Konoha cité de bourge, les clubs à gogo qui n’étaient pas aussi bien que ceux de Kaze mais bon, j’allais devoir faire avec. Pas le choix. Surtout que now, je commençais à avoir gentiment de l’argent dans mon petit compte priver. Eh eh eh, tout ça grâce à mes soirées ou dès le matin, je me barrais sans rien dire au mec. Les pauvres, imaginez bien que c’est pas juste un gars chaque semaine ou toutes les deux semaines. Nan, chaque soir, chaque hôtel de luxe. Bref, j’économisais comme une ouf tout en prenant mon pied. Qui avait dit que j’étais manipulatrice ? Non, je dirais plutôt que je suis une maligne qui sait ne pas se faire avoir. Dans mon métier, il y les débutantes et les professionnelles, moi j’étais classer au-delà, j’atteignais le rang des expertes, des perfections jusqu’au moindre détail. Même un simple verre d’alcool et hop je dis que c’était le blonde du coin qui me l’offrait.

Donc quand je pense que ceux Konoha, sont pété de thune… Oh my god, je crois bien que je finirai par devenir riche. Je suis dans l’espoir de le devenir et quand on y croit, les rêves se réalisent non ? Surtout que je comptais pas arriver dans les petits bars tout tranquilles, musique de vieux avec le papi au bar complètement bourré sa bière à la main. Le must, restait cette belle entrai lumineuse avec le garde aux aguets, guettant d’un œil attentif tout individu soupçonner comme potentiel dangereux. Arrivant d’une démarche de féline, un sourire illuminé d’un rouge à lèvre très brillant. Je m’apprêtais à rentrer dans le lieu chic, lorsque qu’un bras d’un bronzage me barra la route. Je dévisageais le propriétaire de cette belle masse musculaire d’un regard d’incompréhension envers ce geste que je jugeais déplacé pour une femme qui avait fait tout pour être un peu plus présentable. Bref, j’allais lui demandé la raison de ce mouvement malhonnête lorsque qu’il me coupa pour sortir un truc auquel je n’étais pas préparé.

x Votre invitation Madame ?

Attend, mec. Tu m’as bien regardé ? Tu crois vraiment que j’ai besoin de ça ? Putain, vas ‘y tu va pas faire ton couillon juste pour ça ? Soutenant le regard, je fini par sortir une excuse si pitoyable que je pourrais bien me tirer une balle après.

x Je l'ai perdu...
x Désolé, il faut que vous l’ayez en main pour entrer.

Man, si j’avais des mitrailles à la place des yeux, tu serais mort déjà un million de fois. Quand je disais qu’il y en a qui ne voulait pas vous voir réussir, ben c’est ce genre de personne que je méprisais car elle gâcher tout le charme d’une personne qui se donne corps et âme – enfin surtout le corps – pour son travail et bien gagner sa vie. Ça m’arrivait parfois de pas penser à l’argent mais bon quand il était question que la thune pouvait donner certains privilèges, certains pouvoirs à la personne qui la possède. Ben la question est vite régler, je veux ma thune. ILLICO PRESTO. Au moment même où j’allais sortir toute les insultes qui me sont passé par la tête. Je fus surprise de voir passer Manzo dans immense manteau en fourrure trop chic. Mais c’est pas possible, il est easy-là. Se fait pas chier. Plusieurs claquements de doigts pour attirer son attention, il fini par se retourner. Manzo, je te promets que tu as intérêt à me faire rentrer, sinon je te garantie qu’une fois qu’on se retrouvera à une autre place tu pourras dire adieu à ton service trois pièces.

Konoha, un célèbre village où je traînais quelques fois pour aller dans des soirées assez chic. Dans ces soirées chic, on pouvait constater les nombreuses femmes mature dont le corps me faisait assez rêver. Konoha aussi appelé le village de la feuille avait de très bon ninja à recruter et surtout à esquiver, je ne voulais pas trop me faire traquer. Bien que j'aurais voulu augmenter le nombre de membre dans l'organisation, je préférais tout de même me relaxer un peu dans une petite soirée de noble. Cependant, je ne m'étais pas encore habillé et j'en avais aucune envie. Mes pensées se focalisaient sur le Kakumeigun, je prenais trop de temps sur cet organisation, je me sentais vide d'énergie. Une petite sortie me ferait surement du bien, il fallait que j'en avais envie. Tout le Kakumeigun avait pris séjour à Konoha, sans doute pour prendre un peu de temps libre. J'allais donc en faire de même. J'enfilais mon manteau de fourrure et me dirigeais vers l'une des soirées les plus chic de Konoha.

Une température parfaite, je me sentais plutôt bien dans ce village. Il ne faisait ni trop chaud ni trop froid. Un pays parfait pour prendre un peu de vacances. Avant de pouvoir faire la fête, mon estomac criait famine, un grognement strident, je passais ma main sur mon ventre. Il fallait que je mange un petit bout pour tenir toute la soirée. Un petit stand de ramen était sur ma route, l'aubergiste m'avait montré tout les bons petits restaurants de Konoha. Je ne portais aucun signe du Kakumeigun pour ne pas me faire emprisonner. C'était logique. Je me dirigeais tout simplement vers ce petit restaurant qui vendait de bon ramens. Commandant un bol de ramen, je méditais pendant la préparation des ramen. Il fallait que j'arrête de me préoccuper du Kakumeigun, ce stress allait prendre le contrôle de ma personne, mon but allait se finaliser dans la folie. Je ne pouvais perdre ma vie alors que mon but était aussi prés. Je ne pouvais pas. Une odeur naturelle se faufilait dans mes narines, me donnant une grande envie, je prenais les baguettes et je commençais à manger. Je me sentais mieux avec cet nourriture dans mon corps, je pouvais dés maintenant profiter de ma soirée en compagnie de jolie femmes. Mon cigare entre mes dents, j'avançais tranquillement alors que reira se trouvait devant l'entrée de ma soirée. Elle ne pouvait pas rentrer. Ahahahahhah, la pauvre, elle n'avait pas autant de classe que son chef. Je la faisais rentré et je n'allais pas pouvoir m'amuser ou je l'ignorais et je n'allais pas pouvoir utiliser mes parties génitales pendant une bonne semaine. Posant mon long bras sur son épaule, je l'embrassais sur la joue. Si elle faisait une connerie, elle n'allait pas pouvoir rentrer la petite.

