Le voyageur d'au-delà les mers (Libre)

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Le voyage depuis la côte nord de Kaminari no Kuni avait été vraiment très long. En effet il avait dû longer le fleuve Kawagariri jusqu'à arriver à la capitale économique du pays, Gashadokuro, ville entourée par une vaste chaine de montagnes. Et pour gagner du temps, Koüga n'hésita pas à apposer sur l'étranger un sceau de son clan permettant de manipuler les effets d'attraction terrestre sur son corps pour pouvoir voler à sa guise. Puis une fois ceci fait, ils n'eurent qu'à arpenter les grandes plaines centrales avant d'arriver à Kumogakure, lui aussi entouré par un relief montagneux.

Néanmoins au vu de la distance précédemment parcourue par Geerisu, cela n'était qu'une simple formalité. Surtout que cela permit à Koüga d'en apprendre un peu plus sur ce naufragé. Enfin avec beaucoup de mal en raison de la barrière linguistique qui les séparait et la possible volonté d'orienter son discours. Et d'après ce que le Kadoria en avait compris, ce dernier était simplement à la recherche d'un nouveau foyer prêt à l'accepter. En revanche lorsque son guide abordait le sujet de ses origines, l'homme ne armure ne semblait pas très enjoué à l'idée de dévoiler cette information bien qu'il faisait plutôt mine de ne pas comprendre. Le membre du Satoru n'étant pas un idiot, l'air de rien il s méfiait énormément de cet étrange individu ainsi que de son drôle d'attirail.

Bien qu'au vu de son statut d'étranger inconnu, il serait sans aucun doute considéré aux portes de Kumo comme un individu de catégorie 2. Après tout il restait en situation de neutralité avec le village caché de la Foudre bien qu'on lui prêterait sans doute autant d'attention qu'un ennemi connu. Après tout même le vétéran de guerre ne connaissait strictement rien sur les origines de cet homme et encore moins les rouages de son étrange langue. Et à en juger à leur arrivée par les têtes des différents gardes en poste ce jour-là, il y avait fort à parier que l'allure de Geerisu ne leur inspirait guère confiance. Heureusement pour lui il était accompagné par un membre du Satoru qui pourrait jouer les traducteurs au cas où.

"Salut les gars. Ce grand gaillard en armure s'appelle Geerisu et il est venu de vraiment très loin pour rencontrer le Raikage. Faites votre travail sans inquiétude."

Au vu du ton employé, cela voulait clairement dire qu'ils pouvaient y aller car Geerisu ne disposait d'aucun statut particulier qui lui permettrait d'échapper aux règles de sécurité du village.

Il s'était mis en route, en compagnie de cet étrange humanoïde vraisemblablement membre d'une force de l'ordre sur ces terres inconnues. Ils avaient tout deux marché longtemps, et malgré les enjambées naturellement plus larges de Geerisu, ce dernier ne put s'empêcher de remarquer quel empressement mécanique s'emparait par à-coups des jambes du dénommé Koüga, et quelle vitesse innée il semblait posséder malgré sa petite taille. L'annonciateur du Froid Blanc se dit qu'après tout, si l'individu était en charge d'une forme quelconque de sécurité, il fallait bien qu'il ait des capacités physiques adéquates. Ce qui fut bien plus surprenant au revanche fut la façon qu'eut Koüga d'aborder la traversée des montagnes, au pied desquelles le duo finit par arriver après de longues heures de marche soutenue. Geerisu, prit par la vista de ces reliefs dont le sommet était à peine recouvert d'un linceul blanc, contrairement à ceux qu'il avait l'habitude de contempler dans sa patrie en perdition et qui étaient formés et recouvert par la glace elle-même, fut quelque peu surpris lorsque son hôte et guide s'approcha pour le toucher, au niveau de l'intérieur de l'épaule.

