qu’un petit garçon soit envoyé pour régler une histoire d’adulte. Dans le même temps, le Maître de Yu n’aurait pas dépêché un individu pareil s’il ne croyait pas en ses capacités. Commençons par nous plier à l’exercice ; nous verrons après pour les détails.

> L’adversaire à qui nous avons eu à faire ne s’est pas identifié. Il était grand, relativement élancé. Longue chevelure noire. Un faciès oriental. Adepte du Taïjutsu. Mais il contrôlait une technique unique et relativement étrange.

Le guerrier d’élite montrait sa main invalide.

> Mon Clan est spécialiste dans la Manipulation de la Vapeur. C’est une erreur fondamentale de s’en prendre à nous sur ce terrain où nous avons un très net avantage. Pourtant, lui n’a pas hésité une seconde. Ses assauts ont été rapides et tactiques, et il a facilement traversé nos rangs. Nos attaques … rebondissaient contre lui ! Nous sommes utilisateurs du Fûûton, un Ninjutsu impalpable. Mais lui est parvenu à nous renvoyer nos propres techniques sans être touché voire même inquiété ! … et le fait qu’il ait tué un de mes hommes montre qu’il n’était pas un simple combattant avec de la chance …

Un profil physique, des renseignements sur ses capacités de combat : le Chef du Clan ne manquait pas de donner des détails. Il était bel et bien déterminé à intercepter l’individu et à le mettre hors d’état de nuire. De plus, cette récente défaite ne tardera pas à faire le tour du Pays. Ce qui pourrait alors réduire la réputation du Clan, et mettre le Daimyo – leur employeur – en danger. Cela, il tenait à l’éviter.

> Je voudrais que le Clan fasse toujours partie de l’enquête. Nous avons notre Honneur, et nous ne pouvons rester spectateurs face à cet assaillant inconnu ! J’irais plaider notre cause devant le Daimyo s’il le faut ! En revanche, qu’il confie cette enquête à d’autres m’inquiète également ! … D’où viens-tu et pourquoi le Daimyo t’a-t-il choisi ?

JOKI

Le soldat émérite restait silencieux. Le garçon qui avait fait irruption restait simple, et présentait les choses sans détour. D’une franchise à toute épreuve. Peu de chances qu’il sache grand-chose sur le pourquoi du comment, et la raison de son recrutement. Ses capacités n’étaient pas à remettre en cause, pour preuve son apparition réussie au milieu d’un camp protégé. Toute source chaude que c’était, l’endroit restait étroitement observé par les membres du Clan. S’il était arrivé ici, il n’y avait rien à redire sur ses compétences.

Qu’il accepte qu’un membre du Clan le suive montrait qu’il était compréhensif et respectueux de l’état des choses dans ce Pays. La raison pour laquelle le Daimyo eut pu accéder à cette requête en faisait quelque chose d’étrange ; ce dernier avait toujours compté sur les Jôki. Qu’il fasse appel à une main d’œuvre étrangère était surprenant. Évitons de répéter des choses déjà dites, le chef de Clan reviendrait sur ce point plus tard.

> J’ai un homme à disposition qui sera utile dans votre chasse. Il sait se faire silencieux et n’aura pas de mal à mettre son Art au profit de notre collaboration … . Se tournant vers son garde de droite – Allez me chercher Dan.

Le Chef de Clan reporta son regard sur le jeune Shukaïjin. Il y avait beaucoup de questions en suspens, mais aucune qui ne trouverait sa réponse immédiatement. Pour l’heure, neutraliser cette menace était le plus important. Même s’il devait avouer ne rien en connaître.

> Le Kaïho-Sha est une inconnue pour nous … . Nous restons isolés du monde Ninja, même si nous en faisons partie. Notre objectif reste de prospérer dans ce Pays, en protégeant notre seigneur et en profitant de son patronage. Le Pays des Sources Chaudes tient à son indépendance, et ne peut que réagir ouvertement si on remet en cause cette liberté ! Si vous avez meilleure connaissance de cet Ennemi, nous accueillerons volontiers toute information que vous nous transmettrez.
> Sôryô ?
> Ha ! Dan.

C’était un jeune homme à chevelure sombre, relativement longue pour un homme. Un kimono de repos, qui lui donnait une allure de samouraï. On était loin du cadre du Ninja qui se déplace en toute discrétion, afin de ne pas attirer l’attention et prêt à frapper l’adversaire sans crier gare. Mais s’il était recommandé par le Chef du Clan Jôki, Hiko Sairyo pouvait-il refuser l’aide qui lui était apporté ?

