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 Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao]

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Konoha
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Message(#) Sujet: Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] EmptySam 25 Mai 2013 - 22:05

Aujourd'hui est un bon vendredi matin ensoleillé, avec des oiseaux qui piaille, des enfants qui crient et des chats qui jouent à Kung-fu chien. Des nuages qui ont des formes presque identiques, et bien sur, les magnifiques villageois de ce village, qui vous donnent le sourire à chaque fois que vous les voyez discuter et se battre pour des choses futiles telle la nourriture de ce pays. Moi, j'aimais bien les observer d'en haut et oui, je ne perds en aucun cas mon habitude de lapin, sautillant sur chaque toit, marchant sur chaque tuile... C'est bizarre, mais je pensais qu'il y aller avoir quelque chose à faire de très intéressent, mais qui aller être dur à régler. De toute façon pourquoi pas, je ne rien d'autre à faire à part faire mon petit lapin sur les maisonnettes des quartiers de valeureux villageois et shinobis.

Après avoir fait ma petite promenade matinale, je voyais au loin avec mes yeux de lynx, que, le petit drapeau rouge de ma boîte aux lettres était relevé, je décidais donc d'aller à la boîte aux lettres en trottinant. J'arrivais donc tout exciter, j'ouvre la boite aux lettres, je tends ma main et j'attrape une enveloppe, puis sans être surprise par la lettre, il y avait l'insigne du Hokage, et oui, c'était bien et bel une mission pour moi. J'ouvrais donc la lettre, et je lisais attentivement son contenu. Apparement, un malheureux genin du non de Aburame Kokoni qui vient de s'éveiller de son coma causé à cause de l'assaut final contre la saleté de Makka ainsi que ses partisans de Hai no Kuni, il a été donc violemment blessé et il est tombé dans le coma, mais pour une raison qu'aucun ne sait, il ne parle plus depuis cet incident.

Avant de fini de lire la fin, je me disais alors, pauvre gamin, cette foutu Makka quelle plaie aussi, je comprends qu'il a été très choqué, enfin moi je n'y ai pas participé, car je n'ai tout simplement pas été genin de Konoha à ce moment-là mais bon, il a tout de même de la chance d'être sorti du coma. En finissant la lettre, je devais être accompagnée d'un genin de Konoha nommé Hayashi Mao. Il devait donc m'aider a faire retrouver la parole à notre cher ami Kokoni qui était perturbé. Il y avait aussi écrit que c'était à la demande de son propre père qui avait fait appel à nous. Mais c'est gentil tout ça, il ne me connait pas, je ne suis pas très forte en diplomatie, enfin si je puis-dire ça comme de la diplomatie.

Bon, en rangeant l'ordre de mision dans ma poche, je me demandais bien qui était l'heureux élu qui m'accompagnerait dans cette trépidante et dangereuse mission. Un très beau jeune homme ténébreux qui sait, faire tomber les filles serait peut-être son métier. Bref, après avoir fait une bref descprition du jeune homme dans ma tête, j'avais donc envoyé une lettre à celui-ci afin qu'il me rejoigne sur un banc en face de l'hôpital. J'avais bien évidemment fait une description de la créature malfaisante que j'étais, cheveux au carré de couleurs argent, yeux bleu saphir, taille moyenne, avec pour reconnaissance des barrettes bleues qui était dans mes cheveux.

Il pourra ainsi me reconnaître facilement. Environ quelques bonnes heures plus tard, j'étais donc au point de rendez-vous, assise sur le banc, jambes croisées, entrain de relire attentivement l'ordre de mission pou voir si je n'avais pas oublié quelque chose. J'attendais Mao avec impatience.


Dernière édition par Tobetatsu Hikari le Dim 26 Mai 2013 - 1:26, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] EmptyDim 26 Mai 2013 - 0:04


~ Une lumière apparut devant mes yeux, une lumière aveuglante, qu'était-elle ? Seulement la lumière prodiguée par le soleil, une lumière qui éclaircit le cœur de ses rayons bienveillant. Bouche grande ouverte, je m'étirais de tout mon long, encore une nuit qui vient de passer. Pausant mes pieds sur le sol, je me levais lourdement. Comme on dit, doucement, mais surement. Avant même de m'en rendre compte, je me trouvais dans la cuisine, me préparant de quoi manger. Une fois prés, je sortis, des poids sur les bras et les jambes. M'apprêtant à commencer mon footing matinal, jetant un dernier regarde sur un cadre photo au-dessus de la cheminais, je claquais la porte. Le ciel était encore embrasé par la lumière rosâtre d'un lever de soleil. N'est-ce pas magnifique ? Pensais-je. Mais je n'avais pas le temps d'admirer le spectacle. Arpentant les chemins qui me menaient hors du village, me dirigeant vers la forêt avec de petites foulées, tout en me concentrant sur ma respiration, je pensais à mon entrainement du jour, ce que je pourrais bien faire. Sans doute me concentré sur ma puissance physique, qui reste encore à négliger. Utilisant mes techniques à la perfection, je préférais m'améliorer dans le Taïjutsu. Sautant d'arbre en arbre, j'arrivais à un petit coin d'eau, le lieu parfait. Après quelques heures, je rentrais, mouillé jusqu'aux os par le flot et la sueur, le tee-shirt sur les épaules. C'était sans doute le bon moment pour prendre une bonne douche revigorante. Traversant la ville comme un éclair, j'arrivais devant ma maison. Un pigeon voyageur se trouvait sur ma boite à lettres, une lettre sur son dos laissait apparaître le sceau de l'Hokage. Enfin une autre mission ! Mais l'heure n'était pas à la lecture. Tournant la poignée de la porte, le sourire aux lèvres.

