Y a des matins comme ça où rien ne va, d'une part parce que vous avez passée une sale nuit, de l'autre, car cette dernière était occasionnée par une frustration des plus nouvelles, celle du sentiment d'être enchaînée. Étrange n'est-ce pas ? Pas tant que ça, tellement de choses avaient bougées dans ma vie, pourtant j'avais l'impression d'avoir fait un retour en arrière, me voilà coincé entre quatre murs Kaguya, enfermée dans des règles et une routine... Très peu pour moi ! Mais le choix ? Non clairement je ne l'avais pas, c'était dans le noir de l'ombre des murs et du toit me privant de la douceur lunaire que je ruminais déjà alors que l'astre solaire n'avait pas encore percé. C'était paradoxal toute cette histoire et j'avais beau faire le point, c'était à s'arracher les cheveux, j'avais toujours été une égoïste, n'avais agi que pour moi, pourtant, c'était bien pour Tei' que j'avais pris cette maison, c'était bien lui que je me pouvais me décider à abandonner...

Quelle idée de ruminer ça n'est-ce pas ? Eh bien pour tout dire c'était ma charmante voisine Rin qui m'avait plombé mon humeur avant le dîner, argumentant encore à quel point j'allais regretter mon attitude envers « ma famille ». Quand comprendrait-elle cette courge que cette dernière se résumait surtout sous ce toit, qu'avaient-ils tous avec ça, il ne fallait pas se leurrer, il n'existait pas de deuxième chance dans la vie, c'était réservé aux idiots cette histoire et c'était dans ce maudis village que je finirais ma vie, alors que toute jeune je n'avais qu'une hâte, me tirer pour découvrir le monde... Ahhhh ! Ce n'était pas un long soupir, mais bien un jetée de tasse en bon et dû forme qui se soldait par un mur taché et un fracas pas assez grand peut-être pour réveiller le petit monstre, tant mieux, puisque de toute façon je pouvais désormais me passer d'un de ces câlins réconfortants... Oui, oui, une tête brune venait de passer la porte, je ne l'attendais pas, mais il tombait à pic ! D'ailleurs, qu'est-ce qu'il foutait dehors si tard lui ?

=|-Ça va ? T'étais dehors toi ?

Le ton était doux, curieusement, car oui, je m'étais retenu de lui dire : C'est à cette heure-ci que tu rentres ? Ce qui aurait été gonflé, je ne l'avais même pas vu sortir, d'ailleurs justement c'était louche ça, puis d'ailleurs !

=|-T'as vu l'heure ? Où t'étais ? Tu pourrais le dire quand tu sors !

Ou comment donner le bâton pour se faire battre, mais ça que voulez-vous, en toute franchise je m'en foutais un peu, qui plus est, j'étais curieuse, puis entre nous, moi je restais à la maison donc bon... Quoi, quoi, quoi pas justifier ? Rien à cirer ! Puis si d'ailleurs ça l'était, c'était quoi ces manies là, oh !

=|-Quand tu sors, tu pourrais prévenir, tu vis pas tout seul hein, ça te coûte rien, d'autant que ça te plairait pas que je disparaisse pendant la nuit pour rentrer à pas d'heures sans rien dire.  

Et voilà, ce n'était que là, une fois bien défoulée sur ce pauvre Tenzö à peine rentrer -qui n'avait rien à voir avec l'histoire de base- que je tiltais sur un détail fâcheux... Oui, oui, j'aurais peut-être mieux fait de la fermer, ce n'était pas faux, encore que, bien que je râlais, j'avais soudainement du mal à retenir un sourire amusé. Certes, c'était un retour en arrière dans une foutue maison Kaguya, mais les règles avaient changés, comme les têtes la composant, composition d'ailleurs, tellement amusante, que mon état d'âme passait, presque, je regrettais d'avoir si mal penser.  Et tant qu'à faire, pour ne rien perdre du moment, je rajoutais même...

=|-J'écoute !

Ce qui allait se solder par un : Ta gueule en bon et dû forme. Curieusement c'était ce que j'attendais, bon sang, ce que je pouvais être lunatique tout de même...

