Quand tout va mal.. [PV Zenko]

**Oppa Gangnam** Informations **Messages** : 221

Spoiler:

~ Qui êtes-vous ? Lâchez-moi !! ~

Ces derniers mots furent les premiers que j’eux prononcé depuis à présent plusieurs semaines voir quelques mois. J’étais comme perdus, m’agitant dans tous les sens. Alors que je venais de me réveiller, des hommes tentèrent de m’immobiliser sur quelque chose ressemblant à un lit. Je ne savais pas ce qu’il se passait, j’étais désemparé, ne pouvant bouger. Tout ce que je savais c’était que j’étais bel et bien dans une pièce blanche, entouré de plusieurs hommes et femmes en blouses blanches. A leurs tenues, ainsi qu’aux appareils se trouvant autours de moi dans la pièce, je pus deviner que je me trouvais dans un hôpital. Essayant de chercher dans ma mémoire ce que je pouvais faire ici tout en me débattant pour me défaire de l’emprise que les médecins avaient sur moi, je sentis comme un pic dans ma nuque. Essayant de regarder, je vis une jeune demoiselle, seringue en main sans liquide à l’intérieur. Ce fut tout à coup que mes muscles me lâchèrent, ne pouvant plus rien faire à présent. Je regardais les docteurs parler entre eux sans comprendre un traître mot de ce qu’il disait. L’un d’eux s’approcha su près de moi que je pus comprendre ce qu’il me disait. Il demandait de me détendre et il voulait savoir si je savais qui j’étais. Et puis quoi encore, bien sûr que je sais qui je suis. D’une voix forte et méprisable, je lui répondis :

~ Bien sur je sais qui je suis. Je suis… je suis… ~

Pas un seul mot ne voulait sortir de ma bouche. J’étais paniqué, inquiet, toutes ses émotions me traversaient l’esprit. Je ne savais comment réagir, je ne savais plus comment je m’appelais, je ne savais plus rien de mon identité. Où j’étais, qui j’étais, qu’est-ce que je faisais là… tels étaient les questions que je me posais. Ce fut d’un bon que je réussis à me lever du lit, courant dans un coin de la pièce, accroupis au sol, les jambes repliées contre mon torse et mes bras les entourant. Qu’est-ce qui m’arrivait ? Un jeune homme au physique plutôt robuste tenta de me relever. Son bras attrapant le miens, je me dégageai d’un geste vif et le fit basculer d’un coup de pied. Toutes les personnes se trouvant dans la pièce avaient les yeux rivés sur moi. Je ne savais pas quoi ressentir entre de la gêne, de la peur ou de la haine. Les regardant un par un, chacun leur tour, je m’arrêtai sur un homme d’âge assez mûr, plutôt grand de taille et une barbe plutôt longue et grise.

~ Qu’est-ce qui ce passe ? Qui suis-je ? Où je suis ? Qui êtes-vous ? ~

C’est à ce moment-là que le vieil homme fit quelques pas dans ma direction. Je serrai alors mes points, prêt à le frapper pour lui faire comprendre que le coup allait partir s’il était trop proche de moi. Ma réaction était tout à fait normale, j’étais complétement désemparé. Il s’arrêta et commença ses explications. Il ma raconte donc la dîtes histoire de ce qui m’était arrivé. Il m’expliqua que lui ainsi que le reste de son équipe ici présente sont des médecins du pays du vent et qu’ils m’ont trouvé sur l’île de Hai No Kuni alors qu’ils cherchaient un de leur compagnon y étant allé pour sauver des shinobis se faisant la guerre là-bas. Ce fut l’un de ses compagnons qui m’avait trouvé, écrasé par une grosse roche volcanique. Mon état été critique, ma peau avait brûlé en très grande partie et certains de mes organes avaient été touché. Heureusement, grâce aux nouvelles méthodes de soins, aux nouveaux savoirs, ils avaient pu me sauver de justesse. Il ne pouvait me dire pourquoi j’étais au ces lieux, qui j’étais et surtout ce qui m’était arrivé. Mettant alors ma tête dans mes bras pour tenter de me concentrer, retrouver quelques souvenirs même partielles de ce que j’étais, l’homme vit que je commençais à fondre en larme de panique. Ma réaction était tout à fait normale, j’avais tout oublié.

Affolé, terrifié, je vis de loin une fenêtre et courus en sa direction pour sortir de la pièce. L’ouvrant rapidement, je me retrouvai sur le seuil entre la pièce et l’extérieur ? Je vis que tout autour du petit village dans lequel je me trouvais n’étais que sable et vent. Regardant derrière moi, je vis le groupe de médecins me faire signes de revenir vers eux. Ils n’avaient pas tords, il aurait fallu que je revienne vers eux, ils pourraient peut-être m’aider. Que faire ?

