C'était une après midi chaude de Suna, assez banale en somme mine de rien, mais cette fois-ci, pas tant que ça car Arima n'était pas en train de s'entrainer mais attendre une femme au centre du village. Un rencard ? Nan, il avait une mission avec elle, rien de plus. Il ne savais même plus son nom... Bah, peu importe, elle ne s'en souviendrais sûrement plus non plus du sien de toute manière. Et puis même si c'était le cas.. Et bien il aviserait de tout façon. Il s'adossa à un mur, sirotant une boisson rafraichissante qu'il avait prise en chemin en attendant la jeune femme, il s'étira, regardant le ciel, puis jeta la bouteille maintenant vide dans une poubelle un peu plus sur la droite. Puis il vit une silhouette du coin de l’œil, souriant légèrement.
- Et ben, vraiment spontanée..
Il mis ses mains dans ses poches, n'en gardant qu'un en dehors pour la saluée tranquillement, marchant vers elle. Il plongea son regard couleur de sang dans le sien, il hésita un moment mais se réfuta au final à l'idée de lui serrer la main ou quelque chose de ce genre, après tout, ils ne se connaissaient pas plus que ça, même pas du tout tout bien réfléchit. Il soupira un peu en se souvenant de la mission.
- Récupérer un médaillon... Sérieux... Ils sont riches ils ont juste à en racheter un bon sang.
Il se gratta l'arrière de la tête et se laissa tomber contre un mur, s'y adossant et réfléchissant un peu, le plus dur serais de trouver le médaillon, le reprendre devrais être un jeu d'enfant. A moins que le voleur ne soit même plus dans le village, cela compliquerais les choses. Les personnes volées étaient riches... Donc techniquement bien garder... Donc le voleur devait être soit une connaissance, soit un employé. Il devait aussi connaitre des gens à qui revendre le bijou. Bah peu importe de toute façon, ils ne pouvaient pas simplement demander, ça risquerais d'alerter le voleur... Donc, autant se relaxer et chercher des infos discrètement, non ?
-On devrais pas chercher des infos comme ça.. On doit être discret, ce serais bête que notre enquête alerte le voleur et qu'il prenne la fuite... Je propose qu'on se fasse passer pour un couple d'amateur en bijoux. Ça attireras peut-être le voleur.
Il réfléchit en se mordant le pouce. Non, ce serais bien trop facile, mais il n'avait pas d'autre option pour le moment. Bah, et puis c'est pas comme si c'était dur de jouer un couple. Il suffit de... Se tenir la main et sourire, enfin, il pensait que c'était ça. Et puis peu importe, de toute façon, il n'y avait pas aiment de méthode plus simple et plus efficace que faire ça. Il la regarda.
- Mais... Tu sais à quoi il ressemble toi ce médaillon ?
Il avait oublier ce détail.. Un détail pourtant crucial dans leurs mission : l'apparence du bijoux. Qu'est-ce qu'il pouvais être tête en l'air des fois, ça le perdrais très certainement.. Mais pour le moment, il avait autre chose à penser.
Ketsueki Arima, se nom ne m’étais pas inconnue. Déjà c’était un Ketsueki, membre d’un illustre clan de Suna, ceux que l’on nommait les buveurs de sang. Je ne connaissais pas plus que cela ce clan, mais j’en avais entendu parler, comme tout le monde a Suna. Ils possédaient des technique basée sur la manipulation du sang, ou quelque chose dans ce gout la, sans jeu de mot. A pars cela, je ne connaissais pas de Ketsueki, mais j’avais déjà renco0ntré celui-ci. Il ne me fallut pas long pour me rappeler ce jeune homme a l’académie shinobi, Arima, oui j’étais pratiquement sur que c’était lui. Nous étions de la même génération académique, comme moi il avait reçu son diplôme académique il y a peu. Cela allait donc être une coopération de même niveau, ce qui pouvait être agréable. Si j’étais quasiment sur de pouvoir reconnaitre le jeune Genin dans la rue, je ne le connaissais pas plus que cela. J’avais été plutôt solitaire durant mon cursus académique, devant rattraper beaucoup de retard. Mais je n’avais pas souvenir d’un jeune homme spécialement sympathique.
Quand j’arrivais sur le lieu de rendez-vous Ketsueki étais déjà là à m’attendre, puis il s’approcha de moi à mon arriver. Comme dans mes souvenirs le jeune shinobi étais plutôt avenant, il avait un corps muscler qui, s’y j’en croyais ses deux arme qu’il portait, était un épéiste. Son corps avait les stigmates d’un entrainement intensif, comme la plus part des shinobi. Mais son côté charmant s’arrêtais la, son c’ôté froids et détacher s’imposait vite devant son physique, il n’était que peu accueillant et ne semblait que peu motiver a notre mission ou à une coopération, voir même les deux. J’espérais que cela n’allait pas compliquer notre objectif. Alors qu’il me saluait, je le vis hésiter, sans doute ne savais il pas s’il devait me serrer la main ou autre chose, il préféra se rétracter. Cela ne m’empêcha pas de le saluer comme il se doit. Je rejoignis mes mains devant moi et m’inclina légèrement, comme il en était coutume dans mon pays d’origine.
-Genin Mu, j’ignore si vous vous souvenez de moi, mais nous avons suivie quelque classe ensemble. D’ailleurs, félicitation pour votre promotion au rang de Genin.
J’en faisais peut être un peu trop, mais son manque évident de motivation m’agaçait quelque peu. Très vite, la discussion se tourna vers la mission. L’ordre de mission était simple, nous devions retrouver un médaillon volé à Suna même. Une pièce tout à fait exquise préparer par un grand orfèvre pour le mariage de la fille du daimyo, autant dire des gens avec de l’influence. Avec l’ordre de mission, nous avions le rapport des faits enregistrés au bureau administratif de Suna. Je ne l’avais que survoler. Un attaché au Daimyo était venu récupérer le médaillon, ici, à Suna. Il avait passé la nuit dans le village avec son escorte et le lendemain le médaillon avait disparu. Pas de signe d’infraction, ni de trouble ou autre événement durant la nuit. Le voleur s’y était pris avec la plus grande discrétion. Autant le secrétaire du daimyo, que sa suite ou ses garde du corps n’avaient rien vue de spécial cette nuit-là. La résidence avait naturellement été mise en quarantaine pour enquête, mais le médaillon ne semblait plus être sur place.
