Alors que la foutue brise du vent s’emmêlait dans mes splendides cheveux, je retrouvais des paysages que j'avais pratiquement oubliés dans les profondeurs de ma cervelle. Non pas que je me fichais de perdre la mémoire de ses vastes vallées recouvertes de forêt avec leurs lots de rivières, ruisseaux et torrents. Ses montagnes marron à pointes blanches culminant dans l'immense horizon que nous offrait la terre. Mais parce que j'avais vu bien plus de merveilles dans le monde en deux ans quand vingt quatre ans de vie à Kumo no Sato. En effet, voilà deux longues années que je m'étais éclipsé de ce doux village bien foireux à l'époque. C’était en survolant les forêts grâce à un gros moineau d'argile que je me rappelais mon dernier jour dans la cité de la foudre.

Ce matin là, je n'étais déjà pas bien luné, je n'arrivais pas à mettre la main sur ma fucking dernière pantoufle. Bien que mon appartement n'était pas exceptionnellement grand, petit quoi, aucun moyen de le retrouver ? Canapé, lit, meuble, tout avait fini par valdinguer par la fenêtre direction rue sans passer par la case prison. Mais toujours rien et deviner la suite ! C'était en chausson d'un pied et chaussette de l'autre que j'avais dû accueillir la voisine super mignonne qui était complètement stupéfaite du bordel que j'avais causé dehors. Enfin passons vite fait cette histoire, on se doute bien comment ça a fini et ce n'est pas dans le lit (qui se situait dans la rue, rappelons le).

La cause de mon départ venait du rendez-vous que j'avais l’après midi même avec le Raikage de l'époque, un mec du nom de Kadoria quelque chose …. Enfin j'avais même zappé son prénom pour dire que ce type apportait tellement dans mon ancienne vie.
Bref, je m'étais rendu tant bien que mal à cet entretien aussi beau-gosse que possible (l'armoire était aussi dans la rue donc …) : Marcel, short en fleur et chaussettes tong. La classe en plein mois d'octobre. Je m'imaginais avant même d'entrer, l’accueil qu'allait me réserver le chef du village. Fleure, champagne, femme de joie, esclave personnelle, j'étais chaud !

- Entre Hiryü !
- Yop Rai, c'est le grand jour n'est ce pas.
- On peut dire ça. Assis-toi et ferme là. Pour ta promotion au rang de Senin, c'est mort. Tu n'as pas la maturité requise et je me demande encore comment tu as fait pour devenir Jonin. Encore un mec qui t'a promu car tu étais pote avec lui …

Et le trou noir. Je me suis réveillé à l’hôpital après trois jours de coma. J'ai seulement entendu dire par des bruits de très charmantes infirmières qu'un dégénéré mental avait complètement détruit la façade nord du bâtiment principal. J'en suis venu à conclure que je m'étais pris un bloc de béton en pleine tronche suite à l'attaque de ce taré. Enfin je pris la décision de partir durant un petit moment du village en espérant ouvertement que le Raikage allait mourir étouffé d'une boulette de viande diabolique, histoire de revenir et de réclamer mon grade de Senin.

Et me revoilà, après deux longues années sur le chemin du retour. Je savais que c'était le bon moment pour faire une arrivée magistrale car j'avais une vent d'une rumeur qui tournait dans le monde entier. Dans chaque bourgade tout le monde ne parlait que de ça, un peu comme un phénomène social. Les gens en l’apprenant était stupéfait, la rumeur provoquait de l'étonnement et même de la peur pour certain individu. Je l'avais appris autour d'une sombre table éclairée d'un feu de cheminée dans une auberge très mal réputée. Ce mystérieux on-dit était que le légendaire et énigmatique Mihawk avait commencé à communiquer avec des autres êtres humains. Oui qui l'aurait cru, lui parler à d'autre mecs !?

