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 Une vie qui s'éteint, une histoire troublée [Hyûga Sayuri]

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Message(#) Sujet: Une vie qui s'éteint, une histoire troublée [Hyûga Sayuri] Une vie qui s'éteint, une histoire troublée [Hyûga Sayuri] EmptyMer 17 Déc 2014 - 14:47

Deux ans plus tôt.

Cette époque fut une époque sombre dans ma famille. Ma mère Aya avait une maladie rare. Celle dont l'on sait d'avance incurable et donnant la mort. Personne ne peut dire exactement quand, mais nous savons tousses que cela va arriver. Mon quotidien ne change, pas mon père a son idée bien à lui de l'éducation, une maitrise stricte un entrainement rude. Je le supportais comme je le pouvais, j'étais fort mentalement du moins c'est ce que je me disais pour tenir. À la suite du temps ses idées furent les miennes l'éducation joue beaucoup de rôles dans la vie d'une personne et je n'en fais pas la différence. Devenir fort. Faire du clan Hyuga un clan restant à la hauteur de ses pupilles. Devenir un homme indispensable pour le village et faire honneur au clan. Rare fut les moments où je suis partit voir ma mère à son chevet. Personnellement je trouve que mourir d'une maladie est un déshonneur pour un combattant. Je ne peux concevoir une telle chose. Je me dis aussi que tant que je reste éloigné ma mère m'attendant ne pourrais mourir sans me dire un dernier mot. L'indifférence est ma manière de la protéger. Du moins c'est ce que je me forçais à penser. Cependant un jour plusieurs médecins courent vers ça chambre. Étonné, je m'avance vers la chambre tout en regardant à travers la porte. De là, je vois le regard de ma mère me fixer et le médecin dire:

Il ne vous reste plus très longtemps. Une heure ou deux. Je suis navré. Vous voulez que j'appelle quelqu'un?

Mes yeux s'ouvrent d'étonnement se simple regard est t'elle la raison de ça mort. Je sais que cela n'est guère possible et pourtant je me sens coupable tout de même. Je la regarde puis avance. Ma mère souriante se met à me parler:

Yu. Qu'elle beau garçon tu fais afk afk.

Mère, Tenez bon, Konoha trouvera un remède il suffit que vous vous bâtiez le temps qu'on le trouve.

Non mon enfant c'est la fin. Tu sais Yu. Je sais au fond de toi que t'est un gentil garçon. Tu endures tant la rudesse de ton père.

C'est... c'est ce qu'un Ninja se doit de faire je ne fait que suivre la voit du Ninja.

Afk afk.. Oui, dit mon petit Yu. J'ai une chose à te demander. Afk afk.

Oui mère.


Protéger ta sœur. Quand je ne serais plus là je ne pourrais plus l'entraîner et votre père voudra automatiquement prendre la relève. Afk afk elle... Elle ne le supportera pas. Protéger ta sœur. Afk Afk ton père n'est pas méchant, il, il est simplement aveugle et ne voit pas le mal qu'il fait


Je.. je refuse. Sayuki est trop faible elle doit se renforcer..... Elle.... elle... elle doit devenir forte pour honorer le clan Hyuga.

Afk, t'est un gentil garçon Yu je t'en supplie aide là à supporter cette épreuve.

Je ne savais que répondre pourtant un bruit dans le couloir se fit entendre. Une personne entre et dit.

Madama. Votre fille arrive elle est au courant de votre état

Je regarde l'homme puis regarde ma mère. Pui d'un coup quittant la pièce par une autre porte afin d'éviter ma sœur, je pars sans répondre à ça réponse. Ma mère veut que je la protège, pourquoi je ferais ça? Pour les liens du sang? Les liens du sang mérite d'être honoré et pour cela nous devions devenir puissant. Courant pour m'éloigner de la maison familiale les larmes sur mon visage. J'étais troublé quoi faire? Je ne sais plus.

Deux jours s'en suis et voilà l'enterrement de notre chère mère. De la je comprends que se sera la dernière fois où nous serons tous les quatre réunis et pourtant derrière nous tout le clan Hyuga fut réunis. Je suis triste mais ne versais aucune larme. Gardant les préceptes ninjas en vue je reste là sans bouger. Un regard vers Sayuri. Je la vois pleurer à chaude larme. Je baisse les yeux puis lui adresse ses quelques mots:

Mère ne voudrait pas te voir comme ça. Arrête donc de pleurer.

Je serré du poing. J'étais furieux que le sort m'est enlevé ma mère d'une telle façon s'en était tellement indigne. Mon père nous regarde puis sans un mot s'éloigne. Je m'avance vers là tombe puis posant ma main sur le drap cachant le corps de la défunte, prenant d'une voix à peine perceptible je me mets à dire:

Je respecterais tes dernières paroles, mais à ma manière.