-On ne tire pas une crois comme sa sur de tel objet. Ce médaillon est un cadeau de mariage, une pièce unique et très couteuse commandé par la Daimyo lui-même. Financièrement, c’est une grosse perte, politiquement, c’est une insulte à sa personne.
Le médaillon était une œuvre tout à fait original et très couteuse, qui ne manquerait pas d’attiser la convoitise de bien des acheteurs, mais pas ici à Suna. S’il existait des gens assez téméraire pour faire du recèle d’objet a Suna, je doutais qu’il y en a d’assez fou pour acheter une pièce activement recherché. Je savais que sur le marché noir les artefact shinobi pouvait valoir de coquette sommes, mais c’était souvent des objets oublier, des artéfacts de guerre plus ancienne. Les control était naturellement présent mais pas activement pour ce genre d’objet qui apparaissais et disparaissais a tout bout de champ. Se médaillon, lui, ne faisait pas parti de cette qualification, il avait une valeur supérieurs et personne ne serait assez fou pour faire du marchandage de tel objet à l’intérieur de Suna. Le ou les voleurs allaient donc devoir faire sortir l’objet de Suna pour commencer et cela n’était déjà pas si facile que cela. On ne pouvait circuler librement aux limites du village, Suna était un village militaire, tenu par une force spécial. Il y avait donc des postes de control qui avait naturellement été renforcé depuis l’annonce du vol. On pouvait toujours entrer et sortir du village, mais les control étaient plus stricte et plus automatique de quoi apeuré n’importe qu’elle voleur.
-Ketsueki, le voleur sait déjà que nous le recherchons. Il a volé, à l’intérieur de Suna, un objet très couteux appartenant au Daimyo. Il a parfaitement conscience que des shinobi sont à ses trousses, la discrétion ne nous serre pas, au contraire. Je serais plus partisane de faire un maximum de bruit pendant notre recherche, de quoi stresser notre voleur. S’il se sent traquer, il va devoir agir avec rapidité et fatalement faire des erreurs. De plus, il n’approchera personne avec un tel médaillon, Je ne suis pas sûr que vous compreniez la valeur de cet objet. Il doit trouver un revendeur d’art pour un tel objet et il n’y en a pas à Suna. Il va donc vouloir faire sortir le médaillon. D’après le rapport de pré enquête, les postes de contrôle sont déjà à la recherche du médaillon, il ne pourra sans doute pas le faire sortir par là. Je propose donc de nous rendre sur le lieu du vol, il a peut-être laissé des indices sur place, sur son identité ou autre. Le médaillon est forcément encore à Suna et s’il a été volé avec une telle efficacité, c’est peut-être par ce qu’il se trouve toujours sur le lieu du vol. De plus, il nous faut bien commencer quelque pars.
Je me demandais si le jeune homme jouait les démotiver qui ne s’intéresse pas à ce genre de mission ou s’il ne s’intéressait véritablement pas à ce genre de mission. Visiblement il n’avait pas lue l’ordre de mission en entier, il ne c’était pas intéresser au dossier de plainte déposée par le secrétaire du Daimyo. Il ne savait même pas à quoi ressemblait ce que nous devions chercher. J’espérais que ma première impression soit vite dissiper par son efficacité, car pour le moment il ne me semblait pas des plus réveiller comme garçon. Peut-être rêvait-il de combat héroïque ou d’objectif plus spectaculaire qu’un simple vol. C’était dommage qu’il ne se motive pas pour cela. Moi j’y voyais un challenge, un défi que le voleur nous aurait lancé. En vue de ce qui c’étais produit, le voleur savait ce qu’il faisait, nous allions devoir mettre à mal son plan, être le grain de sable qui enraye la machine et lui fasse faire une erreur.
Il l'observa en silence.. Trop serieuse en fin de compte... Mais bon, c'était toujours mieu que de tomber sur un cancre ou quelque chose comme ça. Il la regarda donc pensif, elle n'avais pas tord sur ce point mais bon, sans véritable piste... Quoi que... Peut-être pas tant que ça en réalité. La personne devait savoir quand sortirais le bijoux, car aucun doute qu'il serais garder sous sceller quelques temps avant le mariage... Intéréssant, il devait donc être un proche ou quelqu'un en charge du bijoux. Pour le coup, il avait laisser Mu en plan pendant son petit moment de reflexion.. Il s'excusa donc en riant un eu, puis repris vite son serieux. On devait faire du bruit, et quel meilleur moyen d'attiré l'intention que laisser filtrer le fait que Mu et lui même avaient des indinces pouvant conduire celui-ci à son arrestation, lancer une rumeur semble donc être une bonne idée.
- J'ai une idée, lançons un rumeur. Disons... Que notre commanditaire veut la mort du voleur et que nous avons des indices pouvant nous mener à lui. Rien en fait plus paniquer un criminel qu'une mort certaine.
Il pris son menton entre deux doigts après avoir croisé les bras, silencieux.. Un endroit peupler et où les informations circuleraient vite... Un bar ? Nan.. Peut-être... La place marchande du centre ville. Oui, c'était là que le plan devait commencer.. Arima marcha donc vers un des stands de bijoux, tout sourire et s'adressa à la vendeuse.
- Excusez moi mademoiselle... ma collègue et moi même avons une mission d'assassinat pour le compte du Daimyo, nous cherchons un voleur de médaillons.. Adulte, probablement employé ou proche de notre commanditaire et résidant à Suna. Si vous avez des informations...
Bien sûr elle n'en avait pas, ce serait trop simple, mais la rumeur étaient lancée.
- Nous attendrons trois jours avant de commencer des recherches actives,e n attendant, nous allons intérogé d'autre commerçants.
Il avait parler exprès un peu plus fort en s'approchant de Mu, afin que les autres stands alentours attendent, puis il passa à côté de Mu et se posa sur un banc donnant une vue sur la porte du village. Il n'y avait plus qu'a attendre que le poisson morde à l'hameçon. Et puis, il était curieux, et décida donc d'engager la conversation avec sa collègue.
