Cla, clac, clac, je claquais des doigts tout en fredonnant ma nouvelle idée de musique. Ce qui est triste pour un artiste c’est de mal chanter ses compositions. Je ne suis pas vraiment bon dans l’ars vocal et cela même si l’on peut me trouver un certain talent dans ma plume. Créer, c’est plus mon domaine. Ecouter et imaginer, voilà comment je fais sauf que maintenant j’ai une gêne supplémentaire, lui :

*Bon tu arrêtes de fredonner tu me donne mal au crane

*PPff c’est bon mec, t’es dans ma tête je te rappel donc laisse-moi au moins vivre mes pensés tranquille.

Goren. L’homme qui tient ma vie entre ses mains, au moindre pas qui le dérange il peut me faire exploser et ça c’est inconcevable. Je ne peux permettre à ce monde de ce passer d’un artiste telle que moi. Ma vie m’importe beaucoup :

*Ok, okkk j’ai compris.

Bon trainant dans les immensités brumeuse de kiri à la recherche d’une taverne, ma recherche est plutôt simple à comprendre mais rude à réaliser. Trouver des Kaguya, bon même si je ne cherche pas à font mais que c’est plus une recherche tranquille je suis quand même à leur recherche. Regardant à droite puis à gauche je me rend compte que d’un coup je vois qu’en réalité j’ai bien l’impression de m’être perdue :

*Non, mais tu déconne là mec ?

Non, t’inquiète, t’inquiète je sais ou on est on est bientôt arrivé…. Putain ou je suis.

Je te rappel que l’on parle dans ton esprits.

Oups.

Je me ferais jamais à se moyen de communication.

Un petit aire blasé, je me mets à regarder autour de moi puis vois une silhouette. Fine au loin qui se dessine dans la brume. Un petit air soulagé, je me mets à avancer vers cette personne. Le sourire aux lèvres et d’un pas tranquille :

Hé bonjours. Je m’appelle Gajil, désolé mais avec cette brume je me suis perdu, es que vous pouvez m’aider. Je cherche la taverne « la distillerie » Il parait que plusieurs Kaguya y va de temps à autre.

Bon espérons qu’elle sache ou c’est voir qui sais si elle ne souhaite pas non plus y aller. Quoi qu’il en soit, je ne compte pas faire mauvaise impression, surtout quand je me rends compte que je m’adresse à une fille qui a la vingtaine environs. Les yeux bleu ciel, bon pas le ciel de Mizu no Kuni mais vous avez compris, mais quoi qu’il en soit trouver une personne ici est une aubaine qui sais combien de temps j’aurais pue encore tourner en rond.

Il était rare de me voir debout si tôt quand je n'avais pas de mission à remplir. Mais cette fois-ci, c'était le cas. Je répétais les gestes quotidiens du lever, comme tout le monde, commençant par une douche et finissant par un petit déjeuner.

Une fois cela terminé, je fis les cent pas sans vraiment savoir que faire. En clair, je m'ennuyais. Il y avait bien du ménage à faire dans ce taudis, mais la fainéantise s'empara de mon corps et m'obligea à rester assise sur ma chaise.

*Un peu de chasse devrait me réveiller. De plus ça me fait une excuse pour ne pas avoir à ranger.*

Je m'étirais tout en me levant de cette chaise et sortie de mon taudis. Je restais quelques secondes devant la porte de mon habitation que j'espérais temporaire, rêvassant de vieux souvenirs. Avant la destruction de Kiri, je vivais dans le village. Je n'avais pas quitté la maison de ma mère. Bien que certains de mes actes dans cette même maison me rongeaient chaque fois que je fermais l’œil.

Je fis un mouvement de tête comme pour chasser ces images et me mise en route pour la forêt de la brume. Il faisait assez bon dehors pour la saison. Enfin disons que j'avais connus pire en termes de météo. Car oui on ne pouvait pas vraiment dire qu'il faisait beau au pays de l'eau. On ne voyait que très rarement le soleil à cause de tout ce brouillard partout. Mais, étant une habituée du pays, je connaissais très bien mon chemin !