(#) Sujet: Re: Quand tout va mal.. [PV Zenko] Ven 2 Mar 2012 - 12:02

Quand tout va mal.. [PV Zenko] 763000zenko10

Mmm... Bien, je m'en occuperai ne te tracasses plus pour ca..., Comment aurais-je pû refuser d'ailleurs alors que j'étai le plus à même de gérer une tel situation...

Zen ♣

♫ Tirant une derrière taf sur ma cigarette à moitié consumé... Mon regard se perdit sur cette mécha-greffe qui remplaçait à présent se qui fût un temps mon bras, me dire que je devais vivre avec ce fardeau tout le reste de ma vie n'était pas aisé et pourtant il s'agissait de la vérité. Encore un... enfin un amnésique, puisque j'étais chargé de veiller à se qu'il foute pas le boxon au sein du village. Une malédiction à laqu'elle je ne pouvais pas me soustraire étant donné que moi même j'avais vécu ce moment de détresse, cela faisait à présent 3 semaines... Je ne peux pas dire que je m'y étai fait mais bon ce n'était pas comme si j'avais le choix. Écrasant le mégo de cigarette à l'aide de ma grosse bottine, je me couvrit d'un béret criblé d'une multitude de trou, tandis que d'un même mouvement je franchisai le seuil de l’hôpital... En quelques pas je me retrouva à porté de bras d'un petit comptoir au quel était accoudé le médecin en chef, après nous êtres réciproquement présenté, nous échangeâmes une bonne poignée de main, cet échange fraternel précéda un long briefing dans lequel il m'expliqua "que le patient est encore sous le choc..." & "qu'il faut y aller en douceur pour ne pas le brusqué..." Bref ! Tout le charabia d'un médecin qui n'avait pas vécu la situation, mais bon je lui pardonnerai pour cette fois.

♫ Chambre numéro 47° ...Voila se qu'il m'avait indiqué et c'était bien vers celle-ci que je me dirigeai. Moi qui n'aimait pas les hôpitaux je dût réprimé un long soupir las, mais soit, peut être était-ce du à la mission que l'on m'avait confier en y réfléchissant bien... Pas étonnant donc que je me sente nostalgique en ce lieu emplit de peine. Qu'allais je bien pouvoir lui dire ? Devrais je lui mentir ou le réconforter, non tout ca ne me ressemblait vraiment pas. La franchise même si elle pouvait blesser était à la base de mes principes et si ce type essayait de se la cacher, c'est à coup de pied que je la lui enfoncerai dans le crane... Décidément je me perd trop facilement dans mes songes va falloir que je fasse plus attention à çà d'ailleurs... Je me rend compte que j'ai passé la porte d'environ 7numéros, rebroussant vite le chemin j'arrive enfin face à celle-ci... Bon c'est à moi de jouer, inspirant une grosse bouffée d'aire je tourne la poignée et c'est la que...

- Empêchez le de sauter... Vite !

♫ Super... En plus d'être une mission de merde, voila que je tombe sur un mec à forte tendance suicidaire, que rêver de mieux ? Si ca ne tenait qu'à moi je lui aurai foutu un bon coup de pied dans le derche, histoire de lui foutre la peur de sa vie, mais pas de bôle pour cette fois-si j'avais des ordres et même si cela me faisait bien chier il me fallait m'y référer... Aller qu'est se que je fait ? Je bouge ou je nie l'affaire... Coup d'oeil de gauche à droite, bon et puis merde les ordres ! ...Quelques pas rapide histoire de prendre un bon élan et puis me voila en train de taper un sprint droit sur l'adolescent. A ses dépends il va vite comprend qu'il faut pas tester la puissance d'un homme d'acier, Forçant sur tous les muscles de mon corps, à commencer par ceux de mes épaules, je lance d'une détente vif et souple un bon punch de mes premières phalange métallique droit dans le jeune visage du garçon... BOn clair j'y vais un peu fort et sur le coup j'y ai pas trop réfléchit, mais c'est la que je m’aperçois que nous sommes tout deux en train de tomber en chute libre... Ah bordel, on est au deuxième étage qu'est qu'il avait besoin de faire le babouin sur le robuste de la fenêtre... Qu'il compte pas trop sur moi pour amortir sa chute, d'ailleurs c'est bien grasse à son corps que j'amorti la mienne... C'est violent ! Du moins pour lui, puisque de mon point de vue le jeune homme m'a servit d'airbag... A présent étendu comme une carpette et entrain de bouffer du sable, le gamin semble bouche bé, je pense bien que c'est à présent le tour de mon spitch...