Quittant les lieux sans un regarde sur quiconque. Plus loin les larmes coulèrent de mes yeux. Les effaçant, je sais que l'entrainement de mon père va bientôt débuter et cela malgré que se soit un jour de doléance mon père n'en fera pas une exception. Me changeant prenant, mon Kimono blanc avec toujours le même symbole sur le dos je m'avance vers le terrain d'entrainement. Mon père m'attend comme je l'ai deviné. Plus loin les larmes coulèrent de mes yeux. J'use de toutes mes forces dans ce combat et ce dernier fini je fus mis à terre. Comme dans ses habitudes il ne me lésine pas. Fatigué, je me relève, puis commence à placer des mots. Une chose dont je n'ai jamais fait auparavant et qui étonne mon père:

Père. Je m'interroge pour la suite. Que comptez-vous faire pour l'entrainement de Sayuri?

Sayuri suivra nos entrainements des demain.

Je.....

Oui?

Je refuse.


De là un silence fut placé pas un bruit pas un mot . Après une dizaine de secondes mon père me répond:

Tu n'es pas amené à décider. J'ai décidé que cela se passera ainsi et c'est ce qui se fera. Toi comme Sayuri devront honorer le clan Hyuga et devenir de puissant ninja.

Si c'est ainsi, je ne m'entraînerai plus. Vous pouvez décider de nos actes père, mais sans volonté de ma part vous n'aurez aucun résultat. C'est bien une chose dont vous m'aviez appris ? Je ne souhaite pas que vous perdiez votre temps à apprendre à ma sœur des rudiments au péril de délaisser mon entrainement. J'ai fais mon choix. Si vous m'entraînez seul je m'entraînerai pour deux. Sinon vous aurez deux élèves n'ayant aucune volonté.

Me mettant à genou, je me mets à dire d'une voix plus forte:

Père.

Soit. Sayuri n'aura pas mon entrainement. Cependant si je vois que tu te lésine-t-elle devra prendre les entrainement avec nous.

Compris.

Ma promesse était en partit tenus. Mon père n'entrainera donc pas ma sœur et elle ne subira pas les difficultés que cela représente. Cependant cela ne suffit pas. C'est donc une semaine après que je me mets à avancer vers la sale d'entrainement de ma sœur. De la j'ouvre la porte et la vois s'entraîner seul. Je la regarde puis avance vers elle.
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Message(#) Sujet: Re: Une vie qui s'éteint, une histoire troublée [Hyûga Sayuri] Une vie qui s'éteint, une histoire troublée [Hyûga Sayuri] EmptyMer 17 Déc 2014 - 16:32

Une année bien sombre pour la famille Hyûga en particulier pour Sayuri et Yu, leur mère allait vivre ses derniers instants et cela à cause du maladie incurable. C'était difficile d'imaginer ce genre de choses surtout pour Sayuri qui n'avait qu'Aya dans son coeur et pour s'occuper d'elle. Impossible de la soigner même par le meilleur médecin de Konoha, il n'y avait aucun traitement ni même de remède pour lui porter secours. La seule chose qu'elle prenait, c'était des médicaments contre la douleur et la fièvre afin d'avoir un plus beau visage. La jeune albinos allait souvent voir sa maman afin d'avoir de ses nouvelles et elle avait demandé à des personnes la surveillant de lui tenir au courant de l'état de santé. Malheureusement, c'est à la dix-septième année de la jeune adolescente qu'un drame se passa dans sa vie, cet événement allait énormément la changer ou tout du moins, sa vie en tant qu'Hyûga. Déjà que son père était du genre très strict sur sa vision de voir les ninjas et surtout ceux de son clan. Son frère suivait un peu après le même chemin et personne n'allait être là pour la défendre contre son père. Sayu allait souffrir avec l'éducation de son paternel et il devait surement attendre ce genre de moment pour faire subir ses entraînements à sa fille. En tout cas, le malheur avait vraiment frappé la jeune fille et impossible pour elle d'encaisser ce genre de nouvelle.

Un jour, Sayuri a été mis au courant de l'état de santé de sa mère qui était au plus bas et c'était vraiment très grave. La jeune Kunoichi revenait d'une mission de routine et elle n'avait pas eu le temps de se changer qu'elle n'hésita pas à aller directement voir sa mère. La peur envahit alors la jeune kunoichi, un mauvais pressentiment rongea le coeur de l'adolescente et surtout à cause de la maladie d'Aya. En entrant de la chambre, elle ne prit même pas le temps de savoir qui venait juste de quitter la salle depuis l'autre porte et se jeta vers sa mère. La Hyûga lui tint alors la main et la regarda droit dans les yeux. Aya fit alors signe aux autres de sortir de la salle quelques instants pour être seule avec sa fille chérie. La femme savait très bien qu'elle devait se montrer correct dans ce qu'elle allait dire à son enfant, ça sera plus délicat qu'avec Yu. Après tout, Sayuri a toujours été avec elle, la malade lui avait appris tout ce qu'elle savait, son éducation, sa vision de sa vie, se battre et encore plein d'autres choses. Maintenant, il était temps de lui annoncer la mauvaise nouvelle et ça, la femme savait que cela allait détruire moralement Sayu pendant un moment. Aya s'adressa à Sayu avec le sourire et toussant de temps à autres.