- Pour répondre à ta question précédente.. Je me rappel de toi, détend toi, nous somme de la même promotion non ? Pour être franc, tu semblait bien plus intéressante que les autres, mais j'avais... Quelques priorités qui m'empêche de trop me sociabiliser. Mais bon, ça n'as plus vraiment d'importance maintenant.
Il baissa le visage, le cachant à moitié dans son col en souriant légèrement. Oui, il avait de nouvelles priorités.. Rendre fier Yami, être digne du sang coulant dans ses veines. Il pris une des deux lames dans son dos et la posa sur ses genoux, puis la rangea de nouveau après l'avoir observer quelques instants.
- Je suis un Ketsueki, je contrôle donc le sang, mon affinités est futon et mon style de combat est axé taijutsu, kenjutsu précisément.
Il la regarda, toujours de son regard neutre, mais il y avait cette étrange atmosphère régnant autour du Ketsueki, une atmosphère indescriptible. Il lui tendis la mains pour la saluer dignement cette fois-ci
- Nous somme ensemble sur cette mission, alors autant bien s'entendre... Je compte sur toi, Mu.
Il continua de la regarder avec une détermination qu'il ne soupçonnerais pas lui même, s'étant souvenu de sa discutions avec Yami. Elle avait raison, il devait aller de l'avant et ne pas rester reclus indéfiniment, l'ancien Arima était mort dans cet hôpital, et le nouveau venait de naître à cet instant précis.
C’était ma toute première mission d’enquête, j’en connaissais la théorie, comme on nous l’expliquait à l’académie, mais la pratique était toujours très différente de la pratique. Il y avait naturellement un certain ordre d’action à faire, un cheminement qui devait nous permettre d’acquérir des indices et surtout de nouvelle possibilité pour parvenir au voleur. Mais ce genre de théorie n’était pas toujours fonctionnel, comme dans le cas présent. Le manuel ne prenais que peu en compte le facteur temps, l’enquête n’y étais pas limité, mais dans notre cas elle l’était, il nous fallait trouver des indice des possibilités avant que le voleur puisse sortir de Suna avec le médaillon, après quoi le retrouver serais bien plus compliquer. Sortir l’objet de Suna restais la partie sans aucun doute la plus sensible de l’opération, c’est donc là que nous devions agir. Mais j’ignorais tous des fonctionnements de Suna qui permettrait de faire sortir un objet recherché des murs du village. Une simple réflexion sur le sujet me donnait déjà plusieurs possibilités pour parvenir à sortir le médaillon de Suna de manière discret, cela était plutôt ennuyeux. S’il nous fallait partir de la base que le médaillon était déjà loin l’enquête allait se compliquer.
Je sais que l’idée de faire du bruit durant l’enquête venait de moi, mais j’espérais un peu plus de subtilité. Crier au milieu d’un marcher que le Daimyo avait engagé des shinobi pour une mission d’assassinat n’étais pas ce que j’aurais appelé de la subtilité. Outre le côté un peu maladroit de l’action, je doutais que nos supérieurs apprécient que nous lancions de telle rumeur. Quoi qu’on en dise, nous traquions un voleur, il n’était donc pas sujet à la peine de mort et même sans, il aurait le droit a un tribunal, dire que nous le traquions pour le tuer sur ordre du Daimyo était un fait qui pouvait nous attiré plus de problèmes que de possibilité. Mais Ketsueki avait agis avant que je comprenne exactement la porter de sa rumeur. Je gardais donc mes doutes sur la méthode pour moi. Mieux valait-il maintenant utiliser au mieux son action que de se désoler sur ses conséquences.
Suite à cela, Ketsueki s’assis sur un banc et devint soudainement plus amicale. Il avait sans aucun doute ressentie ma gêne face à son caractère détaché et se fut avec un certain plaisir que je le vis reprendre la discussion du début. Il n’était pas si détacher et démotiver que cela au final vu que ma réaction avait modifié son comportement. Après, effet de style ou pas, je ne le connaissais pas encore assez pour me faire une idée exacte du jeune homme. Reprenant du début il me confirma qu’i les souvenait de moi. Cela je n’en doutais pas, non que je me suis fait remarquer par mes actions durant mon cursus académique, mais j’0avais intégrer une classe à l’âge de dix-neuf ans au milieu de gamin d’à peine quatorze ans. On se souvenait donc généralement de moi. De plus, à l’époque, je ne maitrisais pas encore totalement la langue du yukkan, ce qui m’avait fait remarquer par les innombrables questions que je posais sans cesse concernant souvent des problèmes de compréhension de ma pars. Mais, qu’il me le dise, me fit tout de même plaisir.
Il me fit aussi une présentation en bonne et due forme. Comme je m’en étais souvenu, il était un Ketsueki, clan de Suna maitrisant des techniques basées sur le sang. Étrangement, il était assez proche par ses voies de prédilection que moi. Comme moi, il était d’une affinité futon, la maitrise du vent et il tentait de maitriser le kenjutsu, un combattant au corps à corps, comme moi à la différence que je me spécialisais dans les combats à main nue. Nous étions donc deux combattants directs mis sur une mission d’enquête, cela aurait pu me faire sourire. Pour sa maitrise du Kenjutsu, je n’avais que peu de doute en vue des deux épées qu’ils arboraient sur le dos. Quoi que cela puisse être trompeur, je me baladais moi-même avec une épée mais je ne l’utilisais que très rarement en combat. Le laissant terminer sa présentation, je me mis dans l’idée de faire pareil, de quoi bien débuter notre coopération sur cette mission.
-Pour ma part, je suis aussi d’une affinité futon, mais je ne suis pas très doué a l’utilisé, le ninjutsu étant un peu la bête noir de ma formation. Je chercher donc à atteindre la maitrise du Taijutsu et comme mon épée Amanosagume ne le révèle pas, je suis spécialiste ne combat à main nue.
Amanosagume était l’énorme hachoir que je portais a travers du dos. L’arme, plus longue que moi et d’un poids presque égale était impressionnante, mais tout à fait inoffensive aux mains de profane. L’épée faisait un tel poids que la manipuler était très difficile, voire impossible en combat réel. Je ne l’utilisais que grâce au Hachimon me permettant de décupler ma force physique et ma rapidité. Combiner au bonne technique, l’arme devenait destructrice et aussi mortel qu’impressionnante et sa maitrise me demandais encore beaucoup d’effort, je ne l’utilisais donc que rarement, profitant plus de son aura qui impressionnait rapidement les petite frappe.