Ma première réaction quand j'ai appris ça ? J'ai complètement paniqué, comment c'était possible ? La fin du monde approchait, c'était certain pour moi. Mais après mure réflexion et surtout mure sang dans l'alcool, des idées me venait dans mon esprit brumeux. S'il venait de changer en devant un être humain, c'était que les choses avaient changé à Kumo. Tout n'était que logique ! Un timing parfait pour revenir à mes racines.

Deux flancs de montagnes se faisait voir devant moi, le sentier perdu était en vue. Et pour ne pas me prendre la « fameuse » inutile barrière Seki qui entourait le village, je me posais gentiment au sol. Devant le seuil du chemin vers le cœur du village, je me demandais si j'allais voir de nouvelles têtes dans ce couloir de la « mort » (pour ceux qu'il avait soi disant tués...)

Y avait ceux qui étaient consciencieux dans leur travail le nez rivé sur l’horizon, les sens en éveil, le matériel prêt, l’alerte et l’assaut au moindre problème ? Et… Les autres. Enfin, elle. Ouais la brune, dix ans de service genin. On avait beau lui dire, ton attitude qui convient pas, t’as pas le niveau, ça entrait dans une oreille, ça sortait dans l’autre et depuis toujours la même habitude au poste d’avant-garde, où le nom indiquait la fonction qu’elle serait censé tenir.

Pourquoi cette pépiote elle bronzait au soleil, allongée sur la rambarde de sa tour, le nez dans les nuages alors ?

Dix ans, genin, je l’avais dit déjà, faut suivre merde !

Bon ok, elle aurait pu coucher pour réussir, ça marchait bien ailleurs il parait, sauf que jusque là, aucun gradé/Kage propice, non, mais ok prendre du grade, mais un peu de dignité parfois, on était pas à Kiri bordel ! De là à dire que l’idée ne lui avait jamais traversé l’esprit, définitivement abandonner à ayant affaire à Zenni (Cf Zenno <3 ). Les temps et le monde changent, les gens, pas forcément. Pas les Bakushô en tout cas, ils ne demandent jamais que le moment quand exploser au final, explosion de couleur, joie, colère ou qui signe la fin d’un corps entier, un clan tellement nuancé !

-Fait chier…

Ta réplique à chier grognasse quand on faisait un beau truc de clan et tout... Enfin, pour en revenir à notre contexte... Iris doré ou pas, à moins que ça soit la couleur qui facilitait ça en accord avec l’astre éblouissant, mais aucun mal de repérer la chose qui piquait vers le sol pas si loin de la lézarde humain. La kunoishi payée et avec de l'autorité à rien foutre se redressait en soufflant, fallait bosser ? Ouais ? Ouais. Moins de deux minutes pour enfiler son gilet en descendant l’escalier, oui, pas d’urgence jusqu’à preuve du contraire de toute, pas une pauvre garde exposée en offrande pour l’envahisseur qui ferait grande dif…

Elle sourcillait à cette pensée, pile poil, face à l’homme venu du ciel. Un ange ? Que dalle, il foutait en l’air son programme ouais, mais son attention fut davantage capté par la monture, faut dire, à peu de chose près, elle avait la même. Ça alors !...

-Quelle surprise confrère…

Mihawk lui, le retour des anciens à Kumo, manquait que Raiken et sa tête poursuivant son corps, la totale, pas contre, soit l’homme avait changé, soit, même un poisson rouge avait plus de mémoire qu’elle, m’enfin, ça puait le Bakushô à plein nez… La honte, il fallait faire genre… Histoire de.

-Ça fait longtemps…

Tellement, elle savait plus qui c’était, n’empêche que son regard se relevait et impossible de ne pas repenser à la magnifique esquive du système de sécurité. Un sourire qui se décrochait, un mouvement de tête pour désigner la barrière.

-On peut même plus se poser où on veut direct à Kumo, ça doit être pour lutter contre l’obésité des Kumojins. Enfin bref !

