Le mont Kaliash, principale attraction touristique du pays de la neige, adulée par les skieurs du monde entier pour ses nombreuses et vastes pistes de toute sorte. On y trouvait de la neige toute l'année, comme dans tout Yuki on kuni a vrai dire. C'est la diversité de ses attractions, toboggans gelés, de nombreuses pistes en tout genre, qui en ont fait une destination touristique réputée. En s'aventurant un peu plus haut dans la montagne, on y trouve de gigantesques descentes de poudreuse s'étendant sur de vastes distances, propices pour les amateurs de ski hors-piste, de petits bâtiments, des refuges avaient même étés aménagés pour ceux-ci, très utiles en cas d'intempéries trop importants ou simplement pour se reposer. C'est là que les deux frères se rendaient. Deux touristes étaient partis pratiquer le ski hors piste dans les hauteurs de la montagne, une avalanche, frappant d'un seul coup comme un coup de tonnerre, avait tout emporté sur son passage et les deux touristes n'avaient, depuis, toujours pas réapparu. Les deux Genins étaient chargés de retrouver les deux skieurs le plus vite possible, le temps était compté.

Les deux frères entamèrent donc leur ascension, ils ne mirent pas bien longtemps à rejoindre les hautes montagnes où les deux skieurs avaient été aperçus peu avant l'avalanche. Akio avait quelques craintes concernant le temps qu'ils mettraient pour monter, il serait peut être difficile d'avancer dans la poudreuse, mais tout ça n'était pas plus compliqué que de courir sur de l'eau. Au bout de seulement quelques minutes, Akio et Sasurot arrivèrent à un refuge dans lequel un témoin les avait vus. L'endroit, ayant pour seul but d'abriter les skieur et randonneurs avait plus des airs de bunker à l'abandon qu'autre chose. 
Ils pénétrèrent à l'intérieur, jetèrent un rapide coup d'œil à la recherche d'un quelconque indice, en vain et commencèrent alors les recherches.


Je propose qu'on se sépare, nous irons plus vite comme ça. Le temps est compté.
Balayons le terrain méthodiquement, chacun sa zone, je reste ici et toi, occupes toi de l'autre côté. Fais comme tu veux, mais fais vite, on a plus beaucoup de temps

Akio commença alors. Il sorti sa flûte, se concentra et commença à jouer et ferma les yeux.

Spoiler:

Il se concentra sur la musique qu'il produisait, la transférant dans le sol en la faisant passer par ses pieds. L'onde sonore pénétrant dans le sol rebondissait et lui revenait, étant préalablement passée sur tous les obstacles rencontrés, lui permettant d'identifier ce qu'il y avait sous la neige. Chaque pas lui permettait de sonder une nouvelle partie. Au bout d'un moment et après n'avoir trouvé qu'un gant et une vieille botte, Akio désespéra et rejoint son frère, espérant que ses recherches aient été fructueuses.

Nous avons étaient envoyés rechercher de skieurs pomer dans la montagne qui s'amusaient à faire du hors-piste et une avalanche leur serait tombé dessus et depuis ça, plus aucun signe de vie d'eux. 
Du coup Akio et moi devons nous dépêchaient de les retrouver avant qu'ils ne meurent enseveli sous je ne sais pas combien de mètre de neige. 
Au départ j'était partant même très enthousiaste, je me suis dit que sa aller être un jeu d'enfant mais après avoir vu le périmaitre sur le quel nous devont chercher, je doit avouer que je suis légèrement moins motivé, mais bon, si je veux devenir plus fort il faut aussi passer par la je suppose. 

Au début de nos recherche, nous avons cru être préférable de s'informer du parcours habituel possible que pouvait prendre les deux skieurs auprès de leurs éventuel proche mais ça a été un succès nul. Nous nous sommes donc tournés vers un guide pour lui demander une carte représentant les différents refuge qui se trouvaient en hors-piste, on sait jamais, ils ont peut être eu le temps de s'habriter sous l'un d'eux.

