~ Allons Sempai, même pas fichu de trouver une citée aussi immense et tu devrais savoir me trouver moi pour me punir ?

Un rire, l'étreinte de mes bras qui se resserrait et je profitais d'être arrivé par derrière pour poser mon menton sur cette épaule et l'action taisait mon ricanement alors que mon regard se posait sur le loup... Ce que je faisais là ?

...

Le papier brûlait, je ne gardais jamais aucune trace autre que ma mémoire face à des informations aussi importantes, car au final, elles ne concerneraient jamais que lui et moi. Milieu de la nuit, à peine le temps de la finir et pourtant déjà extirper de Suna, en un éclair, un réflexe bon ou mauvais qui sait. Les gardes grondaient et mon doigt résumait ma pensée, pas d'humeur à la diplomatie, sans un mot, juste un geste je m'éloignais des portes pour le désert frais le soir, le Samidare n'avait pas menti.

Quelques lucioles enflammées volaient autours de moi pour m'éclairer et me réchauffer par la même occasion, où j'allais ? Aucune idée, une histoire d'instinct, je levais le nez vers le ciel comme souvent quand j'étais perdue, pour suivre la plus brillante des lumières... Pure folie. Mais ne l'étais-je pas après tout un peu folle pour réagir aussi impulsivement... ?

En tout cas, le destin avait choisi que ma voie serait payante, car il faisait encore nuit malgré les heures qui c'était écoulé quand au loin j’apercevais de la fumée, tu parles d'une légende, perdue au milieu du désert, les lucioles s’effaçaient derrière cette dune, sait-on jamais que ça ne soit pas lui. La suite, j'avais débuté le récit par elle, mes bras qui venaient à lui puisqu'il n'arrivait pas à les rejoindre de lui-même, un petit blanc, un moment pour profiter ou simplement souffler, ou peut-être parce qu'il n'y avait rien à dire. Tellement plus simple sous le regard curieux d'un animal blessé dans son orgueil.

~ Tu vas mieux Shogi ? Je me suis inquiété de te savoir faire un si long trajet avec un aussi piétre guide.

Un sourire en coin et un clin d'oeil, mais pas de réponse, qu'importe, son regard parlait, nul besoin de mots, car...

~ Voilà ma réponse à ta lettre Mentor. Elle te convient ? Au petit jour, je vous ramènerai à Suna, on ira manger, pour ça, il faut partir maintenant, la marche est la plus sage des méditations m'avait dit Yoru un jour. Usurpateur ? J'ai toujours su qu'il était, un monstre aussi. C'est la raison pour laquelle il m'a fasciné, au final il était humain et pas patin, comme toi. Ne te plains pas de tes actes, c'est eux qui t'ont libéré de l'aveuglement qu'on la plus part des gens toute leur vie, aspirer à des choses ne veut pas dire être mauvais, c'est être peu clairvoyant à un moyen. Se tromper de chemin, c'est un mauvais sens de l'orientation qui nous pousse aux détours parfois dans des chemins escarpés, mais qu'importe, tant qu'au final, on passe les bonnes portes ?

Un long souffle chaud sur cette peau gelée et une conclusion.

~ Le regret c'est de lâcheté, une excuse pour s'arrêter de courir en milieu de course, nous ne sommes pas ainsi fait. Allons y !

Nuit fraîche... Mes relation épistolaire avec Aoji m'avait quelque chamboulé je dois le dire. C'est peut-être pour cette raison que cette fois j'avais parcouru bien moins de distance. Mon corps et mon esprit se tournait plus vers la réflexion que le voyage. Shogi n'avait pas de problème pour se réchauffer ce qui n'était pas mon cas. Je me trouvais donc en train de confectionner une couverture de cendre chaude quand je sentais des bras m'entouré. Tellement pris dans mes pensées que je ne l'avais même pas vu venir ça devenait grave quand même. Me reprenant je découvrais le chakra connu de mon élève. Quelle surprise ? Comment avait-elle fait ça ? Pas vraiment l'envie de le savoir pour être honnête. Le plus étonnant c'est que je me saisissais de ses bras enlacés pour en profiter le plus longtemps possible. Fermant les yeux, mon corps dans son ensemble se relâchait sous cette tendre impulsion.

