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 Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ]

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Tsukiyo K. Koémi
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Message(#) Sujet: Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ] Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ] EmptyJeu 6 Nov 2014 - 15:26

J'ai su plus tôt qu'il allait partir, ne demandais pas comment, je le sais c'est tout. J'aurais pu hurler, aller le supplier ou m'énerver et pourtant non, je suis trop idiote, amoureuse et respectueuse pour aller lui faire une scène. Non, je me contente alors de me préparer, de me parer d'une tenue confortable comme si je me préparer à partir en mission, j'ai sur le dos la tenue classique des Kumojin qui parte, mais pour ma par ma bataille va être toute autre. Avant qu'il ne disparaisse pour revenir je ne sais quand, si le fait, j'ai encore deux choses à faire : honorer ma parole et honorer ses entrainements, notre travail ensemble. C'est pourquoi j'ai déjà mon idée en tête, bien avant je suis allé m'excuser d'avance au propriétaire de l'immeuble et lui ai garantis que je payerai rubis sur l'ongle les réparations nécessaires à ce que je risque de déclencher.

"J'y vais, souhaitez-moi bonne chance."

Sayuri vient me prendre dans ces bras, j'ai le droit à une longue étreinte. Sayuri est la fille que j'ai hébergée, qui fut adoptée par mes parents à la mort de son père que je n'ai pas pu protéger pendant une de mes missions, celle de la culotte rose. Je n'ai pas encore demandé à ma mère, celle qui m'a adoptée si elle accepterait de l'adopter également et je le ferais une fois cette affaire réglée. Ainsi je l'attends devant son immeuble, il doit être bien surpris, quoique je suis déjà venue, mais pas dans une tenue décente.

"Alors, tu pars hein ? Non, je ne vais pas te retenir, mais j'ai trois choses à régler avec toi avant que tu ne quittes Kumo."

Je m'approche de lui, à distance raisonnable, pour ne pas l'étouffer.

"Premièrement, j'ai un gage de la part de Miae, comme je te connais tu approuveras sans problème la valeur de la parole donnée. La seconde tu comprendras bien assez tôt et en troisième j'espère que tu auras la décence de me dire au revoir convenablement une fois qu'on aura fini ?"

Je ne lui laisse pas trop le temps de réagir, je le tire violemment contre moi et lui vole un long et intense baisé, laissant nos deux corps coexisté avec douceur avant de le relâcher, de me retourner et de me mettre à exactement dix pas de lui. Je lui fais alors face.

"Shira Kosaku."

L'imposant no-dashi apparait alors, j'arrive à le tenir d'une main par le fourreau le temps de prendre une simple pièce, la place sur mon doigt et d'un coup du pouce la fait tourbillonner en l'air et me met en garde, main prête à dégainer l'imposante lame qui n'attend que mon mouvement pour s'abattre là où je le souhaiterai. Néanmoins je tiens l'arme de manière particulière, dans le but évident de frapper du plat de l'arme. Au moment où la pièce touche le sol... Le guerrier doit toujours être prêt n'est-ce pas ? Tu ne pensais pas t'en tirer sans un dernier affrontement amical n'est-ce pas ? Tu ne m'as pas entrainée tout ce temps pour ne pas voir mes progrès. Ainsi, l'action et des plus rapides, une charge suivie d'un coup.

"Ame no aibu !"

Une charge, l'effet augmenté par la vitesse, une frappe Iai après avoir concentré mon chakra d'affinité Suiton sur la lame, même s'il esquive le plat de mon arme, il ne le fera peut-être pas avec la lame d'eau qui va lui foncer dessus.
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Dentô Shiwoon
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Message(#) Sujet: Re: Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ] Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ] EmptyMer 12 Nov 2014 - 18:37

La liberté peut parfois avoir un goût amer dans certaines situations. Libre, il l’était enfin de nouveau. Libre d’aller où il voudrait, quand il voudrait comme il voudrait. Enfin libre de faire comme bon lui semblait. Après une aussi dure semaine dans les cachots du village, c’était non sans appréhension qu’on lui avait rendu sa liberté, comme quand on la lui avait retiré, par une entrevue avec le responsable et chef du village, j’ai nommé le tourmenté Karasu Tsumei. Ce qui fut dit durant cette entrevue post-pénitencier fut de toute sorte, mais on en retint une et unique chose dans le camp de chaque participant, la méfiance était désormais de rigueur.