-Par contre, nous n’allons pas rester sur ce banc toute la journée. Votre rumeur prendra du temps à se déployer et, qui plus est, les gardes de la voie illusionnée repéreront rapidement un individu suspect tentant de sortir rapidement du village. Mieux vaut leur laisser le job et aller voir les lieux du vol, voir si nous ne pouvons pas trouver quelque indice sur place. Piéger le voleur, c’est bien, le traquer, c’est plus sur.
Je fis alors, à Ketsueki, signe de me suivre, tout en me détournant pour prendre le chemin de la bâtisse ou le médaillon avait été volé. En tant que secrétaire attaché au Daimyo, notre victime avait droit à une habitation tout à fait honorable, dans le quartier un peu plus huppée du village, si cela était possible dans un village aux directives militaires. L’habitation se trouvait loin des zone trop peuplé du centre-ville, entre le palais du kazekage et le quartier des Kesueki, zone tranquille est bien sécurisée. Le bâtiment était de bonne taille, pouvant facilement héberger un Daimyo et sa suite lors d’une de ses visites. Cela signifiait que le bâtiment avait beaucoup de zone ou un voleur pouvait se dissimuler et vue que ce n’était que le secrétaire du Daimyo et que sa suite est moins impressionnante, un certain nombre des pièces était inoccupé. Le voleur pouvait, théoriquement, toujours être sur place sans que personne ne l’ai vue. Nous dûment, pour entrer, décliner notre identité au garde de la prote et lui présenter notre ordre de mission. Une fois à l’intérieur du domaine, nous n’avions plus qu’à traverser un jardin étonnement vert pour la région pour arriver devant le bâtiment. Là, le gouvernant du bâtiment vins a notre rencontre, visiblement que peu satisfait de la situation. C’était un homme long et sec à l’air un peu perturbé, on ressentait dans ses manies son adoration pour la qualité et le respect de l’étiquette. La situation actuelle devait donc lui demander pas mal de sang-froid.
S’il se montra compréhensif sur notre désir d’enquêté sur le lieu du vol, il fut quelque peu déranger par le fait que nous désirions déranger les hôtes de la demeure. Le secrétaire attacher au Daimyo ne devait pas être déranger pour des broutilles, sans sujet sérieux à voir avec lui, il ne désirait pas que nous le rencontrions, mais nous pouvions toujours poser des questions à sa suite, même si l’enquête préliminaire avait déjà sous lignée la parfaite insoupçonnablilité des employer du secrétaire. Visiblement, ils étaient des gens moins occupé, nous allions déjà visiter l’endroit où se trouvait le médaillon et voir si nous allions trouver des indices sur place. Docilement, on suivie le gouvernant qui nous conduit à la pièce susdite.
Il écouta attentivement Mu, elle était aussi plus combat rapproché hein ? Il devrait donc bien s'entendre avec la jeune femme. Il marcha tranquillement derrière elle, mains dans les poches en observant la demeure. Lui qui avait pour habitude de dormir dehors... Ça faisais un choc de voir une maison si vaste de l’intérieur. Elle était luxueuse, grande... Tout ce qui ne plaisais pas au jeune Ketsueki adepte de la simplicités. Il posa son regard sur un mur... Différent des autres et s'avança vers celui-ci qui était orné d'un immense tableau allant jusqu'au sol. étrangement, ce tableau n'allait pas du tout avec le reste de la demeure, il semblait n'avoir rien à faire ici, et ceci perturba le jeune shinobi qui sorti une épée de son fourreau.
- Mu... Cette toile est bizarre.
Il donna un coup de lame qui déchira la toile, celle-ci tomba lourdement au sol, révélant une mur tout ce qu'il y a de plus banal, mais ce n'était pas suffisant. Arima s'avança et passa sa main sur le mur, quand au bout d'un moment, un cliquetis sonore ce fit entendre, et une porte s'ouvrit dans ce fameux mur. Il fit signe à Mu de le suivre et entra dans la pièce éclairée par quelques bougies, elle contenait un tas de richesse, et, parmi elles, l'écrin cide ayant contenu le médaillon. Arima se baissa et le ramassa.
- Pas étonnant qu'ils n'aient rien retrouver... Mais le médaillon n'est plus là. Le voleur à dût le prendre avec lui pour aller le revendre aujourd'hui même.
Il se releva et regarda le domestique les ayant emmener jusqu'ici.
- Allez chercher votre maître et dites lui qu'il contact le kazekage pour qu'il envoie une patrouille ici.
Il se dirigea vers a sortie. En vu de l'endroit, le voleur n'en était pas à son premier coup d’essais, et manifestement, ce n'était ni un débutant, ni un idiot. Il faudrait être prudent. Nul doute qu'il devait être lui même assez influant pour emménager une pièce comme cela sans que personne ne le sache. Il s’arrête alors et plaqua Mu au mur, caressant la joue de celle ci comme un couple en laissant une personne vêtu d'une cape passée près d'eux. Il recula ensuite et posa un doigt sur ses lèvres, prenant sa main pour l'emmener dans une ruelle sombre où était tourner cet homme quelques minutes plus tôt.
- Merde, il est passer où ? Tu trouve pas qu'il avait l'air.. Bizarre ? Je veut dire... Il fait chaud, grand soleil et on a de l'ombre.. Alors pourquoi diable cette tenue ?
Il balaya la zone du regard, pestant. Il avait disparu. Ou avait bien pût passer cet étrange homme ? Qui était t'il ? Que de questions rongeant l'esprit du jeune ninja qui réfléchit en s'adossant au mur.
- Il doit y avoir un passage secret ou quelque chose du genre dans cette ruelle.
