Et c'était l'histoire ... D'une petite shinobi [Libre]

Kumogakure ...

Le vent fouettait mon visage de ses délicieuses bourrasques alors que je traversais une nouvelle fois une flopée de nuage bas pour rejoindre cette chaîne de montagnes qui abrité autrefois ma maison. Je dis autrefois, car je ne pouvais plus considérer ce lieu comme ma maison. Mon père y était toujours pourtant ... Ainsi que la dépouille de ma mère et cette "famille" qu'était le clan Seki.

Avais-je tout trahi dans un soupçon de liberté ? Pourquoi étais-je là ? Accomplir ma destinée simplement ... Comme l'oiseau qui revient sur son lieu de naissance pour y déposer ses œufs après la migration ...

Avais-je peur ? Non ! Je n'avais pas peur ! Avais-je mal ? Oui, un peu, mais pas là ou on le pense. Mes jambes encore meurtries par l'assaut que nous avions menées contre le Shukaï étaient salement amochées. Mais s'était mon Coeur qui l'était plus encore. Je n'avais pas encore réussi à penser les blessures qui m'avaient poussé à partir de cette nation, ces mêmes blessures qui m'avaient poussé à chercher du réconfort auprès d'autres hommes.
J'avais fait beaucoup de mal, mais si j'étais de retour, c'est, car j'avais conscience qu'il y avait une place pour tout dans ce monde. Une place pour les péchés et une place pour expier ces derniers. J'étais là pour cela désormais, mais je n'aurais peut-être pas la patience que ça dure trop longtemps même si je me sentais cette capacité à endurer ce qu'il se préparait. Kumo n'était pas connus pour ses traitements de faveur envers les prisonniers et mon endurance était sans doute désormais une légende parmi les shinobis de Kumo. J'avais été élevé durant toute mon enfance en accroissant cette capacité à endurer l'effort, mais en serait-il de même pour la douleur ?
Le vent porta mon corps et mes ailes vers la porte principale de la ville. Porte ou je savais que je serais rapidement rattrapé par mon passé, porte ou je savais que l'on m'avait déjà repéré.

Mes ailes battaient doucement la cadence et me maintenir un petit moment en apesanteur, juste devant les portes, juste devant ce qui serait bientôt mon destin. Puis mes pieds touchèrent doucement le sol. D'abord, la pointe, plus la voûte plantaire et enfin le talon jusqu'à ce que l'apesanteur reprenne le dessus sur mon corps, me laissant flageolante, affaibli. Une cible facile qui mit une ou deux secondes avant de parvenir à se tenir correctement sur ses membres, mais finalement, je levais la tête.
Mes yeux ambrés se portèrent sur les gardes et je tendais les bras en avant pour qu'on me menotte :

"Dépêchez-vous ... Avant que je ne change d'avis et ne fasse péter les portes !"

J'avais encore sur moi, l'une des précieuses billes de mon amie Bakusho ...

Huriko était chez lui, comme trop souvent. Les seules fois où il quittait son appartement était lorsqu’il devait s'entraîner. Se nourrir également lorsque l’adolescent n’avait pas l’envie ni le courage de se préparé lui même à mangé. La solitude lui pesait un peu mais par moment cela lui faisait du bien. Un bon moyen pour lui de se reposer, de se ressourcer sans se préoccuper de la moindre chose. Le jeune garçon avait eu l’idée de se dirigé au sentier perdu, histoire de se rendre au niveau du mémorial. Le genin avait récemment effectué une mission à ce lieu, elle consistait à remettre le lieu dans un était irréprochable. Huriko voulait donc y jeter un oeil pour voir si son travail avait bien était respecté. Cela pouvait peut être paraître insignifiant pour certains mais cela tenait particulièrement à cœur au jeune garçon. Le genin s’était beaucoup investit au mémorial pour rendre ce lieu propre et c’était sa première mission en tant que Shinobi. Le lieux représentait pour lui le début de sa vie de Shinobi, comme une naissance. Le mémorial était donc un symbole pour l’adolescent et se devait d’aller voir.