Alors que je marchais en direction du terrain de chasse, des bruits de pas retinrent mon attention. Je fis face à l'origine du bruit. Une ombre se dessina dans la brume. Ça devait être un homme, bien plus grand que moi, bien que ce n'était pas bien compliqué il faut l'avouer. La personne s'approcha, un sourire se dessina sur un visage plein de piercing. J'étais perplexe. Je ne savais pas si je devais être effrayée par l'homme ou si je devais, au contraire, être rassurée de ne voir aucune hostilité émanant de sa figure.

Hé bonjours. Je m'appelle Gajil, désolé mais avec cette brume je me suis perdu, es que vous pouvez m'aider. Je cherche la taverne « la distillerie » Il parait que plusieurs Kaguya y va de temps à autre.

Je supposais qu'il n'était pas du coin. Il est plutôt facile de se perdre dans cette purée de pois quand on ne connaît pas ces lieux. Mais ce qui attira mon attention était sa recherche de personne du clan. Bien qu'il n'avait pas l'air de vouloir me mettre un couteau sous a gorge, je passais sous silence mon appartenance aux Kaguya. Du moins jusqu'à ce que j'en sache plus sur ses intentions.

-Bonjour, je suis Kiminari. Ce n'est pas évident de se retrouver dans cette brume. La Distillerie se trouve plus loin vers le nord.

Je pointais mon doigt vers la direction à prendre. Je fis de nouveau face à mon interlocuteur avec un sourire amical.

-Vous désirez peut-être que je vous accompagne ? De plus, le clan Kaguya n'est pas très “ouverts” aux inconnus, une personne de leur connaissance devrait vous éviter quelques ennuis avec eux !

En y repensant, cela faisait un moment que je ne m'étais pas rendue à la taverne. Avec mes divers travaux en dehors de l'archipel, je n'avais pas eu le temps de m'y rendre pour prendre des nouvelles de ma famille. Bien que j'évitais de trop en prendre aussi.

Ouf heureusement que j’ai trouvé quelqu’un un peu plus et j’aurais due invoquer une de mes invocations pour trouver mon chemin. En ce moment je suis un peu en froid avec mes invocations ils ne comprennent pas vraiment mes derniers choix. Comme si j’allais me laisser dicter par des lézards. Hé ben ils peuvent toujours courir pour que je fasse le premier pas. Cette femme semble plutôt bien coopérer. Comme quoi dire la vérité de temps à autre sert des fois. Regardant la brume, je me mets à penser au peu de temps que j’ai vécu dans ses lieux. Le pourquoi du comment. Goren, lui es qu’il a vécue ici ? Si je me fie simplement à ce que je connais de lui à par ses dernières années, il n’y a jamais mis les pieds est donc je me demande pourquoi il s’est mis à avoir tant de projet pour cette ile. Un passé qu’il adule ? Cette réputation qu’a Kiri. Je ne sais pas mais quoi qu’il en soit je n’ai guère le choix. Je me dois de suivre ses idées, car je ne suis au final que son pantin. Les bras croisés derrière ma nuque je me mets à l’écouter. Elle me donne donc la direction du lieu que je cherche tout en me donnant des informations précieuses. Enfin précieuse dépend de l’intérêt que j’ai des informations donné. Les Kaguya ne sont plutôt pas très amical pour saluer les inconnues. Cela me fit bien rire. Si elle savait comment les Suzurane sont entre eux elle aurait compris que ce genre de comité d’accueil n’aurait que très peu d’impact sur moi, qui sais si je n’en prendrais pas plaisir. A vrais dire j’ai entendue des rumeurs sur les Kaguyas et leur hospitalité et souvent ses dernier évaluer les visiteurs à leur manière de combattre :

Ha, ha c’est vrai ? Tu sais je n’ai pas l’aire mais je me débrouille tu sais ? Je me défends pas mal au combat. Cependant je ne suis pas contre un peu de compagnie. Surtout dans un endroit aussi effrayant.

Effrayant comme si un homme comme moi peux être effrayé pour si peu. Cela étant dit ce genre de petite précision peut permettre souvent une approche plus rapide. Montrer que l’on n’est pas une armoire à glace sans peur ouvre des portes des fois. Enfin des fois car là ce n’est pas une voix mielleuse qui vient me répondre mais celle de l’homme dont mes pensés ne sont plus un secret :

*Effrayant qu’elle espèce de sale vermine tu es. Ne me donne pas envie de croire que je me suis tromper sur ton cas.