    Je suis rentré !

~ Personne ne pouvait répondre bien sûr, n'aillant plus de famille. Mais ça faisait quand même du bien de le dire. Une fois propre et changé, paraît pour la mission, j'ouvris la première lettre. J'avais raison, elle contenait un ordre de mission. Un Genin sortant du coma, du nom d'Aburame Kokoni avait perdu tous sens de la vie. Ne souriant plus, son père s'inquiétait, et c'est pourquoi il faisait appel à moi. Une baisse de moral après une sieste aussi longue ? Sans doute, un traumatisme de son combat contre Makka. Lisant la suite, je vis que pour une fois, je faisais équipe avec quelqu'un d'autre. Étais-ce un geste qui me disait de me faire des amis ? Ne connaissant que son nom, Tobetatsu Hikari, je me demandais qui ça pouvait bien être ? Sans doute, une demoiselle en tout cas. Mais j'avais déjà vu ce nom quelque part, mais où. C'est ça ! La seconde lettre portée ce nom ! Je m'empressais donc de l'ouvrir. L'heure et le lieu d'une rencontre y étaient inscrits. Quelle bonne idée de se rendre visite pour se mettre d'accord sur un plan d'approche. Prenant chaque mission à cœur, je réfléchissais déjà à des solutions, perdu dans mes pensées, je regardais le ciel, même si des nuages blanchâtres de forme identiques, cachaient l'azure. Pas le moment de rêvasser, j'arrivais alors au lieu du rendez-vous. Alors, une coupe au carré de couleur argenté, des yeux saphir, une petite taille, et des barrettes bleues. Ça ne pouvait être qu'elle. Mes yeux se posaient sur une Kunoichi assise sur un banc, répondant parfaitement à la description. J'avançais jusqu'à arriver devant elle. La main droite dans les cheveux, me les grattant d'un air gêné, un sourire aux lèvres. Je m'exprimais alors le plus clairement possible.

    Bonjour, je suis Mao, désolé pour le retard ! J'étais perdu dans mes pensées.

Elle ne me connaissait même pas et pourtant, je lui avais déjà montré l'un de mes nombreux défauts, celui d'être rêveur.


Dernière édition par Hayashi Mao le Dim 26 Mai 2013 - 22:03, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] EmptyDim 26 Mai 2013 - 18:54

En relisant attentivement l'ordre de mission, une légère brise me souleva mes cheveux argentés, puis, je sentais une présence à coté de moi, je tournais alors la tête puis je voyais un très beau jeune homme qui me fixait, il se grattait les cheveux en étant embrassé, un sourire aux lèvres, puis il se présenta. Il dit comment il s'appelait, puis il s'excusa d'être en retard, car il était perdu dans ses pensées. C'est marrant, alors lui aussi se perd facilement dans ses pensées les plus mystérieuses. Hayashi Mao qui s'appelle, très joli prénom, et très beau .... Je m'emporte, il ne faut pas que mon cœur prennent les rênes de mon corps et de mes pensées. Il était cinq minutes en retard, ce n'était pas non plus l'apocalypse, il n'avait pas à s'excuser, je décidais donc de ranger l'enveloppe dans une des poches de ma veste, puis je me levais du banc, j'ajustais ma jupe, caressais mes cheveux en rougissant :

    ◊ Je suis.. Tobetatsu Hikari enchantée de faire ta connaissance Hayashi Mao, tu peux m'appelai tout simplement Hikari, je me suis aperçue que tu étais dans tes pensées, moi aussi je m'évade souvent parfois, je ne le considère en aucun cas comme un défaut, mais plutôt comme une qualité..


Je le regardais fixement dans les yeux, puis j'avais oublié la mission, il fallait donc aller voir Kokoni, qui le pauvre, restait encore perturbé depuis l'assaut qu'il a eu contre Makka. Je me demandais bien ce qu'on pouvait lui faire faire à celui-là, des promenades, des discussions, des jeux, lui refaire connaitre la joie de vivre en conclusion. Je pense qu'avec Mao, nous allons y arriver, mais je veux juste que nous soyons tous les trois, car si le père nous colle les baskets, ça ne va pas le faire. À chaque parole ou chaque geste, s'il est là pour nous interpeller, le garçon ne saura vraiment pas qui écouter et serais alors encore plus perdu.