> Tu commenceras par montrer à cet homme le lieu de l’attaque. Par la suite, vous travaillerez ensemble. L’objectif est de localiser notre assaillant. Rien de plus pour l’instant. Pas d’acte précipité.
> Bien, Sôryô.

Le combattant était plus âgé que l’envoyé du Shukaï, mais restait jeune. Ils étaient certainement tous deux dans la même tranche d’âge. Contre les facultés poussées du gamin à œuvrer dans l’ombre, les Jôki avaient certainement privilégié un agent qui saurait montrer les grandes facultés du Clan. Maintenant, à savoir quel était son avis et son sentiment sur cet étranger venant s’immiscer dans les affaires du Clan, allez savoir. Toujours est-il qu’il n’avait pas décroché un seul sourire. Même en acquiesçant aux ordres de son seigneur.
Un ton monocorde, très sévère et concentré. Comme s’il n’accordait pas la moindre confiance à Hiko.

> Y allons-nous ?

* * *

Après avoir quitté les thermes et avoir voyagé à vive allure, le duo exceptionnel se retrouvait sur les lieux de l’incident, non loin de la Grotte décrite. Sur place, la nature et le calme avaient repris leurs droits. Mais des traces encore vives de l’affrontement étaient visibles. Cà et là, un trou dans le sol ; ici et là un arbre mortellement meurtri par une attaque, dont le trou béant dans le tronc faisait clairement comprendre que l’affrontement avait été violent. Le cercle de combat semblait s’étendre sur une zone de cent mètres carré. Un bel espace de combat, pour une attaque éclair qui avait fait mouche !

> L’Inconnu est apparu au milieu de nos rangs … . Nous avons immédiatement fait appel à nos techniques habituelles, mais il nous a repoussé tous à la fois en un seul coup … . Kakuji qui était resté le plus proche lui a envoyé un Dragon de Vapeur ; qui lui a été retourné aussitôt. Il en a certes repris le contrôle, mais le temps de le réaliser, son assaillant était déjà au corps à corps. Kakuji a tenté de le frapper … mais son attaque … bref, ca n’a pas fonctionné. Notre Sôryô aussi a tenté de le neutraliser et y a perdu des doigts … . Et quand le reste du Clan a tenté de ceinturer la zone pour le capturer … il est parvenu à s’échapper.

Tu as le champ libre pour les investigations. Tire tes propres conclusions, pose des questions, mène ton enquête.

En fonction de ta façon d'agir et d'un jet de dés déterminé à mon prochain post, nous saurons à quel point tu as pu avancer dans tes recherches ^^.

JOKI

L’équipe étant fin prête, le duo était parti sans vraiment se dire un mot. Au bout de quelques minutes, le jeune Shukaïjin s’était intéressé au choix du Chef Jôki. On ne nommait pas un homme dans sa troupe sans raison, ni sans y avoir accordé un minimum de réflexion. Si le fameux Dan était sélectionné parmi les différents gardes présents, et malgré son jeune âge, c’est qu’il devait disposer de capacités méritant cet honneur ! Rien de plus normal pour le meneur de cette mission que de vouloir en savoir davantage.

La réponse avait été courte, sans donner beaucoup de détails. A son sens, ce n’était pas au soldat d’expliquer les raisons de son supérieur. C’aurait été trop se mettre en avant, ou mal connaître les intentions de son maître de Clan. Mais Dan avait esquissé une simple réponse.

> J’ai été témoin de la scène, et j’ai bonne mémoire de ce à quoi ressemblait notre adversaire, bien que je n’aie pas eu le temps de cerner ses capacités. J’y réfléchis toujours … . Mon Sôryô m’a donné un ordre, je me dois de le suivre.

Rien de plus simple ! Et la conversation n’était pas allée plus loin que ça … . De toute évidente, le jeune Dan n’était pas intéressé quant à la raison pour laquelle le Shukaï enquêtait dans le Pays des Sources Chaudes, tout comme il ne tenait pas à en savoir davantage sur son partenaire du jour. Les Jôki étaient véritablement un Clan autarcique, n’oeuvrant que dans l’intérêt de leur Seigneur féodal. Rien n’avait plus d’importance que de respecter cet accord tacite : une servitude sans faille, et une mise à l’écart volontaire des affaires du monde pour n’accorder d’importance qu’à la défense de cette Nation.

