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 Fantasia ( Solo/BG )

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Sougo Okita
Sougo Okita
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Message(#) Sujet: Fantasia ( Solo/BG ) Fantasia ( Solo/BG ) EmptyVen 1 Mai 2015 - 4:10

FANTASIA.



Peut après la création du premier villages shinobi, et peut après l'alliance de celui que le nomme Kumo-Gakure se trouvant dans le Pays des Nuages et du Pays répondant au Nom de Tetsu no Kuni. Dans un petit patelin non loin de la cité de Yumiya. Dans une maison se délabrant au court du temps. Un jeune garçon assis sur les genoux devant une table basse la bouche grande ouverte devant un gros et grand livre renfermant les secrets de sa famille. Il était comme absorbé par les pages du dit manuscrit...



♪♫♪♫

Il y a de cela bien des années lorsque le mot ninshuu ne faisait pas encore parti du dictionnaire. Et de nos connaissance. Lorsque les âges si obscurs et si sauvages étaient-ils que les hommes ne pouvaient se résoudre à vivre de préceptes et de batailles, de quêtes aussi sanguinaires soient-elle et enfin de capes et d'épée. L'histoire prend place dans une campagne où les résidanats peut nombreux, il fallait l'avouer. Vivaient avec parcimonie, dans la joie et la bonne humeur. Un couple de paysans un homme bien fort par son métier agricole qui consistait à la récolte de bamboo et une femme bien dodue pour son âge, coulaient des jours heureux. Comme chaque matin que les divinités faisaient il se hâta à la petite forêt de son précieux trésors coupant de sa hache rouillé l'écorce de sa future richesse avec hargne et espoir imaginant les bras de sa bien-aimé qui l'attendait comme chaque jours au domicile conjugale. Les bœufs et les volatiles sagement dans leurs enclot. Elle qui prenait des rondeurs aux fils des mois se délectant sous un doux soleil de printemps du retour de son amant. Le soir venue, alors que les rires et les chants résonnèrent au seins de la chaumière, l'ambiance festive qui n'était qu'un trompe à l’œil par rapport aux difficultés économiques qu'ils subissaient. La femme elle poussait soudainement d’effroyable cri de douleurs.


S'accroupissant et soutenant son ventre, les danses vertigineuses et les courses d'un sens à l'autre dans tout l'habitat. Son mari paniqué par les événements les sourcils relevé par l'intrigue sortit en pleine nuit sur ordre de la plus vielles dame présente en ces lieux chercher le moines du village. Dans l'obscurité il courut aussi vite et tomba trois fois se relevant à chaque fois espérant pouvoir à la force de ses jambes rattraper le temps qu'il perdait. Son retour avec le moine rassura une partie des invités. Les hommes attendaient dans la salle du repas, tandis que non loin de là dans une chambre aménagée pour l'occasion soudaine étaient peuplé par les femmes, qui se de la plus jeune à la plus âgées se faisaient passer serviette en tissus et sceau d'eau. Quant elle rentrèrent dans la pièce mentionnée plus haut fermant la porte derrière elle, une d'entre elle forte et à l'attitude sérieuse fit non du doigts au mari lui expliquant qu'il devait rester ici à attendre que le temps et le destin face leurs effets. Désemparé par les événements, l'homme s'écroula se tenant le visage moite dans ses deux mains fortes priant le ciel de lui venir en aide. Elle hurlait de douleurs, alternant ses respirations, s’agrippant avec force au lit dans lequel elle avait été disposée. Serrant les dents elle laissa s'écouler des ses yeux des larmes de douleurs. Elle qui était entrain de mener l'un des plus rudes combat dans la vie d'une femme.


