L'enseignement sans saignement [Mission C - Eiko]

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Huriko n’avait plus le moindre temps pour lui, il avait reçu une nouvelle mission. Cette fois ci les choses avaient légèrement heureux, l’ordre de mission lui plaisait particulièrement. Il devait enseigné l’art du taijutsu à un village voisin, qui était victime de plusieurs attaques de bandits. Le plus plaisant pour le genin était marqué par la présence et l’aide de son ami Eiko. Cette mission était juste parfaite pour les deux car Eiko le samouraï avait ressèment enseigné à Huriko le maniement des armes. Cela devait donc être qu’une simple formalité. Ce qui était plaisant, était également le fait de transmettre son savoir au gens pour qu’ils puissent se défendre. L’adolescent comprenait maintenant se qu’avait pu ressentir Eiko la dernière fois. C’était quelque chose de très gratifiant d’enseigner des techniques et maintenant Huriko avait l’occasion de le faire. Le jeune garçon était tellement enthousiaste qu’il avait préparé ses affaires aussitôt. Le genin était impatient d'effectuer la mission en compagnie de Eiko. C’était d’ailleurs la première fois que l’adolescent faisait une mission avec le samouraï. Peut être le début d’une longue série qui sait.

Huriko termina de manger tranquillement avant de prendre tranquillement la route. Le jeune garçon en prenant ses affaires avait les yeux rivés sur son katana. Cela ravivait des bon souvenirs, ceux de son entraînement avec Eiko. Ses souvenirs étaient tout de même assez récent mais il faisait partie de son nouveau départ. Huriko reprit ses esprits et quitta son petit appartement. Le jeune garçon ferma sa porte à double tour et se dirigea vers les portes du village. C’était le lieu que les deux genin s’étaient donné rendez vous. C’était l’endroit le plus proche pour rejoindre leur future destination. Huriko était arrivé sur les lieux en marchant tranquillement, il était le premier arrivé sur les lieux. L’adolescent avait tout de même un peu d’avance et allait devoir attendre la venue de Eiko. Ça faisait quelques jours que Huriko ne l’avait pas vue et était impatient que le revoir. En attendant que Eiko vienne, le jeune garçon réfléchissait. Huriko était plongé dans ses pensées, il réfléchissait à tout et à rien. Jusqu’à que Eiko montre le bout de son nez, la présence du samouraï donné le sourire à Huriko.

Ça va Eiko? Prêt pour la mission?

Nouvelle journée, une belle journée humide et nuageuse. Le soleil était couvert par le drap blanc mousseux des nuages. Non pas un brouillard comme dans pays de l'eau. Nous c'était plutôt une sorte de couche épaisse de fumée reposant uniquement tout autour du village. Une sorte de protection en cas d'attaque. La nature était l'une des meilleurs défense qu'un village puisse avoir. En outre, il y avait aussi les forces militaires mais aussi économique. Aujourd'hui j'étais comme d'habitude, zen, calme, profitant d'un moment calme. Moment de tranquillité qui venait d'être détruit par la réception d'une convocation pour une mission. Les détails étaient parcourus rapidement, en diagonale. La seul chose qui me venait à l'esprit est le nom de la personne avec qui j'allais partager cette corvée. Seki Huriko. L'un des jeunes genin avec qui j'avais liée une amitié.

Ma marche lente avec mon regard plongeait sur la feuille pour la lire plus sérieusement. Il fallait entraîner une bande de villageois pour qu'ils puissent se défendre contre des bandits. Ils allaient obtenir toute mon aide pour qu'ils arrivent à faire que les minables puissent quitter les lieux. Défendre son quartier, sa maison, sa famille, aucun homme et aucune femme ne devrait vivre ce moment. Pire qu'un moment, un sentiment de perte de contrôle sur tout ce qui pouvait nous entourer. Le hasard laissait place au courage et au valeur inculqué par les parents. Protéger les personnes que l'ont aime plus que tout, voila le pourquoi du comment les habitants de ce petit village avait fait appel à nous.