Le gouvernant nous conduise à l’étage, dans une pièce plutôt spacieuse dont le mur du fond était une baie vitré donnant une vue tout à fait artistique sur le palais du kazekage et les hauteurs du centre-ville. La pièce était visiblement un bureau, le style étais simple au niveau de l’ameublement, deux bibliothèques intelligemment charger entourait la baie vitré qui produisait un fond derrière le bureau susdit. Celui-ci en bois sombre en imposait par sa simpliste et la perfection de ses trait. Sans aucun doute le bureau du Daimyo quand il était en visite ici. La pièce aurait pu être d’un style minimaliste si de nombreux tableau n’avaient recouvert les murs. Ceux-ci était souvent des portrait et je compris vite leur utilisation, en avançant vers le bureau on avait cette étrange impression que de multiple regard dur nous regardait avancer attendant le faux pas pour bondir de leur toile. Ce qu’ils ne firent pas alors que j’atteignais le bureau. Le gouvernant nous informa que le médaillon était posé ici, sur le bureau, en évidence, mais, bien sûr, inaccessible tout de même.
Prenant au mieux sur lui, le gouvernant m’observa fouiller le bureau. J’ouvris les tiroirs, mais ne toucha pas leur contenu, je soulevai ce qui se trouvait dessus et jeta un œil sous le meuble. Je ne cherchais rien de particulier, juste quelque chose d’incongrue. Tout était merveilleusement bien nettoyer, pas un seul grain de sable ne c’était glissé sur le bureau, ni au sol, le ménage était parfaitement entretenu, ce qui était un avantage pour nous. Je compris vite que le voleur ne c’était pas introduit par la fenêtre, du sable y serait fatalement entré dans ce cas et je n’en trouvais pas un grain, a pars ceux que nous avions nous même apporté dans la pièce. Cela était d’ailleurs des plus étranges, comment le voleur avait-il pu ne pas laisser de grain de sable. Soit il avait nettoyé derrière lui, ce dont je doutais, soit il n’était pas venu de l’extérieur.
Le fil de mes pensées fut coupé par mon coéquipier qui, visiblement, avait trouvé quelque chose. Je me redressais de derrière le bureau pour l’observer, lui observait une toile plutôt imposante accrocher au mur. Je n’eus pas le temps de comprendre se qui se passait que l’acte fut fait. J’ignorai alors si ce fut moi ou le gouvernant qui lâcha un petit couinement de surprise alors que Ketsueki découpais la toile de sa lame. Était-il devenu complétement fou, de découper une toile, appartenant soit à Suna, soit au Daimyo, comme si c’était une vulgaire feuille de papier. Je m’avançais vers mon coéquipier sans trop savoir ce qu’il était en train de faire avec ses doigts sur le mur. Alors que je parvenais a ses côté, j’entendis un petit déclique, sans doute activer par mon camarade, et le mur s’ouvrir à la dérober. Ce fut avec une certaine surprise que nous nous retrouvions tout deux face à une petite antichambre, camouflé derrière la toile. Ceci me fit oublier la pauvre toile déchiré.
-Impressionnant, comment l’as-tu trouvé ? Une pièce camouflée, visiblement une construction qui date déjà. Le voleur était au courant pour cela, il connait donc très bien les lieux. Monsieur le gouvernant, étiez-vous au courant pour cela ?
La question était pur confirmation, je voyais bien à sa tête qu’il semblait tout aussi surpris par l’endroit. De plus, en vue de la propreté du bureau et de la poussière s’accumulant dans l’antichambre, personne ne faisais le ménage ici. Alors qui pouvait bien connaitre cette cache. Le Daimyo, sans aucun doute, le kazekage, on pouvait le supposer et peut être l’homme qui s’occupait des finances de l’endroit. La fortune sur place n’étais pas énorme, mais aurait du tout de même attiser la convoitise du voleur. Il n’avait pourtant prit que le médaillons, étrange. J’entrais alors dans la cache pour mieux observer l’endroit. La pièce n’étais pas trop grande, elle servait donc clairement de coffre-fort dissimuler et là encore, cela prouvait que seul un cercle réduit pouvais avoir connaissance du lieu. Un shinobi sensorielle aurait sans doute pu aussi la trouver. Mais en pensant que ce soit un shinobi sensorielle qui ai volé le médaillons, il fallait se demander pourquoi il était venu dans ce bureau avant l’arrivée du secrétaire et se serait chercher une cache et tomber par hasard sur celle-ci. C’était peu probable, la théorie ne tenait pas vraiment. Pourtant les faits était là, quelqu’un avait trouvé la cache, s’y étais caché avant le passage des gardes de Suna pour assurer la maison en vue de l’arriver du secrétaire et était ressorti discrètement après son vol.
Alors que j’étais plongé dans ma réflexion, Ketsueki donna quelque instruction ou gouvernant. Il se devait de rameuter les forces de sécurité du village, l’endroit devait être sécurisé, surtout avec la pièce caché du Daimyo grande ouverte dans son bureau. Il fallait sécuriser les lieux et le petit trésor qui s’entassait ici serait sans aucun doute déplacer. Il fallait aussi que les force de sécurité, mieux équiper que nous pour ça, cherche des trace du voleur sur les lieux, maintenant que nous savions ou il c’était cacher. Mais je doutais qu’il ait été négligeant, même la poussière du lieu n’avait été que très peu déranger et ses trace était invisible à l’ œil nu. Notre voleur était méticuleux. Le fait qu’il n’ait volé que le médaillon prouvait bien qu’il l’était. Méticuleux et bien informer. Cella puait l’intrigue politique à plein nez, mais avec un peu de chance, on éviterait de se baigner dans la fange qu’accumule toujours la politique.
-Dites au force de sécurité de bien fouiller l’antichambre et qu’ils fassent une liste détailler de toute personne autoriser a entré et sortir depuis le vol. Si le voleur se cachait ici, il a dû sortir aujourd’hui, camoufler par les allé venu multiple du a l’enquête.
Nous en avions assez vu sur place, je doutais que l’endroit puisse nous apporter plus pour le moment. Une liste des allé et venu serait sans doute un indice plus éloquent. Quoi que, un voleur aussi soigneux avait sans doute prit soin de cacher ses trace là aussi. De quoi rendre notre enquête des plus pénibles. Mais un fait demeurais, il avait connaissance de l’antichambre, il y avait donc des liens à retrouver. Le souci était que, sûrement, seul le Daimyo pourrait nous donner une liste exacte des personnes étant au courant de cette pièce. Lui envoyer un courrier prendrais du temps, tout comme le retour de la réponse, en imaginant qu’il veuille bien nous envoyé une liste réel. La fuite pouvait venir de n’importe où, même d’une prostituer que le Daimyo aurait voulu impressionner durant un séjour ici. Il y avait peu de chance, si de telle femme existait, qu’il la mentionne sur une liste. Nous avions avancé, mais cela ne nous ouvrais pas beaucoup plus la voie.