Quoi, viens pas faire ton étonné... T'as voulut sauté et voila c'est fait, alors maintenant viens pas chialer... La vie est dur, tu t'es perdu en chemin, pas le choix faut l'accepter, ca serra pas facil mais va faloir vivre avec... A présent t'as deux choix, soit tu te barres comme un chien peureux qui va teter sa mère, ou bien..., Tssss... Faut savoir se qu'il veut, moi j'ai juste accomplit sa volonté... Tu te comportes comme un homme et tu m’essuies ces larmes que je vois sur ta sale face... J'étais dur, froid et insolant... mais pourtant malgré se qu'on aurait pensé, il ne s'agissait que d'une bonne droite verbal pour lui remettre ses idées au net... Après tout, ce n'était pas pour rien qu'on me surnommait IronMan... Soit L'Homme de Fer

Zen ♣

**Oppa Gangnam** Informations **Messages** : 221

Regardant une dernière fois en arrière avant de sauter par la fenêtre, je vis une porte s’ouvrir à une vitesse constante puis regardant la scène avec une vision plus détaillé, j’aperçus une personne pénétrer dans la pièce. Cette personne, une fois dans la pièce, commença à faire quelque pas rapide dans ma direction avant de courir. Arrivé en face de chez moi, il me mit une droite puissante dans mon visage. Je ne sentais pas la douleur lorsque l’impact fit son apparition. Son coup était tellement violent qu’il me fit perdre l’équilibre de mon perchoir et me poussa dans le vide accompagné de mon agresseur. Nous étions en chute libre. Regardant en dessous de moi, je vis une dune de sable plutôt importante dans laquelle nous allions nous écraser ensemble. POUF fut le bruit lorsque mon corps rentra en contact avec le sablon. Je ne pus avoir le temps de m’écarter, l’homme qui venant de me frapper eut finit sa course sur mon propre corps. Il était plutôt lourd mais bizarrement, je n’avais rien sentis. Le poussant pour ainsi me relever, le cul à l’air à cause de la chemise d’hôpital blanche que je portais, je la reboutonnai. Je fus surpris lorsque je vis mes mains. Une sorte d’aura bleue entourait ton mon corps. Cela ressemblait comme à une armure et c’était sûrement pour cela que je n’avais pas ressentis la douleur du coup de poing, ni celle de le chute. Je ne savais pas ce qu’il se passait mais je trouvais cela plutôt cool.

Scrutant rapidement de haut en bas la personne qui venait de me faire tomber, je remarquai que ce dernier n’était pas beaucoup plus vieux que moi et qu’il avait un bras en métal ainsi qu’un visage doux. En parlant de visage, je ne savais même plus à quoi je ressemblais. Regardant son bras métallique brillant, je pus admirer mon reflet. Je ressemblais à cela alors ? C’est vrai que je ne savais pas qui j’étais ni ce qui m’étais arrivé mais je me souvenais tout de même à quoi je ressemblais à l’époque. Mais la personne que je vis se tenir à ma place ne me ressemblais pas, ça ne pouvait être moi. Mes cheveux blancs y étaient toujours, même si ma coupe de cheveux avait totalement changées mais mon visage qui était si radieux s’était transformé en un visage de fou, de tueur. Déboutonnant une partie de l’avant de ma chemise, je contemplais mon corps qui était parsemé de cicatrices. Je ne savais pas ce qui m’était arrivé mais ce n’était sûrement rien de bon. Alors que l’homme était toujours au sol, je l’entendis me faire un énorme sermon dont je n’en avais rien à faire, que j’écoutais à moitié d’ailleurs, voire pas du tout. Dans mon esprit, je trouvai ma réaction enfantine mais j’avais l’impression d’un air de déjà vus.

Reprenant mon esprit, j’entendis alors ses dernières paroles. Il fallait que je me comporte comme un homme et que j’essuie mes larmes. Toujours en le regardant, je lui répondis du tac au tac d’une voix solide et puissante:

~ Un shinobi ne doit jamais montrer ses émotions !! ~

Pourquoi j’avais dit ça moi ? Ces mots étaient sortis tout seul, je n’avais pu le contrôler. J’agrippai alors la manche droite de ma chemise et essuya mes larmes. Je ne me reconnaissais plus physiquement et ignorais totalement ce qui m’était arrivé. J’examinai mon interlocuteur et lui demanda :

~ Qui es-tu ? Que m’est-il arrivé ? ~

Lui tendant la main pour l’aider à se relever, j’attendis alors sa réponse avec crainte qu’elle soit mauvaise.

**Contenu sponsorisé** Informations

» Quand l'appétit va tout va ![ Libre ]
» [Kakumeigun - aide médicale] Quand tout bascule
» Mission Rang S : Ça va pas du tout ma chérie ! Ah non mais là faut tout changer ! [Vs Aburame Matabei]
» Changer du tout au tout
» Agréable. [PV Zenko]

Quand tout va mal.. [PV Zenko]

Quand tout va mal.. [PV Zenko]

Sujets similaires

Sujets similaires