Arrivant au point de rendez vous, je pouvais apercevoir que mon partenaire était déjà présent. Cela ne m'étonnais pas venant de lui. Quelqu'un qui savait ce qu'il voulait, comment l'obtenir, comment y parvenir. Il usait de toute la force et de son courage pour être ce qu'il est. Un homme bien.
Le regardant, son visage toujours aussi ouvert, presque contant de me voir le rejoindre. Nous nous étions quitté il y a pas longtemps, dans les montagnes de kumo. Un sourire, un geste de ma main droite, crachant la fumé de ma clope, je regardais Huriko et je le saluais.

"Je vais bien l'ami et toi ? Oui, nous pouvons y aller "

Huriko venait de voir Eiko fidèle à lui, le samouraï était arrivé sereinement avec une clope dans la main. C’était une mauvaise manie dont il n’arrivait pas à s’en débarrassé, après tout le genin était majeur et vacciné donc il faisait se qu’il voulait. Une fois les salutations terminés, les deux genin mirent en route. Le temps était précieux et cela les deux hommes le savaient. Les deux genin prirent donc la route, impatient de transmettre leurs connaissances. Les deux hommes passèrent leurs trajets paisiblement à discuté de choses et d’autres, histoire de passer le temps. Ils ne firent aucun pause, pour arrivé le plus tôt possible dans le village de leur mission. Une fois arrivé à destination, Huriko remarqua qu’il n’y avait pas la moindre personne dans les parages. C’était certes un petit village et ne remarquer personnes était plutôt intrigant. Il n’y avait pas la moindre signe de vie dans les rues, étonnant car on était en plein coeur de la journée.

Bon allons chercher quelques habitants pour nous présenter

Les deux genin entrèrent dans le village, en essayant de repérer le premier signe d’une présence. Les deux arpentaient les rues et remarquèrent que tout les commerces étaient fermés. Cela devait être sûrement du au précédente attaques des bandits et pour en évité, les villageois avaient donc fermé les commerces. Huriko tenait toute fois avoir l’avis expert de Eiko, il voulait avoir son ressentit sur cette histoire.

Qu’est ce que tu en penses? Pourquoi penses tu qu’ils ont fermé les commerces? À cause des attaques des bandits? Il était temps que l’on arrive. Il faut absolument que l’on trouve quelqu’un déjà pour se présenté mais aussi obtenir des informations. Savoir qui sont ses bandits, savoir également leurs nombres. Savoir également à qui on doit enseigné à se défendre car voit personne m’intrigue. On dirait que se village est désert, on est bien dans la bonne ville?

Huriko posait trop de question, cela arrivait quand il ne comprenait pas vraiment la situation. Il comptait sur l’aide de Eiko pour l’éclairait un peu. L’adolescent avait totalement confiance en lui pour le laisser prendre une décision pour la suite de cette mission.

Dernière édition par Seki Aosawa le Jeu 14 Mar 2024 - 17:04, édité 1 fois

Nous étions arrivés dans un village. Ou plutôt un village fantôme, pas la moindre personne n'y magasin ouvert. Tout les habitants avaient purement et simplement disparu de la surface de la terre. Ou alors, ce que je doutais le plus, ils nous attendaient dans un endroit reflétant l'objectif de notre mission. C'est à dire de leurs enseigner l'art du taijutsu et la manipulation des armes blanche. Je me retournais vers Huriko, lui montrant un panneau indiquant le centre ville. Le village mineur était un petit village, avec au bas mot, cinq cent personnes tout au plus. Regardant le panneau, je faisais par de mes pensés à Huriko.

"Je pense que notre objectif se trouve au niveau du centre du village. Dans un lieu ou nous pourrons contenir du monde. Un dojo, ou quelque chose du genre. "

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Eiko se tourna alors en direction de l’adolescent, qui attendait la réponse à ses questions. Le samouraï fit tout simplement un geste pour montrer la direction du centre ville, pas besoin de se torturer l’esprit à imaginer tout les scénarios possible. Cela montrait à quel point Eiko était un homme réfléchis, le samouraï possédait une très grande sagesse. D’un simple signe, l’homme avait pratiquement répondu aux questions posés par Huriko. Puis Eiko prit la parole, en expliquant qu’ils devraient chercher une grande salle où la population du village aurait pu s’abriter. C’était une bonne réflexion de la part du samouraï, en espérant que le village n’avait pas été décimé par les bandits. Il fallait maintenant trouvé une salle ou dojo pouvant contenir le petit village. La tâche ne serait pas très compliqué étant donné la taille du village. Huriko allait donc suivre l’idée de Eiko, les deux genin se dirigèrent au niveau du centre ville. Pendant leur marche, Huriko guettait toujours la moindre présence. En espérant de croiser des personnes du village ou extérieur. Finalement de l'entrer du village jusqu’au centre ville, aucun signe de vie.