Nous avions alors rejoins la rue, je profitais que nous repassions devant le garde de l’entré pour lui poser la question sur un visiteur incongrue depuis le vol. Mais naturellement, il n’avait rien remarqué de spécial, les personne entré et sorti était quasiment toute lié à l’enquête et leur présence était logique. De plus le secrétaire attaché au Daimyo avait reçu plusieurs visites. De quoi faire passer, pour voleur tout à fait habile, de manière discrète un individu. Alors que nous reprenions notre marche, Ketsueki me poussa doucement mais fermement contre un mur de la rue, m’y plaquant comme un amoureux pour me caresser avec une certaine tendresse ma joue. Je n’étais pas stupide, j’avais, tout comme lui, un entrainement pour ce genre de chose. Comprenant qu’il avait vue quelque chose, je plantais mes yeux dans les sien et les écarquilla pour être plus attentif au mouvement dans la périphérie de mon champ de vision.
Je l’aperçu alors, pas en détail, mais de manière un peu floue, à la périphérie de mon champ de vision. Un homme, ou une femme, je ne pouvais en être sûr. Habiller d’une cape, le dissimulant presque entièrement, qui semblait vouloir disparaitre dans une ruelle adjacente. Son comportement était, par le fait de vouloir être discret, tout à fait incongrue. J’ignorais si c’était nous qui l’avait soudain poussé à disparaitre dans sa ruelle, mais, pour des yeux entrainer comme les notre, son comportement était suspect. Le fait qu’il trainait prêt du lieu du vol était tout aussi suspect. Je doutais que le voleur puisse être assez stupide pour revenir sur le lieu du crime. Si un tueur avait une attache sentimentale avec le lieu de son crime, un voleur ne l’avait pas vraiment, rien ne le poussait donc à revenir, stupidement, sur le lieu du crime. Ou pour une tentative d’effacer ses traces, ce que je doutais que notre voleur avait fait, en vue de son travail dans le bâtiment.
Ketsueki me fit signe, de manière inutile, de faire silence et nous nous élancions vers la ruelle ou notre suspect s’était engouffrer. Mais une fois sur place, il semblait c’être volatiliser. Alors que la rue de plusieurs dizaines de mètres de long aurait été plus longue à traverser pour une personne lambda. Je savais que moi, j’avais la capacité de traverser cette ruelle en deux seconde si je le désirais, mais tous ne possédait pas des technique de charge. Sa disparition était des plus suspects. Ketsueki me fit alors pars de ses doute sur le suspect, ce qui avait attiré son œil entrainer. Il avait raison, s’il n’était pas rare de voir des gens bien dissimuler pour se protéger du vent du désert, une cape était un habit plutôt chaud, on évitait donc de les porter. Notre suspect ne devait pas être du pays, ou du moins pas de la région, il n’aurait pas porté de cape sinon. Il venait donc d’un endroit où les gens en portaient, ou il avait lue trop de roman policier.
-Ou a-t-il bien pu disparaitre comme ça. Le fait qu’il a fait est plutôt positif, ça prouve qu’il n’est pas clair c’est déjà ça. Presque rien est toujours mieux que rien.
Je fis confiance à mon œil de combattante, tout bon spécialiste en Taijutsu ou en Kenjutsu pour Ketsueki, savait embrasser d’un regard une zone de bataille. Il fallait identifier le moindre détaille l’analyser et l’enregistrer dans notre mémoire. Combien de surface disponible, y a-t-il une pierre sur la qu’elle on risque de s’achouper ou un mur qui pourrait nous bloquer. Tous ses détaille qui, si on ne les prenait pas en compte, pouvais nous couté la victoire, voir même la vie en certaine situation. Nous avions donc été entrainé à enregistrer les détails d’une zone de manière très rapide, ce qui était un plus dans cette situation. J’observais alors, de mon œil de combattante. Il y avait des volets aux fenêtres, mais aucune ouverture au riz. Les volets était pour la plus pars fermer, mais toute inaccessible sans des capacités de shinobi. La ruelle était droite et net, rien ne pouvais servir à se dissimuler, je voyais tout le long des murs de chaque côté jusque dans la rue suivante.
C’est alors que je le vis, ce n’étais pas grand-chose un détaille, mais un détaille tout de même, le seul que je pue identifié pour le moment. Cela était presque imperceptible, mais un volet du second étage, presque fermer à notre arriver dans la ruelle, semblait doucement, très doucement se refermer. Le vent n’y était pour rien, il ne soufflait pas du bon côté et pas assez fort pour faire bouger un volet de Suna, habitué à supporter les tempête de sable sans claquer a tout bout de champ. Non, se volets se refermais avec une lenteur peu naturel, comme si une personne était en train de le refermer mais ne voulais pas qu’on le remarque. Notre voleur aurait-il pu bondir aussi haut, avait-il des compétences de shinobi, la possibilité n’étais pas à exclure. Prévenant Ketsueki d’une tape contre son épaule, je ne pris pas le temps de lui expliquer la situation. Chargeant mon corps de chakra, je bondis dans les airs pour prendre appuie sur l’un des murs de la ruelle, ou j’adhérai grâce au chakra pour bondir a nouveau a toute vitesse vers le volet identifier. Je ne pouvais faire une entré de force, si je me trompais, je pouvais blesser des innocents et mieux valait l’évité. Je bondis donc à côté du volet pour le rouvrir de manière brutal pour découvrir ce que celui-ci tentait de dissimuler.
Je fus alors face à face avec une ombre, qui semblait bien surpris de ma soudaine apparition. Mais l’ombre n’avait pas de visage, camouflé sous ses vêtements, une capuche gardant secrète son identité et une cape dissimulant ses formes, je n’avais rien à quoi m’accrocher pour comprendre qui j’avais en face de moi. Ce fut mon étonnement de ma propre découverte qui donna l’initiative a notre suspect qui en profita, à mon plus grand malheur. Je vie à peine ses doigt bouger alors que le mur sur la qu’elle j’adhérais se déforme et sembla exploser sous mes pied pour me projeté violement contre le mur de l’autre côté de la ruelle. Je compris trop tard qu’il m’avait pris de vitesse, ce qui était des plus frustrants pour moi. Mais je n’eus pas le temps d’y pensée, je frappai durement le mur avec le haut de mon dos et me fracassa lamentablement en bas dans la ruelle, quasiment sur mon partenaire qui avait suivi la scène depuis en dessous. Je retombai lourdement, sans aucune grâce sur le sol dur et une éclaire de douleur me traversa.
