Le retour à la belle vie et aux regrets d'antan... S'en serait presque un soulagement, si seulement dans la réalité palpable cette boisson tentatrice ne portait pas tant d'aspects néfastes, trop imprévisibles pour songer à échapper aux nombreux accidents capables d'en découler. Pourtant, la petite rouquine  se retrouvait là, pour la première fois, à déambuller dans les rues du village avec son troisième verre de saké à la main. Certains détails ne concordaient pas avec ses souvenirs... Moins de femmes, plus de soulards salaces et surtout plus de querelles à tout va, au grand plaisir du hasard de la colère et des mauvaises interprétations liées à l'alcool. C'était donc pour cette raison que la kunoichi avait quitté le bar et errait désormais en plein air.
C'était une première pour la kunoichi de s'essayer à cette boisson aphrodisiaque et visiblement elle n'avait pas su bien gérer sa prise. Que c'était difficile d'essayer de marcher droit sur la ligne imaginaire qu'elle s'était dessiné au sol tout en frolant le crépi mal finit d'une batisse avant de trébucher et se rattrapper sur la poignet d'une porte en bois d'ébène. Plus apeurée par la perte du liquide que contenait son verre que par sa chutte elle s'appuya contre la porte le temps de réaliser qu'il était toujours a moitié plein. Elle laissa échapper un soupire de soulagement mais c'était sans compter sur cette mystérieuse porte en réalité entre-ouverte, qui sous son poids s'ouvrit à grand coup laissant la kunoichi glisser sur le sol. L'absence de réflexes due à l'alcool était flagrante et lui a valut une belle cascade dans l'entrée du bâtiment où une douce musique sensuelle se faisait entendre. Son verre désormais vide trônant sur son crâne, Yuna se releva et décida de voir d'où provenait se son n'ayant de toute façon rien de mieux à faire et s'aventura au delà de l'entrée.


« Oh mon dieu ! »


De loin comme de près, après être entrée dans la salle principale, la jeune fille qui venait à peine d'atteindre sa majorité était loin de se douter d'être entrée dans un tel endroit. Des tas de femmes se tenaient dans l'enceinte, la plus part vêtues de manière aussi vulgaire comme on en voit faire le trottoire dans certains quartiers chaud du village, à danser sur une scène de manière obsène. D'autres étaient nues comme des vers et semblaient s'occuper de quelques hommes, eux à moitié habillés. Yuna, du haut de ses 18 ans n'avait encore jamais vu une telle chose. Bien sur, elle n'était pas complétement naive et à l'ouest, elle en avait déjà entendu parler mais penser qu'elle rentrerait dans ce genre d'endroit même par erreur... !
Alors qu'elle s'appretait à faire demi tour, deux femmes à moitié dénudés l'attrapèrent et l'entrainèrent dans une arrière salle. La kunoichi n'ayant pas le temps de réagir s'était fait embarqué et vu porter une tenue des plus extravagante qu'elle n'ai jamais osé porter même pour se déguiser. Yuna était désormais vêtue d'un pantalon bouffant munie de fantes partant de ses hanches jusqu'au pieds ainsi qu'une espèce de brassière bien trop moulante à son gout et un voile translucide cachait la moitié de son visage.


« NAAAOOOOOOON ! Laissez-moi partiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir !!!!! >.<" »


Elle tenta de résister aux deux femmes qui la tirait par les pieds pour l'emmener jusqu'a la scène de danse tandis que la kunoichi avait enrouler de ses deux bras une poutre qu'elle n'était pas prête de lâcher tout en se débattant du mieux qu'elle pu avec ses jambes.

La pluie, le froid, des sensations que je ne connaissais pas très bien et auquel pourtant je devais m’adapter pour réussir ma mission. Je devais retrouver un gars qui aurait porté atteinte à une danseuse. La danseuse en question était de Suna mais elle passait son temps à voyager et à exercer son métier dans les bars des villes ou il y avait de quoi faire son métier. Parce que si vous voulait elle danse dans des bars un peu loufoques. Pas du tout mon genre mais comme la nature ma doté d’un charme que je ne peux niais et bien, les dirigeants n’ont rien trouvé de mieux que de m’y coller. Bon après tout je vous cache pas que j’aurais fais pareil. Déjà de nombreuse fois j’ai utilisé cet atout pour parvenir à mes fins mais là, ça ne me disait rien qui vaille. Surtout qu’en plus ce n’était pas tout près, je devais passer un bout du territoire de la pluie. Pays que je respectais mais dont je n’aimais pas le climat.