Ouais bref, il n’allait pas rester planter celui-ci. Si ? Ici ce n’était pas Konoha, on ne plantait pas les glands, encore que, la terre était fertile pour de ce que la brune avait vu.

-Bon retour à Kumo.

Bah là, aucun risque de se tromper.

Il avait fallu plus de cinq bonnes grosses minutes pour que quelqu'un daigne se montrer à moi. Quand je disais que le Sentier perdu était aussi inutile que la barrière des Seki, qui d'après mes souvenirs n'avait jamais empêché ne serait qu'un seul pauvre Genin de pénétrer dans le village. Enfin bref, devant moi une putin de charmante demoiselle se présentait à moi. C'était tout à fait le genre de nouvelle tête que j'espérais voir : brune, généreuse et avec des courbes à en faire pleurer les vieux. Sa douce voix enivrait mes pensées les plus profondes, je n'arrivais décidément pas à me défaire de ses adages qu'elle me portait.

- Bla
- Bla
- Blablabla
- Blabla

Ah les femmes, qu'est ce qu'on n'en avait à foutre de les écouter alors qu'il y avait bien plus à mater. Ma seule déception était cette foutue tenue, qu'est ce qu'une superbe fille foutait avec un gilet qui cachait sa poitrine arabesque.

Bref, je me rapprochais d'elle sans un mot bien que mon regard de braise en disait long sur mes intentions. Je lui prenais gentiment le bras et lui faisais faire un demi-tour digne d'un film de romance à la Shinotanique. Mon bras autour de son cou, fermement accrocher et obliger de me suivre, je commençais à avancer dans le couloir de la « mort ». D'un claquement de doigt, je fis exploser de mille feux mon moineau' pour l'impressionner. Et d'une superbe voix suave, je me présentais à elle.

- Moi, c'est Hiryü Bakûshö.
- Connu étant le plus grand Bakûshö de tous les temps !(Étant le seul membre du clan au-dessus de Chunin, ce n'était pas un exploit)

Je stoppais net la marche pour effectuer un nouveau demi-tour avec cette déesse que je tenais à mon bras (Règle de base n°4 : Ne jamais lâcher se proie). Je voulais lui faire admirer les magnifique flamme de l'explosion monter vers les cieux tel un phénix renaissant de ses cendres. Mais au lieu de ce spectacle, seul une montagne de gravas et de poussières recouvrait notre vision.

Que c'était-il passé ? La plus logique dès réaction possible. La défense de Kumo était vraiment à chier ! L'entrer du Sentier s'était complètement éboulée suite à la déflagration.
Un dernier quatre-vingt-dix degré l'air de rien histoire de nous remettre dans le bon sens et je continuais là conversation monodirectionnelle avec la (encore) superbe jeune femme à mes coté.

- Parle moi un peu de toi, tu te prénommes comment ?
- Je ne t'ai encore jamais vu auparavant et pour dire que je le regrette. Pour une beauté tel une rose rosé du petit matin de printemps d'été, je t'aurais de suite reconnue.

Et tout en accompagnant ses mots, je la lâchais enfin de ses étreintes si douces et viriles à la fois pour une fois de plus admirer son visage d'ange. Tout en avançant à ses cotées, j'essayais de me concentrer sur ses paroles au lieu de ses formes. Mais au fur à mesure qu'on avançais, je lâchais prise à cause de ce chemin chiant comme un Kadoria en train de clamser au bord d'un spa. J'espérais seulement que je n'avais pas loupé des choses croustillante et/ou importante à son sujet, cette si belle personne.

Une explosion… Pas tellement celle du moineau qui aurait été bonne à contenir, mais bien celle de son fou rire. Un rigolo, pire, un de chez elle. Pas certes, la finesse et tout et tout, ce n’était pas leur fort, mais quand même. La brune se laissait faire, maintenant elle n’était plus seule à ravager les décors de Kumo, rien que pour ça, elle tolérait ses bras un peu trop entreprenants. Enfin, jusqu’à l’écho dans sa tête de la phrase maudite…

-La plus grande Bakushô c’moi.