Ah excusez moi, Manzo-san, je ne savais pas que c'était votre femme !

Maintenant tu le sais petit !

Bon maintenant qu'on était rentré dans la soirée, j'enlevais mon bras de son épaule et je me dirigeais vers le bar. Un petit rafraîchissement ne me ferait que du bien. Un verre de saké à la main, je rejoignais Reire avec mon cigare à la bouche.

Allez va t'amuser !

On va dire que le boss avait bien plus de chance sur ce coup-là que moi, en plus il était un génie pour trouver les mots à formuler pour que je puisse entrer enfin dans ce lieu si chic mais si familier à mes yeux de chasseresse. D’un geste doux, je sentis ses lèvres sur mes joues qui frissonnaient à son contact si subtil. Un sourire charmeur adressé pour lui, un sourire triomphant sur le pauvre minable qui m’a recalé comme si j’étais un déchet de la rue. Très cher, ton imagination ne peut savoir à quel point je pouvais être une femme redoutable et influente si ce bon Manzo ne serait pas venu me sortir de là, tu aurais pu être sûr que d’ici les prochaines heures tu aurais perdu ton travail si bien payé, te retrouvant à la rue tel un joli bâtard. Une image qui me plairait tellement à contempler comme personne aussi odieuse que je suis lorsqu’on prévoit d’embêter mes petites affaires importantes. Car oui, to night n’était pas la soirée pour se laisser aller à de la frivolité sans limite. J’avais plus précisément une mission à accomplir avec l’hôte de cette magnifique fête privée. Si je parvenais à mes fins j’aurai de quoi gagner bien plus cette fois ci que toute mes petites combines de marraine. Le pire dans l’histoire c’est que Manzo tombait pile au bon moment pour m’aider dans ma tâche.

J’aurai pu espérer avoir aussi un autre allié style Karas, le problème c’est qui baratine trop et la mission que je veux confier doit pouvoir être assuré par un fin stratège. Donc le résultat que j’escomptais aurait pu échouer si aisément avec Karas que je préfère arrêter d’imaginer dans la merde qu’il aurait pu me foutre. Surtout que depuis notre dernière rencontre en compagnie du jeune borgne, il aurait très bien pu se venger de manière si ignoble que j’aurai de quoi le haïr jusqu’à la fin de mes jours. Suivant mon galant sauveur, je le suivais à la trace telle une ombre sans perdre de ma vue mon objectif. Scrutant chaque coin à la recherche de l’homme qui résoudra pas mal de mes quelques soucis. Sans aucun signe à l’horizon, je me mise à soupirer j’avais uniquement devant moi que plusieurs heures et pas plus que ça. Ensuite ma victime sera dans une autre ville pour un commerce que je n’étais pas concerné totalement. Revoyant mon compagnon, verre à la main, je me disais que ça serait dur de se retenir au goût sucré de l’alcool pour un soir. Qu’est-ce qui ne fallait pas faire pour de l’argent, je me le demande d’où me vient cette véritable addiction du pouvoir. De cette envie d’être désirable à tout moment et de pouvoir commander rien sortant un peu de thune par ci, par là. Allez savoir.

x M’amuser ? Toute seule ? Mais voyant, ne me dit pas que ma compagnie te gêne tant que ça ? Surtout qu’en plus j’avais une demande à te faire parvenir. Allez suis moi je t’en prie.

Le saisissant par la main, j’entrelaçais mes doigts aux siens comme si nous étions véritable uni par les liens d’un quelconque mariage. L’illusion marchait à la perfection puisque le reste du monde nous saluait de façon courtoise, à vrai dire cela aurait été mal vu si j’étais toute seule on m’aurait traité de ce genre de femme en proie à des hommes déjà conquis… Quoique, elles n’ont pas totalement tort ces bourgeoises. Sauf que les rumeurs auraient fait le tour et si mes craintes se seraient confirmées l’individu que je devais me charger devait bel et bien avoir une conquête sur son tableau de chasse. D’ailleurs en parlant du soi disant couple, je les vis près de l’immense fontaine orné d’or. Je les fixais un court instant avant de me retourner vers mon associé.

x Bon allez, je vais pas te cacher que j’ai un autre problème en vue là, et que je dois malheureusement te demander ton aide. C’est obligatoire je peux pas assurer seule. Tu vois le couple, là-bas ? La blonde au big melon ? Ben si t’arrive à te charger d’elle pour plusieurs heures, je m’occuperais du bonhomme. En gros mon but c’est d’obtenir des info sur un autre commerce, t’sais la poudre de cacao, tu vois comment ?

Nom de code, je n’allais pas non plus dire à haute voix et je savais très bien que Manzo était intelligent pour comprendre le sens de dires concernant la poudre. Et puis, il ne pouvait pas fuir, sinon il aurait plus de quoi se faire plaisir avec les prochaines femmes, c’est moi qui le promet. Approchant sensuellement de lui, je finis par lui chuchoter une phrase qui ne pourra pas oublier.

x Après je devrais te rendre la pareil, j’aurai une dette envers toi, celle que tu veux, ou et quand tu veux…