Il ne mit pas longtemps dans le bureau de l’ombre de la foudre, et aussitôt sortit de ce dernier il prit la direction de l’hôpital du village pour de plus amples soins. Habitué de la baraque, il faillit faire s’évanouir la jeune docteur qui avait jusqu’ici toujours été en charge de ses soins lorsqu’il s’y rendait. De vilaines blessures pour lesquelles elle ne put s’empêcher de demander au garçon s’il était allé défier un ours, connaissant parfaitement le tempérament casse-cou de son patient. Ne voulant causer du souci à la bonne dame, Shiwoon ne trouva mieux que de sortir une excuse selon laquelle il était tombé d’un pont suspendu et avait dû faire face à des rapides. Une excuse qui lui valut de la compassion de la femme qui finit de s’occuper de ses légères blessures avant de finalement se tourner vers ce poing droit en piteux état. Une première séance de réhabilitation du membre plus que douloureuse, que le Dentô passa à hurler à en faire se réveiller un mort. Trois longues heures de souffrances qui ses soldaient par une main plâtrée, et un rendez-vous une semaine plus tard.

Question bandage, l’on peut supposer qu’il n’était point loin du record car il en avait vraiment énormément. Une vraie momie, ce qui ne l’empêchait pas d’être un peu reconnaissable. Mais têtu comme il était, il en défit certains pour ne conserver que le strict nécessaire, à la suite de quoi il se rendit à la bibliothèque du village, espérant croiser Sho, son ancien partenaire à qui il voulait parler. Néanmoins, ce fut un coup d’épée dans l’eau, car le shinobi ne s’y trouvait point. Le Dentô choisit alors de rentrer chez lui pour se reposer. Chose qui ne pourrait que lui faire du bien quand on revoyait sa semaine écoulée. Mais malheureusement pour lui, il lui faudrait revoir un peu son programme.

Après avoir marché un bon moment, il arriva devant chez le bâtiment où il réside, pour y découvrir une Koémi assez remontée dira-t-on. Ce ne furent pas à cet instant l’expression du visage de la demoiselle, mais ses paroles qui étonnèrent le ninja de la foudre. Elle était au courant de son désir de partir. Qui le lui avait dit ? Il ne le savait pas, néanmoins, les faits étaient là. Elle le savait, mais ne s’y opposait pas. Une chose qui surprit le garçon qui s’était déjà mis à se préparer à une longue conversation avec elle, l’imaginant d’ores et déjà opposée à cette idée. Il n’en était rien au final, elle respectait son choix et le disait à haute et intelligible voix, ne demandant que trois choses à l’adolescent alors qu’elle s’avançait vers lui. Ecoutant calmement de quoi il s’agissait, le regard tourné vers le sol, il ne vit venir les mains de la jeune fille qui, saisissant la chemise du garçon, l’entrainèrent au plus près d’elle, à la plus grande surprise de ce dernier, pour un échange des plus doux. Un baiser. Un long et intense moment, au cours duquel il crut rêver, et se laissa aller, jusqu’à ce qu’elle rompe le contact entre leurs lèvres. Un baiser avec une allure de bon retour, mais qui sonnait aussi comme un au revoir.

Amertume et mélancolie pouvaient se lire sur son visage après cela, alors que la jeune Koémi s’éloignait de lui et faisait apparaitre l’héritage de son frère, ainsi qu’une pièce de monnaie qu’elle lança instantanément dans les airs. Le Dentô comprit alors ce qui allait se produire par la suite, mais il n’était pas vraiment emballé par la chose en question. La combattre ici et maintenant ne serait pas facile pour lui, surtout dans son état. Il tenta de dire quelque chose, mais les mots ne purent sortir de sa bouche alors que la pièce retombait vers le sol. Le garçon restait encore une fois silencieux, les yeux fermés, mais essayait de se ressaisir. Ce fut alors que le tintement de la pièce sur le sol se fit entendre, ainsi que la charge rapide de la shinobi. Shiwoon ne bougea pas, alors qu’elle arrivait se ressassant intérieurement des moments importants. Le coup d’épée arrivait, mais il ne bougeait pas, laissant ses émotions s’écouler tel une rivière en lui, pour éveiller un feu qui répondrait avec honneur à la volonté de la Tsukiyo.
Tekkai
Ce fut au dernier moment qu’il ouvrit les yeux en prononçant ce mot, dans un déluge d’énergie. La lame de l’arme et l’épée d’eau s’écrasant sur leur cible sans toutefois l’atteindre, repoussée par le résultat de ses séances de méditation sous les verrous. Une onde de Raiton défensive l’entourait telle une seconde peau et avait stoppé les deux attaques. Il allait combattre. Même s’il lui manquait la résolution, il allait le faire. Bras droit indisponible, avec ou sans arme, il venait de se jurer de ne point perdre cet affrontement alors qu’avec la vitesse qui lui sied si bien il contournait à présent Koémi en s’éloignant. Il laissait aller ses sens et commençait son exercice de respiration, dissipant ce qu’on pouvait considérer comme son système de défense. Contrairement à d’habitude, il voulut jouer sur le mental de la jeune fille et dégagea une immense intension meurtrière à son égard alors qu’il se mettait enfin en garde.
Soit ! Voilà la dernière leçon !
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Tsukiyo K. Koémi
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Message(#) Sujet: Re: Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ] Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ] EmptyMer 12 Nov 2014 - 20:31