Il fallait donc se mettre à trouver un endroit assez grand pour contenir tout le village, cela ne serait pas difficile. Un lieu comme cela devait être assez grand et dans ce village il y avait un bâtiment qui répondait à cela. Il se trouvait en plein milieu du centre ville, ce n’était pas très discret. Huriko s’approcha doucement vers la porte du bâtiment qui était tout en bois, Eiko était derrière lui. L’adolescent tira la porte doucement et dès qu’il y eu un espace conséquent, le jeune garçon aperçut du monde. Le samouraï avait eu totalement raison, les habitants du village s’étaient cachés en attendant l’arrivé des deux genin envoyés par Kumo. Les deux hommes rentrèrent dans le bâtiment, les villageois étaient très méfiants. C’était tout à fait normal, ils n’avaient pas la moindre identité des deux shinobi de Kumo. Huriko décida alors de se présenter, pour que les villageois cessent leurs méfiance.

Bonjour tout le monde, je m’appelles Huriko et j’appartiens au village de Kumo. C’est d’ailleurs mon village qui m’envoie, ainsi que mon camarade à côté de moi. Si nous sommes là devant vous, c’est pour vous aidez. On a reçu l’ordre de vous enseignez l’art du taijutsu pour que vous puissiez vous défendre contre les bandits qui vous attaques.

Huriko s’était ainsi présenté, on espérant que les personnes de se village lui fasse entièrement confiance. En regardant tout les visages des personnes dans le bâtiment, plein de crainte, incapable de se défendre seul. Cela motivait le jeune garçon à leur enseigné un maximum de son savoir, pour que les choses puissent changés. L’adolescent avait vraiment à coeur de réussir cette mission, c’était une affaire personnel. Huriko était également persuadé que Eiko pensait la même chose que lui.

Sur la route, je pense alors soudainement à mon père. Un homme brave qui était mort pour sauver son pays. Les samourais luttaient depuis leurs naissance pour la survie de notre peuple. Je sais maintenant le fardeau qui plane au dessus de ma tête. Une épée de damocles tournoyant au dessus de moi comme un pendule. Je peux faire en sorte de changer la nature animal du monde, mais je pense aussi être celui qui ferais d'une lame non pas une arme, mais un ami. La vie est trop courte, alors je profite de tout les meilleurs instant. Je pouvais même vous certifier que Huriko et moi serions de bon amis. Une mission, un enseignement, l'exam chuunin qui approchait à grand pas, nous allons être encore réuni.

Un compagnon de route, un partenaire de mission, un compatriote, et j'en passe encore. Une confiance aveugle envers le garçon au mèche blanche, qui depuis que je l'ais rencontrer, ne m'avais pas déçus une seul fois. Il avait ce que tout les hommes espéraient trouver, il était imbibé d'une sorte de lumière, plus particulièrement une sorte d'aura protectrice. On appel ceci la Détermination. Rien ne pouvais ébranler sa détermination, et son envie d'évoluer pour être meilleur.

Au moment ou je vous raconte mes sentiments envers mon collègue, nous arrivons tout les deux au niveau du centre ville. Comme je l'avais dit plutôt, les habitants du village étaient tous retranché au niveau d'une grande salle de réunion. La marche ouverte par Huriko, que je suivais d'un pas lent en scrutant les environs. Il ouvrait la porte de cette immense salle se trouvant en plein milieu de la place centrale. Toutes les personnes voulant apprendre à combattre les criminels s'étaient donné rendez vous ici. Nous, moi et Huriko, devions leurs inculquer les bases de la défense. Mais aussi de l'attaque. Dans mon cas, je ne pourrais pas enseigner à des gens comment attaquer. Mais la façon de désarmer ou de contrer son adversaire serait pour moi l'option une.