En découla une forme noire, à l'aspect complexe et runique, appliquée directement sur l'armure de glace de l'Aaren. Celui-ci avait alors marqué un pas de recul, méfiant, allant jusqu'à pointer son bâton vers Koüga en le sommant dans sa langue maternelle de lui dire de quoi il retournait. L'explication était alors venue d'elle-même par une simple démonstration de l'autochtone, qui s’était employé à faire léviter Geerisu dans les airs, l'accompagnant dans la foulée avec ce qui s'avérait être un pouvoir hors du commun. Cet homme, il pouvait plier la gravité à sa volonté, simplement sur lui-même ou en usant de ces marques comme vecteur ? C'était impressionnant, réellement impressionnant, mais aussi inquiétant. Car pour l'Aaren, cela ne pouvait laissait présager que davantage de difficultés, dans le cas d'un conflit ouvert presque inévitable avec les locaux de ce continent, s'il s'avérait qu'ils étaient tous dotés de pareilles facultés. L'annonciateur du Froid Blanc avait en effet caressé du doigt l'espoir de pouvoir sauver son peuple sans en venir à de périlleuses extrémités, mais plus il avait pris le temps de retourner les composantes du problème dans sa tête, plus il s'était rendu compte qu'un conflit allait certainement éclater, tôt ou tard.

Mais il devait pour l'heure s'assurer que toutes les autres solutions seraient épuisées avant cela, et il devait pour ce faire rencontrer le leader, le sage de ce peuple. Et afin que l'entrevue puisse se dérouler au mieux, Geerisu prit sur lui de stimuler des échanges linguistiques avec Koüga, en révélant assez peu sur lui mais n'exigeant en retour, si l'on peut dire, que quelques interactions. Il put ainsi commencer à véritablement comprendre comment fonctionnait le dialecte local, un assemblage rudimentaire de grammaire, de formule et d'images qui entrait parfois en collision avec la langue Aaren dans sa logique, cette dernière ayant été développée et affinée comme un art simple et minimaliste. Mais lorsque arriva l'heure pour le duo de se présenter aux portes de ce qui semblait être une cité interdite au yeux de l'homme des glaces, celui-ci était malgré tout devenu capable de comprendre et d'assimiler aisément de nouveaux mots, en plus de savoir s'exprimer à peu près correctement. Une prouesse intellectuelle qui, si elle était tout à fait commune chez les Aaren, pouvait s'avérer très surprenante, ici.

Aussi, lorsque Koüga parla à ses collègues et congénères, tous de la même carrure que lui, Geerisu fut en mesure de rétorquer.

« Leurr... Travail. Quell est leurr... Trravail ? »

La voix était rauque et tonnait dans tout l'espace autours du petit groupe. Geerisu n'avait qu'une seule main agrippée à son bâton, mais il était à peu près évident en l'observant sous le bon angle, et surtout en apercevant la lueur grandissante au sommet de son sceptre, qu'il était tout à fait prêt à s'en servir et à se débattre. Mais au lieu de manifester le moindre signe d'animosité supplémentaire, l'Aaren se contenta de tourner sa tête casquée vers son guide.

« Kooüga, jyu dois voirr... Cheff. Rappide. »

Sur ces mots, un léger craquement se fit entendre en provenance de la cuirasse. A travers le casque mortuaire et mystique de Geerisu, ont pouvait entendre sa respiration s'accélérer de façon notable. Il porta alors une main sur son torse, ramenant plus près de lui son sceptre en marquant un pas de repli et en vint à mettre un genou à terre, se trouvant alors à peine plus petit que les autres hommes présents.