* * *

Menant une première analyse du terrain, le Sairyo inspectait les lieux comme pour trouver des indices supplémentaires. Même s’il restait silencieux, Dan restait curieux. Quelque part, il espérait bien qu’il ne trouverait rien ! Après tout, cette présence étrangère n’était rien d’autre qu’un rappel de leur impuissance lors de cet affrontement imprévu. Mais dans le même temps, il était intrigué par les capacités de ce jeune inconnu. Sans doute y avait-il quelque chose à apprendre de ses pratiques ? Aussi, bien que restant muet, il ne quittait pas le gamin aux cheveux blancs du regard une seule minute … .

Après une courte investigation, et avoir entendu les propos de son accompagnateur, l’enquêteur impérial s’interrogeait sur la raison de celle-ci. Dan préféra ne pas relever la phrase sur les senseurs. En vérité, le Clan avait fait preuve d’imprudence en ce jour. Ils étaient nombreux à se déplacer, et leur réputation était grande dans le Pays. Tous savaient bien que s’attaquer aux Jôki revenait non seulement à se mettre l’autorité seigneuriale à dos, mais aussi à se proclamer ennemi d’un Clan Ninja ! Et ce n’était pas mince affaire. Pendant longtemps, cette notoriété avait permis au Clan d’agir sans être inquiété. Ce temps était révolu … .

Lorsque Hiko souleva la question du pourquoi, son second resta un instant sur la défensive. La raison, le Clan l’avait bien comprise ! Mais c’était étrange, car trop peu de personnes étaient au courant de l’existence d’une telle chose … . Bien que réticent à l’idée d’en dire autant, le jeune homme se résigna à apporter quelques éléments supplémentaires … .

> Nous revenions d’une rencontre avec notre Daimyo … . Notre Clan est venu sur ces terres il y a longtemps, mais le maître des lieux reste le seigneur féodal. Ce dernier a toujours reposé sur notre aide et nos services. Nous sommes donc en bons termes avec lui. Mais nous restons des Ninjas, même si reclus du reste du monde. Afin de ne pas menacer la sécurité du Pays auprès des autres vassaux, nous renouvelons régulièrement notre allégeance au Daimyo au cours d’une cérémonie. Cela permet de prouver au Maître de Yu que nous lui restons fidèles, et nous obtenons en échange un document qui nous donne le droit d’intervenir au sein du Pays comme sa police privée, et pour les missions qu’il estime prioritaire … . C’est ce document qui nous a été dérobé … .

Autant le dire, la situation était bien plus grave qu’elle n’y paraissait pour le Clan Jôki. On pouvait penser que certains, affiliés à la Nation avant toute chose, ne verrait pas d’un très bon œil cette implication des Ninjas dans leurs affaires. Pour certains, les Ninjas étaient une menace tout court – pour d’autres, ils étaient un obstacle à de plus grands desseins !

> Je ne comprends toujours pas en revanche ce qui motiverait un homme à nous dérober ce document. Si nous sommes dans l’incapacité de le présenter, nous ne pouvons déclarer être sous la protection et l’accord du Daimyo … . Nous perdrons alors en légitimité et en efficacité … tout comme notre Seigneur … . Quel est le véritable objectif du Kaiho-Sha, dont j’ai entendu le nom aux Thermes ?

Une question pour l’instant laissée en suspens. Le garçon avait parlé sans doute trop longtemps, et ne s’était pas même rendu compte que l’enquêteur était en pleine méditation. Réfléchissait-il à cette histoire ? Ou était-il déjà sur une piste ?

– – –

On pouvait facilement ressentir du chakra résiduel sur l’ensemble du champ de bataille. Certes différencier celui des Jôki n’était pas d’une grande complexité ; l’un d’entre eux était ici présent, permettant de mieux cibler leur signature. Mais s’il était possible de mieux repérer celle de l’assaillant, quelque chose ne tournait pas rond. Ce chakra étrange semblait parfois se mélanger à celui des défenseurs pour aller s’écraser contre un obstacle. D’autres fois, il semblait suivre une course qui n’avait aucune logique dans la cohérence du combat ! C’était comme si … son chakra s’était mêlé à celui des Manipulateurs de Vapeur !

De toutes les traces sensibles, deux restaient cependant « pures » et peu mélangées par rapport aux autres. Une première tournait la scène vers l’Est, et dans la direction de la ville portuaire de Chiheisen. La seconde renvoyait dans les montagnes un peu plus au Nord, conduisant dans des lieux isolés et perdus, loin de toute civilisation … .
Le choix de la route dépendrait certes des indices trouvés par le Tokugawa ; mais aussi de l’instinct !

Des informations, et un double choix, donc !

• Partir vers la ville portuaire de Chiheisen, à l'Est,
  
• Faire le choix des montagnes, en se dirigeant vers la Grotte, légèrement plus au nord !