« Bonjour, ma petite Sayuri. Apparemment, tu as appris pour ma santé...»

« Okasan ! Tenez bon, je resterais à vos côtés et...»

Lui coupant la parole, Aya ne voulait pas qu'elle ait de faux espoirs. « Ma petite fille, maman va bientôt rejoindre nos ancêtres et partir dans un autre monde. Saches que je serais toujours présente dans ton coeur et je te surveillerai depuis le Paradis. J'aurais tellement aimé rester plus longtemps et t'épauler dans ta vie de ninja, pardon Sayuri-chan. »

Des larmes coulèrent sur les joues de la kunoichi, elle avait compris que sa mère allait mourir dans peu de temps et cela lui faisait mal au coeur. « Maman....Ce n'est pas de ta faute...Je t'aime tellement ! Que vais-je devenir sans toi ? Tu es tout pour moi ! »

La main d'Aya caressa le visage de Sayuri en pleurant légèrement à cause de la tristesse de son enfant. « Je t'aime aussi Sayuri, tu ne seras jamais seule. Promets-moi, de toujours croquer la vie à pleine dent, de t'entraîner comme tu le fais toujours, en te surpassant. Et surtout, fais-toi des amis, tu mérites d'être entouré d'amitiés et d'amour. Je serais toujours dans ton coeur et soit forte, pour maman. »

Son état de santé s'aggrave encore plus et Sayuri sortit de la chambre après avoir accepté sa demande, mais cela l'empêchait pas de partir dans sa chambre en pleurant chaudement. Aya mourut deux heures plus tard de sa maladie et l'enterrement se passa deux jours après son décès. Tout le clan Hyûga et les amis d'Aya étaient présents à la cérémonie de son enterrement. À côté de son frère jumeau, Sayu ne pouvait pas s'empêcher de pleurer toutes les larmes de son corps, son père ne disait rien et il restait calme comme dans ses habitudes. Yu demanda à sa soeur de ne plus pleurer, car leur mère n'aurait pas voulu la voir ainsi. Il avait raison, Aya aimait tellement la voir avec un sourire, car elle était si belle en souriant. Vers la fin de l'enterrement, Sayuri alla devant la tombe de sa maman et d'une voix faible, elle dit ses dernières paroles tout en déposant une rose dessus.

« Oka...Okasan...Je, je te promets...de respecter ta demande. Rep...Repose en paix...Je t'aime ! »

Retournant à sa demeure, Sayuri fut accompagné par une kunoichi du clan et elle se faisait alors consoler par cette dernière. Un jour sombre et remplit de tristesse, mais Sayu ne devait pas tout plaquer comme ça et elle devait se relever rapidement pour aller de l'avant. Sa mère aurait voulu la voir ainsi et non à déprimer pendant des semaines dans sa chambre. Elle lui avait promis d'être plus forte, joyeuse et se faire des amis malgré les obstacles de la vie. Une semaine plus tard, après avoir repris des forces et être déterminé à surpasser cette souffrance. Sayuri se trouva dans son dojo en train de s'entraîner seule à perfectionner son Jyuuken et elle y mettait beaucoup de motivation dans son entraînement. Soudain, la porte s'ouvrit, cela perturba légèrement la kunoichi et encore plus quand elle aperçut son frère jumeau, Yu. C'était bien la première fois qu'il venait dans cet endroit, qu'est-ce qu'il voulait à Sayuri ? Difficile de le savoir et elle n'avait plus eu de nouvelle de lui depuis l'enterrement de leur mère. La jeune genin stoppa ce qu'elle faisait et se tourna vers sa direction. Elle avait mis un kimono blanc et elle porte sa chose servant de chapeau, faut dire que combattre avec ce genre de monstre sur la tête, ça demandait beaucoup d'efforts physiques.

« Onii-sama...Qu'est-ce qui me fait l'honneur de votre présence en ces lieux ? C'est bien la première fois que je vous vois ici, Onii-sama. Avez-vous besoin de quelque chose ? »

Comme dans ses habitudes, Sayuri se montrait très poli envers son frère et respectueuse, après tout, il était plus fort qu'elle et il avait tout pour être l'héritier du clan. En tout cas, sa présence était étrange.

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Message(#) Sujet: Re: Une vie qui s'éteint, une histoire troublée [Hyûga Sayuri] Une vie qui s'éteint, une histoire troublée [Hyûga Sayuri] EmptyJeu 18 Déc 2014 - 13:59

Me voilà face à ma sœur. Cela faisait bien un moment que je ne l'ai guère vu. À vrai dire depuis l'enterrement de notre mère. Je la regarde s'entraîner seul. Une semaine a passé et père n'a semble-t-il pas dit un mot à ma sœur. Cela est bien ainsi, mais je dois m'en assurer. Je la regarde puis dit:

Le clan veut qu'on soit parfait en tout point. Enfin père le vœu. Le vouvoiement est ainsi aussi de rigueur même dans notre famille. Cependant, je trouve cette banalité tellement exaspérant. Dis-moi petite sœur. J'aimerais que l'on se tutoie quand nous sommes seuls. Non pas pour une quelconque raison. Simplement pour prouver que certaines règles peuvent être changées.