Après nous étrent bien équipé pour la montait en montagne, Akio et moi nous sommes dirigeaient vers le seul refuge qui se trouvait dans la zone hors-piste. Au bout d'environ deux longues heures de marche sur cette poudreuse, sans compter les quinzes minutes où je bombardait mon frèro de boule de neige, nous arrivons enfin au refuge et on ne peut pas dire qu'il ne savait pas porter son nom car vu l'épaisseur des mures si s'était pas un refuge, j'aurais appelé ça une base antit kunaï explosif comme ont en faisait pendant la deuxième grande guerre ninja. 

Nous avons donc jetés un coup d'œil à l'intérieur mais comme on si attendaient malheureusement, il n'y avait aucune trace de quoi que se soit.
C'est à se moment-là où Akio eu l'idée de nous séparer pour avoir un meilleur périmaitre de recherche.
Bon reste plus cas chercher sous la neige vu que le seul habrit où on auraient pus les trouver est vide. 
Je prit donc ma barre d'acier pour m'en servir comme pelle, de toute façon qu'est-ce que j'ai à perdre en faisant ça. J'ai juste à creuser une montagne entière rien de plus. Je commença à creuser mon périmaitre et environ quinze minute plus tard mon frangin ma rejoigna. 

Les avait-il déjà trouvé ? Ou il a juste abandonné parce qu'il y a trop à chercher ? 
M'avançant vers lui pour lui poser la question il me devança en me demanda si j'avait trouvé quelque chose. 
Remettant ma barre dans mon dos je lui répondit. 

Non que dalle, je me demande si on va arrivaient à les retrouver ces deux là. 
Et toi tu fou quoi sur mon secteur, tu abandonne déjà ? 

J'ai fini de sonder mon secteur, et toi ? Où en es-tu ?

Akio n’attendit pas la réponse et aida Sasurot pour son secteur, toujours en vain, mais soudain, Il aperçu de la fumée. La fumée ne venait pas de très loin. Il fallait s'en approcher. Akio repris espoir, peut être était ce un signe des deux touristes, ou peut etre etait-ce un camps ennemi caché dans la montagne. il fallait rester prudent.

Avançons vers cette fumée, là bas, c'est peut être les skieurs que nous cherchons qui nous envoient un signe. Mais ça vient peut être d'autre chose, donc pas un bruit.

Il valait mieux prévenir Sasurot, le connaissant, s'il s'agissait d'un camp ennemi, les deux garçons pourraient ce retrouver en mauvaise posture, juste à cause de son légendaire enthousiasme. Akio vu que son frère allait répliquer, dire quelque chose, Il l’interrompit alors d'un geste avant même qu'il n'ai commencé à parler.

Pas un bruit.

Les deux jeunes genins partirent alors pour l'origine de cette fumée. Ils se camouflaient comme ils le pouvaient, rampant dans dans la neige pour ne pas être repérés. Plus ils se rapprochaient, plus la tension se faisait grande. Alors Ils rampèrent pendant un moment sans s’arrêter, c'était finalement plus loin que ce qu'ils ne s'étaient imaginés. Arrivés aux abords du point d'origine de cette fumée, Akio demanda à Sasurot, ayant une meilleure vue que lui dire ce qu'il voyait. Mais Saurot ne lui répondit pas de suite, Akio remarqua alors que c'est l'odorat de son frère qui s'exaltait le plus, alors que celui-ci faisait une tête d'idiot réjoui. Il regarda alors de plus près, il n'en revenait pas. Il s'élança alors, avant que son frère ne réagisse. Il se trouvait en face d'un chalet blanc, camouflé dans la montagne, un très grand chalet devant lequel les deux touristes étaient tranquillement posés devant un barbecue.
Il se jeta alors juste devant l'homme qui s'occupait du barbecue. Il était très vexé.

Il ne fait pas un peu froid pour faire un barbecue ?

L'homme sursauta alors et dans son élan de panique, menaça le jeune homme avec l'outil dont il se servait. Akio s'en saisit d'un coup, lui arrachant son arme et lui tendi la main d'un air mécontent.

Gakkinasaru Akio, Ninja du village de Kiri chargé de vous retrouver.

L'homme eu un moment d'hésitation puis attrapa la main du genin et sourit.

Vous savez, j'ai mis une petite fortune dans ce barbecue que je peux utiliser quelque soit le temps, comme dans ce chalet d’ailleurs. Je vous en prie, asseyez-vous !

Akio lâcha sa main, se retourna et voulu refuser. Il n'avait aucune envie de rester avec ces touristes qui leur avaient fait perdre leur temps.