La dernière leçon hein ? Je ne sais pas ce que c'est et je n'en ai rien à faire, mais tes mouvements et la vision que j'ai dans l'instant me prouvent que ce combat n'a aucun sens. Je lui ai déjà montré ce que je suis maintenant capable de faire grâce à lui, mais surtout rien qu'à voir son bras droit je sais que cela ne sera pas un combat au plus fort de nos capacités. En plus de ça, il s'est laissé tremper, autant dire que maintenant toute attaque de raiton que je porterai serrait beaucoup plus dure à éviter. J'ai gagné la plus âpre des batailles, le combat mental contre moi-même, je refuse d'ignorer mes propres capacités et je refuse de douter. J'ai pris mon choix, je ne reviendrai pas dessus et son attitude me prouve que tous est mieux ainsi finalement, nous sommes trop jeunes, nous avons beaucoup d'aventures à vivre n'est-ce pas ?

"Ce n'est qu'un au revoir Shiwoon et la prochaine fois vient avec un bras en meilleur état."

Je me mets à rigoler bêtement, essayant de retenir cela par un pouffèrent la main devant la bouche absolument pas discret, respire un bon coup et pendant que j'y pense range mon arme, sort un petit ourson en peluche et le lui jette.

"C'est un lien entre nous deux, mais aussi une promesse. Pour le moment, cela ne me servira qu'à savoir dans quelle direction tu es, mais qui sait plus tard, je serais peut-être assez doué pour me retrouver à tes côtés en un instant. À ce moment-là peux être que nous ne serons plus faits l'un pour l'autre, mais tu n'en resteras pas moins le premier garçon à m'avoir acceptée telle que je suis, m'avoir fait grandir et évoluer. Tu as une place indélébile dans mon cœur, mais je ne peux pas te forcer à en prendre une plus importante contre ton gré."

Je m'approche alors de lui et viens lui prendre le bras à la fois gênée et souriante.

"À cause d'une demoiselle qui s'est laissée emporter, tu es tout trempé. Je vais te laisser te changer tranquillement, après on se séparera ou aura une conversation si tu le souhaites. C'est à toi de voir."

Avant de lui lâcher le bras en soufflant, pas contre lui, mais sur moi-même et me mettre une petite tape sur les joues comme pour me réveiller.

"Désolé, j'ai beaucoup de mal à contenir mes tendances à être très tactiles."

Je l'observe une nouvelle fois, avant de rire et dire sans trop réfléchir.

"Ils ont fini par te donner ta carte de fidélité à l'hôpital ? À croire que tu as était piétiné par tout un troupeau... Enfin peu importe, si tu veux je peux te faire un petit massage en tout bien tout honneur tu dois avoir le dos en compote et j'ai appris à m'occuper des malades avec ma tante."
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Dentô Shiwoon
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Message(#) Sujet: Re: Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ] Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ] EmptyLun 1 Déc 2014 - 13:59

Le regard, la pression, la tension et le sérieux. Il avait tout réunit pour faire honneur à son amie dans cet affrontement, prêt à aller jusqu’au bout malgré son état de santé. Un état de santé qui finalement fut l’origine d’une conclusion expéditive pour cette joute. Voilà Koémi qui rengainait sa lame et qui lui disait ces mots… "Ce n’est qu’un au revoir…" Une boule naissait dans sa poitrine alors que son regard redevenait vide comme à son arrivée. Un drôle de sentiment se voulait croissant en lui tandis que Koémi lui jetait une peluche dans les mains.