Enfin heureusement que ce n’était qu’un bout, je n’avais pas prévu de vêtement de pluie en plus parce que pour tout dire je ne pensais pas partir comme ça à la va vite. Soit mais j’étais tout de même trempée chose que j’avais horreur. Pas pour mes cheveux, non, c’est vrai que de ce côté là je n’avais pas à me plaindre, il ne frisé pas mais juste que voilà c’était désagréable la sensation d’être mouillée. Bref voilà maintenant vous savez que je n’aime pas la pluie quand je ne m’y attends pas. Mais soit je continuais mon chemin direction ce bar mystérieux. La route n’étais plus bien longue et me voilà donc arrivait en cet ville un peu fanfaronne. Ce fut un peu laborieux pour trouver ce bar qui semblait être un peu un bar clandestin. Pas d’affiche, juste une porte avec une femme dessinée dessus. Une femme d’ailleurs pas très chaudement habillé ; ce qui laissais présagé l’intérieur.

Cette battisse je n’y aurai prêté guère attention si un homme n’en n’était pas ressortit complètement ivre et du coup laissant échappé en ouvrant la porte le son qui en provenait. Interloqué par cet intermède, je me dirigeais de ce fait vers ce bâtiment dans lequel je pénétrais. Je m’attendais à tout et donc je ne fus que très légèrement surprise de voir un tel bordel. Je me portais au bar essayant de récolter des informations mais je remarquai que je n’étais pas très bien vu. Les hommes en avaient après mon corps et les femmes savaient pourquoi j’étais là et semblait avoir peur. Quand je vis un grand homme assez costaud arrivait dans la salle je compris et me plongeait vite dans le décor. Il était le patron et à mon avis il avait quelque chose à voir dans l’histoire. Mais alors que tout semblait tranquille j’entendis un cri provenant de l’arrière salle puis une femme en sortit finement vêtu. Je me rapprochais d’elle. Elle paraissait si jeune et mal à l’aise. J’essayai de lui parler pour en savoir plus

« Vous avez un problème mademoiselle ? »

C’est alors que deux femme me prirent par les bras. Elles me transformèrent en une danseuse. Comme celle du bar. Mon dieu… Franchement des missions comme ça plus jamais, plus JAMAIS. Les hommes nous regardaient ébahi en plus, sale… Je me rapprochais de la jeune danseuse.

« Akuzu Mia, je suis ici pour une enquête, tu crois pouvoir m’aider à sortir de cette situation ? »

La soirée et la nuit toute entière se présentait mal. Bon dieu mais qu'est ce qui lui avait pris de sortir dans un bar à se laisser tenter par cette douce boisson dévastatrice que représentait l'alcool pour finir dans ce qui ressemblait de loin comme de prêt à une maison close. La kunoichi à l'allure dépravée n'avait plus qu'une envie, se fracasser la tête contre la poutre qu'elle s'évertuait à ne pas lâcher. Cette endroit lui donnait clairement la cahir de poule avec toutes ses personnes qui ne pensaient qu'à se donner du plaisir commun. La kunoichi, qui n'était absolument croyante en ne serait ce n'importe quelle divinité, se surpris à prier pour qu'aucun d'eux ne s'approche d'elle. C'est à ce même moment qu'une autre de ces danseuse s'approcha d'elle pour lui demander ce qui n'allait pas. Angoissée à l'idée qu'elle veuille elle aussi la forcer à aller sur la piste de danse elle ne resserra que plus fort son étreinte sur la poutre.


« Laissez-moi mourir en paix... Je veux pas être ici, j'ai jamais rien demander... Pourquoi je suis pas rester dormir à la belle étoile ? Elles au moins elles m'auraient pas forcer à me ridiculiser et à aller danser... Je sais même pas danser... Bouhou... hou... TT_TT »


La danseuse qui l'avait aborder n'avait aucunement l'air de vouloir la forcer à joindre la scène centrale. Non bien au contraire, elle lui avoua qu'elle enquêtait sur les lieux et qu'elle aimerais qu'on l'aide à sortir d'ici. Le regard de Yuna avait litterallement changé du tout au tout, elle était passé des larmes abusives à des yeux emplient d'étincelle d'espoir et d'étoiles. Elle desserra le poteau pour lui sauter dans les bras puis dans un moment de réflexion bref et incensé elle lui attrapa la gorge sans pour autant la serrer mais pour la secouer.