S'avouait quasiment vaincu par la force des choses regardant la matriarche attentive à ce qu'il se passait écoutant les incantations du moines qui servaient à bénir ce qui allait arriver. Le visage soulagé après trois bonnes heures à jouter contre la vie, elle put enfin voir et saisir dans ses mains un chérubin à la peau frêle, chétif et pleurnichard. Comme il était de mise dans la tradition familiale on enveloppa le nouveau né dans un tissu servant de vêtement pour les moines. Afin de chasser le mal et la démence de la vie futur de ce petit garçon. Le mari entra de force inquiet de ne plus entendre sa femme, lorsqu'il vit qu'elle venait de mettre au monde son descendant il sauta de joie la couvrant de tendresse. Il remercia milles fois le moine qui sans son aide le bébé n'aurait jamais vus le jour et c'est en père fière et d'un communs accord avec sa femme qu'il choisi en hommage à ce moine de lui donner le nom de Soufuku, celui qui était initialement donné au vêtement des hommes de fois. Des vastes étendues verdoyantes, le vent léger, ici bas les hommes prennent les armes. Courant nue pied un enfant en bas age l'air niait, ses cheveux blanc aux reflets azurs propulsés par la force du vent et l'attraction de sa descente à toute allure de la colline d'où il vivait. Souriant et rigolant jouant avec un bâton. Grandissant au fil du vent, il courait sans cesse jusqu'à arriver sur une colline surplombant le paysage dans lequel il avait grandit, des ses yeux bleus d'enfant lors de sa cinquième année. Il se tenait le torse en avant comme le coq de la basse-court que ses parents avaient devant un petit village bout de bois à la main fièrement l'enfant qui portait un nom saint ne savait pertinemment pas que le destin lui réservait un avenir emplie de bravoure...

♪♫♪♫Dans un château fait de bois, un seigneur si impétueux assis sur son trône regardant avec mépris ses sujets, rejetant une à une les causes que l'on venait lui porter. Exigeait que sa garde impériale tout de bleu rois vêtue vienne-t-en réunion d'urgence. Dans une petit salle éclairée par des lanternes. Il tapait du poing sur la table les rictus sur son visage et sa bouche grande ouverte laissait exprimer sa colère ! Il pointa brusquement une contré sur un grand planisphère fait à l'encre de chine et au pinceau. Exorbitant ses deux yeux globuleux tel un dragon avec sa fine et longue moustache. Et passant son pouce sous sa gorge s'était simple, la réussite et l'or. Ou l’échec et la mort. Les soldats partirent pour cents quatre-vingts jours de marche. Rasant tous ce qui se présentaient sous leurs pas, tel la mort le bataillon était lancé à la poursuite de richesse semant tristesse et désolation. Dans un petit patelin devenus ville portuaire, la foule était assemblé en ronde autour de deux jeunes inconnue s'adonnant à un spectacle de rue. Le premier à la forte carrure martelait l'acier avec son marteau, tandis que le second doté d'une longue chevelure soyeuse attendait patiemment le sourire narquois sachant pertinemment qu'il en mettrait plein la vue . Saisissant la lame toute prête que son acolyte lui avait envoyée. Il exécuta des mouvements. Agile, élégant la prouesse technique fut acclamée par la foule en délire. Ils en profitèrent pour récolter quelques pièces d'or et d'autres frappées dans différents métaux.


Plus tard lorsque le crépuscule vint à la rencontre du jour. Le jeune homme en question eu une discutions mouvementé avec son père qui n'appréciait guère que son fils serve de clown pour les passants. Il lui expliqua qu'il attendait de lui qu'il reprenne l'affaire familiale. Mais celui-ci avait tout autre ambition. C'est d’ailleurs que, à la tombé de la nuit muni d'un bagage de fortune concocté par une branche de bois et un bout de tissus il parti alors que, ses parents dormaient. Rejoignant le forgeron son fidèle compagnon. Qui lui avait préparé une lame pour l'occasion. Ensemble ils partirent accomplir leur but respectif. Plus tard Ils étaient engagée à la solde d'un homme souhaitant devenir seigneur bon aux premiers abords celui qui était fièrement assis sur son cheval blanc l'air majestueux sermonna ses troupes. Ils allaient partir au combat. Le jeune homme Concentré et paré ne redoutait pas la guerre non, il ne s'en souciait même pas du tout. Puisqu'il ne l'avait jamais rencontré. Le groupe se dirigea vers une ville qui servirait de point de ravitaillement marchand au grès des tambours. Ici celui qui était devenu un homme rencontra une femme belle comme il n'en avait jamais vus. C'est après de rude combats et un repos bien mérité qu'ils décidèrent de se marier. Ils eurent un enfant don le nom était Shochumimai ( le vœux de saison ).