La fille lui esquissa un sourire, ma foi…

-Tu peux être le plus grand si tu veux, de toute, vu ta démonstration, on ne joue pas le même art, c'est classe moi.

Ses lèvres continuaient de bouger presque en silence pour effectuer un mouvement d’un baiser lancé à l’aide du bout de ses doigts. De ce dernier s’échappait un cœur blanchâtre qui prenait en altitude tranquillement devant leur marche, la brune lâchait un souffle doux pour faire voler une mèche du vantard, ce moment même où sa création choisissait d’exploser en un vrai feu d’artifice, un rideau d’étincelles colorées. Elle releva un sourcil en le fixant, l’air de dire : Alors.

-Je confirme, si je t’ai vu, c’est de loin, le prend pas mal, mais t’as l’air encore plus lourd à supporter que moi.

Ceci dit, venant d’elle, c’était un compliment, un qui s’accompagnait d’un rire, inutile de se perdre dans une conversation, son intérêt sur elle était tout autre, néanmoins…

-Tu vas adorer le poste de garde et le gus illuminé qui le dirige quand il va te filer la note pour les dégâts de l’entrée…

Un clan d’endetté, pour ça notamment, enfin heureusement qu’elle avait le grappin sur son confrère, c’était un coup à ce qu’on l’accuse elle et en fait, ça ne loupait pas, à peine les portes en vue…

-Miaë ! Cette fois y en a marre !!! Un trimestre entier à l’avant post nord ! Et je te parle même pas te ta participation aux rénovations !

Le fameux Dentô illuminé qui l’attendait de pied ferme, ce qui ne faisait que soupirer la brune, la première option lui offrait des vacances, la seconde n’avait aucune chance d’aboutir, elle ferait un chèque en bois encore, oui, oui, bien que sa spécialité soit explosive, encore que, ces papiers-là explosaient son compte… Enfin bref !

-Yare, yare patron… Ce gus là le responsable de l’explosion, tu fais de la pure diffamation là !
-Quel gus ?

Questionnait le patron… Comment ça lequel ? On le voyait pourtant là ! … Non ?

- C'est moi le gus ?

Moi un gus, j'avais connu mieux comme surnom surtout venant de ninja de Kumo. Accoudé contre la porte de Kumo, je m'amusais à les regarder ce chamailler. Et apparemment, quelqu'un avait pris le flambeau pour détruire le village.

-Bref, un Dentö qui n'arrive même pas à remarquer une technique de rang A de déplacement. Faut vraiment que tu sois nul à chier mec !
-Et que dirait le grand patron quand il va apprendre que tu n'as même pas pu voir un ninja te passer devant le pif ?
-A ta place, je signalerais cet accident comme un vulgaire éboulement si tu ne veux pas finir au poste le plus merdique du pays... Bien qu'en y repensant tu n'en es pas loin.

La discussion n'allait pas aller plus loin, car une fois le Dentö mis hors-jeu, je faisais signe à la jeune Bakusho de me suivre. Une fois les portes ouvertes, je me retournais vers elle pour éclaircir un peu la situation.

- Alors comme ça tu es de la famille ? Moi qui voulais te pécho c'est mort putin. En tout cas ça me fait super plaisir de voir que je ne suis plus le seul à avoir un art digne de ce nom.
- Bien que tes p'tits trucs de différente couleurs qui pioupioutaient n'est pas vraiment l'art que je conçois.
- Tu vois, le Bakuton est un pouvoir puissant qui nécessite de la force pour être révélé. Lors d'une explosion ce qui fait qu'elle immonde le ciel est l'énergie. Et la beauté de celle-ci est qu'elle évolue dans un chaos extrême. Et rien n'est plus beau qu'une matière dans un système chaotique.
- Pour te représenter le truc, imagine tout un système de particule de différente couleur qui laissent une traînée sur son passage dans le néant. Ce n'est que comme ça que tu découvriras la vraie beauté de ce monde, la toile de l'univers, celle du chaos !
- Aaaaaah ça me fait chier d'être trop sérieux comme ça, pourquoi tu me lances dans ce genre de discussion aussi ? Hein dit-le moi ? J'ai l'air d'un connard à lunette maintenant.