« C'est une ruse hein ? Avoue ! Tu ne m'auras pas vicelarde !  »

Je… je mais elle est folle ma parole, aussi ivre que les ces hommes prenant du plaisir à nous regarder danser… Elle me saute dans les bras pensant que je suis sa sauve puis ensuite elle me prend au cou comme si j’allais la forcer à danser. Déjà qu’elle est affreuse à essayer de danser, je n’allais pas la forcer. C’pourtant pas compliqué la danse. Et puis moi, fallait pas que j’oublie ma mission de vue. Et avec elle j’étais mal barré, valait mieux l’emmener dehors quelque instant afin de mettre les idée au clair mais fallait qu’elle me lâche le cou ! Je la regardais donc droit dans les yeux :

« Non ce n’est pas une ruse… Et surveille ton langage ou je te laisse moisir ici avec ces vieux obsédés. Ta choisi ton camp ? Bien... »

Je quittai la scène à la va vite. Je dis à l’une des danseuses que je prenais une pause. Heureusement, ça marchait… Bon que faire maintenant ? On était dans une cours fermés, on d’ordinaire les danseuses y viennent prendre leur pause pour fumer. Mais là, non là c’était différent. Il fallait que je trouve un plan pour avoir des réponses à mon enquête. Et puis cette fille… Bon j’allais d’abord chercher à la calmer puis savoir à qui j’avais affaire. Elle semblait avoir juste la majorité que s’en était désolant de la voir dans cet état.

« Calme toi, calme toi, je ne te veux aucun mal. Je suis Mia, une enquêtrice de Suna. Et toi comment tu t’appelle ? »

Bon ça faisait un peu enfantin mais pour calmer les gens apeurer je trouvais rien de mieux que de leur parler doucement avec des mots simples à comprendre et surtout sans trop leur en demander. C'est ce qu'on m'avait appris à faire. La juste son prénom le temps qu’elle se calme, après on pourrait discuter tranquillement et je pourrais en savoir plus. Je tenais son poignet pour calculer son pou. Il diminuait petit à petit. J’allais pouvoir lui poser d’autre question. Je devais y aller doucement mais en même temps ne pas prendre mon temps non plus car on n’avait pas la nuit. Tôt ou tard, on devrait rentrer à l’intérieur.

« Bon, très bien, continue de te calmer. Dis, tu connais les gens de se bar ? Comment tu es arrivé ici ? Tu parlais de passer la nuit à belle étoile tout à l’heure. »

Elle sentait un peu l’alcool, surement qu’elle avait un peu trop bu, et qu’elle était rentrer ici pas inadvertance… Je le saurais bien assez tôt.

Une timbrée... Voilà ce que devait se dire la danseuse qui se prétendait être une enquêtrice en provenance de Suna. Il était vrai que la genin de Kumo était en plein délire depuis qu'elle était entrer dans cette bâtisse et il était grand temps qu'elle trouve une solution pour en sortir. Après tout, peut-être que cette fille disait la vérité à son sujet mais dans ce cas pourquoi risquer d'envoyer une fille dans ce genre de lieu obsène. Son village n'a-t-il aucune conscience de ce que représentait cet endroit ? Un homme serait passer pour un client et la mission aurait été beaucoup moins suicidaire ou en tout cas il risquait moins de voir son corps se faire utiliser comme un objet.
La petite blonde avait mal pris son agression, vous me direz que c'est normal après tout qui aimerais se faire agresser à part un couple de sado-masochiste peut-être. Afin de la calmer elle avait finallement réussit à l'entrainer jusqu'à la cours intérieur du bâtiment à l'abris des oreilles et regards indiscrets. La demoiselle devait la prendre pour une abrutie de première tandis que les effets de l'alcool commençait à se dissiper. En effet, la blondinette commençait à lui parler comme on peut parler à une enfant de moins de dix ans lorsqu'on veut la rassurer. Yuna n'appréciait pas tellement ça mais elle estimait qu'elle avait suffisamment fait de dégâts et ne pouvait en aucun cas être crédible avec l'alcool qu'elle avait ingurgité plus tôt. Elle ne savait pas si elle avait tord ou pas mais elle décida de lui faire confiance et de faire une alliance avec la Sunajin pour qu'elles puisse toutes les deux s'en sortir sans encombre.


« Yuna, désolée pour ça. Non je ne connais pas cet endroit et a vrai dire je ne comprend pas vraiment ce que je fou ici... J'imagine que le saké y est pour quelque chose... »


Les deux filles devaient désormais trouver une ruse pour sortir de ce lieu de débauche. La véritable question n'était pas vraiment de comment sortir mais plutôt de comment sortir sans se laisser prendre par le mac et le patron et surement les quelques vigiles qui devaient se tenir planqué on ne sait où.
Yuna reprit un air sérieux et regarda la Sunajin dans les yeux en posant ses mains sur ses épaules.