Huriko quitta sa demeure son prendre son sac ni la moindre arme. Le jeune garçon estimait que cela n’avait pas le moindre intérêt de se charger objets inutiles, vu qu’il n’en avait pas pour très longtemps. Le genin parcouru le trajet sans détourné son regard de son objectif car se connaissant il aurait pu se laisser distraire par le moindre truc. Car même si allait au mémorial était important pour lui, l’adolescent se sentait tout de même obligé. Donc Huriko pourrait trouvé n’importe quel prétexte pour évité de se rendre sur les lieux, le moindre détail pourrait le faire dévié de sa route. Le jeune garçon se forçait à ne pensé qu’au mémorial, cela devait être que sa seule image en tête. Après avoir marché en réussissant à ne pas se laissé distraire, Huriko était tout proche des portes du village et donc proche du mémorial. Mais quelque chose attira son attention, il entendit une voix féminine tout proche de sa position.

Le genin n’avait pas la moindre de la situation mais avait entendu quelque chose d'inquiétant. Huriko avait cru entendre que les portes du village pourrait éventuellement sauté, en espérant qu’il se trompe. L’adolescent s’empressa de se dirigeait devant les portes du village et avait un mauvais pressentiment. Le jeune garçon se doutait qu’il y allait se passé un truc d’important. Par pur curiosité Huriko se précipita sur les lieux même une voix dans sa tête ne lui disait de se diriger au mémorial. C’était trop tard, son nouvel objectif était d’aller devant les portes du village. Après quelques secondes l’adolescent se trouvait devant les portes et aperçu une femme. Huriko la fixa et la leur regard se croisèrent. À cet instant un frisson traversa le corps du genin, qui avait l’impression de connaître cette personne. Pourtant son visage lui semblait totalement inconnu et se demandait se que cette personne faisait sur les lieux. L’adolescent resta sans voix à la vue de la femme, n’ayant aucune idée sur les raison de sa présence.
Huriko sentait son cœur s'accélérer, le sentiment qu'il était peut être en danger. L'adolescent prit une longue inspiration pour se calmer et de prendre la parole.

Qui êtes vous et que voulez vous?

Hrp:
Spoiler:

Mon regard de braise se transforma en quelques choses d'ardents. De plus fort encore à l'encontre du jeune homme qui avait osé me faire face seul et ... Sans protection. Ainsi donc Kumo se moquait de moi et on m'envoyait la basse besogne pour s'occuper pourtant, de mon royal fessier.

Voilà qui était des plus outrageant, déplaisant même.

Mes lèvres s'entrouvrirent, non pour former un cœur à l'intention de ce petit genin qui avait osé venir à ma rencontre, mais plus pour laisser échapper un soupir de lassitude.

"Pitoyable vraiment ... Il faut tout faire ici ..."

Mes bras tendus pour qu'on m'y passe les menottes venaient de se relâcher ... Enfin plutôt de se joindre, s'étirant d'une façon inattendue alors qu'un arc prenait délicatement forme entre mes dextres. Un arc dont la corde était déjà bandée à l'extrême et ou une flèche finissait de prendre figure en son centre, visant avec précision le front, non, le cœur, non toujours pas, la gorge du jeune homme. La carotide plus précisément, l'endroit ou son sang coulait pour lui apporter la vitalité de la jeunesse.

"Désolé petit homme ... Mais j'ai besoin que plus fort que toi bouges son cul pour venir faire le sale boulot ..."