Une balise ? C’est ce que semblait être l’objet qu’il regardait d’un air grave. Plus il écoutait, plus des souvenirs remontaient. Revoyant la visite de Miaë et ce qui s’était dit. Encore une fois à la bourre. Il ne réalisait que maintenant le sens des paroles de la fille aux yeux de chats. De quoi lui ôter le sourire pour un moment, quand on sait ce qui a été dit. Heureusement pour lui que Koémi fut comme elle était, continuant à parler pour finalement s’avancer et le prendre par le bras souriante malgré tout.

Avant il aurait forcément tiqué pour cette action, mais bizarrement, il ne réagissait pas cette fois-ci. À écouter Koémi il était trempé, chose qu’il n’avait pas remarqué et dont il prenait conscience maintenant. Un léger sourire se dessina un instant avant de disparaitre de nouveau du visage du garçon lorsqu’elle s’excusa pour le geste... À croire qu’elle se souvenait encore ce geste qui avait fait réagir Shiwoon lors de leur première rencontre.
Que Ce soit toi qui tu me touches, ne me dérange pas vraiment…
Glissait-il presque à demi-voix alors qu’il allait sonner chez la gérante de l’immeuble tandis que Koémi se moquait amicalement de lui et de sa tendance à se blesser. Lorsque la dame ouvrit il lui tendit les clés de son appartement et lui disant merci. La bonne femme qui rentrait chez elle et qui revenait rapidement avec une serviette pour le garçon en lui disant de passer de temps en temps à la maison. Encore un sourire et le voilà qui se retournait vers Koémi, la serviette autour du cou.
Allons-y avant que j’attrape froid.
Guidant la demoiselle Shiwoon prit les devants. Ne marchant ni trop vite, ni trop lentement, un peu occupé par une réflexion des plus inquiétante. Il ne fallait pas trop de temps avant d’entrer dans le quartier des Dentô. Une zone résidentielle un peu particulière, surtout à cette heure-ci de la journée où les jeunes s’entrainent. On pouvait voir des sphères lumineuses de la taille d’un pouce humain voler à tout va dans la zone alors qu’ils avançaient, jusqu’à une grande concession. Se retournant vers Koémi, il esquissa un léger sourire avant d’entrer, marchant comme si de rien était, alors qu’à chaque pas qui le rapprochait de la maison, un souvenir remontait. Il avait vécu ici jadis, avec sa famille, et jusqu’à peu dernièrement il n’y était plus revenu.

Ouvrant la porte, il invita poliment la jeune Koémi à entrer alors qu’il descendait d’une petite étagère des chaussons d’intérieur pour elle. Lui pour sa part avait toujours aimé ressentir le bois des planches qui constituait le sol directement sous ses pieds. Quittant le vestibule en compagnie de son invité, Shiwoon reprit parole pour la première fois depuis qu’ils s’étaient mis en marche.
C’est ici que j’ai grandi, dans cette belle maison qu’avaient construits mes parents pour mon frère et moi ! Même si au final, je n’aurai vécu ici qu’un temps avec mon père.
Cette fois-ci, par de rictus ou de mine triste, son visage restait de marbre. Rien ne semblait l’atteindre, comme s’il était ailleurs. Et pour cause, il sondait la maison actuellement, essayant de déterminer à qui était la présence qu’il ressentait. Il n’eut pas à continuer longtemps car voilà qu’une porte sur sa droite s’ouvrit juste avant qu’il ne la traverse et d’où en sortit Riza avec Oz dans ses bras.

Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ] Fma31r10

Un rictus d’énervement naquit chez le Dentô à sa vue, et voilà Shiwoon qui prenait la main de Koémi et qui accélérait pour s’éloigner. Ils prirent l’escalier et arrivèrent entrèrent dans la chambre qu’occupait autrefois les parents Shiwoon dans cette maison.
Avec la folle qui me sert de cousine présente, je ne peux pas vraiment te laisser au salon… Qui sait ce que ses mains baladeuses feraient…
Un léger frisson parcouru le corps du Dentô qui s’avançait vers la salle d’eau.
Je t’en prie installe-toi à ton aise pendant que je prends un bain!... Et si la proposition tient toujours, j’aimerai bien essayer le massage dont tu as parlé tout à l’heure !
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Tsukiyo K. Koémi
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Message(#) Sujet: Re: Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ] Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ] EmptyLun 1 Déc 2014 - 16:40