« Bien... Comment va-t-on s'y prendre ? Je dois avoir quelques équipements dans l'arrière salle ou elles nous on kidnappés. J'imagine que toi aussi si tu enquête »

Les ravages de l’alcool, j’avais vu juste. Personnellement je ne buvais pas. Je n’en vois pas l’intérer. Boire pour oublier ? Je ne pense qu’il faille oublier, il faut vivre avec ce qu’on avait vécu. Apprendre de son passé. Oui car on se forge un caractère à travers ce dernier, alors vraiment boire pour oublier, ce n’était vraiment pas la bonne chose à faire à mon gout. Bon après tout le monde n’as pas le même point de vue et je respecte ça.  Si on en revient à Epicure, l’alcool rentrer dans la troisième catégorie même si on peut la classé un peu partout, je m’explique, on peut classer les besoin en trois catégorie. La première est celle des besoins nécessaire et naturel, dormir, manger, boire. Mais j’entends par là de l’eau. La deuxième et celle des désirs et besoin nécessaire et non naturel. Ceux là il faut les consommer avec modération. Voilà pourquoi je dis que l’alcool peut être un peu dans les trois. La troisième est celle des besoins non nécessaire et non naturel, tout ce qui ai fabriqué par l’homme et dont on n’a pas forcément besoin. Voilà ! Capish ?

Bref j’écoutais, la jeune femme qui répondait au nom de Yuna, elle semblait ne pas connaître les lieux. Dommage… Cela aurait pu nous être fort utile.  Quand quelqu’un connait les lieux de toute façon c’est toujours mieux que quand on arrive en terrain inconnu. Mais là en plus d’être en terrain inconnu, on se trouvait en terrain miné. Il fallait réfléchir à un petit plan d’action. Elle me parla de ses armes qu’elle avait laissé tout comme moi dans les coulisses en quelque sorte. Hmm, c’était une shinobi donc. Intéressant. Je pourrai peut-être avoir des informations. Mais pour le moment fallait sortir d’ici. La manière forte pouvait être bien mais fallait vite filler.

« Ah tu es shinobi Yuna ? de quel contrée ? Sinon hum bah ouais faudrait retourner dans les coulisses. »

On rentra à l’intérieur, et nous dirigeâmes vers les coulisses. On avait de la chance, pas de vigil ou de garde pour nous demander ce qu’on faisait. Toutes les femmes étaient occupées, on un champ libre,, peu de temps néanmoins, on devais faire vite. Je m’ôtai de cette tenu  pour me revêtir de mon ensemble ordinaire. Puis fixant mes pochettes d’armement je tournai la tête vers Yuna.

« Ne te retourne pas. On a un petit problème. »

En effet j’avais senti la présence de plusieurs personnes. Elles nous tournaient encore le dos mais bientôt on allait devoir leur faire face ! Yuna serait-elle à la hauteur ? Je l’espérais. En tous cas j'étais prêt pour l'affrontement. Cette mission prenait vraiment une tournure que je n'aimais guère. Je décidai alors à me tourner.

« Messieurs on peut discuter gentiment non ? » puis-je souris n'attendant pas une réponse favorable évidemment.

L’endroit était joyeux et agité. La bâtisse était animée par diverses musiques sensuelles sur lesquelles les danseuses ou autres femmes se dandinaient sur la scène ou contre les poutres. D’autres bruits de personnes se donnant au plaisir se laissaient clairement entendre aux regrets des deux kunoichis qui se tenaient dans la cour intérieure de la bâtisse.
La Sunajin semblait un peu dérangée par les circonstances et son interlocutrice qu’était devenu Yuna. Etait-ce à cause de son agression ou de l’alcool qu’elle avait ingurgité plutôt, elle ne su le dire… Comme pour dissiper le malaise, elle lui demanda de quel village elle provenait et l’emmena sans plus attendre dans les coulisses ou elles pourraient se changer. Par chance, elles ne se furent pas repérer jusqu’à ce Mia la mis en garde de ne plus bouger. La rouquine hésita à se retourner et adressa deux yeux ronds emplie d’interrogation à sa nouvelle camarade. Par la suite, la Shinobi de Suna alla directement s’adresser à leur nouvelle compagnie peu agréable et essaya de les leurrer par son joli petit minois. Yuna leva alors les yeux au ciel, comme si un tel comportement allait les sortir d’affaire. La rouquine qui était encore en train de remettre convenablement ses chaussures d’origine attrapa ensuite un sac qui traînait sur la table et sortie devant eux comme si c’était le sien


« Nous avons finit notre service pour aujourd’hui, on se revoit demain ! »


La kunoichi, le sac balancé sur l’épaule se vit se faire attraper par sa queue de cheval rouge par les hommes qui ne semblaient guère de bonne humeur. Yuna esquissa un petit sourire à la fois malicieux et mauvais.


« Hum… C’est qu’ils seraient plus malins qu’ils en on l’air… Mia ! Je ne sais pas si tu avais un plan mais moi j’aime l’impro ! »


Elle avait prononcé cette dernière réplique à la fois avec sérieux et amusement. Il était vrai qu’elle avait un caractère bien trempé et des actions totalement imprévisibles ou alors justement trop prévisibles dans ce genre de situation. A la suite de cela elle dégaina deux kunai entre chaque main qu’elle n’hésiterait pas à se servir si nécessaire.


«  Alors messieurs, qui as envie de tater de ma lame en premier ? »