Des ennemis peuvent s'allier. Ou pas [Hiryuu]

(#) Sujet: Des ennemis peuvent s'allier. Ou pas [Hiryuu] Ven 11 Oct 2013 - 18:34

mission:

Quand la gamine aveugle lie la mission en braille, je fus plutôt étonné. La première mission où je dois ramener un homme mort ou vifs. Bon autant le dire directement, s'ils me l'ont donné à moi, c'est qu'ils le veulent mort, mais préfère éviter de le dire officiellement. Soit, je vais me faire plaisir et leur ramener ce type mais dans plusieurs sacs différent. Ils pourront jouer au puzzle avec son corps. Ça, je le garantis. Enfin une mission intéressante, un tueur qui a une tête valant mon recrutement. Un Samourai qui plus est et donc un homme favorisant les combats de contacts. Un sourire se lisant sur mon visage, je me mets donc à marcher. L'enfant sur mon épaule. Comme ce que je fais maintenant depuis un bon moment. La traversé du désert en est une vraie habitude. Même le sable qui normalement est un frein dans la marche ne l'est plus maintenant. Après un temps indéterminé. Et un passage dans plusieurs oasis pour rendre le trajet plus confortable. J'arrive au point ou fus le meurtre. Un meurtre des plus banals. Une marque nette sur le torse. Aucun gou, pas de style dans l'attaque qui donne la mort, une simple précision qui est plutôt correcte. Correcte étant de ma bouche plutôt un bon compliment. Les types ayant pris le corps me donnant le lieu où la mort fut donnée. Je peux voir un bar juste devant. Ce genre de lieu parfait pour attendre un type à liquider. En gros à la place du tueur, c'est ici que j'aurais attendu ma proie.

C'est décidé je vais dans les bars. Dedans plusieurs hommes assez malfamés se mettent à me regarder avec des yeux plutôt douteux. Ca sent les malfrats à plein net. Ils ne cachent même pas leur ligné de poudre qu'ils vont de foutre dans le pif. Un endroit plutôt cool en somme. Me posant sur le comptoir, je n'ai même pas le temps de poser une question que le bandeau sur mon épaule me donne trois crétins à tabasser. Les mecs parlant :

Suna et aussi à sa recherche. Moi qui pensais que seulement Kumo aurait reçu un avis de recherche. T'as vu frangin, ils ont envoyé un Géant faire une mission suicidaire. Tu veux retrouver l'homme qui à tuer ce type. Ne cherche pas mecs, tu vas y laisser ta peau.

Hein ? Trois minus comme vous osent me dire ce que j'ai à faire. Vous semblez savoir où il se trouve. Vous voulez me le dire maintenant et que je vous tabasse après ou que je vous tabasse et ensuite vous me cracherez le morceau en me suppliant de vous épargner ?

Ses trois types se mirent à m'attaquer. Je n'ai même pas eu besoin d'utiliser mes capacités pour les neutraliser. Les trois, Ko je me mets à dire, tout en tuant un des trois sous les yeux ébahis des autres clients :

Bon, faisant simple. Qui crache le morceau et qui suis ce mec-là.

Autant dire que l'un des deux fut rapidement bavard et non pour me dire de ne plus enquêter, mais pour me donner un tât de renseignement :

Il, il est dans le Quartier des Samurai. La bas il y a plus de cinq cent criminels des plus cruelles. Même nous trois nous sommes des lavettes par rapport à eux. Il est protégé par un homme très riche qui lui demande de liquider des mecs qui le gêne dans ses affaires. Il n'y a pas de maitre en ars Ninja, mais ses Samouraï ne se font pas avoir par un Hengen ou autres astuces pour les pénétrer discrètement. Si vous tentez quelque chose ce sera par la force.

Hé bien, cette mission devient plus intéressant que prévue. Tuant un des deux je me mets à laisser un mec vivant pour une raison stratégique. Malgré ça, cinq cent hommes c'est beaucoup trop et cela même pour moi. Autant dire que sans aide je n'entrerais jamais dedans et cela même si je n'ai pas vraiment à tuer 500 hommes car c'est dans le fort entier qu'il y à ses hommes et je ne compte pas faire de visite touristique. Entendre qu'ils sortent. Hors de question qui sait par où il va sortir et surtout quand. Je ne veux pas poiroter pendant des mois pour m'apercevoir qu'il n'est plus dedans. Sans qu'ils le sachent, ses hommes m'ont aussi donné une autre information cruciale. Il y aura surement d'autres personnes qui vont vouloir le capturer. Pourquoi ne pas jouer le coup de l'entraide, puis ensuite amener de force la carcasse de ce mec. Oui très bonne idée. Si un type de Kumo vient je vais tenter de négocier ça avec lui. Prenant la route de se fort j'attendrais prés devant se fort à recevoir un invité.

Je commence à aimer ce type

Une nouvelle mission, c'est ainsi que j'aimais ma vie de kunoichi, animée par les sorties, par de nouvelles découvertes et surtout par la satisfaction d'apporter de l'aide au plus faible, ou d'apporter la justice au plus vil. Je dépliai le papier remis par un chûnin du village, je compris facilement l'ordre, arrêter un samuraï et le ramener à Kumo, ok. Le même chûnin, avant de partir me donna aussi une enveloppe en papier marron, elle contenait une photo et une carte; j'observai le jeune homme en image, plutôt mignon à première et ne semblait pas si dangereux que ça, enfin l'habit ne fait et ne fera jamais le moine, du moins la majeur partie du temps! Puis la carte, ben.. On sait jamais, qu'après tout ce temps passé à Kumo et Kaminiri - qui était mon pays natal - je ne parvienne toujours pas à m'orienter. Au moins n'aurais-je pas à réfléchir sur le chemin à emprunter, ce fut déjà ça.

Je devais donc me rendre vers les montagnes de Kaminiri. Finalement la carte qui me semblait inutile se révélait assez précieuse, si j'avais dû uniquement me référer à l'ordre de mission, et bien mon déplacement aurait pu prendre plusieurs jours voire plusieurs semaines, je m'imaginais mal visiter les montagnes les unes après les autres avec l'espoir de tomber sur Gali. Haha.. Donc, les montagnes les plus au sud si j'en croyais la croix rouge inscrite sur le morceau de parchemin. Très bien. Je me rendis donc là bas. Traverser Kaminari n'était pas d'une complexité insurmontable, du moins pas pour une native. Je connaissais bien les sentiers, les montagnes, les collines, les bois; j'étais en relative sécurité. Bien entendu il y avait toujours un risque de croiser un brigand, au quel cas il passerait un sale quart d'heure, non, vraiment... J'étais confiante. Il me fallut quand même toute la matinée pour me rendre sur place.

Une fois arrivée je rencontrai plusieurs personnes, des hommes de foi visiblement; je n'aimais pas ça. La religion, le culte que l'on voue à un esprit, un démon ou un être soit disant supérieur, je trouvais assez triste pour ne pas dire pathétique; mais bon chacun ses choix. Néanmoins leur présence ici n'était pas anodine, elle m'indiquait la présence d'un dédié à la pratique. J'en interrogeai un à la volée afin d'obtenir un début de piste. Je me doutais d'avance qu'il allait tenter de m'obscurcir l'esprit avec une doctrine toute montée pour les esprits faibles, mais... J'étais une Kumojin, et aucun Kumojin n'a l'esprit faible! Une fois le blabla ridicule passé, nous en vînmes enfin au sujet qui m'intéressait, à savoir le meurtre d'un pèlerin par un samouraï, Gali. L'homme encapuchonné me fixa un instant, je répétai la question pensant qu'il l'avait mal comprise, j'étais perspicace parfois...

Euh... Vous savez ce s'est passé non loin d'ici ? Un pèlerin se serait fait tuer ?
Oui! J'avais compris, je ne suis pas idiot! Attendez un peu, je réfléchi

J'attends quelques secondes, j'observe un peu le ciel, les alentours; les gens sont un peu bizarres ici je trouve, mais qui suis-je pour juger ? Ah il semble trouver des éléments de réponses...

Oui, le voyageur... L'étranger ! avec un soupçon de haine dans la voix.
Il a profané le monument du dieu Nekomota, il a donc payé!
D'accord... Nekomota.. hum. Et où est parti son... punisseur ?
Oh oui, dans une petite ville non loin d'ici, en aval; très proche de la frontière avec la nation...
Du Givre, je vois. Je vous remercie.. Euh.. à.. plus tard hein!

Je m'éloigne et l'homme m'interpelle.

Mais, que voulez vous à Gali-san ?
Rien, j'ai à lui parler. finis-je en haussant les épaules.

Ma nouvelle destination était donc la fameuse petite ville. J'espérais seulement qu'il y soit toujours et qu'il ne cherche pas à fuir, car il lui arriverait bien pire qu'un emprisonnement, d'autant plus que je commençais à comprendre l'état d'esprit du samouraï sans pour autant lui donner raison. La faute ne lui incombait pas totalement, ces prêtres et autres prêcheurs étaient en partie à la base du problème. J'observais la petite carte de Kaminari, et gardai bien ce lieu en mémoire, ainsi que le visage de l'homme à qui j'avais parlé, ils auraient aussi à répondre de leurs actes, enfin, je le supposai.

Quelques heures de marches en plus, milieu d'après midi.

J'arrivais enfin dans la petite ville. Elle était comme toutes ses villes jouxtant les pays limitrophes, assez sombres, avec une odeur de criminalité dans l'air.. Je devais rester sur mes gardes, et dénicher de nouveaux indices me dirigeant vers ma cible.