*Quoi ? Ca n’engage à rien, puis regarde là, elle est plutôt mignonne non ? J’ai bien envie de rigole un peu. Laisse-moi tranquille, surtout que cela ne ralentie pas tes projets.

*Tu sais ce qui t’attend si c’est le cas ?

*Que de trop en effet.

Je la regarde puis pense aussi au fait qu’elle ait par la même occasion insinué connaitre les Kaguya. Je me rapproche d’elle puis posant un bras sur son épaule, je me pose derrière elle puis pose l’autre bras tout en les croisant devant elle. Cela peut rapidement être pris pour être trop insistant ou peut être menaçant, deux chose pouvant laisser mijoter notre cher camarade entre savoir si je suis une mauvaise personne ou une bonne, mais que voulez-vous j’ai envie de le faire et je ne suis pas du genre à m’embêter avec les formalités. Ma bouche proche de son oreille je me mets à dire :

Du coup tu connais les Kaguya ? C’est plutôt une bonne chose quand l’on est dans ses terres, mais d’où les connais-tu ? Un petit copain étant de ce clan ? Si j’ai bonne mémoire les Kaguya se reproduisent entre eux ? Enfin c’est ce qu’on apprend. C’est ce que j’ai pensé au départ.

M’enlevant de derrière, je me mets à laisser glisser mon bras sur son épaule jusqu’à que ce dernier n’y soit plus l’autre restant sur l’autre épaule je me pose à côté d’elle pour prendre cette fameuse direction :

Ne sont t’il pas intéressant ? Un clan qui se libère de ces règles monotone que le joli peuple décide de mettre en place.

Cet endroit, effrayant ? Même si la brume pouvait camoufler pas mal de chose, j’avais du mal à croire qu’il pouvait faire peur à qui que ce soit. Puis un homme de sa carrure ne risquait pas de se faire sauter dessus, même si le clan comptait pas mal de barbares ! Je lâchais un soupir de lassitude. Ma chasse était officiellement remise à plus tard et mon ménage ne serai jamais fait. Bah ! Comme si ça me dérangeais de remettre ça à encore plus tard. Puis c’était pas comme si j’avais beaucoup de visite dans cette cabane de fortune.

Le dénommé Gajil se faufila derrière moi et m’étreint de ses bras. Je reteins un cri de surprise tandis qu’il me chuchotait quelque chose.

Du coup tu connais les Kaguya ? C’est plutôt une bonne chose quand l’on est dans ses terres, mais d’où les connais-tu ? Un petit copain étant de ce clan ? Si j’ai bonne mémoire les Kaguya se reproduisent entre eux ? Enfin c’est ce qu’on apprend. C’est ce que j’ai pensé au départ.

Je fis preuve d’une grande patience quand à la prétendue consanguinité des Kaguya. Je ne me connaissait pas un si grand contrôle de moi même, même si, je dois l’avouer, l’espace d’un instant j’eus envie de lui trancher la gorge pour avoir dit de telles absurdités. C’était la faute de Tenzö ça ! Un mizukage qui s’était marié à sa cousine. de vrais phénomènes ces deux là ! Pour mon cas, il était hors de question que je fasses des trucs avec un Kaguya ! En fait, il était inconcevable de me marier. Il fallait d’abord qu’il existe quelque part quelqu’un qui me supporte mais surtout que je supporte et qui ne me donne pas envie d'égorger.

Celui que je voyais comme un géant me libéra de son étreinte laissant tout de même un bras autour de mes épaules. Nous nous mîmes en route pour la fameuse taverne. Gajil fit une petite éloge du clan. Je ne savais pas vraiment s’il était ironique ou non. Je soupirais de nouveau pensant à nos horribles traditions toujours plus meurtrières. C’était d’ailleurs pour ça que je comptais finir ma vie seule et indépendante. Pas d’attaches, pas de faiblesses. Je levais la tête vers le grand gaillard.

-Ce clan est très certainement libre, mais nos, enfin je veux dire leurs traditions sont plus ignobles les unes que les autres.

*Hé merde Kimi rattrape toi et vite !*

Après avoir fait quelques pas, je me décidai à répondre à ses précédents questionnements afin de tenter de sauver ma couverture.