Ah ... Mais s'était déjà le cas. Je sentais cette présence si familière. Ma main tendue se relâcha alors directement en même temps que ma silhouette pivotait sur place pour viser une nouvelle cible. Ma cible ! Celle que je voulais anéantir ! Ma flèche part et je vise son entrejambe. Mais comme d'habitude, comme quand je suis partie, il ne restait pas mon sensei pour rien. L'esquive de ma technique n'est pas difficile vu mon état de santé. Trop ardue pour le jeune genin, trop faible pour mon ex amant.

Sa poigne puissante glisse sur mes bras, ma technique se relâche. Enfin ... La fin alors que la lame me transperce. Pourtant, je ne souffre pas, non, je sens son corps contre le mien et une touche d'ironie m'échappe alors que je pousse mon dernier soupir :

"Je savais que mes fesses t'avaient manqué mon amour ..."

Le noir total... la patience... Je me trouvais niché au sommet du palais du Raikage qui était le plus grand édifice de Kumo à fixer les ruelles du village d'un regard protecteur... ou plutôt tel l'aigle surveillant sa proie, près à bondir sur sa cible. En tout cas, j'étais présent et tant que je serais dans les parages et en vie, le village pourrait compter sur ma vie pour le protéger. J'étais également au plus proche du Godaime au cas où, jamais bien loin, telle son ombre, l'ombre du village, l'obscurité qui vient vous dévorer lorsque vous fermez les yeux l'espace d'un instant. Plongé dans ma solitude, ce ne fut pas l'équipe de surveillance qui vint m'alerter mais mon sens aiguisé actuellement porté sur le village entier et légèrement ses alentours. Un chakra familier plus sombre que jamais, encore plus que moi vint apparaitre devant la porte principale du village. C'était Seki Osore, mon ex petite amie avant qu'elle ne disparaisse comme par magie juste après mon réveil turbulent à l'hôpital. Je n'avais eu en aucun cas le temps de m'occuper de la retrouver trop occuper par le village, la nomination récente du Godaime, sa protection, ma nomination au sein du Satoru et la maitrise de ce chakra noir m'avaient pris tout mon temps.

Filant plus rapide que le vent à l'aide d'ailes de chakra noir je bondissais à l'aide du principe de la charge, propulsant dans l'air du chakra depuis mes pieds rendant ma vitesse folle. En quelques secondes à peine j'apparus dans les airs mais elle était déjà arrivée à destination elle aussi par la voie des airs. Affaiblit et prête à abandonner sa propre vie, elle fit un geste désespérée à l'encontre d'un Genin venue l'accueillir aux portes, quel fou. Je ne le reconnus pas au premier coup d'œil, mais je sentis l'essence des Seki en lui, il était donc du même clan, un endroit ironique, une conclusion ironique pour le clan Seki. Ce jeune garçon se trouvait au mauvais endroit, au mauvais moment, quel dommage. Cette jeune femme, d'un geste pourtant aussi aguerrit voir plus que par le passé, sortit un arc de chakra et la flèche se formant, près à viser un point vital du jeune garçon. Je me devais d'agir, de faire un choix, de prendre une décision. Agissant comme contre n'importe quel ennemi de Kumo, tel l'aigle fondant sur sa proie, je fis un plongeon, mais elle réussit à me sentir arriver, étant apparemment celui qu'elle recherchait, elle dégaina, mon esquive s'ensuivit et je pu remarquer sa faiblesse, son tir était moins vif qu'avant. Tel l'épée et le bouclier que j'étais devenue de Kumo, ma lame transperça le corps de tout son long sectionnant ses nerfs et sa colonne vertébrale en deux. Sa fin se fit sur un phrase ironique de mon ancienne compagne avant de lâcher son dernier soupir au sein de ce monde. Je ne pouvais qu'être présent et n'être que celui qui venait de prendre la vie de quelqu'un, qui plus est, quelqu'un qui m'a rendu si heureux avant que je ne devienne un semi-furyou.

Je suis désolé, Osore... J'aurais du être là... J'ai bien changé n'est-ce pas... mais je te promets de retrouver Miae et de la ramener à Kumo...