L'excuse était exaspérante. Je sais la douleur qu'éprouvait Sayuri, mère est bien la seule de la famille à tutoyer ma petite sœur dans la famille. Je trouve cela étrange et veux comprendre le pourquoi. Sans compter que je n'ai guère d'amie. De compagnon avec qui discuter. Telle un enclos je n'ai pas grand chose dans ce monde et mère m'a offert un poids en plus. Un poids oui, mais aussi une sorte de cadeau. Une chose à défendre. Je la regarde puis j'avance vers le tatami, je sors de l'entrainement de père et donc j'ai encore ma tenue:

Je sors de l'entrainement de père. Désolé donc de cette déconcertante tenue, je n'ai pas eux le temps de me doucher. Je voulais te parler. Père semble voir en toi qu'un poids. Il n'a guère daigné prendre du temps pour t'entraîner. Autant te l'avouer. Je ne crois pas non plus en tes capacités.

J'étais dure. Pourquoi ne pas l'être hein. Je connais ma sœur et commence à connaitre ses plus grandes faiblesses. La force n'étant pas du tout l'une d'elles. Cependant, la force n'est rien si l'on ne peut l'utiliser. J'avais fait exprès de ne pas passer les examens en prétextent vouloir m'entraîner plus avant de le passer. Cela étant faut car la véritable raison était affin de garder un œil sur ma sœur qui semblait trainer en tant que Genin et donc rester sur l'influence de mon père. Je soufflais de désespérance en disant:

Cependant je ne peux laisse une Hyuga déshonorer notre nom. Je compte donc passer les entrainement des maintenant avec toi et prendre le travailler que mère n'a pas aboutit. Mère voulait que tu deviennes forte non? Tu ne devrais pas en voir d'inconvénient? Je vous ai vue avec mère vous entraîner? Je respecterais ça manière de faire. A une condition. Tu resteras loin des entrainements de père et moi. Si tu t'approches de cette sale ou que tu pose une quelconque question sur ce sujet. Je te promets que je ne te considérerais plus comme ma sœur.

Je ne pouvais que repenser aux paroles de ma mère. Protéger Sayuri. Protéger ma sœur. C'est ce que je ferais.
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Message(#) Sujet: Re: Une vie qui s'éteint, une histoire troublée [Hyûga Sayuri] Une vie qui s'éteint, une histoire troublée [Hyûga Sayuri] EmptyMar 23 Déc 2014 - 15:50

Une semaine après le décès de sa mère, Sayuri s'entraîna au Jyukken dans la salle d'entraînement où elle avait l'habitude d'y aller avec Aya. Malheureusement, à part d'aujourd'hui, elle devra y aller toute seule afin de se perfectionner dans son Taijutsu, celui du clan Hyûga. Son byakugan allait devoir se développer sans aide de sa maman, en tout cas, cela allait peut-être l'aider à devenir autonome et à grandir un peu. Aya ne voulait plus que sa fille douter de ses capacités et qu'elle devienne moins timide également pour se faire des amis et de réussir en mission. Par contre, une chose était sûre, c'est que la jeune Shiroi Gozen n'avait pas peur en combat enfin elle manquait d'expérience, mais c'est le seul moment où elle semblait avoir un peu de courage et de confiance en soi. Pendant son entraînement, quelqu'un entra dans la salle et c'était assez choquant de voir cet individu venir à elle. C'était Hyûga Yu, son frère jumeau avec lequel, elle n'avait pas énormément eu de conversation depuis leur enfance et la dernière fois qu'elle l'avait vu, c'était pendant l'enterrement de leur mère. Le voir ici, c'était bien la première fois et Sayu savait très bien que ce n'était pas pour la réconforter ni même l'aider à quoi ce soit. Il avait tout de même subi l'entraînement de leur père ainsi que de son éducation, Yu allait surement venir ici pour la critiquer ou l'attaquer sur quelque chose. Malgré le fait qu'elle avait repris l'entraînement, la kunoichi se savait encore fragile mentalement pour encaisser de méchantes paroles surtout venant de son jumeau, mais elle devra tout de même faire un effort. La genin ne voulait plus se montrer faible devant lui-même si c'était difficile de supporter ces paroles, elle le ferait et ensuite, elle ira se lâcher dans un endroit vide et calme.