Elle décorait cette surprise d'une arrogance qui lui collait à la peau. Sans nul doute, elle fit preuve d'une insubordination qui fit même rire Shogi... Voilà longtemps que je n'avais entendu sa voix d'ailleurs. Cela suffisait à m'arracher un sourire. Décidément cette femme avait véritablement le pouvoir d'apaiser le cœur quelque soit le mal dont il souffrait. Seul son propre cœur semblait hors de sa portée. Le poids des âmes qui s'oublient au dépend des autres sans doute... N'oublions pas cependant qu'elle avait parcouru tout ce chemin pou me faire une leçon de morale tout de même. Imaginez la situation. Une élève rejoignant son maître dans un désert en pleine nuit noir pour lui faire la leçon. A l'éclairage des lucioles et de la couverture de cendre à peine incandescente. Je le brandissais d'ailleurs voyant bien que le froid la traversait jusqu'aux os. Sa témérité lui faisait oublier qu'elle n'était pas encore capable de dompter la nature semble -t-il. La passant sur ses épaules cela devait lui faire sentir une douce chaleur égale au soleil sur le corps. Quoi de mieux pour passer une bonne nuit que cette couverture sur le sable qui épouse la forme du corps. C'est une fois derrière elle d'ailleurs tandis que je posais la couverture que je lui répondais en osant l'enlacer à mon tour. Que pouvais-je faire d'autre de toute façon que de lui rendre ce geste qu'elle seule avait osé depuis bien des années. Combien peuvent comprendre à quel point une seule embrassade permet de sentir humain. Enfin humain.

-Tu vas donc passer la nuit ici. Il est simplement hors de question que je te laisse repartir dans le noir. Par contre je n'ai rien à manger à t'offrir... Je t'offrirais un restaurant une fois à Suna pour me rattraper cela...

Je ne relevais rien de son discours. Après tout j'étais le maître ne l'oublions pas. Même si cette relation bien curieuse ne rappelait rien de ce rapport entre nous. Faisant le tour je retournais m'asseoir devant elle. Juste à côté de Shogi. Assis en tailleur je lui exposais un regard étrangement attendrit qui devait accompagner le ton qui suivrait.

-Assis-toi non ? Le sable est doux. Et nous revoir ne peut nous faire du bien. Surtout après tellement de temps éloignés par des événements si grotesque qu'un sommet Kage. Maintenant que je t'ai un peu pour moi. Uniquement pour moi. Je serais bien stupide de ne pas en profiter. Alors Ao ? Suna est-elle à ton gout ?

La vérité c'est que je m'en foutais de le savoir... Une façon comme une autre de commencer la conversation. Ne perdons pas de vue qu'avec Aoji il s'agissait de se méfier. Sa nature indocile l'invitait à des extrémités parfois déplaisante mais toujours amusante. Je me décidais d'ailleurs à lancer une petite provocation avant qu'elle ne réponde.

-Mais dis-moi. Ton cher amant t'a donc donné la permission de minuit ?

L'affection qui se rendait et peu à qui je laissais ce droit sans finir par les empaler, un sourire après un soupire amusé, le titan cédait, tant mieux. Je profitais de ses bras, mais aussi de sa création, je ne relevais cette surprotection, j'étais habituée à la subir, avais-je dont tant l'air que ça d'être faite de sucre ? Façade trompeuse, sur laquelle il était dangereux de se leurrer, mon air était espiègle quand le sien était tendre et je m'asseyais quand il en faisait autant en jetant un regard au loup qu'il m'avait semblé entendre.

~ Franchement... Heureusement que je pense à tout, disons que jeûner sait parfois faire du bien aussi, tant qu'il y a un bon liquide pour rassurer sa langue du sens du goût.