Plus tard il fut enrôlé à nouveau. Quittant sa femme et son fils partant une nouvelle fois au front. La rumeur disait qu'un vil être envoyait ses troupes à l'assaut des villes et villages des alentours pour les réunir sous ses mains scrupuleuses. La terre aride et meurtrie devant un tel massacre. Le sang giclait de part et d'autre Soufuku tuait sans merci, sans pitié il ne devait pas échoué. Les éclaboussures de sang sur son amure et visage en témoignait. L'unité dont-il était à la charge Trépassa... Il fut le seul survivant mais succomba à ses blessures. Du moins c'est ce qu'ils avaient voulus faire croire... Un an plus tard un homme frêle et barbu revint au village l'homme en question n'avait qu'une seule idée en tête retrouvé sa famille mais de deux lances placées en croix face à lui il fut intercepté par les autorités. Hélas pour ce bellâtre le seigneur avait gagné et son chef de guerre aussi lâche que perfide avait conclu une alliance afin de s'enrichir.


Soufuku fut jeté en geôle condamné et s'ouvrir le ventre en publique pour laver des fautes qu'ils n'avaient commis. Accusé à tord d'avoir décimé son armée...♪♫♪♫Le jour fatidique était enfin arriver on le sortie de sa cellule le rouant de quelque coup, des passants lui jetaient de la nourriture pourrie au visage. Lui le parjure, la honte. Ses parents lorsqu'il était encore enfermé avait daigné le connaître. Devant tel immondice il trouva réconfort auprès de son épouse. Lui faisant promettre qu'elle éduquerai son enfant sans jamais l'oublié. Lui le samouraï damné. Il fit sa toilette l'eau passa sur son visage avait le don de le soulager. Un chignon, un kimono blanc, la barbe taillé il était convié à l'autel Avançant le regard haut et fier d'un homme qui en avait finalement assez vus, d'un être détruit mais qui avait se relever face à l'adversité. Le regard d'un samouraï. Il écrivit ses dernière volonté sur une page blanche à l'aide d'un pinceau qu'il tenait par la bouche. Le mot, samouraï écrit en kanji noir, reflétait bien qu'a l'instant présent il était fin prêt à mourir en paix. On lui détacha les mains. À genou, il enleva le haut de sa tenue de cérémonie. Regardant la foule en extase, finalement son paternelle aura eu raison il ne servit que à amuser la galerie. Il saisit la lame que le garde lui tendait observant encore une fois l'astre brûlant qui gouvernait les cieux. Et planta la lame sans flancher dans son abdomen. Les déchirures causé par l'arme se faisait entendre, un premier fil de sang sortie de sa bouche, il tremblait de douleur mais ne pouvait l'exprimé. Il était aujourd'hui question de la fierté des siens. Il avançait sans crainte, non la mort était une vielle ami qu'il avait côtoyé elle l'avait un jour prévenu qu'elle viendrait le chercher et il était temps pour lui de s'en aller avec elle. Sa femme pleurait son fils hurlait à la douleurs, il tomba du siège dans lequel il était prié de s’asseoir et se cassa le genou, mais à l'image de son père ce jour là il n'exprima point la douleur du choc reçu non il était déjà pris par une autre qui le marquera sans doute à vie. La mère du guerrier partis rejoindre les étoiles en pleure devant le cadavre encore chaud de son unique enfant... La famille Nitobe se retrouva à vivre reclus de la ville dans une maison miteuse et délabré le nom de Soufuku ne sera jamais inscris dans les livres d'histoires. Pourtant, il était l'un des premiers samouraïs.



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