En face d'elle, Yu la fixa avec ses yeux blancs, la kunoichi n'osait pas trop le fixer dans les yeux, car c'était selon elle, trop gênant. Le jeune homme se mit à s'adresser à Sayuri en disant que leur père les voulait parfait en tout point même si l'être parfait n'existait pas dans ce monde, mais c'était père, une mentalité puérile. Sayuri voulait tout simplement être capable d'être forte pour protéger ceux qu'elle aime et de ne plus être faible aux yeux de son entourage. Yu ne voulait plus que les deux se vouvoient, car cela le désespéra beaucoup surtout leur lien de famille. Il était certes important de vouvoyer une personne importante ou un autre membre du clan, mais entre eux, ce n'était pas vraiment la peine. En tout cas, ils pouvaient justes se tutoyer quand ils étaient seuls tous les deux, mais le Shiroi Gozen se doutait d'un truc à propos de cela. Changer les règles était possibles ? Si seulement c'était vrai, Sayuri ne serait pas si malheureuse de se voir négliger par son père et son frère depuis tout ce temps. Yu voulait-il changer les règles du clan Hyûga ? C'était intéressant à voir, mais pour l'instant, la Dame Blanche préféra ne rien dire sur ce sujet-là.

« Bien, Aniki »

Il réagissait bizarrement tout de même, peut-être qu'il avait changé depuis la mort de leur mère et encore une fois, Sayu allait peut-être se faire avoir. Elle était peut-être naïve, mais loin d'être stupide non plus. Au vu de sa tenue, il devait tout simplement sortir d'un entraînement avec leur père et il avait encore la force de venir jusqu'ici pour discuter avec Sayuri. Comme il le dit pour affirmer les pensées de l'albinos, Yu venait tout simplement de terminer un entraînement et il n'avait pas eu le temps de se doucher, il avait préféré se rendre ici directement. Des mots durs venaient de sa bouche par la suite, la Shiroi Gozen savait que son père ne daignait pas vouloir lui apprendre à se battre ni même en croire à ses capacités au Jyukken. Mais ce qui lui faisait plus mal à la genin, c'était que son frère ne croyait pas non plus en elle est sur le coup, elle ne savait pas quoi lui dire. La kunoichi détourna tristement le regard et se retint de partir en pleurant à cause de ses mots, elle ne voulait pas se montrer faible comme tous les membres du clan le pensaient. Difficile de lui tenir tête en sachant qu'elle-même ne croyait pas en ses propres facultés au combat, ce n'était pas gagné et là, il venait d'en remettre une couche dessus. La belle Hyûga allait avoir du mal à avoir confiance en ses capacités à présent vues que personne ne croyait en elle ni même ne l'encourageait à devenir plus forte.

Un soupire rempli de désespoir de la part de Yu, il avait si honte de sa jeune soeur ? Apparemment, oui. Pour lui, Sayuri déshonoré le clan à cause de sa faible existence et du coup, il lui proposa quelque chose pour qu'elle s'améliore. Yu voulait qu'elle s'entraîne qu'avec lui et personne d'autre, il utilisât les mots de sa mère en disant qu'elle souhaitait devenir plus forte. C'était assez surprenant de sa part de proposer son aide pour ce genre de choses, il allait surement se montrer très dur avec la Shiroi Gozen, mais si c'était dans le but d'être forte, aucun inconvénient. Difficile de refuser son offre même si elle voulait devenir indépendante, mais apparemment, ce n'était pas pour maintenant. Par contre, il y avait une condition que Sayuri devait respecter au risque de ne plus être considéré comme la soeur de Yu. La Dame Blanche devra rester loin des entraînements de lui et de leur père ainsi que de ne rien demander à propos des entraînements avec le paternel. En gros, Sayuri devait se tenir éloigner d'eux et de rester éloigné de leur salle de combat. Heureusement, il y avait le village de Konoha pour se balader et faire de nouvelles rencontres. Sayuri devait surtout reprendre ses esprits et souffler un peu avant de lui répondre. Elle réfléchissait à sa proposition et le fixer avec ses yeux blancs puis lui répondit d'une petite voix douce.

« Je...Je veux bien que tu t'occupes de mon entraînement...Aniki, mais j'ai aussi une condition...Ne m'abandonne jamais et rend moi forte...S'il te plaît. Je respecterais ta condition, j'en fais la promesse, Aniki ! »

Avoir son aide, c'était vraiment bizarre tout de même, mais à tous les cas, c'était juste pour qu'elle ne fasse pas honte au clan. Il avait peut-être autre chose en tête qui sait, mais bon, la jeune Hyûga se posait tout de même des questions à son sujet. Difficile de savoir ce qui pouvait bien manigancer, peut-être une idée de leur père ou du chef enfin le kunoichi n'allait pas le suspecter de préparer un mauvais coup. Autant lui faire confiance, c'était tout de même son frère jumeau et pas n'importe qui en face d'elle. La blanchâtre s'approcha de lui et elle avait tant de choses à lui demander, alors autant en savoir plus sur lui, ils sont frères et soeurs, mais Sayu ne sait rien de lui.