Je me penchais pour lui tendre une tasse de thé, ça devait lui rappeler Kiri quelque part, à l'inverse extrême qu'ici, nous ne toucherions jamais plus grande sensation de liberté. Ce que je pensais de Suna ?

~ La citée est bruyante, poussiéreuse, vivante, son désert est merveilleux, comme si son immensité étalait tant mes maux qu'ils n'en deviennent que minimes. J'aime plus l'endroit où nous nous trouvons maintenant Senseï.

Rictus aux coin des lèvres et la douce chaleur qui apaisait mon corps quand l'environnement avait fini son travail sur l'esprit. Un répit de courte durée cependant, trop beau pour être vrai, en toute franchise, je l'attendais, mais ça n'enlevait rien au côté piquant de la chose. Mon amant ? C'était ce mot parmi tous les autres qui m'irritait, mais il l'avait choisi dans ce but non ? Vile créature.

~ Oups, j'ai oubliée de lui demander, j'aurais dû ? Tu crois qu'il est ce genre d'homme à me prendre pour une possession ? Il était si tendrement endormi, puis si loin de mes bras, un signe de son accord pour mon départ ? Ou un crime à mes yeux que de le réveiller en l'observant. Choisi. Il me retrouvera bien assez vite, je suis sûre que se faire prêteur ce soir pour toi ne le gênera pas, sa place n'est pas la tienne après tout. Deux mondes.

L'azur perçant du regard signait et à la fin de la phrase je lâchais enfin la tasse entre ses doigts non pas sans les parcourir une ultime fois. Ne pas attiser le feu quand on ne voulait pas qu'il nous brûle, un conseil de Yoru, loin de celui qu'il m'avait décrit dans sa lettre, l'homme avait changé. On finissait tous par le faire, en bon ou mauvais, tout n'était qu'une question de point de vue alors que mon humeur avait virée taquine.

~ Tu m'as pour toi seul et tu ne trouves rien de mieux que de parler d'Hattan, alors que j'ai cru comprendre, il était loin d'être ton sujet favori. Je ne veux pas dormir, aussi tentante soit ta proposition, je veux profiter de t'avoir pour moi aussi, je veux que l'on finisse les histoires que l'on avait commencé. Je sais pourquoi je suis enchaînée à Kiri, mais pas pourquoi toi tu veux t’enchaîner à Suna, explique moi pourquoi tu as abandonné tes quêtes, tes aspirations, pourquoi tu es si las Sempaï ! Et cette fessée ? C'est en m'offrant ton étreinte que tu la matérialises ? Je vais être isolante plus souvent.

Rire et arrogance avant de changer de cible.

~ Shogi, tu n'es pas d'accord avec moi ? Cet homme se ramolli, je devrais peut-être te prendre avec moi avant qu'il ne déteint sur toi.

Un thé ? elle tentait de m'amadouer en remémorant dès maintenant notre premier dialogue ? Me croyait-elle si imbécile pour me laisser prendre à ce jeu. Même si l'idée me séduisait et que je ne retins pas un sourire en coin. Je restais plus ou moins impassible. Attentif à la réaction de ma provocation. Je m'attendais à une furie. Qu'elle me rentre dedans. Mais non. Elle préféra la subtilité. Une sorte de jeu d'esprit où dans le calme l'un et l'autre pourrait s'approprier l'âme de l'autre pour jouer avec comme si elle fut une poupée. Le thé néanmoins je l'acceptais. Pourquoi le refuser ? D'autant que les thé d'Aoji me rappelaient ceux de Saya. Rien de tel pour me faire baisser ma garde. Mais connaissant l'animal je n'allais encore pas me laisser prendre.