La route entre ce village et le fort n'est pas vraiment longue. Il semble même qu'il ne soit juste à côté. Heureusement, car moi ses endroits je ne les connais que peux, même en étant franc je ne suis jamais venu ici, à vrais dire si l'enfant sur mon épaule ne m'avait pas guidé, je n'aurais jamais sue venir jusque-là. Je me demande même si de trouver un type pour me donner la direction du retour en fin de mission ne serais pas une bonne idée. Bon, trêve de penser inutile, on en est pas là et pour le moment je dois préparer le terrain pour souhaiter la bienvenue à celui ou ceux qui vont venir aussi arrêter cet individu. Oui car ayant laissé un type vivant, ils sauront que je suis aussi à la recherche de cet individu et le fait que je mente comme je fais le bien autour de moi fait que je ne peux pas vraiment mentir sur les raisons qui me font venir ici. Bon ça arrive souvent que les gens croyant que je bluff en écoutant mes dires qui semblent plus que directe, même trop. Mais cela importe. Je dois donc préparer mes arrières car si c'est un Ninja souvent cela obtient de leur confrère des autres pays les renseignements et informations qu'ils veulent par la menace. Moi je voulais qu'il (ou elle XD) vienne à moi affin de lui proposer le marcher de faire équipe temporairement avec moi.

C'est donc posé derrière un fourreau assez bien caché. Même si je ne le suis pas de manière extraordinaire par la cause de mon gabarit. À un lieu où j'ai vu sur l'entrée sur fort. Mon marteau crée je l'ai posé non loin de moi a trois mètres derniers un arbre. Un marteau que je préfère poser ici à cause de son gabarit des plus imposants. Ben oui, car moi qui sommes déjà plus grand qu'un mec dit grand, mon marteau lui fait deux fois ma taille. Autant dire que je ne prends pas des armes de tapette. La préparation du terrain est faite. Des sceaux sont posés à quelques endroits, dont deux étant bien posés stratégiquement. Une juste au sol derrière moi caché pas quelque feuille et de la poussière et un sur l'arbre. Prés à utiliser mon chakra pour les activer, je me mes donc à me reposer attendant que du mouvement se fasse.

En ce qui concerne le fort. Rien pas une possibilité d'entrer sans qu'une ribambelle de gardes ne me fonçant dessus. Les passer doit être possible, mais si c'est pour ensuite devoir combattre d'autre mec dans le fort pour ensuite devoir ressortir et attaquer un Ninja adversaire, c'est peine perdu. Devoir faire équipe avec une personne m'emmerde au plus haut point surtout en voyant le massacre que je pourrais faire avec tant de clients, ainsi va la vie. Pui ce qui est cool c'est que l'on fait équipe, mais que cela ne change rien au fait que les entourloupes puissent se faire. Plus j'y pense plus j'apprécie mon idée. Même s'il me conçoit des gènes qui sont bien à déplorer.

HRP:

Ma pseudo errance dans cette ville prit fin lorsque j'arrivai prés d'un bar où visiblement il y avait eu du grabuge. J'entai, on me dévisagea instantanément, on fixa ma plaque de Kumojin et l'atmosphère sembla se détendre. Le responsable des lieux m'adressa directement la parole. Il était énervé et en même temps...

Un... une kumojin.. Vous arrivez un peu tard. Vous avez loupé une énergumène de peu... Il a mis un sacré bordel ce balourd.
Un balourd ? De quel genre ?
Oh, un ninja... avec une plaque marquée d'une sorte de "i"...
Suna... Dis-je à voix basse
De quoi ?
Oh non, rien! Hum... Par où est-il parti ? Et, avez-vous entendu parler d'un Samuraï ?
Oui... d'ailleurs il voulait le trouver je crois. En sortant je l'ai vu partir sur la droite.. Ah et le gars il venait de Tetsu, euh.. le Samouraï; dans la direction opposée.. Dit il en ramassant des débris jonchant le parquet.
Ok, merci. Dis-je en souriant.

Je m'inclinai devant lui en signe de respect. Et quittai les lieux aussi rapidement que je les eus joint. Il était donc parti sur la droite, soit vers la sortie, et donc l'extérieur de la ville. Je connaissais un peu les environs, par là bas il y avait une garnison du seigneur de Kaminari, une petite forteresse responsable de la surveillance des frontières; s'il n'avait pas de chance le Sunajin, il se retrouverait face à de véritables soldats entrainés, et non devant quelques petites frappes de quartier. Alors je pris sur la gauche. Mes informations étaient certainement bien plus sûres que celles que ce type avait pu récupérer d'autant plus qu'on obtient pas forcément tout par la force, être amical pouvait aider parfois dans les relations avec les étrangers.

Enfin, maintenant que j'étais sûre de ne pas avoir un trouble fête sur mon chemin, et bien, je n'avais plus qu'à me lancer. Je fus assez rapidement à l'endroit décrit précédemment, un quartier, ou plutôt quelques sombres maisons agglomérées formant un tout; traversé d'une simple allée plus boueuse que les autres, la pierre défoncée de quelques restes de trottoirs d'un autre temps; un panneau, une enseigne se ballançant au bout d'une chaîne rouillée ne demandant qu'à rendre son dernier service... Oui, c'était ici, les bas quartiers, les quartiers malfamés comme on dit si familièrement . C'était donc là que s'était réfugié le samouraï que je devais arrêter et présenter aux autorités de Kumo, ok.

Je fis quelques pas sur un sol dégarni, de la boue en fait. Je m'enfonçais légèrement, soulevant à chaque pas des gouttelettes mêlées de terre, d'eau et de bien d'autres choses que je préférais ignorer. Je pouvais sentir, outre l'odeur assez dérangeante qui planait par ici, des yeux m'épier, de derrière ces volets en bois rongés par le temps ? non... cette impression suintait d'à peu prés partout autour, et prenait de plus en plus le visage du malaise auquel nous sommes confrontés devant l'inconnu, et surtout devant l'incertitude. Incertitude, doute d'être au mauvais endroit, au mauvais moment, incertitude de se sortir de ce qui ressemblait de plus en plus à un coupe gorge. Jamais auparavant je n'aurais imaginé que ma belle patrie puisse regorger de telles immondices.

La réalité dépassa mes pensées lorsque je vis apparaître, brusquement, depuis une maison toute aussi délabrée que le reste de ce pseudo quartier, un type aux airs louches et pas vraiment amical. Le voyant, je m'arrêtai; comme l'animal que l'on éblouie, que l'on surprend de sa lumière, comme eux mes yeux ne pouvaient se détacher de ce visage hideux. Il m'adressa la parole sur un ton tout à fait raccord avec son apparence, c'est à dire : bancale. Phrase male construire, insultante et ô combien sans intérêt. J'aurais voulu passer mon chemin, je n'aimais pas ce genre de personne, peut-être venais je de la ferme, d'une famille de cultivateur; mais nous étions à côte d'un tel numéro de bien raffinées personnes; d'ailleurs les cultivateur sont des personnes raffinées... Bref. Mais malheureusement, je devais remplir, et dans cet endroit qui semblait à des de la petite ville dans laquelle j'étais quelques secondes auparavant; il était mon premier contact, déplaisant certes.

Hey, toi mignonne pouquoi que t'enterai pas; on pfrait ami ami !

C'est à cet instant que je me dis "QUOIIIII ?!" J'ai pas carré un seul mot qu'il a dit. Ah si, mignonne, ami ami; il montrait du pouce la porte derrière lui... Ok je venais de comprendre ce qu'il me demandait, haha. J'observais pardessus son épaule, de loin; cet endroit donnait l'impression d'un repère de "bandits", un troquet encore plus coupe gorge que la rue bouseuse où je me tenais à l'instant. Alors, deux solutions s'offrent à moi; passer mon chemin et chercher ailleurs quitte à perdre du temps, ou me jeter dans la gueule du loup en espérant qu'il n'y ait rien d'autre là dedans qu'une bande d'ivrogne et, pourquoi pas, mon fameux Samouraï Sam. Jouant les demoiselles perdues, dissimulant astucieusement la plaque jusque lors perchée à ma taille; j'avançais vers lui. J'avais quand même un peu d'appréhension à le toucher, imaginez un type dont on ne voit la couleur de la peau que parce qu'une sueur étrangement colorée coule depuis un cuire chevelu manquant de cheveux, dont les vêtement dégage une odeur que même une fille habitué au bétail et tout ce que cela peut compter; parvient à sentir; imaginez l'aura de vapeur se dégageant d'un homme après quatre de sport dans le froid ? Oui, imaginez cela.

Oh, merci; vous pourriez peut être m'aider, je me suis perdue.
Oué, jme vais tdonner un coup... de main!

Je le suivi à l'intérieur et là, énorme blaaaague. Le type se met derrière moi, ou du moins contre la porte pour évidemment m'empêcher de sortir. Un autre gars un peu moins gangréné que le premier s'approche lentement avec quoi à la main ? Un couteau... Et bien et bien.. Le temps qu'ils reluquent la marchandise, à savoir moi; j'analyse l'endroit. Il y a du monde, et tous ont l'air soit d'être intéressés par ce que je peux dissimuler; soit de s'en foutre complètement. J'allais lever la main pour employer un de mes jutsu quand un troisième prétendant fit son apparition, immobilisant vigoureusement mon bras et le plaquant dans mon dos. Je ne l'avais pas vu venir celui-ci. Je serrai les dents, me faire tordre le bras ne plaisait pas vraiment; mais je n'étais pas encore sans pouvoir me défendre. J'attendis quand même avant de leur faire manger mutuellement leurs appareils reproducteurs.