Non merci, vous allez nous suivre jusqu'...

Soudain, il fut interrompu par son frère, déboulant d'un coup, poussant son cri de guerre fétiche : MANGER !!
Akio posa la main sur son front, désespéré, et soupira.

Oh, c'est pas vrai ?!

Il avait déjà fini de fouillé son secteur, ce moque de moi le frèro, il a du utilisé sa flûte à coup sur pour chercher, de la même façon qu'il le faisait avec sa guitare quand ils étaient petits, et qu'il devait le retrouver. 
C'est injuste d'avoir une technique comme ça, surtout que moi à coter de lui je creuse avec ma barre d'acier... 
Mais bon ! Tant pis ! Le principale à savoir c'est qu'il ne rester plus cas chercher au niveau de mon secteur vu qu'il a fait le sien. 

Akio se joignit donc à moi pour m'aider à chercher sur mon secteur. 
Rien, rien pendant presque plus d'une heure de marche, jusqu'au moment où Akio aperçu une fumée s'élevant assez haut dans les aires. 
Akio me dit que cette fumée provenais peut-être d'un feu que les skieurs que nous cherchions auraient allumées ou peut être d'autre chose et qu'il faudrait donc s'en approchait doucement car on ne sait jamais. 

Je suis d'accord avec lui c'est bien beau de se déplacer aussi vite qu'une tortue pour ne pas se faire repérer mais si c'était vraiment les skieurs, pourquoi ne pas les appeller tout de suite ? Comme ça on est sur si c'est eux où quelqu'un d'autre. 
J'allais informer mon frèro de mon idée et que ça ne comporter aucun risque mais celui-ci me stoppa avant que je ne puisse placer un seul mot et en enchaînant pour me dire de ne pas faire de bruit. 

Après ça il me dit de faire comme lui, c'est à dire rampé sur presque cent deux-cent mètres pour arrivée au lieu d'où provenait la fumée. J'aurai mieux fait de crier, la au moins on auraient était fixés pas comme là où l'on doit ramper pour arrivait à l'endroit. Mais bon, ce qui est fait est fait et de toute façon si je cris, Akio commencerait à m'engeuler, j'en suis presque sur. 
Nous avançons donc vers le lieu dit, puis Akio me demanda de lui dire se que je voyait. 

Bof pas plus que toi, deux personnes, un chal...

Mais avant que je puisse finir, le frèro s'élança d'un bon en direction des personnes. Et après c'est moi qui doit rien faire hein...! 
Arrivée à leur niveau Akio entama une petite discutions avec la personne s'occupant du barbecue. 
A ce moment la j'entendis l'interlocuteur de mon frère, qu'il lui proposait de s'installer... Cela voulais surtout dire qu'il nous invitait à manger avec eux ! 
Sans perde de temps je descendi la pente de neige et arrivait devant eux je balança 

Yo, je me nomme Sasurot, je suis aussi un shinobi charger de vous retrouver et nous acceptons volontiers votre invitations.

Après avoir dit ça le touriste se présentât à son tour en souriant. 

Bienvenue à vous, je suis le propriétaire de se chalet et celui qui se trouve à l'entrait c'est un ami, nous sommes venu ici, car je viens de faire l'accisition de se terrain.

Après s'être présenter, il fit un signe à son ami de s'approcher pour saluent les nouveaux arrivant puis enchaîna. 

Je ne sais pas qu'est-ce que vous nous voulais mais vu votre allure vous ne nous voulais rien de mal je suppose, si vous le voulais bien, vous allez nous l'exppliqués autour d'un bon repas, du moins si vous le voulez bien.

Sans hésitez et surtout sans attendre la réponse d'Akio je prit les devants. 

Avec grand plaisir, en plus ça fait déjà un petit moment que l'on marche, j'ai vraiment la dalle !

Le propriétaire souris au jeune gouinffre puis guida les deux jeunes à l'intérieur de son chalet. 

Sasurot déboula d’un coup, attiré surement par l’odeur du barbecue de sortie chez les deux skieurs. Ceux-ci invitèrent les deux frères à les rejoindre. Les touristes ne savaient pas qu’il ne fallait jamais inviter l’estomac sur pattes tout de noir vêtu qu’était Sasurot, les malheureux allaient créer un monstre. Sasurot se présenta donc à son tour aux deux touristes, mais sans quitter, pas même un instant le barbecue des yeux. Il ne faisait mine de rien mais Akio ne se laisserait pas berner, il savait que le véritable objectif de son frère restait de pouvoir engloutir toutes les différentes rations de viande qui cuisaient sur le barbecue si particulier capable d’être utilisé quel que soit le temps.
Le touriste se présenta aussi, comme pour répondre aux deux jeunes garçons, puis il enchaîna

Je ne sais pas qu'est-ce que vous nous voulais mais vu votre allure vous ne nous voulais rien de mal je suppose, si vous le voulais bien, vous allez nous l'exppliqués autour d'un bon repas, du moins si vous le voulez bien.

Leur allure ? Akio regarda sa tenue, il ne comprit pas immédiatement la réflexion du skieur hors-piste. Il était déjà vexé d’avoir perdu son temps à les rechercher dans la neige, en vain, avec la pression qu'on leur avait mis... il devenait de plus en plus suseptible et commença à prendre mal tout ce qu’on lui disait.
Ils rentrèrent alors tous à l’intérieur du grand chalet. Ça ne plaisait pas à Akio mais au point où ils en étaient autant valait mieux suivre, de toute façon, Sasurot ne partirait pas maintenant sans avoir touché sa part de nourriture. Akio était impressionné, tout était encore plus grand dedans que dehors, les deux hôtes étaient effectivement très riches. L’entrée donnait sur un long couloir bordé de meubles assortis aux murs, sur toute la longueur, sur lesquels étaient disposés toute sorte de bibelots. Akio les observait attentivement, il les trouvait amusants. Il s’arrêta sur une petite sculpture en porcelaine représentant un chat. Curieux, il la toucha du bout du doigt et celle-ci bascula et s’éclata en une multitude de petit morceau blanc qu’il s’empressa de regrouper et de dissimuler sous un des tapis, ni vu, ni connu.

Une fois rentré au chalet, les deux frères tombèrent sur une multitude de meuble et de tableau. Le jeune Nura trouve tout cet intérieur plutôt "moderne" au niveau de l'endroit où il se trouvait, tout en regardant un à un les meubles qu'il trouvait plus beau les uns des autres, il s'arrêtat sur la table. C'était une table assait grande pouvant contenir environ une dixaine de personne, elle était faite d'un boi particulier, car il brillait comme si on avait versé un bidont entier dessus, sa rendait la table agréable à regarder. 
Sur cette table, il y avait déjà des couverts de mis pour deux personnes mais un des deux skieurs s'empressé de couriger ça en rajoutant des couverts pour les deux jeunes shinobis. 

Je m'approcha du skieur avec qui je venais de parler précédemment, puis je rouvri la discution. 

T'a des meubles superbe mec, tu a du y depensser une fortune dedans et cette table, tu la trouvé où ? Et pourquoi y'a des reflets comme ça ?

Le nouveau propriétaire souri au jeune Nura. Il se mis limite à rire devant lui qui n'avait pas l'air de savoir pourquoi il réagissait comme cela, puis lui repondi. 

C'est meuble ne mon rien coûter si je puis dire, car ils viennent de mon défunt oncle qui venait de les acheter avant de mourir sûrement de vieillesse  mais il n'a malheureusement pas pu en profiter et vu que j'était sa seul famille, il ma léguer tout ses bien.

Après avoir dit ça, il se rendi compte qui venait de légèrement plomber l'ambiance sauf pour le jeune shinobi qui n'avait pas vraiment l'air affecté et qui attendait la suite alors il continua. 

Et pour répondre à ta question c'est très simple, la table a était scirée c'est pour cela qu'elle a des "reflets" comme tu dit.

Sasurot heureux d'avoir appris quand scirant un meuble, il pouvait briller, commença à parler de son sujet favori. 

Ooh d'accord et c'est sur une si belle table que nous allons manger, ça m'ouvre encore plus la dalle maintenant ! 