Elle mélangeait ensuite l'ironie et la moquerie, mais aussi la flatterie avec une délicatesse que je qualifierais d'artistique. Haaa si seulement elle avait pu naître homme. Jamais meilleur meneur n'aurait existé. Je vidais la tasse en l'écoutant. Faisant mine de n'absolument pas me sentir toucher par la moindre de ses provocations. Une fessée sous la caresse ? Qu'est ce qui m'empêchait de lui mettre une fessée cul nul maintenant ? Après c'est ainsi qu'un père récompensait normalement l'insubordination de sa fille. Le clou de sa réussite fut quand Shogi, se déplaça d' à côté de moi pour se mettre à côté d'elle. Même ma meute se jouait de moi ce soir. Mais je m'en amusais. Il savait choisir son camps c'est le moins qu'on pouvait dire. Je posais la tasse de thé que j'avais rapidement finit. En tant normal j'aurais croisé les bras. Mais je ne pouvais plus... Alors je posais simplement le poing sur le sol en lâchant un grand soupire de satisfaction.

-Jeune fille tu as encore trop confiance en toi.

Un clin d'oeil et un sourire qui se voulait aguicheur. Ce que j'assumais assez. Hattan partageur ? Mais il était son amant et moi son maître alors qu'allait-il bien partager ? J'aurais pu prendre cela pour des avances pour peu que j'ai l'esprit pervers. Mais en fait... J'ai l'esprit pervers. C'est seulement que peu de femme étaient parvenu à éveiller un semblant de désir chez moi. Malheureusement avec un bras en moins mon charisme avait dû en prendre un coup et ce serait sans doute avant longtemps que je ne connaîtrais l’étreinte d'une femme. Ma foi ce n'était pas tant le sujet.

-Faisons simple. Il est peut-être temps que je passe la main. trente-trois ans cet été. Je crains que pour un Shinobi cela soit déjà rare d'avoir survécu si longtemps. Je veux maintenant transmettre mon expérience. A de jeunes motivés. A fin qu'un jour proche, je puisse enfin vivre paisiblement. Une femme et des enfants peut-être. Un jardin et un dojo. C'est une vie moins épique je te l'accorde. Mais ce n'est pas pour autant une vie facile. Après tout, n'est-ce pas pour ce genre de chose que je me suis battu ? J'ai bien le droit d'y goutter un peu.

Je me grattais la joue ensuite. Lui offrant un regard étrange. Prouvant bien par là que quelque chose en mon esprit se tramait. Elle m'avait pour elle toute seule aussi. Dans ce désert perdu au milieu de nul part il est vrai que nous allions être dérangés par qui que ce soit. Bien des choses étaient tentantes ici je l'avoue.. Quant à quelles choses ? Bah je laisse imaginer tous ces voyeurs qui fliquent nos rps se les imaginer tout seul ! Bref reprenons. Avec une étonnante dextérité, c'est sur un seul coude et les genoux que je rampais jusqu'à elle. Me rapprochant comme un animal sur sa proie. Murmurant dans la mesure de mon approche quelque chose que je voulais assez tendancieux pour la faire tilter.

-Il n'est pas encore trop tard pour la fessée tu sais. Si tu y tiens tant.

Cette fois le sourire se faisait taquin. Provoquant. Elle réveillait en fait une nouvelle jeunesse. Une nouvelle envie de vivre. Quelque chose qu'il me fallait depuis ma "renaissance". Mais ce n'était pas encore suffisant pour que je m'abandonne complètement. Pensait-elle vraiment ruiner aussi facilement trente ans d'instinct guerrier et quinze de méfiance ? Certainement pas. Elle voulait me dominer je le sentais bien. Mais moi je n'étais pas comme tous ces mâles que quelques sourires et flatteries suffisaient à endormir.

-Un homme comme moi ne peut plus rien changer. Oublie dont ces questions de lassitude. Et dis-moi ce que tu crains le plus.

Disparition dans un nuage de cendre. Et me voici dans son dos. A genou toujours. Le bras encerclant sa poitrine comme si je prenais soudainement possession d'elle. J'enfournais ensuite ma tête au creux de son épaule pour placer mes lèvres à son oreille. Ainsi le murmure se faisait entendre langoureusement car j'usais sciemment d'un ton suave pour ajouter de tonalité à cet approche.