Alors tu t'es perdu ? C'est bête ça! dit il avec une voix qui laisser imaginer à quel point il était en manque de...
Oh, non; je ne me suis pas vraiment perdue, je suis juste au mauvais endroit. Chuchotais-je.
Quoi, tu dis quelque chose ma jolie ?

J'allais répondre, mais je n'en eus pas le temps. Quelque vint frapper celui qui me tenait le bras dans le dos. Son regard criait pour sa bouche avant de perdre son éclat. Instantanément le sans gicla de toute part, on se serait dit dans ce film que j'avais y a pas longtemps, Tinquan Rinattona ou quelque chose comme ça, un nom exotique, un auteur venant probablement de terres lointaines... Bref, sauf que là c'était pour de vrai. La vie de ninja était comme le cinéma, donnant l'impression de vivre une fiction tout le long de sa carrière, une fiction dans laquelle les acteurs ne peuvent pas se démaquiller pour ressusciter...

La vue du sang ne faisait rien, la violence, plus grand chose.. C'était assez triste, mais on s'y faisait, et parfois, pour certains; y prenaient goût, mais ce n'était pas mon cas ! Je ne blessai pas les gens pour le plaisir, non; seulement pour accomplir mon devoir. Cependant.. une telle quantité de sang... j'en avais la nausée, l'odeur était plus terrible que celle du type, maintenant séparé en deux, et la vision des corps si rapidement tranchés, les entrailles ressortant; même la mission que j'avais menée avec celui que je n'avais pas imaginer un instant pouvoir être mon âme sœur; avait été plus... propre.

Je voulu essuyer mon visage couvert de sang de mes mains, mais elle aussi ruisselaient du précieux liquide pourpre. Pire encore, la main de celui qui m'avait "immobilisé" était restée accrochée à mon poignet. Mais de toute façon, je n'eus pas le temps de faire quoi que ce soit de tout ça, puisqu'aussi brusque que ce carnage arriva, on me poussa au dehors, non, on m'entraîna, m'enveloppant dans un épais manteau, chaud, doux, sec. Je me relevai, ou me redressai; je n'avais pas les idées claires pour le coup. Le visage d'un homme, d'un jeune homme me dominait de quelques têtes, oui jeune homme; ses traits étaient encore juvéniles, aucune dureté dans son expression, bien au contraire. Il défit rapidement son long manteau noir et s'évertua à m'essuyer le visage. Je n'eus vraiment, ni le temps de parler, ni le temps de faire quoi que ce soit. Et d'ailleurs, ce fut cet inconnu qui parla le premier. Je l'observait, me laissant faire; il n'était ni crasseux, ni rien d'autre de comparable aux défunts du...

Les bordels ne sont pas des endroits conseillés pour les demoiselles, et encore moins celui-ci. Euh... ça va ?

Oué, en fait, je n'avais vraiment, mais alors vraiment jamais vu autant de sang couler en même temps, j'étais comme... choquée. Il fallait un peu de temps à mon cerveau pour redémarrer, ou alors...

Ho! dit-il en me donnant un genre de pichenette.
Ha... Désolé, je n'avais pas pensé que tu serais autant.. aspergée.

Je clignai des yeux. Et balbutiais quelques mots.

Aspergée ? aspergée...
On doit bouger d'ici rapidement, il n'y a pas que des racailles ici. Dit-il en me montrant une ruelle.

Bien sûr, nous serions bien plus en sécurité dans une ruelle à cinq mètres à peine plus loin. Je reprenais mes esprits.

Mais... Qui es tu ?
Je m'appelle ***, et toi, que faisais tu ici, seule; et si mal accompagnée ?
Je m'appelle Hiryuu. Et... J'étais à la recherche de quelqu'un à vrai dire.
De quelqu'un ? Ici ? T'es inconsciente... ou stupide.
Peut être les deux... Mais c'est pas grave, car j'ai trouvé cette personne.
Ah bon ? Et qui est donc celui qui mérite l'attention d'une si...
Toi!
Hein ?! Ah non, je crois qu'tu fais erreur.
Nop, t'es un samouraï de Tetsu non ?
Hum... Oui, de Tetsu.. C'est marrent que tu saches tout ça.. pour une gamine égarée...
Une gamine égarée... Alors d'une, jsuis pas une gamine, j'ai 18 an; et de deux, je suis pas paumée puisque je t'ai trouvé.
Alors.. Tu me cherchais vraiment ? Mais... Heureusement que JE t'ai trouvé, sinon...
Sinon, rien du tout. Je suis une Kunoichi de Kumo, et je suis ici pour t'arrêter.
Je vois... Et tu n'as pas peur de moi, après ce que je viens de faire ?
Tu m'as "sauvé", tu ne me tuerais pas après ça; t'es un Samouraï, pas un déchet dans leur genre.
Et bien... Certains cachent mieux leur jeu que d'autres, mais en effet, j'obéis au code du samouraï. Moi qui pensais être bien caché ici... Je vois qu'on ne peut rien dissimuler aux yeux du tout puissant Kumo.
Ce n'est pas ça... Tu as tué la mauvaise personne, tu dois répondre de tes actes ..
Devant Kumo, devant des ninjas; plutôt mourir ouais! Je n'ai aucune chance.
Hum, tous les ninjas ne sont pas des enflures. Je suis un ninja par défaut. Si tu viens avec moi, t'auras peut-être une chance de te défendre et de laver ton honneur, par contre y a un autre ninja, de Suna; qui te cherche, et celui là est bien moins commode.
Je préfère être libre et tuer ce ninja alors.
On ne se connaît pas, mais je peux te djà te dire que t'es con.. faut arrêter de tuer à tout va comme ça, c'est pas bon; que ce soit pour Kaminari ou pour l'honneur des autres samouraïs.
Les autres samouraïs... Si tu connaissais mon histoire... Mais, t'es pas censée avoir un truc de Kumo sur toi ?
Oué ben.. Je la connaîtrais certainement un jour mais pas maintenant. On a pas le temps.

Je pris alors sa main, la tâchant de sang; et nous partîmes, laissant derrière nous son manteau plein de sang. Nous discuterions plus tard, à Kumo.

Spoiler:

MENSONGE
Un retour en arrière

Que se passe-t-il ? Ça fait un bay maintenant que j'attends et toujours rien. Je vois des mecs faire des aller-retour et cela devient vraiment louche, puis pour des hommes malhonnêtes leurs vêtements ressemblent énormément à ceux que portent les forces de l'ordre dans les environs. Parlant de ça à la petite phénix elle se met à dire :

Mais dis-moi, tu n'attends quand même pas devant une forteresse qui est faite pour défendre la frontière, car je te rappel que notre homme est surement aussi recherché par les forces de Kumo vue qu'il a fait un meurtre dans leur village.

Tu sais pourquoi il est condamné à mort par Suna?

Oui, il a vécu un moment dans le village et l'on a su à un moment qu'il passait la frontière avec des prostituées prétendant diverse raison et aussi de la drogue. Ben en y pensant, il a intégré le village après un procès pour le meurtre d'un homme qui fut à la fin du procès mit comme un acte héroïque, car miraculeusement ils ont découvert que cet homme était un meurtrier en série. Pour le récompenser, il eux une maison dans le village et donc pouvais aller et venir comme bon lui semble. Avant que Suna ne découvre, il s'est volatilisé et une personne à retrouver ses traces, du fait que nous sommes maintenant en mission.

Tu soupçonnes quoi ?

Ses informations sont secrètes et sont filtrées par le village, donc les autres pays ne le savent pas, mais si ça a fonctionné une fois pourquoi pas deux ?

Quand elle se met à dire cela se fut comme un tilt. Mon agacement fut tel que mon sang se met à bouillonner dans tout mon corps. J'ai perdu un temps fou pour quedal. Si cet homme est recherché par le village et que ce lieu est mis pour le village aucune chance que cet homme soit posé ici pour se planquer. C'est donc faisant demi-tour et cela à vitesse rapide, que je me mets à prendre la direction de la ville ou des mecs m'ont dupé. Comme quoi certain préfère perdre la vie que de donner des informations correctes. Si c'est le cas, je vais rapidement tuer ce mec qui m'a donné de mauvaises informations et trouver des indices moi-même. Me voilà donc de nouveau dans ce fameux bar. Celui où j'ai déjà fait une petite visite il y a peu de temps. Aucune enquête fut faite, car les hommes tués étaient recherchés et donc leurs morts n'a rien d'illégale. Ce qui est bien avec les truands de ce genre. Je regarde l'homme qui commence à être effrayé. Sans même que je ne dise quoi que ce soit, il se met à me parler m'expliquant le véritable chemin à prendre. Je me mets à parler en disant :

Et le mec qui m'a menti il est où ?

Vous, vous allez le tuer ?

Lui, je ne sais pas encore, mais il me sera d'une utilité, donc il va pouvoir racheter sa vie. Je n'aime pas les menteurs, surtout quand cela me fait perdre du temps. Maintenant raconte et sache que les hommes morts étaient des brigands, se qui fait aussi de toi un type qui sert illégalement des hommes recherchés.

Oui, mais ne dites rien aux autorités, il habite la maison d'en face.