« Ghaaaaa.. !! Jyu nat shli'bat ! Dois... m'installer, Kooüga.. ! »

De la sphère lumineuse qui trônait au sommet de son sceptre commença alors à irradier un froid intense et palpable, qui se mit à se répandre aux alentours comme un feu de forêt stimulé par de l'alcool, gelant le sol, le bas des murs tout proche et menaçant, contre son gré, les pieds de ses hôtes. La glace se forma plus particulièrement autours de lui comme un halo protecteur mais éphémère, faisant drastiquement baisser la température autours de lui... Comment allaient pouvoir réagir ses hôtes face à ça ? Prendraient-ils la mouche, ou se montreraient-ils cléments et compréhensif ? Geerisu regrettait d'avoir eu à en arriver là, mais il n'avait à vraie dire pas eu le choix... Il avait beau être le plus résistant et le plus aguerri des Aaren, il avait en effet présumer de ses forces en poussant aussi loin son premier jour sur ce continent inconnu et indubitablement, en l'état, très inhospitalier par nature.

Kisen se trouvait dans les bureaux du Kazai lorsqu’un membre de l’unité chokkatsu arriva en trombe dans le quartier général. Il n’était pas fréquent qu’une telle chose se produisait et le Bannin savait très bien ce que cela signifiait, un étranger était arrivé aux portes et demandait à entrer dans le village.

- Kisen, un inconnu est arrivé avec Kadoria Koüga, il demande à rencontrer le Raikage.

Le Chuunin fut alors surpris de cette annonce, non pas de l’arrivée d’un inconnu, ce qui n’était pas si rare, mais qu’on vienne le chercher alors qu’il était accompagné d’un membre du Satoru. Malgré le fait que la surveillance du village était une attribution du Kazai, le Satoru pouvait parfaitement se dispenser de leur aval. Il comprit alors que cela devait être assez important.

- Très bien j’y vais personnellement, allez prévenir le Raikage.

Kisen partit immédiatement en direction des portes. Il ne voulait pas faire attendre l’étranger, qui pouvait très bien être un invité d’importance. Il traversa donc le village à grande allure pour atteindre les portes du village.

Arrivé sur place, il aperçut un groupe de garde, Kadoria Koüga et un autre individu. La première chose qui marqua l’esprit du Bannin fut la taille de l’étranger. Kisen était l’un des hommes les plus grands du village et il le savait, mais l’homme à qui il avait affaire était bien plus grand que lui. C’était impressionnant, de plus, sa carrure n’avait rien à envier à sa taille. Il n’avait jamais vu un être telle que celui-ci.

Il s’approcha alors du Kadoria pour lui demander des explications. Il remarqua alors que l’inconnu avait créer un halo protecteur autour de lui. Cet halo se propageait autour de lui et Kisen put ressentir un grand froid qui s’en émanait. Il n’aimait pas cela, mais comme il voyait que le membre du Satoru n’intervenait pas, il ne fit rien également, restant juste méfiant.

- Bonjour à vous, on m’a informé qu’un étranger voulait rencontrer le Raikage, c’est bien cela ?

Le Bannin s’adressait au Kadoria mais il attendait également une réaction de la part de l’individu en question. Il n’avait pas l’impression qu’il y avait le moindre problème, mais il restait sur ses gardes.

Aujourd'hui était une journée plutôt calme mais qui allait devenir étrange, j'en suis persuadé. J'avais juste envie de crier haut et fort... Pourquoi ? Vous ne savez pas la nouvelle ? Je suis affecté au Kazai, l'unité qui surveille le village de Kumo vingts-quatre heures sur vingt-quatres, si ça, ce n'est pas la classe. Il y a sûrement des ninjas qui ont mentalité similaires à la mienne, il y aura enfin des gens qui me comprendront. Aujourd'hui, cela allait être ma première mission en tant que Kazai... Euh, ce n'est pas si officielle, vu que je n'ai pas fait encore la rencontre du chef de l'unité... C'est pas grave !

Je m'habillais en tenue de mission, tenue sobre et noirs avec mon bandeau de Kumo, je m'apprêtais à aller au portes, pour vérifier qu'il n'y a pas d'intrus qui rentre en douce... On sait jamais, des yeux en plus, ça peut toujours servir ! Je sortais de chez moi avec un seul sabre et ma nouvelle acquisition ! Oui, j'ai acheté des bracelets bleu avec des protusions pour augmenter ma force d'attaque. Je sais pas, mais je sens j'ai augmenter en puissance. Je me sens beaucoup mieux, j'ai une forme d'enfer ! Même si ça se voit pas, mes yeux endormi et tout le reste... Mais j'ai vraiment changé ! Je suis devenu plus robuste !