Huriko prenait la parole immédiatement en voyant la population concentré dans un même endroit. Les paroles du jeune garçon brun, faisaient écho contre les murs du batiment. Les pauvres habitants étaient tous sur motivé mais aussi très peureux. Les bandits leurs avaient enlevé les espoirs qui resté. Le monde par en vrille, et il fallait vraiment que ses villageois apprenne à défendre leurs familles.

" Bien, je propose que l'on sépare tout le monde en deux groupes. Les gens voulant s'entraîner au sabre vienne avec moi, les gens voulant le poing, pied aillent avec Huriko. Nous allons faire de vous, des personnes capables de se protéger. Soyez sans crainte. "

Toutes les expressions des villageois avaient subitement changé, juste après le discours de Huriko. L’impression qu’ils attendaient les deux genin comme leurs sauveurs, que les deux shinobis étaient les personnes qui sauveraient leur avenir. C’était donc une lourde responsabilité qu’attendait les deux genin mais ils étaient prêt. Huriko savait que son partenaire serait totalement à la hauteur, il avait déjà prouvé dans le passé que c'était un homme incroyable. Sa capacité à enseigné n’était plus à faire, le plus important était que le samouraï prenait plaisir à enseigné. C’était là une des plus belle qualité. C’était en le prenant pour exemple que l’adolescent allait enseigné aux habitant. Pour montrait qu’il était digne d’être un Shinobi du village de Kumo et également d’avoir était récemment entraîné par Eiko. C’était le côté humain qu’il adorait dans cette mission. Partager son savoir pour aider une population à se défendre, protéger son village et les gens qu’ils aiment. Enseigné ne serait pas donc compliqué, cela se voyait dans tout les regards des personnes présentes dans la pièce. Tous n’avaient qu’un seul but en tête, protéger les gens qu’ils leur étaient chères à leurs yeux.

Cela faisait plaisir à Huriko, pas le temps de perdre la moindre, il fallait passé maintenant à l’enseignement. Eiko avait eu une brillante, séparé les habitants pour former deux groupes. Un groupe dirigé par Eiko pour l’enseignement au sabre avec les personnes le voulant et l’autre entraîné par Huriko pour le corps à corps. L’adolescent était séduit par l’idée du samouraï, histoire de varié les choses. De plus, Eiko était beaucoup plus à l’aise au sabre, il avait d’ailleurs aidé Huriko à maîtrisé une technique. Les personnes commençaient à se séparé pour former les groupes. Les gens s’étaient plutôt bien répendu, il y avait beaucoup de diversité. Homme, femme, enfant, personnes âgées s’étaient tous mélangé dans chaque groupe. Cela était plaisant de tous les voir ralliés pour avancé dans le même but. Huriko était persuadé que l’enseignement qu’il allait donné, les personnes en feraient bon usage. Rien que dans le regard, l’adolescent possédait le même. Le genin faisait de cet entraînement une affaire personnelle, il venait de se perdre dans ses pensées.

Lorsqu’il était petit, il avait vu sa mère périr sous ses yeux pendant la guerre. Se fut vraiment un moment traumatisant, tout cela car il était faible. Huriko n’était pas assez puissant pour défendre sa mère, maintenant l’adolescent avait un objectif. Devenir fort pour en mémoire de sa mère, pour protégé en péril de sa vie le village de Kumo et ses habitants. Le jeune garçon n’avait que cela en tête, voilà son principale objectif. Huriko était donc là pour que les habitants de se village, ne vivent pas la même chose que lui. C’était comme un trou permanent dans son coeur, quelque chose qu’il le rangeait de l’intérieur. Huriko ne l’avait jamais dit à qui que se soit, il le gardait comme une façon d'avancer. Une peine profonde qui était une source de motivation. C’était compliqué à décrire comme sentiment. Sa tristesse lui permettait de vouloir devenir fort, c’était son moteur. Une fois revenu à la réalité Huriko se tourna vers Eiko, il lui sourit et lui montra son pousse. Huriko voulait dire que à partir de maintenant les choses sérieuses commençaient et qu’il serait à la hauteur. L’adolescent était persuadé que le samouraï comprendrait la signification, maintenant place à l’enseignement.