Besoin de s’évader… Comprenez-moi. Je vis maintenant avec une femme qui est ma fiancée, en somme je vis en couple, et nous avons son petit frère, qui est maintenant plus notre fils qu’autre chose… Je dois torcher des mômes, faire de la bouffe, m’occuper d’une baraque, qui mange toute ma paye en passant ! Alors certes, j’adore ces moments, mais de temps on a bien le droit de s’évader un peu ! D’autant qu’on ne croirait pas mais la Aoji hein c’est une furie dans tous les sens du terme ! J’en peu plus moi me faut une pause ! C’est plus la santé à son niveau c’est du divin ! Ca frise le paranormal. Je sais que beaucoup d’homme voudrait être à ma place. Mais il m’est arrivé de plus sentir ma….. Enfin bref il me fallait une pause ! Du coup une nuit, je me suis tiré discrètement. Pourquoi ? Pour aller au bar pardi ! J’avais même emporté des bonbons destiné à Tei pour cacher l’haleine ! J’y retrouvais mes bons vieux potes de bistro. Philosophie de bar, beuverie, connerie en perspective ! ET les railleries de mes camarades qui découvraient ma situation en même temps… Mais putain que ça faisait du bien. Pas de coup de massue quand je me grattais les boules, lâchait un rot ou me curait le nez ! Un truc entre mâle quoi ! J’ai demandé en passant quelques conseils aux streap teaseuse. SUR ? Comment épuisé Aoji en une seule fois afin d’avoir un peu plus d’heure de sommeil… Je bosse moi hein, j’ai des projets, je ne vais pas conquérir les Kaguya avec des cernes, des poches grosses comme le grand canyon sous les yeux ! Bref, mine de rien, une fois la soirée bien avancé, croyez-le ou pas, je n’avais qu’une hâte c’était de rentrer. De faire un bisou à ma femme. A Tei et de préparer leur petit déjeuné (le premier qui rit se mange une baffe).

C’est à pas de loup que je commençais à rentrer. Pas moyen que je la réveille ou cela être ma fête à coup sûr ! Cependant, passer le pas de l’entrée, qui je trouve ? AOJI ! HO PUTAIN ALERTE. ATTENTION ! Comment je fais ? On se détend, cool. Putain elle m’attendait c’était certain. Fallait la jouer fine. Alors pour le moment, je reste silencieux, nonchalant même. L’air de rien, je l’écoutais. Et manifestement, cela commençait très mal… Vous le croyez ou non ? Elle me faisait une scène ! A moi ! Ce n’était pas gonflé sérieusement ? Bon OK… Elle était carrément dans son droit… Y’a des choses qu’on ne peut plus faire lorsque l’on choisit cette vie. Après tout, je lui en imposais aussi. Je ne perdais pas ma mine gens-foutiste pour autant. Et quand son splendide « Je t’écoute » retentit dans la pièce, savez-vous ce que j’ai fait ? J’ai baillé et je suis passé à côté comme si de rien n’était. Genre, je m’en bas les reins de ta vie. Me dirigeant immédiatement vers la cuisine. Je m’employais alors à faire du thé… Pourquoi du thé ? Même si il n’était pas encore aussi bon que le sien je m’efforçais de faire en sorte que le mien soit plus que correct. Et alors qu’elle allait sans doute m’engueuler de plus belle. Je lui déposais le thé sur la table de la cuisine. Prenant enfin une mine plus sérieuse et surtout plus attentive je lui répondais enfin.

-Premièrement ta gueule. Ça c’est pour la forme. Deuxièmement, tu as raison… La prochaine fois je te préviendrais sur où et quand je sors tu as le droit de savoir. Mais évite le coup de la mégère qui attend son mec pour le rincer à son retour. Tu as déjà pas beaucoup de charme hein ce n’est pas la peine d’en remettre une couche.