Arrivé au porte, j'ai remarqué un homme assez costaud, et le teint mate, il possédait beaucoup de cheveux qui cacher ses yeux... Cela ne fait aucun doute, c'est le bras droit du chef... Banin Kisen, comment je sais, c'est simple, je m'informe, c'est tout. Puis il y avait Kadoria Koüga et un autre homme bizarre. Il criait, mais d'une langue très étrangère, on ne parle pas tous la même langue... Je suis assez étonné de cette découverte. Il criait puis son baton se mit à briller, il commença à glacer tout ce qu'il avait sur son passage. Il avait pas l'air de ce contrôler, je décida de m'approcher de lui et essayer de l'assommer pour le calmer.

" Désolé chef, il n'avait pas l'air d'être dans son état normal. "

Je m'inclina devant Banin Kisen et Kadoria Koüga pour montrer mon respect.

Je corrige plus tard.

]Peu à peu, l'armure de Geerisu reprenait des forces et reconstituait son intégrité. Le froid extrême autours de lui, que le guerrier du froid tentait consciemment de garder aussi contenu que possible, permettait à son corps de se revigorer et de retrouver la santé de fer qui le caractérisait. Le regard d'abord tourné vers le sol, où il avait posé un genou, il releva la tête après quelques secondes passées ainsi à se concentrer en canalisant son pouvoir au travers de son sceptre, observant la réaction de son guide et de ses congénères, qui s'étaient fait plus nombreux d'un coup. En son for intérieur Geerisu espérait véritablement que ces humanoïdes ne prennent pas son geste comme un acte d'agression, mais il ne pouvait réprouver ce brin de curiosité : si ces hommes voulaient tenter quelque chose pour le stopper... comment s'y prendraient-ils ? Serait-ce Koûga qui interviendrait, ou bien l'un des deux jeunes hommes qui étaient arrivés ? L'un d'eux il fallait l'avouer arborait un teint de peau très particulier, halé, qui interloquait l'annonciateur du Froid Blanc.

Ce ne fut toutefois pas de lui que vint la première réaction : le brun à la peau blanche s'approcha en effet presque sans marquer d'arrêt, armant son bras dans une position équivoque qui ne laissait pas grand doute sur ses intentions. Pas totalement restauré mais de nouveau en bonne forme, Geerisu se redressa donc d'une traite, plaçant son sceptre glacé d'obsidienne noire en opposition et repoussant le membre offensant du même coup. Qu'avait-il espéré, cet électron libre ? A en juger par la non-réaction des autres protagonistes, il avait pris une décision seul sans concertation, et pourtant... Pourtant, le guerrier du froid ne pouvait se permettre de ne pas se montrer assez méfiant. Son sceptre braqué à deux mains vers le petit groupe, aux pieds desquels s'était arrêté la progression galopante de glace, il reprit la parole.

« Quelle... sinificasssionnn... Tout ceci, Koûga ?! Vous me menez au Chef, je dois parler, à lui.

Narrr.... »finit-il par dire en pointant l'extrémité lumineuse de son sceptre vers celui qui avait tenté de le frapper.

Le masque mortuaire braqué sur le jeune humanoïde en disait long sur le ressentiment qu'il pouvait cacher, là, juste en dessous, mais ce qu'il ne pouvait pas montrer, c'était l'impatience qui montait chez l'Aaren en armure. Si il ne pouvait pas rapidement rencontrer le leader de cette civilisation, qui semblait avoir la main-mise sur tout le territoire, ses chances de pouvoir aménager au moins une partie dudit territoire pour l'exile de son peuple ne risquaient pas de s'améliorer de sitôt. Et imposer une terraformation par la force n'était, pour l'instant, pas du tout envisageable.