-Est-ce toi qui pense définir les règles du jeu ? JEUNE apprentie.

Shogi demeurait à côté et impassible. Quoi que plus que largement amusé par cette scène. A tel point qu'il décidait en soupirant de se coucher un peu en retrait en nous tournant le dos...

Même le loup semblait de mon avis en venant me rejoindre et je ne pouvais que savourer cette demi-victoire en caressant son pelage encore chaud, tellement doux, il me rappelait Nectus, tout à coup ce dernier me manquait alors... Mais Tei' aussi. Je ne me ferais jamais à l'idée de les laisser seuls loin de moi, enfin, après tout, Vash veillait n'est-ce pas ? Ils devaient même sûrement bien s'amuser, j'avais de sacrés bons souvenirs avec la salamandre... Mais le voilà qui parlait. Trop confiance ? Ah oui, il croyait, façade encore, je n'étais qu'une folle téméraire en vérité, le tout suffisait à me faire décrocher un sourire pourtant. Ou alors c'était son attitude ou ses dires suivants qui sait.

~ Une femme et des gosses, un jardin et un dojo... Pff, tu rêves encore après tant d'années de vérité offerte à tes yeux. Tu sais, je voulais une vie de civil moi aussi, j'en avais rêvé depuis mes jeunes années, ne pas avoir à me battre ou à tuer. Je voulais ouvrir un salon de thé dans les montagnes, près d'une source. Mais je ne rêvais pas d'enfant, mais bien de famille, mais que j'aurais choisi, une pas liée par le sang, mais par son âme, un lieu où se rassembleraient les gens comme moi. Et longtemps, j'ai cru qu'il n'y en avait pas, mais j'ai compris, on ne peut pas trouver son exactitude chez un autre, mais un seul point commun, c'est déjà beaucoup ! Un jour Senseï, oui un jour je quitterais Kiri parce qu'elle n'aurait plus besoin de moi, ni des shinobis et je m'amuserais à jouer la Geisha.

Et le rire, c'était impossible, surréaliste, mais pourtant, ça me suffisait à me consoler quand les jours étaient mauvais, à me dire que tant de sacrifices n'étaient pas vains, qu'un jour ça ne serait plus l'horreur de ce monde qui me prendrait tout ce que j'aimais, mais le temps faisant son œuvre. En parlant d'irréel, mon mentor m'en offrait un bel exemple qui chassait cette vilaine pointe de mélancolie, mais que faisait-il à ramper comme un lézard belliqueux...

~ Tu sens bien Senseï, t'es sûr de pas avoir pris un coup de soleil ou un truc du genre ?...

Me moquer de lui ? À peine... Mais il profitait du manque de concentration évident, un nuage de cendre et je sourcillais tout juste en le sentant venir par derrière, pas comme si j'avais matière à être inquiétée après tout...

~ Ce que je crains le plus ?

Et l'étreinte se refermait le jeu s'affinait, mon sourcil s'arquait, un dangereux, je l'empalerais bien là en jouant à l'hérisson...

~ Et tu crois que c'est toi qui les fais Senseï ? Pourtant, la vie t'a montré au prix d'un œil et d'un bras que c'est un tout qui les donne.

Ma tête se laissait tomber en arrière pour profiter d'un appui si sagement offert, trop aimable mentor, il fallait lui répondre non ?

~ Ma plus grande crainte a toujours été d'être seule, sans quelqu'un à qui attrapait la main quand je me sens mal, n'avoir personne vers qui crier au secours. C'est stupide n'est-ce pas, mais pendant si longtemps je n'ai eu personne, que maintenant ça en déviant maladif de me lier à tous... Et toi, qu'elle est la tienne, sais-tu la dire alors que tu l'exiges de moi la réponse à une question si difficile...