Ainsi on avançait, le combat était définitivement caduc tout comme cette technique d'ailleurs je vois bien qu'elle est inutilisable en combat. Bref, j'ai lâché son bras et c'est alors qu'il dit à voix basse que si c'est moi alors ce n'est pas un problème... Si j'étais puéril, enfin plus que normalement je lui sauterais au cou directement, mais je dois tenir. Tenir quoi ? J'ai promis de lui laisser un minimum de distance tan qu'il n'aura pas pris sa décision, et ce même si au fond de moi je meurs d'envie de lui sauter au cou et de l'embrasser si fort qu'il en serait tout bleu, une vraie soupe de langue... Enfin, ça c'est ce que je pense, en réalité un doux baisé pour une première fois ça serait déjà assez bien avant que je me retire toute gênée, bref tout cela pour dire qu'entre l'esprit et le réel il y a tout un gouffre.

Pour le coup, je dois rester à une distance raisonnable de lui, déjà que je vais le masser s'il accepte je pense que j'ai largement dépassé le quota de contact physique dans ce genre de situation ou plutôt je vais le faire. Je le suis alors, l'écoute et regarde l'endroit qui l'a vu grandir, s'épanouir aussi en quelques sortes. C'est un peu pénétrer une nouvelle fois dans son jardin en quelques sortes, d'abord son appartement, maintenant l'endroit où il a vécu petit. J'imagine que je ne suis pas la seule à avoir perdu des êtres chers, la différence c'est que moi cela c'est concentrer sur ce dernier moi et ce n'est pas un sujet que je souhaite trop aborder dans l'immédiat.

C'est alors que l'on croise sa cousine, au premier abord je ne vois rien de choquant en elle une rencontre banale et j'étais sur le point de me présenter dans les règles avant que la fusée Shiwoon ne me tire de ce lieu comme un éclair ne me laissant faire qu'un début de révérence et commencer à formuler une phrase :

"Bonjour, je suis Tsukiyo [Se fait tirer] Enchanté ! [Avant d'être hors de vu]."

Vu qu'il semble énervé, il est bien évident qu'il vaut mieux que je lui dise pourquoi je suis avec les joues rouges quand enfin on est arrivé. J'imagine que sa main a ma fesse avec un petit tirage de langue n'était là que pour me décrisper à moins qu'elle me montre à sa manière qu'elle m'accepte comme je suis ? La troisième possibilité n'est pas forcement la plus désagréable, mais j'ai déjà un potentiel petit ami... Il va juste lui falloir un peu de temps pour réfléchir.

Alors qu'il me dit avec un frisson dans le dos qu'il a peur des répercussions d'une présence trop prolongée de ma peau trop proches de l'allonge de la demoiselle, j'ai un petit rire prête à le charrier pour le détendre.

"C'est quoi qui te fait le plus peur, que je ne sache pas m'en défendre ou que je la laisse faire ?"

Évidemment cela est bien souligner d'un petit rire qui montre que cela n'est pas à prendre au sérieux, il réagit puis vient le sujet du massage, je sors d'une poche un parchemin et descelle deux flacons et prends un autre rouleau.

"Il vaut mieux l'avoir et ne pas s'en, que l'inverse."

Je dis cela presque comme pour me justifier, j'ai donc de l'huile de massage, un décontractant musculaire à base de plantes et un rouleau qui pour un non initier ressemble à des séries de signes dignes d'un enfant de maternelle, en vrai ce sont des rappels sous forme d'un langage en forme de signe écrit avec à peu près autant de soin que les notes d'un médecin et ce n'est pas un compliment. Ainsi il se lave, de mon côté je retire une bonne couche de vêtement et me change de sorte à me retrouvant en brassière et mini short. Je ne sais pas s'il a prévu des choses et il y a peu de chance que ce soit le cas puisque je suis tombée à l'improviste, une fois tout propre je le fais s'installer sur le lit sans trop lui demander son avis et sur des linges pour ne pas massacrer ses draps, d'abord sur le ventre et dans la tenue qu'il aura choisi de mettre c'est-à-dire juste haut enlever, sous vêtement ou serviette cachant sa dignité. Une fois fait je m'installe à califourchon au-dessus de lui...