Retirant ma lame de son corps, de l'eau sortit de ma bouche afin de la nettoyer avant qu'elle soit rangée de nouveau dans mon dos. Ma précieuse camarade, ma précieuse arme, faisant presque partie de moi-même. J'attrapais finalement son corps en longueur que je portais telle une princesse qu'elle aurait du être si j'avais été plus présent à ses côtés. Qu'avait-il bien pu lui arriver ? Miae se retrouvait-elle également dans cette situation ? C'étaient des questions dont j'allais devoir trouver une réponse au plus tôt. Me retournant près de ce jeune Seki, le visage sombre, les yeux noirs, couleurs ténèbres avec les pupilles rouge profond, qui s'accordait parfaitement à tout ce sang qui était visible sur mes vêtements ou sur cette jeune femme.

Je suis désolé, jeune homme, pour ce que tu as du voir aujourd'hui... Cette jeune femme était une Seki qui c'est égaré du droit chemin, qui c'est laissé consumer et manipuler par les ténèbres. La voilà maintenant libre de rejoindre les dieux dans leur palais et d'y vivre en paix. Tu auras à vivre de telles situations dans ton futur et surtout, je te conseil à l'avenir d'être accompagné ou d'avoir les informations sur la nature de la personne qui vient aux portes. J'étais là aujourd'hui pour te sauver la vie, la rapidité de sa flèche aurait bien trop rapide pour n'importe quelle intervention d'un garde posté sur les portes et j'aurais eu ton corps sur les bras.

J'étais sec, encore plus maintenant que j'étais devenue plus sombre. Ce jeune garçon venait de rentrer en quelques minutes dans le monde des ninjas et dans la réalité du monde shinobi. Il n'y a que morts, destructions et guerres dans ce monde, bien que l'on essaye de trouver la paix, c'est par le sang bien souvent que l'on y arrive. Sur ces paroles, je m'envolais avec mes ailes noirs à une destination bien familière, bien trop même. En tant que chef de clan Seki, je connaissais cet endroit mieux que quiconque. Le cimetière des Seki situé aux abords du village Seki dans les montagnes de Kaminari. Chaque Seki quel qu'il soit était enterré à cet endroit, aucun shinobi de Kumo Seki ou déserteur ne se trouvait en dehors de ce cimetière, mis à part pour ceux dont on a jamais retrouvé le corps. Chaque Seki est traité à part égal une fois dans le monde des morts, aucune tombe n'est différente, mis à part pour le caveau des chefs du clan qui m'ont précédés. J'y passe régulièrement afin d'honorer leur mémoire et de saluer ceux qui ont permis le maintient du clan au péril parfois de leur vie, que ce soit des civils ou de puissants personnages.

Un emplacement fut choisit par mes soins et je pris une dans le dépôt du cimetière afin de creuser manuellement le trou qui accueillerait le corps de cette jeune femme Seki. Un simple doton m'aurait épargné plusieurs heures d'efforts mais c'était un rituel que je désirais respecter depuis que j'étais parvenu au rang de chef de clan et surtout que je perdais chaque jour mes émotions qui faisaient de moi un humain. Quelques part, c'était pour me prouver que je ressentais toujours quelque chose et que j'étais encore sensible à ce genre de choses. Mon clan passait évidemment avant ma propre personne, c'était mon devoir de m'occuper de cela. Chaque sépulture et chaque tombe du cimetière profitait de mes soins le plus souvent possible. Une fois la tâche accomplit, la terre recouverte, se fut cette fois-ci à l'aide d'un Dôton que j'inscris son nom, sa date de naissance et de mort sur une pierre tombale. Des larmes coulèrent néanmoins sur mon visage, debout face à cette tombe qui me toucherait à l'avenir bien plus que les autres. Un invité surprise, la pluie vint s'inviter comme pour cacher la tristesse d'un puissant homme que j'étais devenue. Les dieux montraient leur compassion, pleuraient pour cette jeune femme qui c'était égaré ou bien c'était peut-être elle qui pleurait depuis les cieux, allez savoir...