Un petit sourire, je me mets à partir de l'autre côté de la rue dans la maison dite. Un vieux taudis pourrir. J'entre et voix l'homme courir dans les escaliers avec un bon packtages sur les épaules. L'homme est prêt à décamper. Par chance, j'ai pigé qu'il m'a menti avant qu'il ne puisse partir. L'homme me voyant, se met à crier comme une fille. Ne lui laissant pas le temps de bouger, je me mets à l'attraper, puis à dire :

Je te laisse une chance de te faire pardonner. Tu m'indiques le lieu ou l'autre est partit et tu m'accompagnes si je pige bien tu fais partie d'un gang non ?

Pour la route ils ont pris à l'opposer de là où je vous ai indiquez et pour le gang c'est le cas tu as raison et il est dans la même direction.

Parfait, je ne suis pas du genre à être très chiant sur les lois et trouver ce gang me permettra peut-être de trouver le type que je cherche. C'est donc accompagné d'un homme dont je n'ai nullement confiance, mais qui au vu de m'avoir donné une même information par deux personnes différentes cette fois c'est surement vrai. La route fut assez rapide, car déjà j'ai poussé un peu le rythme. Arrivé dans un lieu qui semble plus que piteux le sol qui n'était que de la boue dont l'odeur ne trompe pas. La terre est l'eau n'est pas le seul ingrédient de cette boue. Pour ma part, je m'en fous complètement, la ville montrant tout ce qu'un quartier pauvre et pris sous le règne des gangs peut offrir. Un Chaos total dont je suis l'expert. À la vue de mon compagnon, un homme s'avance vers nous.

Purée, qu'es que tu fous le mec, si le boss te voit t'es morts.

Ouais, je sais, mais tu vois le mec baraque avec la gamine sur son épaule. Il veut voir le boss.

Hein, mais tu sais très bien que le boss ne se montre pas aux inconnues.

Il,,, il a de très bons arguments.

Hein? Bon suivez-moi.

Sans un mot, je le suis. Certain qu'il va avant de m'amener à son boss surement me tendre un piège ou un truc du genre. Arrivé dans un bâtiment qui semble encore plus pourrir que la rue principale, j'entre. Il me fait passer dans une salle et là, je vois un bain de sang. L'homme ayant fermé la porte derrière moi se met à regarder la scène étonnée :

Ton boss n'est pas là et à te voir mec, tu es étonné de voir le spectacle. Je crois que la dernière personne à qui ton gang a voulu tendre le piège s'en est sorti. Bon, maintenant soyons claire. Je cherche un type, il s'appelle Gali, et à en voir les coups de sabre il y a des chances que le mec qui a fait ça soit la même personne.

Je regarde plus précisément et vois au sol comme un endroit qui fut protégé par les gicler. Une trace qui ressemble plus ou moins à un corps posé par terre. La taille de la zone protégée montre que le corps est d'une petite corpulence, pas celle de l'homme décrite dans mon rapport. Je ne sais pas vraiment quoi penser quand un petit bruit dans une sale à côté se fait entendre. J'ouvre la porte, puis voir que c'est les toilettes. Un lieu que je ne vais pas vraiment vous décrire par peur que vous lisiez se Rp avant de manger. Là, une femme apeurée est posée dans un angle de la petite pièce. Je la regarde puis, Phénix avec ça voix douce se met à dire :

Dis-moi ce qu'il c'est passer s'il te plaît et je te promets que Goren ne te fera pas de mal.

Une fille. Elle s'est fait avoir comme tant d'autre et un homme, Gali d'après ce que j'ai compris l'a sauvé et il a fait un massacre, il a tué ses trois hommes, la fille qu'il a sauvée et une Ninja de Kumo venus l'arrêter, l'homme qui l'a sauvé. Je, je veux ma dose s'il vous plaît. Je n'ai rien fait, je suis resté caché ici et j'ai attendu.

J'ai les informations qu'il me faut. Je n'ai pas à chercher loin, pourtant, je me dois d'être certain, je regarde autour de moi et vois la veste en sang. Puis pas le corps de la personne qui fut mise au sol. Cela correspond bien à ce qu'elle dit. Je regarde les deux truands qui ne savent plus vraiment quoi faire de moi. Je les regarde puis dis :

J'ai tué deux dès votre, car ils m'ont menti et je ne suis pas tendre avec les menteurs, maintenant j'ai un marché à passer avec votre patron. Sachez qu'il ne me faudra pas beaucoup de temps pour vous tuer si vous ne m'amenez pas à lui. Ton pote peut très bien te le confirmer.

Il, il dit la vérité.

Arrivé dans la maison d'à côté. Deux minutes plus tard. Plusieurs bandits sont étalé posé pénards sur des fauteuils de luxe avec des femmes toutes drogués et dépendantes. Un trafiquant de drogue et un mac d'un nombre de femmes plutôt impressionnant. J'aime déjà Kumo. Quand je fis mon apparition un grand nombre d'armes apparu dans les mains de nos chers voyous, le mec qui m'a amené ici se met à parler :

Ha chef pardon, mais, mais cet homme veut négocier avec vous, nous avons eu des hommes morts à cause d'un Samurai et d'une Ninja du village de Kumo et c'est cet homme qui a réussi à avoir ses informations. Par contre, il a aussi tué deux des nôtres.

Tuer et pourquoi. Je parle à toi le sac de muscle.

Tu es le chef ?

Oui.

Parfait. Ouai j'ai tué deux des vôtres, car ses connards m'on mentit, je déteste les menteurs. Des minables comme eux n'ont pas à vivre. Je viens vous proposer un marché. Nous avons un ennemi commun. Le mec ayant tué trois dès votre pour la simple raison de sauver une nana que vous avez pincée. Moi j'ai aussi à tuer ce mec pour mon job. Donc je propose mon aide en échange de plusieurs de vos hommes et d'un moyen de locomotion rapide pour rattraper ses mecs.

Pourquoi je t'aiderais. Je peux en trouver beaucoup de femmes, mais là j'ai de grande chance de perdre plusieurs hommes dans l'affaire.

Simple, il y a un ninja de Kumo, c'est elle la femme qui fut sauvée si elle arrive à Kumo. Elle fera un rapport et vous serez dedans. Je sais pour les affaires que vous faisiez à Suna et en suivant bien la logique, il devait surement être avec vous au début, mais là ça sent le double jeu, il a surement négocié avec un Gang rival un prix plus onéreux que celui que vous lui avez fait. En gros, vous perdrez tout ce que vous avez s'il arrive à destination.

Je vois, donc nous avons tous deux des intérêts communs.

Exactement et surtout pas de temps à perdre.

Phénix : Kumo et à quelques jours de marche, mais nous avons déjà au moins deux heures de retard sur eux donc si l'on dont partir pour les retrouver c'est maintenant.

Ok, prends ses dix hommes avec vous et j'ai plusieurs chevaux pas loin à l'extérieur de la ville.

C'est donc comme ça que le chemin pour retrouver ses deux personnes. La route, bizarrement, fut celle où je suis arrivé. Par chance pour eux ou pour moi, cela je l'ignore, mais sur la route, je n'ai pas croisé le chemin de ce samouraï. Comment, ben je ne sais pas sinon j'aurais surement croisé son chemin. Surement le fait que l'on ait pris une route un poil différent. Dans un sens, je ne suis pas du genre à suivre les sentiers et donc par droit devant. Ce qui a surement était la raison qui mène au fait que l'on ne s'est pas vue.

hrp:

Prêcher le faux pour connaître la vérité...

Alors, ça t'est venu comme ça de devenir Kunoichi ? On ne t'a pas forcé au moins ?!
Oui, on ne force personne à devenir ninja tu sais, c'est comme vous, les samouraïs, personne ne vous oblige à suivre une voie particulière, mais vous choisissez de le faire. Dis je en souriant.
Je vois, on peut dire ça; mais tu es plutôt jeune non ? Tu dis que tu n'es pas une gamine, mais..
Haha.. Les apparences sont parfois trompeuses, faut pas s'y fier. Souriais-je.

Une conversation bateau me direz-vous.. Pas tant que ça. Ainsi j'apprenais d'une part à cerner cet illustre personnage, et d'autre part je pouvais me faire une idée de ce qu'il avait pu faire, et surtout ce qu'il n'avait pas pu faire. Kumo n'était et n'avais jamais été aveugle par le passé, nous savions bon nombre de choses et encore plus sur les Samouraïs, après tout nous avions.. "annexé" leur territoire! Je n'aimais pas trop cela, mais à Kumo... ce n'est pas moi qui décide, et fort heureusement en fait. Je l'observais de temps à autre, il était toujours souriant, semblait sympathique, mais je ne me faisais pas vraiment d'illusions, la facilité et le peu de remords qu'il avait éprouvé à tuer de sang froid trois hommes, même pour sauver une "gamine" en détresse.. Ce n'était pas donné à tout le monde, puis; en même temps, je supposai que tous les Samouraïs, ninjas et criminels en étaient capables.. Oui les apparences peuvent être très souvent trompeuses. Cependant je voulais savoir une chose, et je débordai alors du cadre de mes prérogatives.