Les seules fois où je devais sérieux était quand quelqu'un me parlait de mon art et ça ce n'était pas bon pour les affaires. Comment passer pour un blaireau, en parlant comme un connard de scientifique !

Après ce débat, je m'amusais à regarder autour de moi pour jouer au jeu des sept erreurs. Et malheureusement je pouvais encore reconnaître les mêmes chiatiques de gosses dans les rues. Rien n'avait vraiment changé dans cette cité, tout était aussi merdique qu'à mon départ. Ça manquait d'un peu de désordre, de bordel. Et quelques minutes plus tard, j'arrivais devant mon appartement toujours aussi pourri de l'extérieur.

- - Voilà, c'est ma baraque ! Tu veux venir boire un verre histoire qu'on fasse un peu plus connaissant COUSINE ?

Bon pour le coup, c’était la fille qui contemplait plus ses beaux yeux, faute d’avoir un champ de vision sur son beau cul. Quoi ? Les Bakushô sont des bombes de naissance, c’est bien connu pourtant. Enfin, bref, ce n’était pas que ça ne l’intéressait pas… Juste qu’il disait de la merde en fait, pour faire court. Son tour de le reluquer, faute de mieux, elle lui aurait bien dit t’as de beaux yeux pour le faire taire, même si son intérêt avait été ailleurs et qu’elle mentirait moins en parlant de son attribut arrière, clairement il la soulait là, heureusement, le tour fut vite fait et d’un sourire, elle répondait :

-Ouais, pas faux.

Sans savoir à quoi, réponse couteau suisse de toute. Ça plus un sourire, magique faut croire, ça passait à l’as puisqu’il l’invitait à boire. Théoriquement, la demoiselle était en service, ceci dit, ça changeait pas de d’habitude, ce détail ne l’avait jamais freiné pour tout dire. Vu comme il la regardait, il y avait une suite… Euh… Ah, peut-être répondre. La brune le fixa, puis le bâtiment qui lui semblait le plus crédible pour l’abriter, quant à l’état de l’appartement, ça ne pouvait pas être pire que chez elle, puis à boire gratis en plus. Service fini. Comment ça non ?
Bah voyons si le Dentô se déplacerait lui rappeler, de toute : Genin à vie. Plus d’illusion là-dessus, autant en profiter. Fallait bien que cela ait ses avantages en fait, le retour du cousin et leur rencontre n’allait rien arranger à l’affaire…

-Pourquoi pas, « Cousin », la prochaine fois chez moi du coup, c'ça? Qu’as-tu de bon à boire chez toi déjà.

Elle le suivait, sans se faire prier, une planque, comme une autre son antre. Ceci dit sa façon de tout scruter autours ne lui avait pas échappé, difficile de dire s’il cherchait quelque chose ou alors si tout simplement il redécouvrait le décor, m’enfin, puisqu’il avait parlé de rapprochement…

-Je me trompe en pensant que t’étais parti un moment… ? On dirait un gosse dans un musée qui se fait chier, sûr tu veux rester chez toi, jouer à tout exploser là-bas ça pourrait être contraignant non… ?

Au pire, seulement chercher à boire, car finalement, elle captait le discours barbant enfin monté à son cerveau quand il avait enfin fermé son clapet pour de bon.

-Tss t’as cru quoi, je sais aussi faire des gros booms, mais Kumo ne sait définitivement pas apprécier notre côté magnifique à refaire le décor !

Enfin, ils aimaient endetter ce clan en réparation ceci dit…

-Raison de plus pour persévérer pas vrai?

Tu nous en diras tant Miaë. A force les gens s'habitueront pas vrai?