-En fait, je connais les Kaguya depuis toujours, je vivais dans le même village qu’eux. Heureusement pour moi, je n’ai aucun ami intime parmi eux. Et de ce que je sais, seulement le Sandaime Mizukage s’est marié avec une cousine. Mais au fait, que veux-tu au Kaguya ?

J'allais enfin savoir ce que nous voulais ce gars là. Enfin, du moins je l’espérais. La taverne se trouvait encore a quelques kilométre. Il me faisait penser à ce bon vieux Kiri. Ah ! Que de souvenir dans ce village ! Certes peu nombreux, mais il y en avait. Les bagarres quasi quotidiennes avec les autres enfant du village. Oui, on se battait même contre les autres enfants, enfin surtout contre eux en fait. Mais bon, même dans cette bande de brute on pouvait compter les uns sur les autres. Je me mis a sourire bêtement tout en avançant en direction du bar.

Une connaissance du clan Kaguya avec dans le lot du coup certaines connaissances, mais pas toute semble-t-il. Je garde certaines connaissances tout en donnant une jauge faussé de mon savoir. Pour le clan Kaguya je le connais bien plus que je ne le dis. A vrais dire je sais très bien les cultures que ce clan donnait autre fois certaines branche pour ne pas dire une majorité privilégiaisce que l’on peut dire la pureté de la race en ne mélangeant pas le sang de leur ligné avec un sang autre que celui du clan. Souvent cette même ligné avait une rude manière d’éduquer les leur, faisant de leur enfant de vrais militaire pouvant tout faire pour leur clan. Si notre manière de vivre dans le clan Suzurane est primaire, le leur l’est tout autant et ses deux personnes dont mon amis parle est de cette partit du clan. Cela vat s’en dire que celui qui me contrôle vat réagir en entendant le nom de cette vielle connaissance :

*Elle connaît Tenzo est Aoji. Ha, ha au moins elle a le mérite de connaitre des personnes intéressante.

*Faudrait que j’écrive une chanson à leur nom un jour.

*Ce ne serais pas dans les désire de cette sale peste. Fait gaffe elle serait même capable de te hanter juste pour avoir fait ça.

*Une femme fantôme à mes côtés, arrête et ne me tente pas .

Baissant mon chapeau comme pour cacher mes yeux, je me mets à avoir un léger sourire. Laissant ce petit sujet sur les amours de clan, je prends maintenant sujet, sur le dernier apostrophe. Qu’es que je veux au Kaguya ? Bonne question après tout c’est le fondement même de mes pas et aussi surement de l’intention qu’elle a à m’accompagner dans ses lieux. Cela m’étonne bien qu’elle face ca simplement pour ma sécurité ou pour que mon entrés soit prise d’une vue plus hospitalière :

Comment je peux ne pas répondre à une femme avec de si beau yeux. Dison que j’ai un ami qui connait leur chef. Cependant au même titre qu’elle est chef cette amie a fait une promesse à se clan et je suis donc là pour disons contribuer au fait de bien montrés qu’il a tout fait pour tenir cette promesse. La chef est de confiance et j’ai une certaines estime pour elle-même si elle a pour moi montré certain signe d’imprudence que son titre ne devrait permettre, mais disons que la parole de cet homme tien plus que sur une simple confiance. Dison qu’il souhaite s’assurer que tout soit clair.

Elle a due déjà en avoir entendue parler si pas même elle n’était pas la pendant cette réunion qui a de nouveau réuni les Kaguya. Goren a réussi l’exploit d’amener tous ses hommes dispersé à se réunir en un lieu pour arriver à leur faire une proposition est une promesse. Leur force contre une place à Mizu digne de leur clan. Une promesse qui fut tenus. Goren a tout fait pour cela. Même si certaines choses ne se sont pas passé comme prévue il a fait pour arriver à une suite des plus propice. Les dire et les propositions dans Mizu fut fait aussi dans ce sens, même si la force des Kaguya ne fut pas nécessaire. Une proposition du coup qui fut que dans un sens et donc connaissant Goren espère y voir aussi une sorte de reconnaissance de leur part. Je suis ses yeux, ses jambes et ses oreilles, mais aussi ca parole. Voyons du coup si cet échange physique n’allait pas les perturber.

HRP: