Plusieurs jours et mois se sont écoulés après mon arrivée chez Tonton Taï. Je sentais que ma puissance augmentait de jour en jour. Les entraînements du vieux sage devenait un peu plus facile pour moi. De plus, Repede et moi étions plus synchro dans nos mouvements et nos techniques. On se comprenait mutuellement. D'ailleurs, j'ai cru que, vu qu'on était devenu si fort, nous pourrions enfin retourner dans notre chez soi. Oui, j'avais tellement hâte de montrer ma puissance à ma famille. Elle serait tellement fière de moi. Malheureusement, ce n'était que le début. En fait, tous les parcours ultra-compliqués et les personnes que j'ai battu n'étaient qu'un putain de réchauffement pour les vrais épreuves. Merde! Non mais sérieux, déjà que ses ''réchauffements'' étaient bien difficiles, je ne veux guère m'imaginer les vrais épreuves. Souffrance, bonjour! Bref, me demandant de le suivre, Tonton fou m'emmena dans une pièce vide et sombre lumineuse. Dans cette pièce, la seule chose qu'il y avait, c'était le sceau collé sur le mur. Il était clair que je fronçai les sourcils en voyant ça, car je ne savais aucunement l'utilité de ce sceau, mais, de toute façon, je ne devais pas trop me poser la question ''pourquoi?'', vu qu'il n'y a rien de normal chez ce vieil homme. D'ailleurs, je crois qu'il a décidé d'aller vivre dans un endroit aussi perdu et éloigné des villages, car ses entraînements (enfin... ses réchauffements trop abusés) qui peuvent nous causer la mort soient très bien acceptés dans les villages. En même temps, c'est un peu normal, vu que je suis sûre qu'aucun chef d'un village souhaiterait de perdre des shinobis par de simples ''réchauffements''. Bref, le vieux sensei me demanda de lui prendre la main. J'ai reculé un peu en le dévisageant. Woah, minute papy! Il était hors de question que je touche ses sales mains dégueulasses. Cela pris au moins une bonne minute avant de placer ma main gauche sur son épaule droit. Il me dévisagea un peu, mais je lui répliquai avec un regard qui disait ''C'est ça ou rien''. Ensuite, il me demanda de coller mon chien contre moi et c'est ce que je fis. Maintenant que nous étions collés comme des sardines, je vis le maître du Taïjutsu faire quelques mudras avant que le sceau brille et pouf! Nous disparûmes de son palais pour se retrouver sur l'eau. J'étais sur le choc et Repede aussi. C'était quoi, ce jutsu? Où était-on? Avait-on vraiment sorti du palais? Tous ces questions tournaient dans ma tête sans relâche alors que je ne pouvais guère sortir un son, tellement que j'étais bouche bée. D'ailleurs, pourquoi nous avait-il emmené sur de l'eau? Est-ce que c'était le lieu où que ma première épreuve serait? Trop de questions, bien trop...

-Bienvenue sur l'Océan, proche de Mizu no Kuni. C'est ici que ta première épreuve se passera.


Enfin, mes questions étaient finalement répondues, mais je le sentais tellement pas cette épreuve. Je priais de tout mon coeur ce n'était pas un parcours sous l'eau sans perdre trop de temps ou sinon un poisson t'emmène dans le fond de l'Océan et te noie. Vous trouvez peut-être que j'exagère, mais je sais que tout est possible avec lui. Alors que je le vis lancer une pierre bleue dans l'eau, je reculai en voyant cette pierre brillé et tremblée. Ensuite, une lumière aveuglante jaillit de l'eau. Je cachai mon visage avec mes maigres bras, car la lumière était trop puissante pour mes yeux. Quelques secondes après, j'entendis un effroyable cri. Un cri qui n'était point humain. Oh oh... je crains le pire la...

-Voilà, ça sera lui ton adversaire. La seule règle dans cette bataille est de survivre et de battre ton adversaire. Bonne chance!

Nani? Il est vraiment sérieux le papy là? À peine j'ai eu le temps d'enlever mes bras devant le visage que le gigantesque euh...poisson lâcha un grand cri et me propulsa. Par chance, un mur invisible bloqua mon traj... attend, depuis quand qu'il y a des murs invisibles dans un océan??? Me relevant un peu sonnée, je me retournai et j'aperçus un champs de force autour de nous. C'était le vieux psychopathe qui le tenait en place. Génial! Déjà que j'ai un net désavantage ( j'ai un adversaire de type eau et il est entouré d'eau), mais l'espace était tellement restreint que si le genre de poisson géant décidait de faire une technique de zone, on était faite. En y pensant un peu, j'ai vraiment l'impression que ce ''Tonton'' voulait vraiment que je crève comme une merde. Bref, regardant Repede qui me fixait, j'hochai légèrement la tête avec un sourire confiant, signifiant que j'étais prête, puis, nous fonçâmes sur notre ennemi. Toi, le poisson, tu vas regretter de m'avoir connu...

Quatre heures passèrent, je n'avais toujours pas réussi à battre ce stupide poisson trop cheaté. J'étais à bout de souffle et blessée de partout. Repede avait une vilaine blessure sur l’œil gauche et l'adversaire, lui, avait rien du tout. Que dalle. Nada. Non ce n'est pas que je ne réussissais jamais à lui donner des coups, mais, quand je le blessais, le connard se régénérait aussitôt. Wow, c'est tellement juste, c'est fou! On n'en peut plus! En plus, t'as l'autre merdeux qui tient en place la prison invisible et qui me cri, sans relâche, de trouver son point faible. Ah ben oui, merci de ton aide, j'y avais tellement pas pensé. Par contre, le seul hic était....que je ne trouvais pas le point faible à la con. Hein? Oui, j'ai bien dit ''trouvais'', car, au moment où que monsieur Poisson de merde me propulsa dans les airs pour m'avaler, je vis, au plus profond de sa gueule, quelques choses de répugnants qui gigotaient et brillaient. Je me suis dite que surement c'était son point faible! ...Bah quoi? J'ai peut-être l'air idiote, mais, quand t'es désespérée, tout paraît une solution.

-Repede! Passe-moi ta dague. Je crois que j'ai trouvé son point faible. criai-je en même temps de tombé
-Compris!

Il accouru vite vers le monstre qui l'attaquait et lança sa dague vers moi. Je l'attrapai par la lame qui me blessa un peu et, en prenant le manche, je la chargeai de chakra fûton. C'était ma dernière chance de survivre sinon... je peux dire adieu à mes rêves et ma famille. Je lançai la dague élémentaire dans le...truc en espérant que ça fasse quelque chose. Par miracle, j'avais trouvé exactement le point faible de mon ennemi. J'en étais soulagée, mais mon calvaire était loin d'être terminé. En fait, alors que la lame transperça la chose répugnante, une onde de choc sortit de cette affaire qui me fit propulser. Cette onde était tellement puissante que la dague virevolta dans les airs et se planta dans ma jambe droite. De plus, quand je touchai le bouclier, il brisa en milles morceaux en un claquement de doigt. Alors, je virevoltais dans les airs, sans pouvoir m'arrêter. Je voyais de l'eau, l'horizon, le ciel, l'autre horizon, l'eau, l'horizon, le ciel, l'autre horizon, l'eau, l'horizon, le ciel, l'autre horizon, l'eau, l'horizon, le ciel, l'autre horizon, l'eau, l'horizon, le ciel, l'autre horizon, l'eau, l'horizon, le ciel, l'autre horizon, l'eau, l'horizon, le ciel, l'autre horizon, l'eau, l'horizon, le ciel, l'autre horizon, l'eau, l'horizon, le ciel, l'autre horizon, l'eau, l'horizon, le ciel, l'autre horizon (my gosh que j'ai mal au coeur), l'eau, l'horizon, le ciel, l'autre horizon, l'eau, l'horizon, le ciel, l'autre horizon, ah des arbres, l'horizon avec l'océan, le ciel, l'horizon, des arbres, l'horizon avec l'océan, le ciel, l'horizon, des arbres, l'horizon avec l'océan et des arbres, Repede, l'horizon, des arbres...hein, Repede? Il avait été propulsé aussi? Quand je le vis de nouveau, je pris sa patte la plus proche de moi et je l'attirai vers moi, le serrant fort dans mes bras.

-T'inquiète pas Repede, je vais te protéger.

Après quelques minutes de virevoltages et de descente, je fini enfin par toucher le sol, malheureusement, le contact de la terre et de mon dos fut brutal. D'ailleurs, alors que j'étouffai un cri de douleur, je lâchai mon toutou de mon emprise, ce qui le fit éviter de goûter au dérapage que je mangeais. En fait, après le contact avec la terre ferme, je roulai et roulai pendant quelques secondes avant de me prendre un arbre, qui stoppa ce cauchemar, dans mon dos. Étonnamment, je ne perdis guère connaissance, mais, croyez-moi que je souffrais le martyr et que j'étais vraiment sonnée.

HRP:

Demon n'avait alors que douze ans, cela faisait déjà un ans que les parent du jeune homme était mort dans le brasier qui avait ravager Mizu no Kuni... Une longue année que le jeune Jisestu vivait dans la rue n'ayant pas un ryos pour vivre ni même se nourrir... Contraint et forcer de vivre comme un vagabond le vol était la seule solution pour lui afin de pouvoir subsister.

Le jeune orphelin dut rapidement apprendre la dur réalité de la vie et toutes les illusion que peuvent avoir les enfant, il les avait déjà toute perdu... Mais cependant ses rêve d'une vie meilleur ne furent pas tous détruit et alors que la vie elle même semblait vouloir le détruire Demon restait jour après jour fidèle a lui même. Au contraire au plus la vie avait pour but de le changer, au plus son orgueil de ne pas abandonner était présent.

Son orgueil ainsi que son arrogance, voila la seule chose qui lui resté... Cette arrogance de se croire plus fort que toutes les épreuve que l'on pouvait lui imposer. Plus que pour lui même mais pour faire honneur a ceux qui l'ont précéder jamais il ne se ressouderait a poser le genou a terre ne serrait-ce que l'espace d'un instant, par fierté afin de ne pas faire honte a la mémoire de ses défunt parents. Qu'importe pour le jeune homme d'être prit pour un fou ou un idéaliste car cela était pour lui la chose la plus importante au monde et voir même plus encore, la seule chose a laquelle il pouvais encore se raccrocher. Cette chimère semblait être la seule chose qu'il rester en ce bas monde, la seule chose qui lui faisait continuer a avoir ce sourire chaque jours, et il était hors de question qu'on lui retire cela...

Un jours lors d'un balade le jeune homme fit une rencontre qui le marquera tout sa vie. Cela commença par une balade en solitaire près des quai de l'archipel de Mizu no Kuni, il était la poser contre un vieux bâtiment a rêvasser en regardant la mer. Il n'y avait rien a l'horizon, la mer était calme. Le bruit des vagues s’écrasant contre la côte était a la limite d'un symphonie relaxante. Le jeune homme adorer l'océan, était-ce car du feu avait prit la vie de ses parent? Il y avait des forte chance, il n'empêcher que au yeux du jeune Jisestu l’océan était vraiment une chose magnifique, cela représenté l’immensité, lorsqu'il voyer cette vaste étendu d'eau rien ne lui semblait impossible...
Alors qu'il se laisser avoir par ce moment paisible un chose assez étrange vint interrompre.

D'un seul coup une jeune fille, son chien et un autre homme apparu comme ça, es ce que cela était un rêve? Demon en eu un telle hésitation qu'il se pinça la joue afin de s'assurer qu'il ne s'était pas laisser aller au sommeil. Sans qu'il puisse comprendre quoi que ce soit, un combat débuta entre la jeune fille et son chien d'un côté et un poisson de l'autre... La logique dans cette histoire? Peut être avait-elle un petit creux et elle préférait ça plutôt que passer simplement chez le poissonnier. Demon se mit donc a observer ce combat, même lui ne comprit pas pourquoi mais pour une raison inconnu cette jeune fille au cheveux rouges l'intriguer.

Le combat dura une, puis deux, puis plusieurs heures encore et le jeune Jisestu resta la a l'observer. Dans cette affrontement une chose amuser vraiment le jeune observateur... Le chien se batte lui aussi. Quoi de plus normal me dirai vous... Mais si le chien se bat avec une dague? Cela est-il toujours aussi logique? D'autant plus que le chien avait un air badass que le jeune homme trouvait vraiment énorme. D'un coup la jeune demoiselle en compagnie de son chien parvint par a perforer la poiscaille mais d'un coup, la jeune fille au cheveux rouge vu propulser d'un très forte puissance, malgré tout cela fut assez marrant a voir.

Le jeune homme parti donc pour voir ou elle était atterrie. La jeune demoiselle avait quand même voler sur plusieurs centaines de mètres la chute avait surement être douloureuse. Demon espérer tout de même qu'elle est pas trop eu mal.

Une fois que le jeune homme fut arriver près du corps de la jeune fille, il remarqua qu'elle avait protéger son chien de l'impact... Il s'accroupi donc au niveau du visage de la jeune demoiselle encore sonné puis il lui expliqua:

-Salut, jolie vol planer.

Puis le jeune homme éclata de rire puis il se mit a attendre que le jeune fille retrouve ses esprit.