« Aniki ! Ça me fait de la peine quand...tu dis que je suis une honte pour le clan...et, j'aimerais te connaître un peu plus. On est jumeau, mais j'ai l'impression de ne pas te connaître. Laisse-moi une chance, s'il te plaît ! »

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Message(#) Sujet: Re: Une vie qui s'éteint, une histoire troublée [Hyûga Sayuri] Une vie qui s'éteint, une histoire troublée [Hyûga Sayuri] EmptyMer 24 Déc 2014 - 13:36

Nous étions deux jumeaux dont la naissance nous a fait physiquement presque pareil, pourtant caractériellement tant de différence nous sépare. Une frontière surement écarté à cause de notre famille et notre éducation. Ma petite soeur montre à sas jeunes âges une force morale moins forte que la mienne et donc fut plus mise à l'écart par mon père se qui enchaine un cercle vicieux car en commençant par un acte automatiquement d'autre s'en suive. Ce fut le tour de ma mère qui pour palier ce fort ressentiment et affin de protéger la fragilité de ma sœur c'est mise à combler ce vide en elle laissant s'éloigner de moi ma sœur et ma mère. Je les vois toujours cependant se fut tellement différent. Je ne peux même pas me rappeler d'un moment tendre avec une personne de ma famille ma mère protégeant ma sœur plus fragile moi je m'efforçais à satisfaire l'ego de mon père une chose dont à force d'en prendre les coups me fut légué. J'en deviens ce que je détestais le plus dans mon père et cela sans même m'en rendre compte. Pourtant au dire de ma sœur se petit déclique se fit ressentir, cependant les sales habitudes ne s'enlèvent pas. Je suis Hyuga Yu Celui dont l'héritage familial sera légué. Celui dont l'ego est surdimensionné et ne voit les gens qu'au plus bas de leur estime. Je fus éduqué ainsi et cela a formé ma personnalité. Cependant je fus aussi blessé. J'ai sans comprendre pourquoi blesser ma sœur. Je ne l'avais pas touché ou mise à terre. Je ne l'ai même pas attaqué. Mes mots furent blessants. Je ne comprenais pas pourquoi. Je n'en montre rien, seul un silence de quelques secondes fut mis le temps de reprendre mes idées.

Elle accepte que je l'entraine. Que je m'occupe de son entrainement. Je ne suis surement pas le meilleur Hyuga pour cela mais tout sera mieux pour elle que d'être entrainé par père car si c'étais le cas elle ne le supporterais pas psychologiquement. J'ai porté en moi des habitudes que mon père m'a incrusté en moi et elle sentira surement cette familiarité et cette même indélicatesse. Cependant je tenterais tout de même de palier à ca comme si dans cette sale mon entrainement sera simplement de me reformâter. Ma Sœur me demande maintenant des choses sur moi. Mon entrainement avec mon père est stricte sur les relations avec les autres. Ce méfier de tout le monde et voilà que j'étais comme un étranger dans ma propre famille. Je sens la peine que cela lui cause et je me doute surement de la difficulté qu'elle a de se retenir. Je regarde les longs cheveux blancs de ma sœur puis me mets à parler:

Je mets mon honneur en jeu. Je ne suis pas du genre à baisser les bras. Je ne reviendrais pas en arrière, promis.

De là, ma sœur continue en me demandant d'en savoir plus sur moi. Je souris. Je n'avais pas vraiment l'habitude de parler de moi, mais encore plus loin de là je n'avais pas vraiment grand chose à dire car je n'avais pas vraiment de quoi parler. Je n'avais pas d'amie, pas vraiment de loisir et mes journées se passent de manière très monotone. Deux entrainement par jours et le reste du temps je lisais de bouquin sur les entrainement ninja. En gros j'étais une vraie machine sans âme. Du moins sauf maintenant. J'avais dans mon planning une chose dont j'avais décidé de faire. Je m'avance vers ma sœur touchant ses cheveux, je laisse glisser dans ma paume ses mèches blanches jusqu'à qu'elle quitte ma main toute seule. Je la regarde tout en disant:

Je commence à comprendre pourquoi mère te préférait.

Si père m'avais dans ça vu pour mon mentale, mère avait aimait ma sœur pour son cœur. Me retournant je m'approche de la porte tout en disant:

Je t'en dirais plus sur moi le jour où tu auras monté dans mon estime.