Je m'avança ensuite vers la table puis je mis assaya en bout et je regardai le frèro qui regardait les placards et autres tableaux, statuettes tout en attendant le pote du propriétaire qui était parti chercher le festin. 
Ça santé déjà super bon mais en voyant le repas arrivait mes yeux brillait, enfin je vais pouvoir me remplir le ventre, enfin je vais pouvoir me régaler au chaud en plus de ça. 
Restait plus cas attendre les autres arrivaient. 

Akio s'empressa de rejoindre les autres qui s'étaient déjà enfoncés beaucoup plus loin dans le chalet. Il espérait ne pas rester trop longtemps dans le chalet de ces personnes qui l'exaspéraient déjà. Ils avaient perdu leur temps à les chercher en vain sous la neige alors qu'ils étaient tranquillement installés dans leur chalet secret. Mais ce n'était pas gagné avec Sasurot qui sympathisait de plus en plus avec eux. Ils lui avaient même proposer à manger. Sasu n'était pas prêt de décoller. Ils étaient maintenant en train de discuter des meubles de la maison. Ils arrivèrent alors à la grande table sur laquelle l'un des deux skieurs rajouta deux couverts. Akio poussa un soupir, désespéré.

Sasurot manifesta ensuite son intérêt pour la grande table sur laquelle étaient maintenant placés quatre couverts. Il demanda au propriétaire la somme d'argent qu'il avait du dépenser pour l'acquérir. L'homme lui répondit qu'il l'avait reçue en héritage après la mort de son oncle. C'était évident, il manquait quelque chose ! il fallait que Sasurot fasse une bourde quelque part. Et ça n'avait pas l'air de le déranger, ou même de l'atteindre de quelque manière que ce soit. Et alors qu'un malaise pesant s'installait petit à petit dans le chalet, le propriétaire enchaîna en expliquant à Sasu qu'il suffisait de cirer un meuble pour en obtenir des reflets. Mais le bougre ramena très rapidement la conversation sur son sujet favori : La nourriture. Il s'installa ainsi en bout de table sans même y être invité.

Akio avait un peu honte du comportement de son frère qui ne savait décidément pas se tenir en société. Il alla donc s'installer à coté de Sasurot qui avait déjà l'air de s'impatienter. Il se rapprocha et lui murmura d'un air autoritaire :

On ne reste pas trop longtemps, dépêche-toi !

Sasurot feinta de ne pas entendre ce que son frère lui disait. Ce qui avait le don de l'énerver. Il sourit alors d'un air sadique et pinça fortement Sasu avant de lui répéter d'un air agacé.

Ne fais pas semblant de ne pas comprendre ce que je te dit, dépêche-toi maintenant.

Mais lorsque que l’hôte amena la nourriture sur la table, Akio vu les yeux de son frère s'illuminer. Akio porta alors la main sur son front. Il était désespéré. En relevant la tête, il vu que le propriétaire du chalet le regardait d'un air interrogatif, il se redressa d'un seul coup et lui demanda alors :

Lorsque nous aurons fini de manger, accepteriez-vous de nous accompagner en ville pour confirmer que vous êtes en vie aux personnes qui s'inquiètent pour vous et nous ont envoyés ici pour vous chercher ?

Aaaah ! le frèro à enfin décidé de se ramener à table. Il s'assit à coter de moi avec son aire agacé et juste après il me pinça le bras pour me dire de me dépêcher et d'arrêter de l'ignorer. Commen ça l'ignorer ? Il vient juste de s'assoire et c'est presque si il veut déjà m'engeuler. 

Mais je n'avais pas le temps de m'occuper de lui, car le repas venait d'être déposé sur cette belle table. Le repas n'était que viande, viande et viande, il y avait des brochette de boulette épicé, des brochettes de poulet, des morceaux de bœuf mélanger aux oignons.... j'étais au paradis, il y en avait tellement et l'odeur était merveilleuse et comme pour me faire encore plus plaisir le propriétaire nous déposa à chacun, un grand bolle de nouille pour accompagner à toute cette viande. 
Je ne savais pas où mettre la tête. 

Après que le propriétaire et son pote se soit assis l'un à coter de l'autre, je pouvais enfin me servir, du moins je pouvais, avant qu'Akio décide de se lever comme pour arrêter ma lancait et commençe à parler aux deux hommes qui se trouvaient en face de lui. 
Il leur demanda, s'ils voudraient bien nous suivres après le repas pour montrait qu'ils était bien en vie et que leurs proches n'est plus à s'inquiéter. 
Le propriétaire le regardât, se leva comme lui, je ne sais d'ailleurs pas pourquoi ils se lèvent tous, ils veulent pas qu'on mange tranquil ? On peut très bien parler assis et manger en même temps, je ne comprend décidément pas grand chose comme d'habitude...  puis après d'être lever il lui répondit. 

Bien évidement, cela va de soit, mais pour le moment nous allons commençait à manger. Car vous parler déjà de la fin du repas avant d'en avoir touché ne serait-ce un bout. 
Maintenant asseyez-vous et par pitié détendez vous, un repas c'est un moment pour se d'étendre et pensait à autre chose. 

Il fit un signe de la main à Akio pour qu'il se rassoie puis s'assit à son tour.
A ce moment-là je lança d'une façon très joyeuse, le bras levé. 

Maintenant c'est l'heure de manger ! Bonne appétit ! 

Cela a fait rire le skieur se qui remit un peut d'ambiance. 
Après ça j'ai enfin pus commençait à manger, j'ai entamé directement les boulettes épicés, elles étaient délicieuses. 
Pendant tout le repas je parlais avec les deux skieurs, de plats aux quels nous aimerions goûter un jour, tout en mangeant le plus possible pour ne pas gâcher toute cette belle nourriture. 
J'adore vraiment se genre de mission. 

Et Sasurot bien sur continua a ignorer son frère. Il n'attendait plus que le repas pour pouvoir évidemment l'engloutir, tel un animal attendant le passage de sa proie avant de se jeter dessus et la dévorer. Et quand le plat fut à sa portée, les étoiles dans ses yeux ne se faisaient que de plus en plus scintillantes. Les différents assortiments de viande occuperaient bien Sasurot pendant un bon moment. Akio ne quitta pas son frère des yeux, le fusillant du regard. Ses yeux lançaient des éclairs, s'ils avaient pu le foudroyer sur place, il l'auraient fait. Puis il recommença à le sermonner d'un air agacé.

Bon, Sasu, maintenant tu...

Soudain, l'un des hôtes vint porter un bol de nouilles devant Akio. Il se tut d'un seul coup et, regardant, les yeux grands ouverts le dit bol, il se mit à rougir. Il s'en était toujours caché, mais s'il y a bien une chose qui le faisait craquer, c'était bien les nouilles. peut importe la garniture, sauce, tout ce qu'on pouvait rajouter ou enlever, il ne pouvait pas y résister. Il avait un peu honte, se sentant comme Sasurot. Et alors que l'homme en face de lui lui répondit qu'il était d'accord mais qu'ils mangeraient d'abord, il saisit ses baguettes. Il s'inclina ensuite vers lui tout en restant devant la table et, gardant ses baguettes en mains, s'excusa.

Oui, vous avez raison, veuillez m'excuser pour ma conduite, j'ai réfléchi dans la hâte, suivant tout simplement mon ordre de mission sans même respecter la bienséance. Maintenant mangeons bien tous ensemble, nous avons encore de la route à effectuer après cela.

Le jeune homme se releva ensuite puis ils commencèrent tous les quatre à manger dans une ambiance chaleureuse. Akio mangea lentement son bol de nouilles, discutant avec le propriétaire du chalet, lui racontant l'histoire et le mésaventure de cette improbable bâtisse construite dans un lieu si atypique. pendant ce temps là, Sasurot engloutissait sa nourriture morceaux après morceaux, assiette après assiette, le goinfre n’arrêtait pas. Akio regarda de l'autre coté de la table et fut étonné de voir que le deuxième homme avait l'air de suivre le rythme de son frère. Et il continuèrent ainsi pendant un bon moment jusqu'à ce que le drame arrive. Il ne restait plus qu'un seul morceau de bœuf sur la table, Et Sasurot semblait aussi déterminé que son concurrent direct à le récupérer. La tension était palpable, le propriétaire du chalet tout comme Akio regardait la scène avec un air inquiet, qu'allait-il se passer entre les deux gros mangeur, et lequel des deux remporterait le morceau de viande tant convoité ?