Quoi ?! Ce n'est pas une table de massage c'est un lit, je ne vais pas me tuer le dos à essayer de l'atteindre sur le côté quand même ? Donc, tout naturellement à califourchon, je commence par le décontractant musculaire... Enfin oui et non avant je m'assure d'une chose.

"Si tu as une allergie ou que tu es déjà sous l'effet d'un médicament ou autre il vaudrait mieux me le dire, pour m'assurer de ne pas te blesser davantage je vais commencer par m'occuper d'éventuel muscle endolori."

Si tout est bon, je commence d'abord par un massage classique avec le produit à base d'herbe médicinal si besoin, suivie d'un plus vigoureux pour ensuite finir sur un plus... Sensuel avec l'huile. Attention, ne me faites ne pas penser ce qui ne l'est pas, je ne vais pas me coller à lui comme une fille de petite vertu et me frotter comme une chatte en chaleur hein ? Sensuel, doux, pas érotique. Enfin je suis à peu près sûre qu'il y a une énorme différence et en tout cas je ne franchirai aucune zone rouge j'ai préparé mon coup et j'ai étudié certains documents pour éviter toute zone et posture tendancieuse... Oui bon sauf le fait que je suis à cheval sur lui, mais il est bien assez grand pour savoir que j'y peux rien là. Une fois le dos fait, je me permets de faire de même en l'installant sur le dos et m'assurant qu'il puisse se détendre, il est peut-être du genre à s'endormir quand il est massé c'est ni très rare, ni vexant au contraire ça voudrait dire qu'il est si bien et me fait tellement confiance qu'il peux dormir.

Une fois que j'ai fini de m'occuper de lui, je finis de retirer le surplus d'huile avec un mouchoir en tissus et après un petit rire vient lui voler un bisou sur la joue en glissant à son oreille.

"Je viens de dérober mon salaire."

Puis plus sérieusement en posant les flacons sur la table de chevet.

"Au vu des circonstances, j'étais sûre que tu serais un peu tendu, mais pas à ce point quand même. Si tu as un poids sur le cœur on peut en parler, si au contraire, tu as besoin de te recueillir seul pour méditer là-dessus, je peux te laisser aussi."

Pour le moment je reste dans ma position privilégier, si proche de lui et peau contre peau et en plus cette douce odeur d'huile essentielle... Évidemment s'il m'indique ou semble vouloir que je me retire je le ferai immédiatement, après tout j'ai la vague impression que nous avons à discuter.
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Message(#) Sujet: Re: Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ] Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ] EmptyJeu 29 Jan 2015 - 0:31

Apparemment la perspective d’un petit moment en tête à tête avec Riza donnait des idées comiques à la demoiselle qui taquina l’étoile.Préférant feindra ne pas avoir compris où elle voulait en venir il se contenta de la regarder en faisant les yeux ronds, avant de se diriger vers la salle d’eau en disant :
Et dire que c'est censé être moi le perturbé...
Un bon bain, alala, en voilà un plaisir que n’avait plus connu Shiwoon depuis bien longtemps. La vue de la salle de bain le rendit gaga un moment, avant qu’il ne s’immerge dans le liquide chaud. Un coup de savonnette sur le corps histoire de bien se mousser, des frottements ici et là, et il se laissait pleinement aller dans le liquide. Ses yeux se fermaient lentement tandis que les ondulations de l’eau qui touchaient ses lobes auditifs lui produisaient un son très relaxant. Il s’immergea totalement, se concentrant sur lui-même. De petites bulles se formaient autour de son corps, il était donc bien sur la bonne voie. Il était bien, et se serait surement endormi ainsi s’il eut été seul à cet instant. Faire attendre une demoiselle ne se faisait pas, et il en était conscient. Aussi sortit-il de son bain avant de prendre son temps pour bien se sécher. Enfilant son bermuda puis son short, il s’arrêta un instant devant le miroir.
Et bah mon vieux… t’as une sale tête toi.
Se glissant dans le peignoir il sortit enfin pour aller rejoindre la belle qu’il trouva dans une tenue des plus… des plus….pratique pour un massage dira-t-on. Une image qui lui souleva un sourire niais un peu moqueur. Tournant légèrement la tête, il vit que lit avait même été préparé. Il retira le peignoir un peu gêné de montrer les cicatrices de son escapade carcérale. S’installant lentement pour ménager ses blessures il put sentir le poids de la jeune fille sur lui. Instant particulier où il voulut lancer une connerie mais il préféra la garder pour lui. Il ne savait vraiment ce qu’elle pensait elle de son choix de partir, si elle lui en voulait ou pas, alors le mieux c’était de ne pas la contrarier…
Non ça va, je n’ai pas ce genre de soucis !
Fermant ses yeux il se délaisse au soin de sa masseuse du jour, sentant ses mains aller doucement puis plus vigoureusement à mesure que le temps passe. Loin d’être déplaisante, cette sensation peu à peu tend à le faire partir, alors qu’il a enfin droit à un certain silence de la part de ses muscles endoloris. Le long râle muet qu’ils produisaient s’atténue progressivement, ce qui lui extirpe une mine plus détendue, plus habituelle.