HRP:

J'étais sonnée. J'étais prise entre deux mondes, soit celui de la conscience et celui de l'inconscience. Ô quel dur choix! Bref, alors que j'étais en train de me débattre pour ne pas m'évanouir, je vis... un visage? En vérité, je n'étais guère sûre si c'était vraiment un visage ou non, car celui-ci était tout déformé. Je ne savais point si c'était dû au choc de ma chute ou non, mais, en tout cas, je dois vous avouer que je n'aimais pas vraiment de voir sa face. Ah lala, j'avais vraiment hâte de voir la tronche de ce vieux psychopathe et de la lui défoncer hard. Ooooooh que oui, je lui ferais le portait à ce vieux con fini. Bref, revenons dans le présent. Bon, ce genre...de personnage tout moche et déformé brisa ce long silence qui c'était installé après ma chute. Par contre, je n'avais aucunement compris ce qu'il voulait me dire. En fait, le seul mot que j'ai compris c'était "chute" suivi d'un rire. Nani? Est-ce que c'est moi ou il riait ouvertement de ma gueule, cet humanoïde? Quelque chose bouillait en moi et il était sur le point d'exploser. Non, c'est vrai! Je dois rester calme et ne pas m'emporter. Alors, je fermais mes yeux et prit une grande respiration pour me calmer. Un léger silence s'installa, pendant quelque secondes, alors que je restais coucher là, sans parler ni bouger. Soudain, n'ayant guère réussi à contenir le tsunami de rage en moi, je frappai la personne dans l'estomac, et je le plaquai sur l'arbre non loin du mien. Mon bras droit était appuyé sur sa gorge tandis que le gauche se tenait proche du visage du jeune adolescent (car oui, j'étais enfin capable de voir le vrai visage de celui-ci), prêt à lui défaire le portrait. Je le fixai droit dans les yeux, le foudroyant avec mon regard azur et ma voix fut forte et glaciale. On pouvait clairement voir que je n'était pas contente, mais pas du tout.

-TOI! Que fais-tu icitte à rire de ma gueule hein? T'es encore un lèche-cul de ce criss de vieux con? Hey bien, tu arrives à la mauvaise journée pour me faire chier, car si tu ne dégages pas d'ici dans cinq secondes, j'te jure que j'te casse la gueule, pis en tarbarnak en plus de ça.
-Euh... Yûna? dit une voix grave derrière mon dos
-..En fait, non. J'ai envie de me défouler sur toi. Tu peux dire adieu à ta carrière de ninja, connard.
-YÛNA!
-Q'est-ce que tu veux, Repede? Tu ne vois pas que je suis occupée? criai-je en retournant la tête vers mon chien.
-Ce n'est pas un sbire du vieillard. Franchement, regarde-le, tu crois vraiment que Tonton Taï l'aurait engagé? D'après moi, il vient de ce pays.

Mes yeux se rondirent et je lâchai instinctivement le garçon aux pupilles marrons. C'est vrai, il n'était pas assez bizarroïde ou assez over power pour être un sbire de Taï. Ah que je me sentais crissement conne là. J'étais sur le point de frapper une personne random qui était surement en train de pêcher dans le coin à cause de ce vieux épais. Un léger sourire qui laissait paraître mon malaise apparut sur mon délicat visage et je dis, tout bas, en le fixant.

-Euhm...excuse-moi...

Après mes paroles, je me retournai et j'allai m’asseoir prêt de l'arbre où j'étais tout à l'heure. Il fallait bien que je soigne mes blessures et celle de mon compagnon aussi avant qu'un de nous deux finisse K.O (bref, pas moi, même si j'ai mangé une méchante chute, je pouvais encore me tenir debout, mais ce n'est qu'un détail). Premièrement, je m'occupais d'enlever la dague de mon frère d'arme qui avait trouvé refuge sur ma jambe droite, puis, je pris le bandage blanc que j'avais mis sur ma jambe gauche (pour le style) pour le placer sur ma plaie. Bon, autour de Repede maintenant. J'appela mon ami à fourrure bleu pour qu'il s'approche et qu'il me montre sa blessure. Malheureusement, quand j'approchai ma délicate main gauche vers son oeil blessé, Repede tourna la tête et grogna. Ah, le pauvre! Il devait vraiment souffrir, vu que mon frère à croc me grogna dessus et c'est très rare qu'il fait cela à moi. Donc, m'étirant un peu, je me relevai et je fixa le jeune homme qui était non loin de moi.

-Euh...excuse-moi... Peux-tu nous aider en nous emmenant chez un médecin, non loin d'ici. Mon ami a vraiment besoin de soin, s'il-te-plait.