Retournant la tête avec un sourire je me mets à dire:

Considère ça comme un palier à franchir. Je reviens dans une demie heure. Le temps d'une douche fait en de même détend toi car les prochaines heures risquent d'être tendues.
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Message(#) Sujet: Re: Une vie qui s'éteint, une histoire troublée [Hyûga Sayuri] Une vie qui s'éteint, une histoire troublée [Hyûga Sayuri] EmptyDim 28 Déc 2014 - 18:48

Il jura sur son honneur, celui du clan qui fera de son mieux pour rendre Sayuri plus forte et qu'il n'allait pas baisser les bras. Yu le promit à la jeune blanchâtre de ne jamais revenir en arrière et cela donna le sourire à la Dame Blanche. C'était un gros soulagement de savoir que son jumeau ne l'avait pas abandonné et qu'il cherchait à présent d'être là pour elle. La Gozen Shiroi ne l'aurait jamais imaginé dans l'un de ses rêves, mais au moins, ils allaient se voir plus souvent à présent. S'entraîner avec son frère, cela allait lui changer de ses entraînements avec sa mère même si elle aurait préféré qu'Aya soit encore vivante aujourd'hui. Par curiosité, Sayu voulait en savoir plus sur son frère, depuis leur naissance, ils avaient été séparé et ils ont suivi une éducation totalement différente. Le père est quelqu'un de brute et d'arrogant voyant que le clan Hyûga commence le plus puissant de tous, tandis que la mère était une personne douce et très sage. Aya ne prenait plus en compte le passé du clan depuis que les Hyûga étaient installés à Konoha Gakure no Satô, c'était pour aller de l'avant et avoir un autre point de vue sur le monde. Contrairement à elle, le père était resté dans le passé selon Aya et c'était une erreur, mais Sayu n'a jamais su pourquoi. La jeune blanchâtre tenait beaucoup de sa mère sauf pour le côté trop timide, chose qu'Aya voulait tenter de faire disparaître en voulant forger un peu le caractère de sa fille.

C'est vrai que ses mots étaient blessants, mais il pouvait se montrer tendre et c'était une chose qui surprit la jeune femme. La main de Yu caressa les mèches blanches de la chevelure de la belle Sayuri, c'était assez gênant pour la kunoichi qui n'avait pas l'habitude de ce genre de contact. Les joues de la Hyûga devenaient petit à petit rouges, seule sa mère avait le droit de toucher ses cheveux et également, la nounou. Le regard de Yu fixa celui de Sayu, c'était assez embarrassant et la phrase de son jumeau était étonnante enfin par tellement, non. Normal qu'Aya préféra Sayuri à lui, la femme avait éduqué la fille depuis sa naissance et c'était sa propre fille tandis que Yu se faisait éduquer par l'homme de famille. Une chose est sûre c'est que leur mère décédée aimait tout de même son fils, c'était tout de même son fils même s'il suivait le sens moral de l'homme. Si seulement son père l'aimait comme telle, la jeune kunoichi se sentirait un peu plus heureuse en sa compagnie, mais ce n'était pas le cas. Enfin, un jour, il changera peut-être, qui sait ? Et pour le moment, la Shiroi Gozen devra patienter un long moment. Yu se retourna et se dirigea vers la porte de sortie. Le jeune homme dit alors à sa jumelle que si elle voulait en savoir plus, il allait falloir monter dans son estime. Un petit défi pour l'albinos et avant de partir, une motivation pour la genin de Konoha afin de progresser dans son Taijutsu. Un moment de détente avant de passer aux choses sérieuses ? Lui, il allait prendre sa douche et du coup, elle allait en faire autant pour être plus hygiénique.

« Bien, Aniki ! Je vais aller me doucher et me détendre, j'ai hâte de revenir ici pour être avec toi. Je ferais de mon mieux pour ne pas te décevoir, je....À tout à l'heure ! »

Quelques minutes plus tard, Sayuri était dans ses quartiers et dans sa salle de bain personnel. La kunoichi retira ses vêtements moulants et se retrouva totalement nue. Son chapeau enfin si on peut appeler ça un chapeau vu la forme de cette chose qui ressemble à une pieuvre métallique. Elle le regarda en souriant, n'étant pas gênant de dévoiler ses magnifiques formes angélique devant cette chose. La Hyûga alla alors s'installa dans une sorte de bain mousseux et se mit à se détendre, c'était magique pour la blanchâtre. Son chat noir sauta alors dans l'eau pour la rejoindre, un drôle de minou tout de même, d'habitude, les félins évitent ce genre d'endroit. Dans un sens tant mieux, celui-ci permit à la Shiroi Gozen de le laver en même temps qu'elle est de jouer en sa compagnie même s'il était déjà tout propre. Le laissant jouer à l'opposé d'elle, Sayu s'occupa de ses longs cheveux suivit de savonner le moindre recoin de son corps. Elle avait mis plus de temps que prévu à cause de Kuro, mais bon, pour une fois qu'il venait la voir. Le fait que son frère avait décidé de l'entraîner donc de passer plus de temps avec elle, cela l'aidait bien moralement et ça la rendit plus motivante qu'auparavant. Sayu sortit du bain et prit son petit chat avec elle. S'asseyant au sol, la Dame Blanche préféré s'occuper de son félin avant de s'essayer et de s'habiller, heureusement que personne de sexe masculin vivait dans la même maison que la Hyûga. La kunoichi s'occupa de bien sécher Kuro avant de le laisser partir s'amuser ou dormir. Ensuite, elle frotta sa serviette sur son corps et une autre pour ses cheveux avant de s'habiller en portant une tenue similaire à celui qu'elle porte habituellement. Sayuri remit son drôle de chapeau monstre et s'occupa de nettoyer un peu la salle avant de partir.