Je voulais savoir autre chose..
Mmm.. Quoi donc ?
Pourquoi as tu tué cet homme ? Je veux dire; dans la montagne, le voyageur ?
Oui, le voyageur du pays du vent... Le seigneur de Kaminari, ou le Kage, peu importe; est trop laxiste avec les étrangers. Quand ils ne représentent aucunes menaces, ok qu'à cela ne tienne! Mais lorsque ceux-ci sont plus... menaçants..
Comment ça ? Je ne vois pas en quoi un voyageur...
Voyageur ou pas, cet homme foulait une terre sacrée, une terre que les samouraïs de mon dojo vénèrent, et que beaucoup de personnes par ici vénérent aussi...
Tu veux dire, comme des "adeptes" ?
Des adeptes ? Non, des hommes de foi plutôt; ils ont fait appel à nos services, et je suis là; comme toi un peu.
Non, c'est totalement différent! Je ne l'aurais pas tué, si on ne m'avait pas dit de le faire, et encore...
Et ben, on m'a demandé de l'éliminer, c'est ce que j'ai fait; voilà tout. Maintenant, je suis sûr que les autorités supérieures de Kumo seront compréhensives.
Moué... Je ne sais pas. Visiblement tu n'as pas peur du jugement, alors; pourquoi tu ne t'es pas livré aux autorités directement ?
Tu sais, la différence entre le Samouraï et le Ninja, ce n'est pas que notre façon de nous battre ou la voie qu'on emprunte, c'est aussi notre conception du monde. Tant qu'on ne me dit pas qu'une chose est mal, c'est qu'elle est bien, et dans ce sens, si c'est bien, ce n'est pas répréhensible... Tu vois ce que je veux dire ?

Ô oui je voyais parfaitement, pas de question de morale avec lui c'est ça ? Tout est bien, tout au moins, tout ce qui peut être interprété comme positif est forcément positif. Tuer trois hommes pour sauver une fille, c'est normal, c'est positif. J'arrivais à cerner le personnage, et mes premières idées à son sujet s'en révélaient finalement assez erronées, je le croyais manipulé par une bande d'adeptes sectaire, mais finalement il n'était qu'un extrémiste, comme eux. J'étais déçue, je n'aimais pas avoir tort au sujet des gens, d'autant plus lorsque je me prédestinais à les "protéger", à les défendre. Une désillusion. Le boulot de ninja était certainement bien plus ingrat que celui du Samouraï, bien que ce dernier soit plus une philosophie qu'un métier, enfin... Ne nous égarons pas.

Cela faisait donc maintenant deux ou trois heures que nous marchions, Kumo n'était plus très loin et je n'avais toujours pas vu le fameux ninja envoyé par Suna, c'était une chance. Mais je ne doutais pas que ce dernier parvienne d'une façon ou une autre à nous rattraper. Heureusement que j'étais originaire de ce pays, je connaissais pas mal de choses et notamment les sentiers hors-piste, les passages de forêt, les chemins de traverses. A moins que le balourd ne soit lui aussi, par miracle, originaire de Kaminari, et qu'il y ait vécu comme moi pendant prés de dix sept ans; et bien je ne voyais comment il pouvait nous retrouver, d'autant qu'il était sur un territoire plutôt hostile, fréquenté autant par l'armée du Seigneur que par les ninjas du village caché du pays. Un genre de mission impossible pour lui.

Et, tu me laisses marcher derrière toi, comme ça ? Tu n'as pas peur que je te fausse compagnie, à défaut de te tuer ?
Je te l'ai déjà dis, j'ai confiance dans ton sens de l'honneur.
Tu sais les rônins n'ont pas un sens de l'honneur aussi aigüe que les Samouraïs...
Mais tu es un Samouraï, pas un rônin, n'est-ce pas ? En continuant de marcher devant.
Oué, en fait; un rônin est un samouraï qui n'a plus de maître, rien de plus; ce n'est pas obligatoirement un criminel. Et un Samouraï peut avoir un maître, et être un criminel, comme les shinobi; il n'y a aucun lien...
Je vois. Dis-je en m'arrêtant.
Alors tu es un criminel ?
Je t'ai dis que j'avais une histoire...

Il parlait pour couvrir le bruit de sa lame effilée quittant son fourreau en bois noir. Mais ce genre de son n'est pas anodin, les sifflement régulier du métal travaillé fendant l'air ne pouvait pas être trompé par quelques mots, et encore moins à l'oreille d'un shinobi de Kumo. Nous dominions leur pays, nous connaissions le mœurs, nous connaissions leurs armes. Je dégainai un Kunaï et l'intercalai in extremis entre son arme et, à présent, ma poitrine. Il fut rapide mais pas autant que moi. On ne pouvait me tromper avec un tel subterfuge, je maniais l'électricité, et jouais avec les sons.

Mon sabre est aussi tranchant que... non rien est aussi tranchant que lui. Si tu te laisses faires, tu ne ressentiras pas le choc, je m'assurerais de t'ôter le vie sans te faire souffrir. Dit-il calmement.
J'atteindrais ton cœur avant même que ton sang ne coule, parole de Samouraï. Ajouta-t-il toujours aussi sereinement.
Et je déposerai ton corps sous ce chêne, ainsi tu vivras en son sein.
Tu parles si bien... As-tu donc si peur d'être jugé pour tes crimes, Gali ?
Cela fait un moment qu'on ne m'a pas nommé ainsi, Gali... Si tu connais mon prénom, tu dois connaître mon autre identité.. Ha, cela n'a que peu d'importance gamine. Une fois ton dernier souffle rendu, je retrouverai ce Sunajin, et le tuerai, lui aussi, comme tous les autres avant vous. Tu avais totalement raison toute à l'heure; les apparences sont... souvent trompeuses.

Et je fis un saut en arrière, notre combat, au milieu de cette forêt, se préparait. Là, finalement, j'aurais bien voulu que monsieur balourd se ramène, mais je doutais d'une arrivée messianique inespérée, comment le pouvait il vu que j'avais tout fait pour dissimuler le chemin que nous empruntions...

Voilà que nous galopons dans le vaste territoire de Kumo. La certitude qu'elle ramène son prisonnier dans son village me fait galoper à grande vitesse en direction de son pays. Le temps c'est de l'argent et l'argent j'en ai besoin pour pouvoir me payer ma bière. Il n'est donc pas possible de foirer cette mission qui m'a déjà pris trop de temps. C'est donc accompagné de dix hommes qui doivent donc connaitre les sentiers et cela malgré le fait que de traquer un homme ne doit pas vraiment être dans leur corde. La course faisait rage et les chevaux s'épuisent à courir le plus rapidement possible. Que ses cheveux crèvent, je m'en fous complètement tant que j'arrive à accomplir mon objectif. Pourtant ses lieux me sont inconnus et j'ai l'impression de ramer grave. Ses types qui me suivent et que j'avais dans l'idée de me servir en outre de guide devant me servir d'homme me faisant découvrir deux ou trois raccourcies, ben ils suivent bêtement le sentier sans se poser de question du fait de comment gagner du temps, j'enrage. Après avoir gagné un bon temps et d'après les calculs si la Kumojin et notre cible ont suivi la même route ce que je doute fort on aurait dû la rattraper, mais là j'ai l'impression d'être dans une mélasse pas possible. Les hommes de main que j'ai commencé à perdre patience et mettent la faute sur moi. Pourquoi ? Je ne sais vraiment pas, je me demande même pourquoi j'ai amené t'en d'incapable à me suivre. L'un de ses rebuts se met à pointer son sabre au niveau de mon coup me menacent si j'ai joué à l'entourloupe avec eux. Je le regarde, je n'ai vraiment pas envie de jouer avec des gamins dans son genre. Posant une petite plaque métallique, je protège mon coup et attrape par la tête et empoigne le bras qui tient son sabre. Le projetant au sol, j'écrase son crâne pour en faire de la bouillie. Les hommes qui sont avec nous commencent à avoir peur, c'est donc en m'exclament que je dis :

Je suis un Ninja, sachez que je vous trouverez si vous fuyez, donc voilà comment on va procéder. Nous allons nous séparer par groupes de deux je serais le seul avec lui à être sans équipier. Je vais aller tout droit vous vous écartez et chercher ou pourrais passer nos cibles. Quand se sera fait prévenez-moi. Compris ou d'autre veule se rebeller comme l'autre idiot.

Il ne semble pas qu'il y ait des intervenants :

Bon barrez-vous et trouvez-les-moi.

J'étais donc désespérément seule face à un adversaire redoutable. Même les oiseaux avaient quitté les lieux, c'est dire si ce qui allait se passer serait... dangereux ? Je n'avais plus si peur, j'avais confiance en mes capacités, même si pour le moment, je devais l'admettre, elles étaient bien limitées; mais... j'avais confiance. D'habitude j'attaque en première, histoire de donner le ton, de mener la danse comme on dit; mais cette fois, cet adversaire fut plus rapide que les autres, un Samouraï... impressionnant. Son katana visait mon coeur, il ne mentait pas; si seulement il avait montré autant de détermination dans un autre domaine que l'assassinat, il aurait put devenir un bon élément de Kumo.. Je fis un signe, et me déplaçai soudainement plus vite, l'Ishiryumi, une technique que je chérissais, elle me permettait d'esquiver ce genre d'assaut, aussi rapide puisse-t-il être.

Aussitôt fait, je sorti plusieurs aiguille de ma poche, chacun portant une clochette. Je ne le visais pas lui spécialement, mais si quelques unes pouvaient l'embrocher... Ce serait un plus. Comme je m'y attendais, son art du katana était bien plus qu'à la hauteur; d'un revers il fit tomber tous les senbons à ses pieds. Je sentais la réplique du genre "c'est tout ce que tu peux faire" arriver. Je fis genre d'être surprise qu'il parvienne à esquiver mon attaque, reculant de quelques pas pour qu'il s'approche. Une fois à bonne distance, je fis un simple signe; un genjutsu sonore qui devrait me laisser le temps d'employer mon fouet de foudre. Il s'arrêta, je dégainai mon arme à mon tour, mais; cette fois ci à ma grande surprise et pour de vrai, il bloqua le fouet étincelant, avec son katana; encore une fois.