Il est déjà loin lorsque la Tsukiyo le fait s’allonger cette fois-ci sur le dos avant de reprendre pour achever son ouvrage. C’est à peine s’il ne se laisse pas embarquer dans un de ces longs sommeils comateux pour lesquels sont doués les personnes fraichement sorties de l’hôpital. Il somnole, s’endort totalement lorsqu’une sensation assez familière lui provient de sa joue. Ouvrant alors les yeux, il ne comprend pas vraiment ce que sous-entend Koémi à cet instant, et se contente de la regarder s’installer près de lui, alors qu’elle lui dit ces paroles.

Hésitant dans un premier temps, il chercha à l’aveugle le contact de sa main, alors que le petit sourire qu’il arborait laissait place à une mine plus sérieuse. Il se demandait à cet instant s’il faisait le bon choix en décidant de lui avouer certaines choses. Prenant une grand inspiration, il rapprocha son visage de celui de la jeune fille. Lorsqu'enfin il sentit le contact de cette dernière sur sa joue il choisit de s’élancer.
Tu dois surement me détester actuellement... Mais à toi je souhaite au moins dire les choses telles qu'elles sont pour moi... Ma mère... Il se pourrait qu'elle soit en vie d'après les dires d'une personne que j'ai croisé dernièrement. Cette même personne qui a prétendu être mon frère... Maitre Raikage est resté sourd à ma supplique pour obtenir des réponses... je n'ai d'autres choix que d'aller les chercher moi-même...
Il se racla discrètement le fond de la gorge pour se donner l'élan pour poursuivre, alors qu'on pouvait déceler l'hésitation et le doute en lui, qui dansaient sur un rythme endiablé.
Ce que je te dis là, je ne le dis pas pour me justifier ou quoi que ce soit... Enfin, je ne voulais pas partir comme un voleur... Surtout... Enfin....
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Message(#) Sujet: Re: Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ] Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ] EmptySam 31 Jan 2015 - 17:49

Tel un roi sur son trône qui peut avant a fait une réflexion qui m'a forcé à un petit rire avant sa douche, il a donc le droit à un long massage. Suffisamment long pour avoir un moment privilégié avec lui, surtout pour me rendre compte qu'il est bien plus tendu qu'il le devrait d'où ma question qui est ensuite venue de manière plus ou moins innocente. Je sais qu'il va répondre, c'est dans sa nature et si je l'aime ce n'est pas pour rien, tout comme je ne suis pas surprise quand j'entends la raison de son départ... Un petit soupire attendrit en venant lui caresser la joue, je ne vais pas dire que c'est trop mignon, je pourrais le vexer, mais je sais que dans les mêmes circonstances, j'aurais peut-être agi de la même manière.

"Personne ne pourra le faire à ta place."

Cela sonne comme une évidence, c'est même inutile en un sens, le plus important est le regard qui lui est porté, doux, tendre, ce n'est pas l'air d'une furie qui veut le punir, mais celui d'une jeune demoiselle follement amoureuse, qui a un pincement au cœur en pensant au revoir à venir. Tu ne te justifies pas, non le simple fait de me dire cela prouve que tu as le cœur d'un roi, qui pense aux autres avec lui-même même si parfois, il n'ose pas se l'avouer.

"J'espère que tu la retrouveras."

Je suis sincère, il mérite d'avoir de bonnes nouvelles et ce n'est parce que j'en ai eu beaucoup de mauvaises que je dois tomber dans un pessimisme abrasif, bien que j'ai commencé à le faire dernièrement peut-être. Je m'allonge à côté de lui, toujours en brassière et minishort et l'observe un instant. J'ai promis de lui laisser tout l'espace dont il souhaite bénéficier et c'est typiquement le genre de moment où je m'en mords les doigts.