Sayuri marcha alors en direction de sa salle d'entrainement pour attendre Yu, elle se demandait quel genre d'entraînement elle allait devoir subir avec lui. Sur le chemin, des membres de son clan la regardèrent avec un air mauvais et repoussant, ils ne l'avaient pas encore accepté et ça ne se fera peut-être jamais. Sayu n'osait même plus les regarder au bout de trois secondes en voyant leur regard vers elle. En entrant dans la salle, il était déjà à l'attendre et elle se savait un peu en retard à cause du fait qu'elle s'était amusé avec son chat. La genin s'approche de son jumeau et se sentit un peu mal à l'aise pour ce retard surtout que d'habitude, elle ne l'a jamais été. Yu allait surement la disputer, mais bon, elle reconnaissait son erreur.

« Gomenasai, Aniki d'être en retard...Cela ne se reproduira plus ! »

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Message(#) Sujet: Re: Une vie qui s'éteint, une histoire troublée [Hyûga Sayuri] Une vie qui s'éteint, une histoire troublée [Hyûga Sayuri] EmptyMar 30 Déc 2014 - 14:50

La même famille et pourtant tant de différence, même nos tenues d'entrainement traditionnel n'ont pas la moindre chose commune. Comme si nous étions de parfait inconnu. Ma sœur est en retard. Cela commence bien. D'une voie calme et froide sans la moindre augmentation de sonorité, je me mets à dire :

Si l'on souhaite s'entraîner à fond on commence par arriver à l'heure théoriquement. Passons.

Être moins stricte que mon père, dur de ne pas répéter les erreurs qu'on a commises sur nous. L'être plus que mère. Il fallait trouver comment arriver au bon dosage pour éviter de commettre les erreurs de nos deux parents tout en faisant en sorte d'en prendre les bonnes choses. Si Sayuri veut progresser plus vite il faut donc trouver un moyen d'améliorer son entrainement d'une façon ou d'une autre sans pour autant tomber dans l'extrémité de père ce qui risque de la recroqueviller sur elle. Ma position prise les yeux blancs de mon clan s'ouvrent pour laisser place au Byakugan. Avec ça je regarde ma partenaire puis lui dis :

Je sais qu'avec mère tu t'entraînais à un entrainement sur le Tai. Une chose consistant de faire au ralenti tous nos mouvements pour trouver notre propre manière de combattre de développer notre style. Nous allons commencer sur cela si tu le permets. Cependant je vais rajouter une chose. Tu dicteras mes erreurs. Et dira à haute voix les tiennes. En gros tu dis ce qui ne va pas et propose toi-même comment arranger cela.

Un entrainement en cachant un autre. Plus que de manque de force. Ma sœur manque crucialement d'initiative. Elle hésite et donc doute ce qui est ça plus grande faiblesse. C'est cette marge qui fait qu'elle est moins forte que moi pour le moment. Si j'enlève cette barrière nous serions surement sur un point d'égalité. Maintenant c'est de savoir comment faire pour arriver à enlever cette chose qui semble simple à première vue mais qui ne l'est pas car cela ma sœur l'a encré en elle. Plus qu'un défaut cela est aussi une parti d'elle. Les entrainements passèrent et deux ans s'écoulent aussi. Les entrainements continuèrent avec des hauts et des bas. Es que je me suis rapproché de ma sœur. Disons que l'on s'apprécie plus. Pourtant je ne me suis toujours pas confié ou décrie à elle. Surement un de mes défauts aussi étant celle d'avoir pris trop à cœur l'éducation militaire de mon père me faisant ressortir hors de ses murs l'apparence d'une personne bien dure à supporter. Cependant cela est moi, que ce soit avec des défauts ou non cela ne change rien. Ses deux ans s'écoulèrent avec toujours la même intention, tenir la promesse faite à mère et monter le plus haut possible pour m'enlever de l'emprise de mon père, gardant cela pour moi et moi seul comme un lourd héritage dont je dois me débarrasser seul. Les années passent et mes entrainements deviennent rudes. Entre les entrainements de mon père se passant le matin et en soirée en rajoutant ceux avec ma sœur et les petits à côté je tenais le rythme, mais pas sans difficulté. Cela même si j'en pénalise totalement ma vie sociale qui est déjà d'ordinaire est maigre. Cependant se fut enrichissant. Je n'ai aucun vrai objectif personnel. Seul ce que veut le clan comptait et je donnais ma vie et mes taches pour ça telle le petit soldat qu'on a éduqué ainsi. Cependant, ses deux années me changèrent. Du moins pas extérieurement, mon caractère et mon éducation ne me permettant pas de révéler mes sentiments prenaient le dessus cependant une pensé, toujours la même sorte en même temps que moi je quitté l'entrainement avec ma sœur:

Je t'aime petite sœur.

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