Hiryuu... Tu ne sais pas que les Samouraï comme les Ninjas disposent de certains pouvoir ? Les auras... ça te parle ? La mienne est particulière, rien ne peut interférer avec mes sens, brouillard, son, sensation, genjutsu... Tout ça ne fonctionne pas. Maintenant, je voudrais que tu te laisses faire, gamine.

Ah oué ? Balèze quand même. Mais, un coup bien placé dans les boules devrait lui faire fermer sa grande bouche. Je le laissai m'approcher, feintant la résignation. Lorsque son Katana se leva, j'interposai ma main, entourée d'une aura bleutée, électrique. Le courant passa au travers du sabre argenté, et remonta jusqu'à son propriétaire. Il dû sentir le choc, à son regard. Du coup, je pus faire ce que je voulais. Technique spéciale de Taîjutsu apprise au dojo des Pins, Wamashigeri! Direct dans le point faible commun à tous les hommes complètement constitués. Avec la force que j'avais mis dans ce coup, je doutais qu'il puisse un jour procréer. Finalement, il était comme tous les hommes, faible. Je me rapprochai du guerrier plié en deux et tirai quelques mots.

Et celui là, tu l'as senti ? Allé, maintenant on va à Kumo, et je te garantie que je ferai en sorte que tu ne sortes pas de la prison! Si Mr. Seki apprend que t'as essayé de me tuer, tu risques d'avoir des problèmes.

Je le pris par les poignets, et les lia à l'aide d'une technique de bas niveau, mais dont un Samouraï, de par sa nature de... Samouraï, ne pourrait défaire. Je le forçai à se lever, et repris la route en direction du village. Ce n'était plus qu'une question de minutes, je reconnaissais le sentier que j'avais emprunté pour rejoindre la ville. Au bout de ce sentier, à savoir à quelques mètres tout au plus, un pont traversant un ravin; une fois ce pont passé, le Sunajin aurait bien du mal à mettre la main sur le Rônin, Samouraï, criminel ou je sais pas quoi. Pourquoi ? Parce que de l'autre côté, des ninjas surveillaient les allées et venues, et un balourd; ça passe pas inaperçu, non; ça peut même se faire tuer pour pas grand chose.

Avance plus vite que ça, j'ai d'autres trucs à faire après.
Sale garce!
Attends, t'as quand même essayé de me tuer... 'fin, à mon avis ton sort va vite être fixé, Gali.

Je peux vous dire le cheval déguste. Quand je pense qu'il porte ma carrure. L'animal n'est pas vraiment chouchouté en me portant. L'animal se met à prendre une course effrénée en direction du lieu que doivent surement chercher à rejoindre nos ennemies. Le sourire n'étant pas vraiment sur mon visage à cause du petit jeu que l'on s'est amusé à faire à mon encontre. Quand j'y pense je n'aurais jamais dû être aussi gentil. Simplement tuer ne suffit pas on dirait, il me faut maintenant les torturer ou trouver une technique pour les obliger à répondre vrais et sans mensonge.

Le temps passe et toujours pas nos cibles en vue. Ça devient désespérant. La frontière dont je ne pourrais pas dépasser sans avoir la tête qui s'extirpe de mon coup s'approche de manière brutale. Si ça continue je ne pourrais rien faire. L'équipe que j'ai formée s'étant séparée, je me retrouve seul. Mon regard se faisant de plus en plus profond dans le paysage. Je commence à distinguer deux silhouettes dont une qui semble attachée. Surement les gens que je cherche. Cependant, la frontière est juste devant eux a porté de vue. Sautant du cheval, je me mets à plonger au sol. Me mouvant sous terre. Mon trajet s'amène à aller prendre la position entre cette fille et le lieu déclarant la réussite de cette mission. Une centaine de mètres séparent ses deux choses et donc trois minutent de plus et je n'aurais rien pu faire. Phénix quant à elle se met à garder le cheval. Pourquoi ? Ben, je ne sais pas car je ne compte pas le montrer pour le trajet du retour :

Yoch gamine, putain tu m'as donné du mal tu sais. Ne soit pas têtu tu as fait du mieux que t'as pu. Maintenant fait moi le plaisir de tuer se prisonnier. On s'en sortira ainsi indemne tous les deux. Je prendrais la tête tu prendras le reste du corps comme cela nous aurons tous les deux quelque chose à amener pour notre village.

Faisant apparaitre d'un sceau un gros marteau. Je regarde autour de moi. Personne pas d'équipier se tapissant dans l'ombre, du moins non pas visible. La présence de chakra ne se ressent pas sauf celui des gardes au niveau de cette sorte de frontière. Mettant mon marteau sur l'épaule je reprends la parole en disant :

Ne fais pas de folie gamine. Je suis déjà dans mon jour de bonté. Accepte et résigne-toi à avoir ce que je te propose.

La tentions dans ce lieu est palpable. L'atmosphère change comme pour se préparer à une bataille dans ses lieux. La vie ou la mort ? Le combat n'a pas encore débuté, mais ce qui est sûr, c'est que je n'aurais pas satisfaction avant d'avoir fait couler le sang. Mon sourire revenant sur mon visage j'ai malgré tous ses soucis que j'ai eus depuis le début entre la mauvaise pistent, cette Kumojin qui semble avoir trouvé en peu de temps ma cible pour l'amener dans son village, le fait que ses lieux ne soit pas un endroit que je connaisse bien. Toutes ses choses qui font que j'ai vraiment eu du mal à simplement à montrer que j'existe dans cette mission.

hrp:

Si je n'avais pas une mission à remplir et un pont à traverser, je me serai tapée une grosse barre en entendant ce ninja bricoleur. Oui, quoi d'autre ? Que je ne fasse pas de folie... Non, je veux dire y a un moment quand tu es entre une Kunoichi du village caché des nuages et ses collègues qui attendent de l'autre côté... oué, fallait pas faire de folie, mon shinobi du sable. Les personnes du vent réfléchissaient elles avant de parler ? Je doutais un moment, puis me rendis compte qu'il n'avait vraiment pas l'air de déconner.

Ne pas faire de folie ? C'est un conseil, ou une menace ?? non, pace que je te ferai bien remarquer que celui qui pousse la folie un peu loin, c'est toi; Sunajin. Tu es à Kaminari no Kuni, cet homme est sous la juridiction de Kumo, t'as pas d'ordre à me donner et; de l'autre côté de ce pont y a mes amis qui m'attendent, tu sais... Des Kumojin!

J'avais reconnu sa Sunajinité en me rappelant les dires du barman apeuré. Et oui, de Suna ou pas il avait commis des méfaits sur nos terres, lui aussi devaient être punis, comme Gali le Rônin.

Il n'était pas en mesure de me demander quoi que ce soit, pas en posture pour négocier ne serait qu'une mèche du crâne de ce criminel. J'espère que le Samouraï comprenait ce qui se passait ici. Partir avec cet homme signerait son arrêt de mort, simplement; alors qu'à Kumo il ne risquerait rien de plus que de finir ses jours à l'ombres d'épais barreaux noirs avec pour seul espoir de sortir une grâce accordée en l'échange d'une faveur particulière, comme une mission suicide.. Enfin, nous en étions encore, de cette probabilité. Oui parce que pour le moment il y avait le balourd entre moi et le grand pont. Je plaçai le fameux Gali derrière moi et lui adressai la parole.

Tu sais, si il me fait quoi que ce soit, tu risques fort de mourir, Gali.
Hum, je sais... Sauf si tu me détaches.
N'y penses pas, je ne peux pas te faire confiance. Chuchotais-je.

Je reportai mon attention sur le ninja du vent, j'avais sorti des senbons munis de clochettes, en simple prévention. Lui avait bien son gros marteau sur l'épaule! En fait, maintenant, je comprenais bien le sens de ses mots, il m'avait menacé, ni plus ni moins. Je venais de sortir d'un petit affrontement lâchement gagné contre le Samouraï, allais réussir à rejoindre ce pont ? C'était une bonne question. Néanmoins je ne doutais que de l'autre côté du gouffre observait une poignée de mes compatriotes. Ils me faisaient confiance, et n'interviendraient pas, c'était ma mission; tout au moins, tant que je restais debout.

Je répandis senbon à clochettes autour de moi. Je repris la parole, tous mes clones parlèrent à l'unisson, m'accompagnant.

Nous devons juger cet homme à Kumo, laisse moi passer, je ne veux pas me battre.
Oui, écoutes la gamine, elle n'a pas tort!

C'était vrai, je n'étais une grosse fada des combats, et je n'avais jamais envie, à première vue de me battre; à première vue. Par contre, lorsqu'on me contraint à en découdre, et bien, au final; je m'y mets à fond, et j'y prends goût, se battre pour moi c'était un peu comme le sexe, je n'y pensais pas tout le temps, à toute heure; je n'initiais jamais volontairement l'action; mais quand j'étais dedans... C'était vraiment pied, si je puis dire.