C'est homme et femme avaient pu ressentir le sentiment le plus horrible. La peur. Avoir peur de quelque chose ou en l'occurrence ici en quelqu'un, désoriente totalement notre façon de vivre. Vivre avec la sensation cas n'importe qu'elle instant, il pouvait vous arriver une chose des plus douloureuse. Pourquoi faire vivre à des personnes ne demandant rien de plus que du vivre libre et en paix. Eduquer les enfants, partager les bons moment avec eux, être présent tout au long de leurs vie. Pourtant ici, les habitants du petit village mineur ne pouvaient vivre dans une harmonie et une sérénité qu'ils méritaient.

Résoudre le problème par la violence n'allait pas changer la vie qu'ils menaient pour autant. Combattre pour son territoire, pour protéger sa famille, ou autre raison, n'était pas bon. La violence verbale ou physique conduit inévitablement vers un affrontement. Deux groupes ne partagent pas la même opinion ou alors n'ont pas le même désir d'évolution. Cela cause alors des guerres, des morts, et des familles en deuil. Mais la chose la plus drôle dans tout cela, c'était que moi, Yukita Eiko, est formé dans le seul but de défendre son village. Tuer, pour ne pas être tuer. Mourir n'était pas l'option prioritaire pour nous les samourais. Nous suivions du mieux que nous le pouvons notre éthique droite et strict du Bushido.

Dans cette salle ou était installé un climat d'incompréhension et d'attente envers nous. Ils nous regardaient comme des envoyés de dieu, la divinité venait de les toucher en plein coeur. Non nous étions pas des dieux, ou des prophètes à la solde du seigneur tout puissant. Nous sommes des hommes, et aussi des femmes, luttant pour que le monde devienne meilleur. Luttant pour que les personnes plus faible réussissent quand même à sortir la tête de la merde. Si je ne pouvais pas faire couler du sang avec mon arme, d'autres gens le feront. Tout cela n'aurait servi à rien, leurs sang ne coulera pas. Ils allaient apprendre à combattre pour leur vie. Ainsi que celle de leurs banbins.

" Alors, mon groupe mettez vous en ligne l'un derrière l'autre. Nous débuterons par des mouvements simple mais efficace. "

Adaptant mon niveau à celui des civils en face de moi, je commençais à écarter les jambes en prenant comme base la largueur de mes épaules.

" Suivez mes mouvements "

Jambes écartés, mon bras gauche pliais au niveau de ma anche, touchant le coude au niveau des cotes. Mon bras droit lui protégeait ma tempe. Protection du corps et protection de la parti la plus fragile. Le crane. Nous étions en train de commencer un léger échauffement avant de passer à l'étape supérieur. Qui était pour moi, la familiarisation avec une arme blanche.

L'entraînement était sur le point de débuté, Eiko était le premier à prendre les choses en main. L’homme au bob avait fait aligné son groupe pour démarrer, il allait alors enseigné les bases. Huriko n’avait pas vraiment le temps de regardé se que faisait le samouraï, il avait un groupe dont il devait s'occuper. L’adolescent allait enfin comprendre se qu’avait ressenti Eiko, quand celui ci l’avait enseigné la technique de l’Issen. Le jeune garçon allait enfin savoir se que cela faisait lorsque que l’on transmet son savoir. Huriko était très tendu, voir tout les yeux étaient sur lui. Le genin n’avait jamais eu l’habitude d’attirer l’attention sur lui, il avait l’avenir de la moitié du village entre ses mains. Le jeune garçon n’avait pas le droit d'échouer, il y avait plus important que de la mission. Certes le succès de la mission était quelque chose d’appréciable mais Huriko avait un tout autre objectif. Celui de former au mieux les villageois pour qu’ils soient assez forts pour se défendre. L’adolescent pensait toute fois que s’était juste la confiance qu’ils leurs manqués.

Car quand on aime quelque chose et qu’on souhaite le protégé on se donne à fond. On est envahie par un sentiment indescriptible et on met tout en oeuvre pour y arrivé. Certes il fallait que Huriko leurs enseignes quelques techniques pour se défendre mais ce qu’il fallait par dessus tout était de leurs donnés confiance en eux. C’était où résidait principalement la difficulté de l’entraînement, les aidés à devenir plus fort ensemble. Une sorte d’effet de groupe, si la plus part des personnes se sentaient fortes le reste de la troupe le serait également. Huriko se mit en place, prêt à former les personnes de son groupe. L’adolescent n’ayant pas vraiment l’habitude d'enseigner, prit la décision de commencé doucement. Le jeune voulait commencé par un simple échauffement avant de passé au chose sérieuse. C’était pour que les habitants se concentrent, fallait que tout les habitants soient mentalement et physiquement.