Mmmh...c'est vraiment extra, toute cette nourriture, tout c'est goût si différent, j'adore !  Ils s'avent vraiment préparer la bonne nourriture, qu'elle délice. 
Au fur et à mesure que je me régalait, je me rendi compte qu'il n'y avait pas que moi qui avait dépacé les cinq assiettes, l'ami du propriétaire avait l'air d'avoir le même plaisir que moi pour la bonne nourriture. Et ça c'est pas vraiment bon pour moi, je vais avoir beaucoup d nourriture à manger et vue qu'il a l'aire de manger au même rythme que moi, j'ai tout intérêt à choisir les plats les plus garnis, pour avoir au moins plus faim quand nous aurons fini car sinon je vais pas tenir pour le chemin du retour et je vais être obliger d'utiliser ma boîte de nouille pré-préparé...non au faite même si j'ai bien mangé, je la prendrait quand même. 

Nous enchaînons tout les deux, les plats tout en visant les plus gros plats. 
C'était vraiment bon mais la j'ai un rival et il faut que je puisse le battre, la nourriture c'est comme un combat, c'est celui qui mange le plus et aussi la dernière boucher du repas qui gagne. 
Et face à lui, je ne doit pas faiblir car il est vraiment coriace. 
À ce moment-là, je cru sentir mes yeux s'enflammer par se duel si délicieux et difficile en même temps.
Mais la, le moment tant redouté arriva... Ia dernière boulette de viande, située bien au milieu de la table, comme si ça avait presque était prévue pour se combat de nourriture. 
Nous avions bien compris que c'était sur le plus rapide que ça se jouait, il ne fallait donc pas flancher. Nous nous regardions droit dans les yeux pendant à peine quelque seconde puis nous sautions en même temps droit sur la boulette. 

Nos deux baguettes touchèrent en même temps la boulettes, se serrant sur elle qui eu pour effet de la faire s'envoler au dessus de la table. 
Mon adversaire sauta aussitôt dessu me placan sur la table et cru avaler la boulette de viande en entière. Il se rassit par la suite devant moi content de lui, du moins jusqu'au moment où je lui montras l'autre moitié de la boulette qu'il s'était empressé d'avaler. 
Je lui souris tout en lui disant. 

Match nul, j'ai l'autre moitié et moi contrairement à toi je vais la déguster.

J'avança lentement mes baguettes vers ma bouche pour bien montrer mon égalité avec lui et que moi je vais pouvoir déguster tranquillement cette dernière boucher. 
Je la mangea donc tranquillement sous ses yeux avec un grand sourir. 
À se moment la il se mis à exploser de rire, je ne compris d'abord pas pourquoi mais après mettre rendu compte que l'on venait de vider tout les plats à deux à une vitesse folle, je me mis aussi à rire derrière lui. 
Puis après nous êtres calmer, nous sortons naturellement mais sans le faire franchement exprès. 

Bien joué, c'était un beau duel !
Bien joué, c'était un beau duel !

La tension était palpable, les deux gros mangeurs étaient là, face à face, séparés par le fameux morceau de viande qu'ils convoitaient tant tous les deux. Alors le propriétaire des lieux exprima son inquiétude et s'assit par terre, passant sous la grande table pour s'y camoufler, s'y protéger. il s'exprima alors :

Oh non, ça c'est pas bon.

Akio le suivit sous cette grande table qui lui servait maintenant de bouclier pour échapper au cataclysme qui se préparait. C'était assez habituel que Sasurot se mette dans des états pas possibles à cause de la nourriture, mais ce qui était très inhabituel justement c'était de tomber sur une personne capable de le suivre dans sa gloutonnerie incroyable, et cette personne était aussi déterminée que lui à obtenir la dernière boulette de viande. Aucun des deux n'avait l'air de vouloir lâcher le morceau. Akio se demanda ce qu'il allait se passer, une chose était sure, ça risquait de péter et voler dans tous les sens du terme.

Akio rejoignit alors le Skieurs sous la table recommença à discuter avec lui.

Ca arrive souvent ça avec vous ?

L'homme lui répondit alors avec un air hésitant, levant les yeux au ciel pour ne pas croiser ceux du genin, comme pour mentir.

Non, pas très souvent, c'est même rare !

Akio le fixa avec un air insistant et parvint à obtenir la vérité.

Bon d'accord, oui ça arrive souvent, il est pourtant très calme habituellement, mais il se met toujours dans des états incroyable lorsqu'il s'agit de nourriture.