"Puis-je oser espérer un câlin avant de te dire au revoir ?"

J'ai beau dire cela avec le sourire, s'il refuse je vais certainement bouder un peu quand même, une fois ce moment privilégié, avec ou sans étreinte, je reprends mes affaires et vais dans la salle de bains me changer... Les au revoir sont typiquement des moments à ne pas faire tirer sur la longueur.

"J'espère que tu ne m'oublieras pas pendant ta longue épopée, au revoir mon roi sur la montagne qu'est son cœur. Moi je ne t'oublierai pas."

Mais je ne promets pas de t'attendre éternellement non plus, je t'interdis d'aller mourir anonymement ailleurs, je veux te sentir une nouvelle fois contre moi dans un avenir proche, mais je n'ose pas trop espérer que ça arrive. Je pars alors, sauf s'il me retient.
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Message(#) Sujet: Re: Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ] Chéri, il faut qu'on parle. [PV : Le Roi ] EmptyLun 16 Fév 2015 - 14:27

Tout comme à son habitude, elle se montrait douce et compréhensible avec lui. Un geste qui lui fit un grand bien car cela lui permettait enfin de relâcher la pression et de pouvoir essayer de se laisser aller. C’était surement l’un de ses derniers moments proches avec elle, et il n’avait qu’une envie, la serrer dans ses bras longuement. Se refreinant il ferma les yeux pour l’écouter poursuivre. Les vœux de réussite qu’elle formulait lui soulevèrent un sourire alors que ses yeux se posèrent sur elle un instant avant de regarder de nouveau le plafond de la chambre.
Merci Koémi !
Il était toujours assez pensif et ne remarqua pas vraiment lorsque la demoiselle s’allongea à côté de lui. Il était déjà loin lorsque la demande qui lui parvint aux oreilles le ramena à la réalité. Il se souvenait de leur première rencontre à cet instant, ce qui le fit encore sourire, alors que lentement de son bras droit il ramenait la demoiselle contre lui. Rapprochant sa tête de la sienne, il colla sa joue à son front, sentant son souffle sur sa poitrine. Sa main se mit alors à couvrir les cheveux de la demoiselle de caresse tandis qu’il lançait un peu gêné.
Comme…ceci ?
Ses yeux se fermèrent alors que ce petit instant à part passait. Le massage fut si bien qu’il se serait presque endormi dans cette situation, si ce n’était pas qu’elle s’était levée pour aller à la salle d’eau. Il en profita pour enfiler quelques vêtements en attendant son retour. Sortant alors que je finissais de me chausser, je pouvais voir une mine souriante sur son visage alors que je sentais un certain malaise dans ses propos. Enfilant enfin à la suite d’un long combat ces chaussures, je me dirigeais vers la belle dont je saisis la main, tout souriant, alors que je lui glissais :
Garde ce passage pour plus tard. J’ai un truc à te montrer d’abord ma belle !
Poussant légèrement le rideau, il put constater que le soleil commençait à décliner. Mine de rien beaucoup de temps s’était écoulé depuis leur arrivée à la maison. Ils devraient se dépêcher pour ne pas manquer le défilé nocturne. Refaisant le même chemin qu’à leur arrivée, mais en sens contraire, il s’arrangea à ne pas croiser une nouvelle fois Riza. Une fois dehors, ils s’enfoncèrent un peu plus à l’intérieur du village, assez proche du palais du Kage. Le jardin intérieur d’Arborea, un des lieux cachés du village, un espace vert dans lequel le clan Dentô couronnait ses représentants et élisait ses dirigeants.

Avec le vieux Sazakomine encore en poste, il n’y avait aucun risque de se faire déranger. Et ça tombait bien car le bruit n’était pas recommander pour ce qu’il voulait lui montrer. On pouvait déjà l’apercevoir ce petit jardin, et surtout le petit lac autour duquel il était formé, le lac Arun. Il était un peu en avance mais bon, ce n’était pas grave. Le commencement était la partie la plus belle.
C’est ici que je viens lorsque j’ai le cafard. On se trouve actuellement derrière la montagne du palais. Tu vas voir un truc un truc assez spécial.
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