Bon écouté, on va commencé à s’échauffer le temps de quelques minutes et ensuite, on passera aux choses sérieuses. Faites comme moi, juste jusqu’à que je donne d’autres consignes.

L’adolescent commença comme on lui avait enseigné, de haut en bas. Huriko avait décidé de reproduit exactement comme en lui avait apprit. C’était pour lui le meilleur moyen de faire, utilisé se que l’on sait pour former les villageois. Le genin commença logiquement par la tête, les épaules, les poignets jusqu’à arrivé aux pieds. Le jeune garçon était pleinement satisfait de son groupe, tous étaient à l’écoute de Huriko qui était très heureux. Toutes les personnes étaient très appliqués, l’adolescent n’en espérait pas moins. Les personnes de son groupe étaient tous déterminés, tous étaient à faire tout les efforts possibles pour acquérir la force de se défendre.

L'échauffement avait commencé depuis plusieurs minutes maintenant, nous étions dans un bon rythme. Exécutant divers mouvement basique à fin de faire augmenter le cardio du corps pour ne pas ce blesser. L'échauffement était une chose très importante avant de prendre un cour obligeant le corps à faire plusieurs fois les mêmes gestes. Les habitants motivé, suivaient tous mon allure, donnant tout mais sans trop forcé quand même. Je regardais alors le visage de ses hommes et adolescent devant moi, leurs regard commençaient à retrouver la lumière. Le fait de bouger, et de penser que l'on va apprendre enfin à nous défendre, doit donner à ses personnes une joie énorme. Moi et Huriko étions pour eux, des sortes d'envoyés de dieu venu les secourir. Alors que nous s'avions vous et moi, que nous n'étions que de simple genin. Mon partenaire ainsi que moi, n'avons jamais connu de guerre ou même un combat ou la mort était en jeu.

Alors voir avec qu'elle courage ses simples habitants d'un petit village, qui plus est vraiment rustique. Il ne trônait pas sous de riche couche d'or, n'y même de boutique flinguant la luxure. Plutôt un village mineur, avec comme seul commerce les habitants eux même. Petit marché, troc, commerce de contre bande, voila ce qui était en place ici. Bien loin de notre Kumo à nous, ou la paix, la joie de vivre, et surtout les richesses. Mais pour l'heure nous pouvions leurs donner un peu de richesse, notre savoir en tant que utilisateur du Taijutsu.

Je m'arrêtais progressivement de m'échauffer suivis par mon groupe. S'étirant un petit coup histoire de d'étendre leurs muscles plein de douleur. Ils n'étaient pas vraiment affûté pour combattre ne serait ce qu'une invocation de bas niveau.

" Hé bien, nous pouvons passer maintenant au prise en main du matériel. Disposez sur votre droite se trouve divers armes, trouvez celle qui vous convient le mieux. "

En m'écoutant et rapidement, mon groupes récupéraient leurs armes. Katana, Hojo, Bô, il y avait de tout. Il fallait pas faire d'eux des machines de compétition défiant toute concurrence. Non, il fallait juste faire en sorte que ses gens, puisse vivre en paix sans être tout les jours attaqué par des bandits ou des fauteurs de trouble. Toutes les personnes ici avaient le droit de vivre sereinement, paisiblement avec les enfants. Les combats s'étaient pour nous, les shinobis, née pour tuer, combattre, faire des guerres de territoire, faire couler du sang innocent. Pourtant, ma mission était de faire d'eux, des personnes capable de défendre leurs familles, à n'importe qu'elle prix.

" Mettez vous en ligne contre le mur face à moi. Formez des groupes de passage de cinqs personnes. Mouvement basique d'attaque avec vos armes. Je vous montre. "

Petit trac, devoir faire des gestes simple et assez lentement pour qu'ils puissent les reproduire après. Jambe droite en avant, bras gauche avec le katana au dessus de mon torse, frappe horizontal. Premier mouvement. Deuxième pas, jambe gauche, alignement largueur des épaules, coup verticale avec le katana. Deuxième mouvement. Troisième pas, je m'agenouille, jambes gauche genou au sol, jambe droite pliait en avant. Katana au dessus de la tête pour bloquer une offensive. Voila les trois mouvements de base que je montrais à mes disciple.