Akio esquissa un petit sourire, comprenant le propriétaire du chalet et continua.

C'est exactement la même chose pour mon frère,ça promet !

Sasurot et l'autre skieur se jetèrent alors, en même temps sur la-dite boulette de viande qui fut propulsée en hauteur à leur contact. Akio se cacha les yeux, il ne voulait pas voir ça. Il entendit ensuite un énorme bruit puis Sasurot dire quelque chose qu'il chercha à comprendre, en réfléchissant profondément. qu'avait pu dire son frère ? Qu'avait-il bien pu se passer ? Puis sa réflexion fut interrompue par des éclats de rires provenant des deux hommes. Akio ôta ses mains de son visage, regarda la scène, stupéfait. les deux hommes riaient ensemble ils ne se battaient pas ils riaient. Se frottant une dernière fois les yeux, Akio signala au propriétaire du chalet que tout était terminé avant de se relever d'un coup. Il réajusta son Kimono, toussa un coup pour se faire remarquer et s'adressa à tout le monde dans la pièce avant d'aider le propriétaire à se relever.

Bien messieurs, Si tout le monde à fini nous allons pouvoir y aller, nous sommes attendus en bas. Préparez-vous bien, nous allons descendre.

Le frèro avait parlé ! 
Il était vraiment préssé, à peine avons-nous fini notre repas, qu'il voulait déjà emmener nos nouveaux amis en ville pour montrer qu'ils étaient bien vivant. 
Peux être qu'il voulait déjà rentrer à la maison, après tout Akio à toujours aimer être dans "son monde". 

Les deux skieurs écoutèrent donc le frèro et commencèrent donc à se préparer. Ils enfilèrent leur manteau, prirent leurs papiers pour s'identifier au centre où la demande de recherche avait était lancé, puis il nous rejoingnirent à la sortie. 

Bon et bien...en route les gas !

Fit le jeune shinobi tout en levant son poing vers le ciel.
Le petit groupe commença donc à descendre la montagne, tranquilement, après tout ils avaient deux bonnes heures de marche à cause de cette neige et vue que les frérots n'avaient pas prit de ski, les skieurs ne purent donc pas prendre les leurs.

Pendant qu'ils marchaient, les deux morfales discuter encore de différent style de plats et de cuissons et autres assaisonnements qu'ils pouvaient appliquer dessus.
Au bout des deux heures de marche, le groupe arrivat enfin à destination, prêt à en finir avec cette histoire, qui était quand même cool au final. 
Ils arrivèrent au bureau où la recherche avait était lancé. 
Sasurot ouvrit donc le pat, sachant que son frèro ne feras rien, il prit donc la parole. 

Yo la galerie ! On n'est de retour avec vos soit disant "skieurs perdu".

Le jeune Kirijin sourit au deux hommes du bureau avec un aire moqueur puis reprit. 

Bon tout sa pour dire qu'ils sont la et qu'ils n'étaient pas perdu mais juste dans leurs maison en montagne, rien de plus.

Après ça le Nura laissa les deux skieurs s'occuper du reste. Le propriétaire du chalet et son ami, expliquèrent pourquoi ils n'avaient pas prévenu et ils demandèrent ensuite aux deux hommes de prévenir leurs proches avant de rejoindre les deux Genin pour les saluer. 
Le propriétaire commença donc les à dieux. 

Bon et bien merci à vous deux. 
C'était un réel plaisir de passer une journée avec vous même si sa était sous ces conditions là.

Les deux skieurs leurs serrèrent ensuite la main et Sasurot en profitât pour répondre. 

De rien mec, c'était vraiment cool et en plus votre bouffe était trop bonne. 
Je passerait un de ces quatre chez vous. 
Aller bye vous deux, rentrer bien.

Après ça, les deux groupe partirent chacun de leurs côter. 
Les deux frèro rentrèrent au palais pour informer le gouverneur de la fin de leur mission puis se dirigèrent vers leur appartement respectif.
Mais avant ça, Sasurot glissa quelques mots à son frère. 

Aah... C'était vraiment cool cette mission tu trouve pas ?

Puis il reprit après la réponse de son frèro.

Bon, bah moi j'vais me coucher, aller salut salut.