Ainsi c’est un café maintenant que je me faisais en lui tournant le dos. Je risquais gros. Avait-elle comprit le réel sens de ma phrase ? Bah valait mieux pour elle parce que je n’allais pas lui dire autrement ! Quoi que… Si une petite couche en plus pour le fun.

-J’étais avec des amis. Ça fait un moment que je ne les avais pas vus. Il y’avait Shu également et je l’ai invité ici pour te le présenter.

Là-dessus je vins à elle pour lui déposer un baiser des plus tendres. Contraste saisissant avec l’ambiance, est ce que je cherchais à l’endormir ? OUI MAIS PAS QUE ! Puis que la réalité c’est que une soirée sans elle et elle me manquait déjà. Lui avouer serait pourtant une faute grave. Au moins autant que d’avoir montré son inquiétude avec cette scène de ménage !

-(baille) le thé est bon ? Tu n’as pas froid ? Et puis tu devrais dormir un peu. Tu vas dépérir à ce rythme.

Bon la question du moment... Je le tue maintenant ? Ou bien... Je le tue MAINTENANT ?!! Non, mais tranquille, monsieur baillait sous mon nez avant de passer à côté, genre rien à cirer, est-ce que c'était ça qui m'avait énervée ? Non, non. Monsieur maintenant me faisait un thé et une fois ce dernier posé sur la table il me gratifiait d'un « ta gueule » très prévisible. Est-ce que c'était qu'il m'endorme avec un thé et accessoirement dise un gros mot dans cette maison -où pour rappel c'était interdit dû à la présence de Tei' ? Non, non. Mais alors son histoire de sortie au bar où en passant vu son haleine, il n'avait pas besoin de le dire ou encore, le fait que je l'attende en mégère... Pauvre con, comme si j'avais que ça à foutre ! Mais pour le coup, que pouvais-je en dire, je n'étais pas crédible, même si c’était vrai, autant laisser couler. Alors qu'il invite Shu sans demander ? Non plus, au contraire, c'était sûrement la seule chose de bien qu'il avait dit ce matin. Mais alors quoi... ?

Question stupide ! Je te lui en mettrais des commentaires sur mes charmes à cet abruti ! Non, pour rappel, qui avait couru derrière qui ! Vexée ? Sans nul doute, car qu'on se le dise, c'était bien là le point à ne pas toucher, même mon Senseï cheri arrivait à me gonfler avec ça, alors qu'avec lui ma patience était hors norme... Qu'est-ce qu'il avait tous avec ça, c'était terriblement gonflant ! Si même lui si mettait, c'était le bouquet ! Sans toucher à sa tasse je pointais la zone d’impact de ma précédente défunte tasse de thé...  

=|-Non merci, j'en ai ma dose du thé pour aujourd'hui tu vois. Je n'ai pas froid, pas sommeil sinon je dormirais et je sais m'occuper de moi toute seule, je n'ai pas attendu après toi pour ça.

Amère ? A peine ! Lui dire ferme là je ne t'attendais pas ? Pas la peine, au final c'était mieux ainsi que le : Et pourquoi tu étais là à cette heure sans dormir ? Explication que je n'avais pas envie de donner de toute façon, finalement assise, bah oui, je changeais aussi vite d'humeur que de chemise, je goûtais finalement le thé, bon en prime... Mais passons. Il avait parlé de Shu non ? Un sujet au moins qui n'allait pas je l'espère me pousser vers des envies de meurtres... Dire qu'il avait cinq minutes il tombait à pic et j'étais contente de le voir... Comme quoi !

=|-Tu dis que tu as invité Shu ? Mais quand ? Parce que je suppose que vous avez bu comme des trous et qu'il ne serait pas fichu d'être levé avant ce soir. Pour le dîner alors ? Ça tombe bien, parce que aujourd'hui on a plein de truc à faire !