Les échauffements proposés par Huriko se passait parfaitement bien, tout le groupe de l’adolescent étaient concentrés. Le jeune garçon n’aurait pas pu rêver mieux, les habitants étaient tous attentif et cela faisait plaisir. Le genin avait pensé qu’il y aurait quelques personnes qu’ils se plaindraient de l'entraînement mais l’adolescent avait tord. Les habitants du village étaient tous solidaires pour apprendre à se défendre, ils en avaient assez des victimes d’attaques incessantes de bandits. C’était un petit village et avait donc du mal à vivre pleinement, car les attaques des bandits leurs privés de leur faibles richesses. Huriko était heureux d’être l’une des personnes qui allait permettre de faire changé les choses. Son rôle restait tout de même mineur, car s’étaient les villageois qu’ils faisaient les efforts nécessaires. Lors des échauffements, Huriko regardait se que faisait Eiko de son côté. Lui aussi avait d’abord privilégié les échauffements, se qui rassurait le jeune garçon. Pour l’instant Huriko se débrouillait plutôt bien en tant que professeur mais si qu’il faisait n’avait rien de compliqué. Maintenant que tout le monde avait les muscles bien échauffé, il était temps de passé au chose sérieuse. Huriko avait une idée en tête mais avait besoin d’un objet particulier. L’adolescent avait besoin d’un mannequin pouvant résisté au coup, comme ça Huriko pouvait enseigné sans crainte des techniques aux habitants. Les villageois pourront également s'exercer tour à tour, encore fallait-il avoir l’objet nécessaire. Le genin s’adressa à son groupe pour savoir si ils disposaient d’un mannequin en bois ou autres matières résistantes.

Par chance, il y en avait quelques uns dans la pièce d’à côté. Huriko en récupéra un et l’installa dans la pièce centrale. L’adolescent était donc prêt à leur enseigné des techniques pour se défendre contre les bandits. Le jeune espérait que les habitants du village ne s’en serviraient que par nécessité. Qu’ils ne se laisseront submergé par la haine et faire le mal à leurs tour. Huriko était tout de même confiant, il se basait uniquement sur le regard des personnes de son groupe. L’adolescent n’avait le moindre doute sur l’utilisation de son future enseignement. Son groupe respirait l’amour de son village et de ses habitants. Huriko regarda une nouvelle fois l’homme au bob, qui avait bien avancé dans son enseignement. Son groupe avait tous récupéré une arme et était prêt à apprendre les bases de la défense. Les deux genin s’étaient vraiment bien répartit les taches, un groupe allait apprendre la défense tandis que l’autre les bases offensifs. Huriko avait cependant prit un peu de retard et devait y remédié.

Ecoutez moi tous, je vais vous montré les bases sur le mannequin une fois pour l’instant. Essayez tous de suivre mes mouvements et vous le referez également sur le mannequin. Vous vous mettrez tous en ligne et je vous dirais si se que vous faites et bien ou pas. Je vais vous montrez les points vitaux du corps humain, j'espère que vous en ferez bon usage et l’utiliserez seulement pour vous défendre.

Huriko se mit face au mannequin en bois, il fit des gestes lentement pour que son groupe puisse suivre. L’adolescent commença par donné un coup au sommet du nez et enchaîna un coup dans la tempe et répéta se mouvement deux fois. Le jeune garçon se retourna pour voir si son groupe avait comprit, tous avait été attentif. Huriko reprit en donnant un coup à la base du nez, à la pomme d’adam et la carotide. Le genin répéta une nouvelle fois cet enchaînement une deuxième fois, pour que les habitants assimilent bien les coups à donné. Puis Huriko termina par frappé le coeur, le plexus solaire et un endroit où il n’était pas très fier, les bijoux famille. L’adolescent s’écarta du mannequin pour laissé place aux personnes de son groupe. Les villageois se mirent en ligne et allaient montré un par un à leur professeur les coups enseigné. Huriko allait ainsi leur dire si leur exécution était bonne ou pas.

Hrp:
Spoiler:

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