Voilà donc maintenant près de trois semaines que mon élève est parti à Yuki no kuni. Pourquoi, cela n'est pas vraiment ce qui me préoccupe, je laisse la plus grande liberté à mes élèves, leur donne entrainement quand je peux et surtout s'ils le veulent. L'héritier de ma force a grimpé les échelons et se voit maintenant prendre le titre d'épéiste. Une lourde responsabilisée que je le crois capable de tenir, mais pour être un bon épéiste, la force n'est pas la seule qualité qu'il faut avoir et pour qu'il reste un bon épéiste. Je me dois de toujours lui montrer le droit chemin. Me posant un peu éloigné du grand fort que Yuki no Kuni à, je me mets à stopper ma marche avant d'être visible à vue d'œil par les gens des lieux. Fixant immobile, j'use de mon sensoriel pour espionner les fait de mon élève ? Pourquoi ? Je me dois de vérifier une chose, une chose importante à mes yeux. Bien sûr je ne vais pas le mater posant un bronze ou avec sa femme non. C'est simplement de voir son comportement, car dernièrement j'ai eu vent de chose dont je veux lui parler et qui est de loin l'idée que je me fais des épéistes de Kiri. Quand se fus fait, je peux voir Katano en train de malmener un homme. Je n'y crois pas mes yeux. Le voir faire un tel geste me brisais littéralement le cœur. Le regardant, je sens que son comportement doit avoir une raison morale, mais ce genre de comportement pour moi n'est pas acceptable. Pendant cette vérification plusieurs Ninja vérifiés la provenant du flux de Chakra que j'ai utilisé pour l'espionnage. Des hommes qui me reconnaissent rapidement et qui attendent que je bouge pour me donner le bienvenu. Trois hommes. Je les regarde les saluts et leur demande de me laisser seul que j'avais un rendez-vous dont leur présence serais. Gênante, pour moi ainsi que pour celui que je suis venu voir.

Après cela, je me remets à marcher droit devant moi en direction de l'entrer. Ma vapeur restant activé pour simplement me garder une chaleur constance, mes vêtements ne changent pas de celui que je prote habituellement. La forme du bâtiment a pris ses formes et je vois déjà une forme attendre devant la porte. Mon visage caché par ma capuche noir j'arrive devant la porte avec un Katano en face de moi bien posé dans une tenue des plus chaud. Je le regarde d'un aire des plus sérieux et à peine Katano commence à parler que je me mets à vouloir lui donner un coup-de-poing dans le visage. Ses réflexes pour esquiver les coups sont impressionnants, pourtant je connais mon élève et le prendre par surprise est dans mes cordes. Laissant un vent lui briser les tympans j'en profite pour créer une vapeur autour de moi pour le rejeter sur un mur et cette fois lui donner un bon coup de poing juste en dessous de l'intestin un lieu sensible pouvant faire aisément recrache le repas de celui qui le reçoit. Criant d'une voix des plus mécontentes, je me mets à dire :

Tu es stupide ou quoi ? Mes entraînements et tous mes conseils sont-ils parvenus à l'oreille d'un sourd ? Je pensais attendre ton retour, mais vois-tu, j'ai bien fait de faire ce chemin.

Il devait être déconcerté. Surpris de voir ma réaction en arrivant face à lui. Pourtant, je suis furieux plus qu'en colère sur lui. Les raisons ? Je ne sais pas s'il les trouvera, à vrai dire ça m'étonnerait. Je le regarde lui laissant le temps de reprendre son souffle et de voir ça réaction. Va-t-il m'attaquer ? Ripostant des coups donnés ? Où va-t-il chercher à savoir pourquoi. Qui sait, peut-être les deux en même temps. Moi-même je ne sais pas comment il allait réagir.

Ça tète à quelques centimètres de la mienne, je me mets à le regarder. Ses mots sont comme son propre poison. Refoulant la haine qu'il détient en ne l'ignorant tout de même pas. Il me défit, pas physiquement, mais bien oralement. Je sens bien que la haine a une emprise toute particulière. Cela depuis que je l'ai comme élève. Le regardant capable d'éliminer un homme sans savoir les véritables raisons. Bien sûr, jamais il n'a passé se cape. Tuer pour lui était une chose comme une autre. Quelle que soit la personne tend que l'on pouvait réussir la mission. J'ai pendant un moment réussi à refouler cette noirceur en lui. Lui donner une sorte de force intérieur, lui insuffle ma propre volonté et cela même s'il ne l'avait à l'époque jamais fait, cela était un peu comme une parti caché en lui. Je l'ai toujours vue. Maintenant que se fus fait qu'il a donné la mort, qu'il a aussi réussi à monter en puissance et il est devenu un homme brillant en combat. Il y a maintenant cette noirceur en lui qui semble revenir. Je ne dis pas que je n'ai jamais était en colère non, mais c'était différent j'ai appris à maitriser cette noirceur qui semble aussi être dans l'âme de mon élève cette noirceur à laquelle je me suis battus depuis tant de temps et dont je me bats encore. Je ne peux l'abandonner, lui faire trouver raison. Je le regarde, puis pense à ses dires, puis après quelques réponses lui dis :

Tu crois vraiment que je veux que tu me ressembles ? Loin de là, au contraire, je tente tout pour que tu évites de te perdre, que tu fasses les erreurs que tant d'homme ont faites. La puissance mène à beaucoup de choses qui semblent te dépasser, je ne suis pas là pour faire une réplique du parfait petit soldat ou d'un autre moi, si je souhaite ça je n'ai qu'à faire un clone.