Paf ! Tu croyais m'endormir tout mielleux et partir se coucher l'air de rien ? C'était mort ! Sa fête, j’espérais qu'il en avait profité, car elle allait sûrement peser sur sa journée, une façon comme une autre de lui rendre son mot de travers et qui plus est, s'allier bien avec cette idée de mégère qu'il s'était imaginé ! Voilà qui allait le rendre docile, dire que s'il l'aurait fermé... Bref, à ce jeu-là nous dirons ainsi un partout ! Revenons en à nos moutons en passant... Il était peut-être temps de mettre au parfum ma chère moitié de mes pratiques peu orthodoxes, car s'il traînait à nouveau dans les bars et co désormais, probablement que la prochaine scène serait pour moi s'il l’entendait depuis des tiers...

=|-Donc oui je te disais, maintenant qu'on vit ensemble et tout, on va forcément empiété l'un sur l'autre, aussi, autant que ça serve... Déjà tu vois, parfois j'ai souvent des missions, pour ce qui est de Tei', ça ne serait pas vraiment ton souci, encore que, si tu es là et que tu le gardais... Sinon, une voisine s'en occupe pour moi moyennent financement et cela bien avant ton arrivée. Certaines soirées, vois-tu, je ne vais pas être non plus et ses « missions » là n'ont rien d'officielle tu vois. Néanmoins, il y a moyen que cela t'intéresse vois-tu...

C'était là où s'il était un peu futé il voyait où je voulais en venir... En même temps, c'était avec la même personne qu'il avait falsifié un rapport dès le premier jour et oui, mes travers ne se limitaient pas à un manque de féminité. On appelait ma pratique le plus souvent : le marché de l'ombre, à savoir : Comment obtenir les services d'un shinobi au marché noir... En l’occurrence, ce matin c'était chez un confrère de notre quartier tenant une épicerie qu'il fallait se rendre, en effet ce dernier voulait un rabais de son fournisseur et ça c'était mon métier justement... La méthode ? On y vient patience !

Assis à table. Je l’écoutais maintenant tenter de me prouver vainement qu’elle était tout à fait capable de se débrouiller sans moi. Chose que je ne pouvais certainement ne jamais ignorer, tant elle me l’avait si souvent et avec autant de conviction répétée n’est-il pas ? Buvant ainsi mon café, je ne lui découvris aucune différence de ton ou de regard. Ainsi, comprendrait-elle aisément que ses remontrances n’étaient plus bonnes à me toucher. M’amuser au mieux, mais de cela je n’allais rien lui dire. Je suis arrogant et indifférent mais pas suicidaire. Chose néanmoins appréciable, l’arrivée de Shu dans la soirée de demain ne l’avait pas mise en colère. Au contraire elle semblait l’apprécier. Voilà qui me fit arquer un sourcil tandis que je buvais. Quelque chose à cacher ? Un mauvais coup qui se préparait ? Avec je m’attendais à tout, mais jamais au pire tant elle savait me surprendre. Mais je ne relevais la gratifiant d’un simple hochement de tête. Quant au reste… Quelles choses pouvions-nous bien avoir à faire ensemble ? Hormis la nuit, ma présence ne lui était pas indispensable, je pense que vous l’aviez remarqué. Cela partait maintenant en cafouillage. Pourquoi confier Teï à une voisine ? Je l’adorais moi ce gosse. Qui lui disait que cela me faisait chier de m’en occuper en son absence ?

-Non mais tu ne confies pas notre fi… Teï à n’importe à n’importe qui. Je suis ravi de m’en occuper moi. Je n’ai pas une bonne influence c’est ça ? Dis le hein si ça t’emmerde.

Un peu vexé, mais trop fatigué pour lever le ton plus que cela. En effet, elle allait sans doute directement me rappeler que n’ayant aucun lien de sang avec ce petit je n’avais qu’un droit étant celui de fermer ma belle gueule… Alors je ne rajoutais rien et la lassait continuer sur le reste. Le reste oui, reste dont je ne bitais rien… M’intéresser ? Cela devenait compliqué là. De quoi parlait-elle ? Posant le café je me relevais pour faire les cent pas et réfléchir à tout cela. Mine très sérieuse. Pour qu’elle me propose de participer cela devait être quelque chose de vraiment exceptionnel. Mais quoi ? Elle me sortait cela comme si cela coulait de source… Me vint alors un éclair de génie, frapper la lumière divine de l’intelligence. Frappant du poing la main je me retournais alors et tombant à genou devant elle encore assise je la fixais droit dans les yeux. Le regard étincelant et lumineux, plein d’entrain, comme la ton que j’allais employer d’ailleurs.