Spoiler:

Des ennemis dernières, des ennemis devants. Dans un sens ce n'est pas vraiment la meilleure chose que j'ai dû faire en me posant juste entre elle et la zone que je ne pourrais franchir. Mais dans un sens je n'avais guère le choix, la laisser garder ce côté est prendre un risque qu'elle franchisse la zone dont je ne pourrais franchir. Dans ce combat, j'ai une chose que je n'apprécie guère. Un combat en théorie a pour seul but de rendre K. O son adversaire. Tuer son adversaire le rend aussi K.O, oui je vous le confirme. Cependant, là il y a d'autre paramètre à prendre en compte de son côté comme du mien. Elle a un homme ligoté dont mon objectif est de tuer. En gros une gêne pour elle. De l'autre côté, j'ai aussi une gêne, cette sorte de frontière qui lui donnerait la victoire si elle envoie cette même personne de ce côté. En d'autre terme le combat avec des conditions différentes de victoire. Je ne suis pas vraiment en joie de le savoir, moi qui n'aime pas vraiment réfléchir mais plus foncer. Surtout que ses gardes qui ne semblent pas agir peuvent littéralement changer d'avis en voyant la situation changer. Enfin ça sans compter un atout que je me réserve.

Cette fille est maligne elle a bien pigé la balance qui joue dans ce combat. Elle m'en expose même les soucis qui semblent pouvoir me gêner. Le lieu. Oui je ne suis pas vraiment dans mon domaine ce qui rend cet endroit dangereux. J'ai vécu toujours dans ce genre de domaine hostile. Cela même à Suna. Mon caractère, ma façon de vivre fait de moi un homme dont mon propre village peut se retourner d'un coup contre moi. Rien que mon grade le confirme. J'aurais depuis un moment reçus de rang dont j'ai vue beaucoup avoir avec moi de mérite et de force. Quand je dis mérite c'est pour le travail pas pour mon caractère hein, je me sais même plus fort un grand nombre de Chunin (je parle des Ninjas lambdas pas des membres du fow hein ^^) Pourtant rien cela prouve qu'ils n'ont aucune confiance en moi et qu'ils peuvent à tout moment se retourner et cela malgré presque les deux années de travail que j'ai derrière moi. Peut m'importe. Le seul souci c'est qu'en faisant ainsi, j'ai comme des chaines au pied qui m'empêche d'augmenter ma force. Seul ce genre de mission dont les mésaventures sont aussi imprévues peut me faire évoluer. Quand vous regardez la tournure de la mission vous en comprenez ce que je dis. Passant d'un simple meurtre pouvant se faire d'un coup d'épée donné en traitre, nous passer à un leurre ayant pu me poser dans une zone plus que risqué qui fut ensuite changé par la raison de mauvaise information. Là une course-poursuite fait route pour ensuite affronter une adversaire et cela proche d'une frontière que si je franchis déclare automatiquement à la mort. Le tout face à une adversaire qui semble avoir quelque ressource en matière de combat.

Ses deux-là, palabrent je ne sais quoi. À vrai dire en entendant le début de la conversation j'ai su de suite que d'écouter le reste serais futile. Sans aucun intérêt. Donc ne pas écouter ces paroles en devient ce qui me gênerait le moins. D'un thon ignorant, je regarde plus ça gestuelle que ses lèvres recomptant des choses qui de mon côté en me connaissant sait futile. De toute façon même en me rendant cet homme j'aurais simplement tué et ensuite continuer le combat contre elle. Un combat inutile en sommes, mais fait simplement par mon pur plaisir.

Fais-moi rouler ça tête je te laisserais passer avec le reste du corps.

Le reste du corps du moins mais pas elle. Elle, je me la réserve pour mes pulsions meurtrières. Le danger est bien présent pourtant cela ne change en rien à mes habitudes. Mon marteau en main. Je me mets à lancer l'assaut. Positionnant l'arme en face de moi la tête se sépare du reste de l'arme pour foncer droit sur la jeune fille. Fondant l'aire de sa grande corpulence vers la zone où sont les cinq illusions. Les hostilités ont maintenant réellement commencé. Pour la suite. Je ne sais guère comment ses sortes de double vont réagir. J'ai eu plusieurs fois, voir à chaque combat eu affaire à ce genre de chose et à chaque fois ses répliques ont des idées astucieuses à faire. Mon marteau agissant sur deux actions. La suite va être faite celons la réaction de ses paires.

hrp:

Les clones servirent finalement à quelque chose, jauger l'adversaire. Et sa première action m'en dit bien long sur ses inttentions, me faire la peau. En effet il avait visé la copie la plus proche du Samouraï. C'était donc comme ça qu'il voulait que l'on procède ? Il avait donc décidé d'agresser un ninja de Kumo sans prendre la peine de cacher son identité ? Soit il voulait vraiment tuer cet homme, soit il cherchait à amplifier ou déclencher un conflit déjà larvé entre les deux grandes nations; mais l'une ou l'autre de ces solutions impliquaient le même problème, je devrais me battre, malgré ma volonté à éviter l'affrontement et faire régner la justice la plus... juste. On m'eut souvent dit qu'on ne pouvait pas faire confiance aux Sunajins, car il n'étaient qu'une bande de Nukenin formant une organisation derrière les remparts de ce qu'ils appelaient "village caché du sable".

Et bien... Je n'allais pas lui laisser plus de temps que nécessaire, mes aiguilles plantées dans le sol retentirent sur le passage du marteau, sous le vent qu'il dégagea, du fuuton ? Certainement, il me faudrait alors être particulièrement prudente quant à ce que j'allais faire. Au moins mon genjutsu de clone avait-il atteint sa cible, vue que le sunajin en avait visé un. Certes mes doublures demeuraient passives et incapable d'agir, sur le plan du combat, mais comme tout clone, elles avaient cette particularité de reproduire mes mouvements. Aussi, l'homme me barrant le chemin ne pouvait pas me distinguer d'entre les autres, tout n'était qu'illusion à cet instant, et d'ailleurs le "clone" qu'il avait transpercé ne disparut pas, il n'était que vision, qu'invention de l'esprit, que perturbation de chakra... alors, à moins d'être devin, à moins d'être un expert en genjutsu ou en sensorialité, il ne pourrait pas comprendre si facilement, du moins c'était ce que me dictait ma logique, et tout le monde sait que d'une personne à l'autre, la logique; ça change.

Revenons en aux clochettes. Elles tintèrent devant le pont de pierre et de bois; résonnèrent bien audiblement, et loin. Je fis alors un premier signe, usant des ondes sonores propagées jusqu'au gaillard, une technique sans grand impact mais elle pouvait gêner même le plus aguerri des guerrier et, sans attendre de voir si cela avait fonctionné j'en employai une seconde passant elle aussi par les ondes sonores dégagées par les clochettes, puis je fis un autre signe, et cette fois-ci fus parcourue de décharges électriques, enfin; rien de douloureux. En fait mon chakra, manipulé en raiton, se chargeait d'établir comme un "pont" entre mon cerveau et mes muscles, lesquels gagnèrent simplement en vitesse de réaction, de mobilisation et tout le blabla qui va avec. Je pris mon élan vers le pont en tirant le dénommé Gali derrière moi. Je ne cherchais pas le contact avec ce ninja, seulement à passer et rejoindre mes confrères des nuages.

Mais, inconsciemment j'espérais qu'il m'en empêche, parce que j'aurais voulu le voir affronter l'avant garde du village, celle chargée de contrôler les accès stratégiques telles le sentier perdu, ou les bois nuageux... Enfin. Peut être que ma succession de jutsu ne servirait à rien et que, par un miracle inespéré, le Sunajin parvienne à se remettre en position, récupérer d'une nausée fulgurante même si passagère, puis d'une surdité aussi éphémère que troublante, le tout en moins cinq secondes ? Qui vivra verra, je n'avais jamais douté de mes capacités, et cela ne commencerait pas aujourd'hui. Au moins, on ne pourrait pas jeter la pierre à Kumo en cas de conflit, c'était plus que sûr.

Résumé & techniques:

Quesque je fous là moi hein dite ? C'est vrai quoi. Une pseudo-mission ou l'on doit tuer un type dans le pays voisin. Cependant tuer pour le travail me réjouit plutôt pas mal. Enfin c'est comme ça. Cent mettre c'est guère peux. Mon attaque fondant l'aire il vient transpercer les clones sans même le faire disparaitre une chose qui semble plus que surprenante, une action n'ayant que seul effet de faire retentir un son de clochette. Un son sourd qui traverse mes oreilles. Un signe de main de la jeune qui semble venir me remonter le whisky de ce matin. Je ne me sens pas vraiment bien et cela je le dis sans parler de la suite qui venait de me rendre sourd. Je commence à comprendre ce qui se passe et surement l'idée qu'elle a en tête. L'arme n'aurais surement pas d'effet sans un petit coup de pousse. Je me mets dans la logique Shinobi qu'elle va faire au plus vite et donc foncer tout droit. Et par derrière l'attaque devient invisible sans compter le bruit ne produit pas ses instruments et ses techniques. Le marteau ayant déjà commencé à faire demi-tour je libérant le sceau qui normalement fait face à la Kushiose. Le sceau désactivé une trentaine de Senbon volant les uns à côté des autres dans la même direction. Une attaque de base rapide, mais lancé ainsi elle en était encore plus car elle protège aussi de la vitesse du marteau. Je ne sais guère si cela suffira à la stopper, mais si elle passe la frontière il est certain que je ne l'aurais pas.