Nous avions à faire à un utilisateur doton et il m’avait eu en beauté. Cela ne signifiait pas que nous avions à faire a un shinobi, les technique de ninjutsu étaient utiliser par beaucoup de monde et un entrainement peu rigoureux pouvait suffire à maitriser quelque technique de bas niveau. Je doutais que la technique utiliser sur moi soit très puissante, mais la situation avais été idéal, ce qui lui avait donné l’avantage. Je jurais intérieur envers ma lenteur de réaction. Je ne voulais pas faire de bavure et rien ne prouvait que notre cible était derrière se volet, cela aurait pu être n’importe qui. J’avais donc hésité et il en avait profité. Coucher sur le dos au milieu de la ruelle, je vis une silhouette bondir hors d’une fenêtre rejoindre en quelque saut le toit et se volatiliser en dessus du bâtiment.
-Je vais bien, ne le laisse pas filer !
Je criais a Ketsueki sans vraiment voir s’il c’était pencher sur moi pour voir si j’allais bien ou s’il avait déjà bondit vers notre suspect. Que je sois blessé, c’était une chose, mais qu’on perdre notre suspect à cause de cela, c’était inexcusable. J’espérais donc que mon appel est directement mis Ketsueki sur les traces de notre ombre qui filait maintenant en plein soleil. Retrouvant ma respiration que le choc m’avait occupé un bref instant, je me redressais et compris vite que mes douleur était superflu. Je bondis alors de mur en mur pour me mettre à la suite de notre fuyard et de Ketsueki déjà à sa poursuite.
Le jeune Ketsueki courrait derrière l'homme avec un sourire carnassier sur le visage. Il essayer de fuir, et visiblement cella l'amusais. Au début, il voulait venir en aide à sa coéquipière mais devant tant d'insistance... Au fond, il était frustré de l'avoir laisser se faire blesser et commença donc à utiliser les murs comme tremplins pour des sauts de murs en murs, accélérant considérablement sa vitesse de déplacement dans la ruelle étroite. Il sourit en coin en voyant une technique doton arrivé, une sorte de langue de pierre que le genin utilisa comme simple marche pied pour se propulser devant le voleur, car oui, il l'était, ou peut-être celui rachetant le médaillon car il avait vu une faible lueur sous sa cape. Il pris rapidement une lame et trancha une jambe de l'homme en noir, la droite précisément, qui allât s’étaler sur le sol dans son élan. Puis, le Ketsueki marcha vers lui, le regardant ramper, avant de lui planter sa lame dans sa cuisse gauche, arrachant un hurlement de douleur a celui-ci qui se retrouva donc bloquer.
- Une fois... Pas deux... T'as blesser ma jolie coéquipière, ça méritais bien que je te blesse aussi, tu ne pense pas ?
Arima lâcha un faible rire en regardant le regard horrifier de l'homme, quémandant pour sa vie. Le tuer ? Nan, il avait besoin d'info, de confirmation plutôt, donc il ne le tuerais pas. Il glissa une main dans la poche de celui-ci et en sorti le médaillon, laissant sa lame "cloué" l'homme au sol, il s'accroupit devant lui.
- Dit moi qui t'as vendu ce truc, et peut-être qu'il te resteras une jambe au moment de ton jugement pour achat d'objet voler... Et me sort pas que tu ne le savais pas, sinon tu n'aurais pas pris la fuite, pas vrai ?
Il le regarda froidement, sa frustration étant passé, c'était toujours ça de gagner. Il regarda l'homme, en attente d'une réponse, pas d'un début de réponse, ou d'un je ne sais pas, une réponse. Il pris une dague a sa ceinture et joua un peu avec, le fixant avec un regard emplie de rage.
- Dit au moins à quoi il ressemble si tu ne sais pas son identités.
Il écouta alors l'histoire de l'acheteur qui disais l'avoir acheter à un homme bien habillé, assez grand, les cheveux longs et blonds et avec un accent étrange. Il disais ne pas avoir vu son visage, mais ce n'était pas très grave, il avait assez d'informations pour identifier le coupable. Il se releva, sans avoir vu l'arriver de sa coéquipière, puis arracha la lame de la cuisse de l'homme, la nettoyant avec sa langue, il fixa l'homme, dos tourné à Mu.
- Estime toi heureux d’être encore en vie après avoir fait mal à Mu... Je déteste qu'on touche aux personnes qui ne m'ignore pas.
Il se retourna vers Mu, souriant, bien que dans un premier lieu surpris de la savoir déjà présente, puis s'adossa au mur, rangeant sa lame et regardant le ciel en soupirant.
- J'ai nos infos concernant le voleur, et le médaillon. Il ne nous reste plus qu'à arrêter ce type, envoyer celui ci en prison, et on en a fini.
Bien qu'il ne le dise pas, il était un peu triste au fond que cette mission se termine si vite, il voulait en apprendre plus sur elle, et perdre un peu de cette solitude habituelle dont seule Yami l'avait quelque peu sorti.
Mon souffle retrouvé, je ne pouvais pas lambiner. Le fuyard m’avait eu par surprise et cela ne se reproduirait plus. En quelque bond, je fus sur le toit. Alerte, je cherchais de mes yeux mon coéquipier et notre ombre en fuite. J’étais, par chance, une as de la vitesse, sans être encore spécialisé. Tout mon style de combat se basait sur la rapidité d’action, des coups rapides et multiples. Je n’avais donc aucun doute sur ma capacité a rattrapé et Ketsueki et notre fuyard. Ma chute ne m’avait blessé que de manière superflue et je n’en ressentais aucune douleur alors que j’accélérais mon déplacement. Identifiant Ketsueki, je bondis de toit en toit pour le rejoindre espérant qu’il ait rattrapé notre ombre volatile, qui visiblement ne l’étais plus tend que cela. Je pue rapidement identifié notre cible, gisant au pied de mon coéquipier, il l’avait donc rattrapé, ce qui n’étais pas un mal. Mais la suite me fut moins agréable.