-TU OUVRES UN BAR PROSTITUE ET TU VEUX QUE JE LE GARDE C’EST CA ?!

Une bonne influence sur Tei' ?... Évidemment qu'il n'en avait pas une bonne et moi non plus d'ailleurs, mais là n'était pas vraiment la question, car le fait était que nous avions tout les deux des impératifs qui allaient nous empêcher de le gérer non stop. De là à commencer à lui expliquer ça, c'était comme lui dire que je n'allais pas m'occuper de nos gosses les trois quart du temps...Il allait m'en faire tout un flan et bientôt se mettre dans l'idée de me garder sagement à la maison... Plutôt crever ! Aussi en fine tacticienne, si si, roh la ferme ! Bref ! Je disais donc qu'avec un plan bien ficelé je m'arrangeais au mieux pour tourner ça à ma sauce, c'est à dire de la façon qui m’arrangerait le mieux...

=|-Rohhh ! Tu fais ce que tu veux avec Tei' ! Mais tu vas finir en nounou non payé à la maison H24 si ?

Quoi que l'idée d'un boy à tout faire pas payer un rond me plairait... Bref, hors sujet...

=|-Donc oui, Tei' est petit et à besoin d'être gardé, non pas par n'importe qui tu crois quoi abrutit ? Mon frère est la seule personne de cette maison pour qui je peux être prévenante.

A comprendre : Toi mon coco tu te démerdes comme un grand... C'est alors là que je voyais qu'il était plus du genre gland que coco celui-là... Tandis que sa mise en scène se déroulait j'hésitais à avaler mon thé ou à lui cracher dessus sous l'effet d'un stupeur ou d'une colère, dilemme. A la place, seul un sourcil se arquait tandis que ma main venait se plaquait sur mon visage, qui m'avait fourni un abruti pareil..  Ah oui, moi... Comme quoi quand on dit que l'on est jamais mieux servi que par soi-même c'est faux. Passons. Bien que l'idée d'un bar de filles de joies ne me semblait pas idiot du tout, vu la stupidité des mâles j'aurais tôt fait d'être riche, celle de les lui confier me ramènerait à la faillite... Mais là, pourtant posant ma tasse sur sa tête je me contentais simplement d'un hochement de tête positif, ça avait l'air de lui faire tellement plaisir, n'allons pas gâcher ça... Oui bon, en reine incontesté de la méchanceté Tenzöienne, je me devais de faire ma chacal en le laissant espérer.

=| -Ok... Allons négocier les tarifs avec le fournisseur maintenant ok ? Plus il le fait baisser, plus nous avons de marchandises à traiter. Tu suis ? Plus il y a de filles qui passe par notre rafiot d'investissement, plus on aura de sous ! Bien sûr, il faudra penser à tester la marchandise avant de la mettre en vente, question de réputation.... Tu t'y colleras. Le deal est conclu... ? On y va alors ?

Bien sûr, ce que moi j’appelais « fille » c'était les clientes attirées par un prix attractif sacrifié par le fournisseur et non la boutique que je « parrainais ». Après, s'il le comprenait différemment, je n'étais pas responsable... Non, non... D'autant que c'était dans une fabrique de cosmétique qu'on se rendait et que ses testes allait se limiter à toutes ses stupides crèmes et autres fards à paupières, il allait adorer ! C'était l'humeur ravie que je passais les portes de chez notre ami pour le saluer d'un sourire carnassier accompagné par le grand Dadé à qui pour le coup j'offrais l'ouverture des négociations... A savoir, avant d'entrer je lui avais dit : « On veut un rabais d'au moins cinquante pour-cent et pour ça, toutes les méthodes sont permises ! ». Alors Tenzö fin négociateur ou pas ?...