Je pris un petit écart et enlève deux lentilles que je porte constamment. Mes yeux vers, laissant place à des pupilles en forme de sceau. Des pupilles étoilés bleu.

Tu te rappelles avoir demandé quel est mon premier meurtre. Ils furent deux. Mes deux meilleurs amis d'enfance. Sache que je ne veux en aucun cas que tu ais à suivre la même voie que la mienne. Ses personnes n'avaient plus la possibilité de tracer leur propre route de prendre leur propre décision. Tu penses avoir progressé ? Je l'ai crue, j'ai vu et je vois en toi beaucoup de choses. Pourtant maintenant ce que j'ai vu m'a montré que j'ai eu totalement tors. Tu me donnes un choix ? Combattre ou prendre le signe de l'abandon? Que je choisis de prendre l'un ou l'autre se serait comme t'abandonner au même sort que mes anciens amis.

À ce moment-là, je me mis à le retourner, une larme coulait de mes yeux. Connaitre tant de personnes et voir ses gens s'envahir de cette haine à laquelle, je cherche de sauver ce monde. Je pris une bonne respiration puis réponds :

Je ne serais pas le pilier qui t'enverra dans ce gouffre. L'homme qui aurait fait de toi le martyre d'hommes moins fort que toi ou qui ne suive pas ce que tu souhaites. (Dit d'une voix plus forte)Va-y, Continue et tu verras les gens que tu aimes mourir sous tes yeux. Cependant, si tu souhaites être vraiment le maitre de ton destin. Sache que je suis là pour ça malgré ce que tu sembles croire. Suis-moi et je te montrerais le du mieux que je peux le chemin pour que tu restes aux commandes de ta destinée.

Triste est le destin, mais je sentais Katano dans une phase importante de sa vie. Celle qui le met entre deux voix, celle d'écouter cette hargne à s'en perdre lui-même ou celle de réussir à ne pas céder à cette facilité. Je lui donne un choix me suivre et donc que je continue à l'aider à tenter de l'apaiser dans ses peurs ou frustration, soit de tenter de se libérer seul. J'ai eu moi mon père comme aide à cela ainsi que mon clan et beaucoup d'amie à côté. Je n'ai pu réussir à leur rendre pour beaucoup, mais je ne voulais de loin que cela arrive à Katano.

J'ai perdu beaucoup de personnes. Mon clan qui vit que sur un fils, vivant dans la crainte d'une menace qui les dépasse. Moi dans l'incapacité de leur venir en aide sans leur mettre encore plus de bâtons dans les roues. Disons que cette période est loin d'être celui qui m'est le plus agréable. Néanmoins, je pouvais compter sur beaucoup de monde pour me soutenir, m'épauler. Même si ma personnalité me refuse de demander cette aide, je sais que ses gens me soutiendraient. Katano pour moi est plus un fils qu'autre chose, j'étais son maitre, mais dans mon âme je le considérais comme mon héritier. Je me sens responsable de lui. Je me dois de faire de lui un homme des plus respectables. Dans cela je ne dis pas le moduler, mais qu'ils ne se perdent pas comme les gens que j'ai perdues. Je ne voulais pas parler de ma première expérience de mon premier meurtre, non pas pour cacher une sorte de honte non. Je suis loin de penser que Katano ne comprennent pas et même si cela sera son choix propre de penser ce qu'il veut de mes actes. Ses mots dis, attendant en montrant mon dos à Katano. Lui qui se remit devant moi pour m'arrêter. Je le regarde avec mes yeux azures à la forme étoilée :

Katano : Pour cela, il faudrait que j'ai quelque chose à aimer.

Je le regarde, autant dire que ça phrase m'avais mis sans voix. Ce fut je crois la première fois qu'il se met à dire un telle ressentit. De tels mots montrant la gêne qu'il a envers ce monde qui sans cette chose si précieuse n'est que banalité sans raison. Malgré cela, il avait tout en main, le problème c'est d'arriver à le voir. Pour certain ils touchent le bonheur sans arriver à le reconnaitre, c'est un risque aussi grand de perdre tout sans s'en rendre compte ou plutôt trop tard. Je le regarde, puis lui dis :

Pourtant tu en as tant devant tes yeux Katano.

Le temps passe et il ne semble comme perdu dans les pensées. Le froid que le climat montre dans ses lieux ne semble vraiment pas être une chose qui nous préoccupe. Nous étions deux devant la porte et personne depuis le début de notre conversation ne passe à côté de nous. Après un petit temps, je pue revoir mon élève. Celui que j'ai entrainé, dont j'ai vu les efforts et le travail acharné pour devenir plus fort et cela dans une totale compréhension. Les discutions pendant nos longues routes entre les missions ou mes passages à l'improviste pour voir s'il se nourrit bien ou qu'il ne fasse pas trop de folies. C'est vrai que je le couvais un peu. Même si mes actes bienfaisants étaient souvent cachés. Faite dans l'ombre comme le Misuto à l'habitude de fonctionner. Je prends une grande respiration pour me reprendre de mes émotions. J'avais pour objectif de bien le sermonner afin de lui faire bien comprendre qu'il ne va pas sur la bonne route et nous sommes maintenant en train de prendre la route d'un fastidieux repas. C'est là, posant mon bras pour entourer son épaule que je me mets à dire en partant en direction de l'intérieur :

Pourquoi pas, c'est que ce chemin sous la neige m'a creusé. Il faut que je refasse le plein de réserves.

hrp:

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