Je n’avais pas de pitié, la pitié était pour moi un sentiment faux, une faiblesse de l’humanité. Elle ne naissait que dans la peur et le mépris. La pitié était un sentiment vil que personne ne méritais. Nous apprenions cela déjà au temple, il ne fallait pas confondre pitié et compassion. La compassion est un mouvement vers l’autre, une main tendue pour aider un être à se relever. La compassion va vers l’avant, elle est constructive et pose des bases solides entre des êtres. La pitié n’étais que du mépris enrober de culpabilité, la pitié ne menais nul pars, elle n’était que la pour marquer une différence entre deux être, poser un mur entre celui qui souffre et celui qui le regarde. Je n’avais donc pas de pitié et en tant que Kunoichi, j’étais prête à dépasser bien des limites de l’absurde moral public. Mais ce que j’avais sous les yeux allait bien au-delà de ses limite, ce que j’avais sous les yeux était une transgression a la discipline shinobi, discipline sur la qu’elle j’étais très à cheval, car c’est pour cette discipline, cette maitrise de soi que j’avais intégré Suna et Ketsueki n’y semblait pas du tout contrains.
-Mais… Qu’as-tu fais ?
Devant moi, notre fuyard gisait au sol, horriblement mutilé au niveau des jambes. L’une d’elle n’était d’ailleurs même plus accrocher au reste de son corps et trainais a un mètre de la, sanguinolente. Ketsueki n’avait pas pris de gants pour arrêter le jeune homme qui nous fuyait. Il lui avait tranché la jambe pour l’arrêté et je comprenais maintenant qu’il l’avait torturé pour lui soutiré des informations. Tout cela était immonde, l’œuvre d’un boucher. Je n’étais pas contre la torture, ni contre le fait de tuer des cibles, bien au contraire, j’avais dans l’espoir de me spécialiser dans l’assassinat et la traque de criminel. Mais j’avais devant les yeux un jeune homme, tout juste coupable de recèle d’objet d’art et d’agression sur une kunoichi, de quoi passé un moment à l’ombre, mais qui ne méritais ni torture ni mort, nous ne faisions que chercher un voleur pas un criminel. L’acte de Ketsueki dépassait pour moi la discipline shinobi, il avait agis sans aucune mesure agressant violemment un simple petit voleur. Cela je ne pouvais le tolérer.
-Mais êtes-vous complétement fou ? N’avez-vous donc aucune commune mesure a des actes de barbarie gratuite ? N’y avait- il aucun autre moyen que de le mutilé de la sorte ? êtes-vous au moins conscient de l’énormité que vous venez de commettre ? N’êtes-vous donc qu’un petit boucher sans aucune maitrise de soi ?
Je me penchais alors sur le jeune homme qui gisait sol, sortant de mes affaires de quoi donner les premiers secourent. Je pris ce qui s’approchait le plus d’un bandage pour le serré sur sa jambe droite de toute mes force, de quoi faire un garrot, qu’il ne se vide pas de tout son sang avant d’avoir atteint un centre médicale. Utilisant un kunai, je découpais la jambe de son pantalon sur la jambe droite pour avoir accès à sa seconde blessure. La lame de Ketsueki avait traversé de pars en pars, le clouant au sol. Je bandais aussi fermement la blessure pour qu’il ne perdre pas trop de sang. Rassurant le gamin qui gémissait de douleur, je lui passais la main dans les cheveux, tout en lui disant que je m’occupais de lui, qu’on allait le soigner. J’enfonçais ensuite mon doigt dans sa jugulaire, bloquant le sang lui montant au cerveau, il perdit connaissance en quelque seconde. Mieux valait-il qu’il ne soit pas conscient.
Cela me rappela la colère du peuple, celle qui gangrénait le pays. Les habitants du pays du vent et d’ailleurs, n’avait que mépris et colère pour les shinobi, ils avaient peur de nous, ils nous craignaient et donc accumulais de la colère et de la haine contre nous, comme j’avais pu en être témoin avec Ogami, quelque jours plus tôt. Face à des shinobi tel que Ketsueki, je pouvais les comprendre. De tel acte ne pouvait produire que haine et peur, on ne pouvait faire confiance en un homme qui pouvait torturer sans raison, juste par facilité de manière pratique. Ce genre de procédé ne se passait pas ainsi, hors de tout contrôle, à la vue de tous, de manière gratuite. Les gens ne pouvaient être que choquer par de tels actes et craindre pour leur sécurité. C’était tout à fait ce genre d’abus qui conduisaient à une cassure entre nous et le peuple. Ketsueki, dans son assurance d’élitisme inviolable, ne c’était même pas poser la question de discipline ou de maitrise, il avait torturé se type sans même y réfléchir. Cela était des plus inquiétants.
-Termine cette mission, maintenant que vous avez vos informations. Je conduis votre victime à l’hôpital. Sache que je me plaindrais à qui de droit pour se manque de discipline et cet acte de violence sans mesure. Un tel acte ne saurait rester impuni. Je vous demanderais de ne pas cueillir notre voleur de la même manière ou c’est ma lame que vous pourriez trouver en travers de votre chemin.
Sur ces mots, je soulevais le malheureux du sol, utilisant mon chakra pour le faire sans effort et le plaça sur mon dos pour me déplacer au plus vite avant que l’hémorragie n’ai raison de son existence. Laissant sur place le jeune boucher, je bondis de toit en toit, prenant la direction la plus rapide vers le centre hospitalier de Suna. Au final, je ne regrettais pas de n’avoir pas côtoyé beaucoup de mes camarades à l’académie. Tous ne semblait pas apte à comprendre ce que signifiais être shinobi. M’attristant pour cette constatation, je pris de la vitesse, sans trop craindre de secouer mon blesser, qui l’étais déjà sans cela et retomba souplement au sol devant le bâtiment médicale.
hrp:
Comme vue avec Ketsueki, je stoppe là ma participation à cette mission, en cause le développement de l‘intrigue sur le qu’elle on ne peut se mettre d’accord. Libre à lui de terminer la mission.