J'aime les combats quelle que soit la forme qu'il prend semer le Chaos et une chose donnant un piquant à cette vie, cependant ce genre de folie n'est pas de mon genre. Je suis une brute sans cervelle qui sait se donner des limites, même si je n'écoute pas ceux que l'on souhaite m'imposer. En tout cas je repris mes esprits. Ne sachant pas si mon attaque à encore fonctionner, je me prépare à tout. Que ce soit de l'échec à un potentiel achèvement de l'adversaire, tout comme la réussite même de la mission. Mon état revenant à la normal, je regarde autour de moi. Regardant un des sceaux que j'ai sur la poitrine je le regarde quelque seconde en pensant à une potentielle défense. Certain, je serre le poing. Ne sachant pas si ce poing sera utiliser pour finir le travail ou me forcer à ne pas continuer dans un camp protégé.

hrp:

Le Samuraï me suivait de prés, ma main était agrippé à ce dernier. Il avait compris qu'il valait mieux me suivre que d'aller avec ce Sunajin qui avait l'air de loin au redoutable que balourd. Ce fut la première en fait que je rencontrais un Sunajin, j'imaginais alors qu'ils étaient tous comme lui, comme nous autres de Kumo étions si subtiles.. J'avais eus chaud la première fois, mais cette fois cela ne se passerait pas de la même façon, j'utilisais l'onkyoton avec de plus en plus de dextérité, la suite était donc assez prévisible. Alors que nous courions toujours, je fis un unique signe. Un son aigüe se propagea rapidement en arrière. Une onde sonore à peine perceptible pour l'humain mais causant des dégâts, comment dire, psychologiques. Cette techniques devrait l'empêcher de me viser correctement, c'était quasiment sûr en fait, comment pouvait on esquiver un son ? Ca y est, enfin mon pied se posait sur le pont, j'arrivai à la moitié finalement. Je ralenti en observant le Sunajin, le Samuraï se retrouva derrière moi. Et la à ma grande surprise, je vis des senbons arriver, comment pouvais les esquiver ? Les éviter ? Je fis un pas en arrière et avant que je me fasse impacter par les aiguilles, le Samuraï me poussa et s'interposa. Toutes les aiguilles se plantèrent profondément dans son corps, et le sang afflua.

"Tu m'as protégé ? Pourquoi ?"
"Acte de... bonne foi ? Oh, mais ne t'inquiète pas, il en faut plus pour me..."

Et il tomba comme une pierre. Le problème des senbons était qu'ils pouvaient toucher toutes sortes d'organes. J'allais m'occuper de lui mais marteau arriva à son tour, je fis un nouveau signe, et un fouet électrique se forma dans ma main, et je fouettai le marteau avec celui-ci. Il fut repousser au loin, vers son propriétaire. Je mis un genou au sol et pris son pouls, il respirait toujours. J'allais me relever, mais ma vision se troubla, j'avais utilisé trop de chakra. Mes jambes flageolaient, je n'avais quasiment plus de chakra en fait. Ce fut à cet instant qu'un homme portant le bandeau de Kumo apparut à côté de moi et du cadavre. Il me parla, et au Sunajin par la suite.

"Hiryuu, tu as bien mené ta mission, nous prenons la relève."
"Ninja de Suna, retourne chez toi; nous nous occuperons de la sentence de cet homme à Kumo."

Étais-je hors de danger ? Rien n'était moins sûr.

Spoiler:

Les actions se suivent avec rapidité. Les combinaisons de n'importe quel côté que se soit de Kumo ou de Suna sont plus que bien rôdé. Cette femme me fait jouer à des coups aussi mesquins qu'imprévisible, une chose qui dois palier la vitesse et aux entraves quelle exécute. Bien sur je ne suis pas ligoté, mais agir physiquement avec le statut qu'elle m'a mis est plus que compliqué. Enfin les Senbons prenant la direction de la Ninja de manière plus rapide grâce à l'élan du marteau. Cependant une chose arrive qui fut plus qu'étonnant, c'est la réaction du tueur protégeant une personne l'amenant à son jugement. Il est évident que même sans elle cet homme avait autant de chance de finir à Kumo avec les deux gardes gardant le pont mais avec un étant bien plus correcte. Enfin s'ils ont bien entendu la fièvre et l'honneur de Kumo en eux ce qui a leur gueule de rat ne fais aucun doute. Mon attaque a donc bien touché quelqu'un, mais je n'en demandais pas autant que ma chère cible, je le regarde avec un sourire narquois. Seule une chose semble plutôt embêtante. Il a passé sur le pont qui est en surveillance. Suna et Kumo ne sont pour le moment pas en guerre et donc les allés et venus dans le Pays est autorisé même si l'entrer est surement surveillé et bien sur inspecté avec tout se qui s'en suis. En mission directement à l'encontre d'une de Kumo peu de chance qu'ils me fassent entrer surtout maintenant que l'on connait ma tête. Enfin maintenant cela importe peux, enfin je ne suis pas certain de toutes les subtilités et loi. Je ne sais même guère s'il faut une autorisation spéciale pour entrer dans le Pays. Peu de chance il y à trop d'aléa pour cela. Le samouraï tombant à terre la femme semble fatigué. Non épuisé mais ça course semble lui avoir pris plutôt pas mal en chakra. Un ninja s'approchant se met à me parler, me disant de rebrousser chemin. Un de ses hommes encore sur de lui. Comment je peux critiquer ce genre de caractère qui est aussi dans mes habitudes. Cependant je n'ai guère l'impression d'avoir un monstre de combat face à moi. Enfin m'en prendre à des criminels comme j'ai fait pour l'instant et à un garde d'un grand village sans raison change la donne. Cependant laisser ma cible vivante est hors de question. J'ai un ordre de mission qui même s'il n'est pas encore dévoilé montre bien que l'homme qu'ils protègent de moi est un criminel de notre nation. C'est donc en usant de ma manipulation du Kinton que j'utilise une technique subtilement directement sur un Sembon déjà planté sur le corps de ma cible. Un Senbon qui touchera un organe tuant à coup sur cet homme. Un senbon s'enfonçant tout seul dans le cœur d'un coup sec, rendant un des battements de son cœur trop lent et donc cumulant le sang dans cet organe qui lui donnant une mort ressemblant à une crise cardiaque. Le temps qu'ils comprennent que cela vient du cœur et qu'ils trouve quelle Senbon est la cause. La mort sera depuis longtemps sans retour possible. Un tour que j'ai réussi grâce à une de mes techniques. Me permettant de contrôler une arme à distance. En même temps que cette mort je me mets à dire à mon nouveau interlocuteur.

Pas vraiment je suis chargé d'amener se type a Suna mort ou Vif, se mec à tuer chez vous un de nos concitoyens Suna le demande.

L'homme venant juste de mourir je me met à continuer mes dires.

Ha ben il est maintenant mort. Donnez-moi le corps il vous servira à rien et sera surement un réconfort pour la famille de ça victime. Surtout que maintenant vous n'avez plus aucune raison de le garder, sauf si vous voulez allez à l'encontre d'une mission qu'à Suna envers un de ses criminels sans raison.

Bien entendus je m'en contrefoutais, ce qui m'intéresser c'est de prendre le cadavre pour que ma paye arrive plus rapidement dans ma poche. Le Samurai mort devant les Kumojins. Ma mission sera surement produite d'une demande de justification devant les grandes instances et donc prouvera quand même de la réussite de ma mission. J'attends. Envoyant le titre de mission à l'homme en face de moi. Sur mes gardes, prés à activer le sceau sur mon corps en cas de représailles.

hrp:

J'observais le corps du Samuraï inanimé. J'avais rapidement compris de quoi était capable ce ninja de Suna. Je ne venais pas des mêmes sphères que la plus part des ninja de Kumo, néanmoins, ce qui me mena ici n'était rien d'autre que mon sens de l'observation. Les aiguilles avaient bougé, je me doutais de la provenance de ce mouvement improbable. J'allais lui adresser la parole afin de lui exprimer toute la colère que je renfermais mais alors que j'ouvris la bouche, le jônin ici présent, tout proche de moi; me fit un signe. Je devais garder le silence. C'était lui qui allait prendre la parole. Je supposai qu'un jônin aurait des choses plus intéressantes que moi à dire, ou tout au moins il avait d'autres responsabilités, probablement.

"Je suis un Jônin de Kumo. Vous êtes ici sur le territoire de Kaminari. Ce qui se passe au pays de la foudre, reste au pays de la foudre. Vous devriez avoir honte de venir empiéter sur nos affaires. Suna doit énormément à Kumo, sa création entre autre. La prochaine que vous mettrez les pieds sur le notre territoire nous vous éliminerons sans somation, Goren de Suna. Si vous souhaitez récupérer ce corps, osez traverser ce pont; cependant je doute que vous puissiez revenir sur vos pas. Bien, il semble que vous ne puissiez nous affronter pour ce cadavre."
"Il est mort ?" Demandais-je à voix basse.
"Peut-être, peut-être pas. Ce ninja n'est pas assez subtile pour toucher un organe vitale à l'aide d'une volée de senbon et une vulgaire manipulation du Kinton. Enfin, la mort ou la vie, en prison; ça ne fait pas une grande différence, Hiryuu. Rentre au village maintenant. Nous rentrerons par la suite."

Je fis un simple signe de la tête, et reparti vers le village. J'étais assez fatiguée et un goût amer me restait dans la bouche après ces événements. Je n'aimais pas les criminels mais celui-ci avait quelque chose de particulier, un brin d'honneur, ou d'honnêteté malgré tous ses actes pour le moins abjectes. Enfin, maintenant; mon travail été fini. Je m'enfonçais dans le bois jouxtant le pont, sans me retourner que ce soit pour le samouraï ou pour le Sunajin. Je pensais déjà à mon retour et aux autres tâches qui m'attendaient, mais aussi à mon repos qui serait bien mérité, repos et autre...

Spoiler:

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