Huriko se trouvait devant une femme affaiblit physiquement, elle avait du se battre récemment et n’avait pas encore récupéré de ses blessures. La femme semblait déçu de voir arriver le jeune genin mais l’adolescent était sur le lieu par pur hasard et ne comprenait pas vraiment la situation. Huriko pensait qu’elle n’était pas la pour le plaisir et qu’elle cherchait quelqu’un ou quelqu’un. Pour montrait tout son dépit du à la présence du jeune garçon, la femme fit apparaître un arc avec son chakra. Une flèche fit également son apparition prête à partir. Huriko était malheureusement la cible de cette prochaine attaque, l’adolescent voyait la flèche pointait dans sa direction. À cet instant précis, le genin ne pouvait pas bougé le moindre membre. Tout son corps était paralysé par la peur, un sentiment qu’il n’avait jusque là jamais connu. Le jeune garçon était vraiment pétrifié par la cette sensation de mort, son coeur battait à mille à l’heure, ses jambes tremblaient et il ne pouvait clairement rien faire. Se sentiment d’impuissance revenait en lui, il avait déjà vécu cela par le passé et c’était sa principale raison de tous ses entraînements. Le jeune garçon s’était entraîné pour devenir fort et cela n’avait servit rien. Huriko se sentait faible et sa mort arrivé d’un instant à l’ordre.

Puis alors que le genin pensait que c’était la fin pour lui, la femme relâcha doucement sa main et pivota avant de tirer. Quelqu’un venait de faire son apparition, une aubaine pour Huriko. La personne qui venait d'arriver sur les lieux esquiva assez facilement la flèche lancé et assena un coup de lame mortelle. Le genin était choqué par la scène, il ne s’attendait clairement pas à cela. Dans son dernier souffle la femme parla à l’homme qui venait d'entrer en scène. Dans son état et sa position, l’adolescent n’avait pas tout entendu mais avait compris que les deux personnes se connaissaient. L’homme lui parla
également avant de retirer sa lame du corps de la jeune femme pour ensuite la nettoyer. L’homme se dirigea ensuite en direction de Huriko, qui n’avait toujours bougé, il était encore sous le choc de se qu’il venait de vivre. La personne qui venait de lui sauvé la vie s’adressa au genin. L’homme lui expliqua que la femme faisait partit du clan Seki mais qu’elle avait choisis le côté obscur des Shinobi. L’homme lui dit également que l’adolescent aurait à vivre se genre de situation avant de lui passé un savon. L’homme avait tout à fait raison et Huriko le savait. L’adolescent ne pouvait pas répondre, il se sentait un trop mal. L’homme avait été plutôt sec mais c’était pour le bien du jeune garçon. Pour qu’il prenne conscience que se monde était dangereux et qu’il devait être plus attentif. L’homme quitta ensuite les lieux avec le corps de la femme qui venait de tué dans les bras.

Huriko se trouvait seul sur les lieux, oubliant complètement la raison de sa présence. À la base l’adolescent était venu sur les lieux pour aller voir dans quel état était maintenant son travail aux mémorial. Au final le genin était tombé sur une femme qui avait l’intention de le tuer. Le jeune garçon s’écroula sur le sol avant de se mettre à pleuré. Huriko se sentait faible et cela lui rappelait de très mauvais souvenir. La sensation de tout se qu’il avait pu faire avant n’avait servis à rien. Le genin était très frustré et se devait d’évacué cette tension. Quelques minutes après, Huriko se sentait un peu mieux mais n’avait plus envie de se diriger au mémorial. L’adolescent voulait rentré chez lui et s'allonger sur son lit. Huriko quitta les lieux tête basse en essayant d’oublier ce qu’il venait de vivre.

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