« Narr... me toucher, plus, jamais. Procéder, nyu pouvons... ? »

La glace persistait tout autours de Geerisu, tandis que ce dernier demeurait immobile sur ses appuis pour attendre un signe, de préférence de la part de Koûga, pour savoir s'il lui était permis d'avancer et d'entrer dans la cité entourée de monts, dont les cimes demeuraient cachées par les nuages.

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Finalement Koüga comprit pourquoi cet homme portait continuellement cette lourde armure dès qu'il l'entendit souffrir à l'intérieur d'elle avant de transformer la zone en un frigo. En effet son soulagement le poussa à croire que Geerisu n'était pas du tout en train d'utiliser un Ninjutsu offensif à la manière des Samui, bien qu'il se soit tenu prêt à endiguer cette technique juste avant d'avoir saisi. Ce naufragé semblait avoir besoin d'une certaine température ambiante pour survivre, c'est-à-dire que l'environnement classique des kumojins était un véritable poison pour lui. Ainsi le regard aprobateur que lui lança Koüga voulait clairement dire qu'il comprenait sa démarche.

"Il vont contrôler Geerisu pour s'assurer que tu n'es pas un danger. Tu n'as pas à t'en faire."

Des paroles sincères couplés à une tape sur ses épaulières histoire de bien lui signifier le fond de sa pensée, lui permettant par la même occasion de vérifier son hypothèse puisque l'armure était tout bonnement glaciale. Et se fut d'ailleurs à ce moment que débarqua Bannin Kisen, l'homme qui en l'absence de Sho supervisait les hommes du Kazai.

"C'est bien ça. Son langage, son physique et les circonstances dans lesquelles je l'ai rencontré me font me dire qu'il vient de très loin. Le Raikage aura forcement des questions à lui po...."

Le vétéran de guerre fut alors coupé par l'intervention d'un bleu qu'il n'avait jamais eu l'occasion d'apercevoir auparavant. Evidemment ce n'était pas ce détail qui l'interpella mais plutôt sa tentative grotesque d'assommer Geerisu. Ce dernier qui ne manqua pas de repousser le coup avec son sceptre avant de le pointer dans la direction de son agresseur de manière menaçante. Et comme Koüga n'avait pas envie que la situation dégénère à cause de la bêtise d'un seul, il leva sa paume droite tout en regardant les gardes histoire qu'ils ne fassent rien de stupide à leur tour. Puis il se décida également à calmer l'étranger en saisissant le manche de son sceptre avant de le potiner vers le ciel. Et comme cet artefact semblait être un catalyseur avec lequel Geerisu utilisait son simulacre de Ninjutsu, potentiellement capable de lui geler le bras. Il se protégea de ces effets par le biais d'une fine pellicule de chakra entourant son corps et scellant l'énergie à l'intérieur de l'un des sceaux situés sur ce même membre.

"Je répète. Tu vas pouvoir voir notre chef mais avant tu dois accepter quelques contrôles en suivant ces gens."

Il pointa alors du doigts le bras droit de Kadoria Sho. Puis une fois ceci fait, son regard vint se poser sur le fameux bleu à l'initiative ratée. Ce dernier trahissant une certaine sévérité confirmée par le ton sec qu'il employa.

"J'ai vraiment pas besoin d'une tête brûlée dans ton genre pour gérer une affaire aussi délicate. Tu n'as qu'à prendre ta pose se sera mieux pour tous le monde crois-moi."

Il était peut-être excessif mais sur l'instant il s'en fichait éperdument. Tout ce qui comptait c'est que le Kazai fasse son travail et sans lui de préférence vu son action.

"Kisen il est à toi. Par contre si tu dois lui enlever son armure, fais le dans une petite pièce qu'il aura refroidi à la température qu'il souhaite. Et expliques lui bien ça histoire qu'il ne panique pas. Sans ça il a besoin de son armure et de son sceptre pour survivre."

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