    ◊ Bon, nous allons entrer dans l'hôpital, demander où est sa chambre, éviter que son père, s'il est là, nous suivent, puis nous allons l'emmener en dehors de l'hôpital et faire oublier son accident, j'espère que tu es prêt ?


Je lui faisais un petit clin d'œil de mon œil droit, je voulais lui prendre le bras, j'hésitais, il me voyait hésiter, alors vite je n'ai pas voulu le faire tout simplement ça ne se faisait pas, on ne se connait que depuis cinq minutes de conversation, même si je dois l'avouer, il est très mignon, question caractère, je n'avais pas encore observé de choses négatives, normal, je ne l'ai pas encore vue à l'action. Je marchais donc en direction de l'hôpital, deux hommes qui garder l'entrer nous interpellèrent.

Je lui faisais un petit clin d'oeil de mon oeil droit, je voulais lui prendre le bras, j'hésitais, il me voyais hésiter, alors vite je n'ai pas voulu le faire tout simplement ça ne se faisait pas, on ne se connait que depuis cinq minutes de conversation, même si je dois l'avouer, il est très mignon, question caractère, je n'avais pas encore observer de choses négatives, normal, je ne l'ai pas encore vue à l'action. Je marchais donc en direction de l'hôpital, deux hommes qui garder l'entrer nous interpella.

  • Garde : Bonjour, c'est pourquoi mademoiselle et monsieur ?


En étant très étonné qu'il ne me laissait pas entrer avec mon compagnon, je répondais tout simplement.

    ◊ Mon ami ici présent et moi-même sommes en mission, nous devons voir un jeune garçon du nom de Aburame Kokoni, pour l'aider a s'en remettre d'un terrible accident.


Les deux hommes n'étaient pas convaincus, je le voyais par leurs regards très méfiants, c'était très bizarre que shinobis ou civils ne puissent pas rentrer par un justificatif, alors je décidais de prendre l'ordre de mission dans ma poche, et de le leur montrer.

    ◊ Voilà, vous êtes satisfait ?


Les deux hommes lisaient attentivement la lettre, puis il me la redonnèrent

  • Garde : Nous sommes confus, nous ne savions pas que vous étiez des ninjas, vous savez en ce moment, nous surveillons de très près les alentours, les civils doivent eux aussi présentés une convocation pour entrer dans l'hôpital.


En souriant aux deux hommes, je me retournais et faisais un geste de la tête à Mao pour qu'il me suive, dans entrons donc dans l'hôpital, et nous nous dirigeâmes vers l'accueil.
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Message(#) Sujet: Re: Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] EmptyDim 26 Mai 2013 - 21:44

~ Plongé dans ses yeux saphir, je m'apercevais pas que quelques secondes s'étaient déjà écoulées. Elle me regardait, m'analysant, pour enfin rougir et se présenter à son tour. Je ne m'étais donc pas trompé, son prénom était bien Hikari. Je me demandais quel genre de ninja elle était, une créature qui avait l'air impuissante à première vue, si gentille. Cachait-elle un démon derrière ce masque d'ange ? Interrogeant mon imagination, je me concevais une vision d'elle sautant de toits en toits à la recherche de personnes dans le besoin. Une petite Kunoichi qui puise sa force dans la gentillesse. Ce n'était peut-être pas la réalité, peut être une simple fiction erronée, de ma conscience. En tout cas voilà la première impression de notre rencontre. Me sentant le devoir de la protéger, à tout prix, comme on défend une petite sœur, je l'écoutais un léger sourire aux lèvres. C'était parti, je commençais déjà à rêvasser une nouvelle fois, il fallait que je me reprenne. C'est pourquoi un rire amical sortit de ma bouche, pour la mettre en confiance et arrêter les rougeurs qui se trouvaient sur ses jolies pommettes. Consentant à son incompréhension, après tout, elle ne pouvait pas savoir ce que je pensais, je répondis que j'étais enchanté de la rencontré. L'appeler juste Hikari ? Comme si j'étais l'un de ses amis ? Ouais.. Pourquoi pas ! Mais il n'était pas l'heure de s'échanger des politesses, même si spéculer n'était apparemment pas un défaut pour elle. Un père comptait sur nous pour redonner la joie de vivre à son fils ! Étant le plus possible de bonne humeur et ne montrant jamais mon désarroi à autrui, je ne savais pas du tout comment faire sourire une personne dans la disgrâce. Il y avait peut-être bien une solution.. Non elle ne fonctionnerait jamais.. Peut-être que si en fin de compte. Reprenant mes esprits avec une voix incommode, un garde nous demandait qui on était. Une fois notre identité réveillée, il ne nous croyait pas plus qu'avant. Je ne lui en voulais pas, il accomplissait sa propre mission après tout. Même s'il avait pu être plus aimable, la jeune femme garda son sang-froid et lui montra la lettre contenant l'ordre de mission. Le deuxième garde s'excusa pour son camarade et nous laissa passer. Suite au signe de ma camarade, je la suivis jusqu'à l'accueil.

~ C'était la première fois que je rentrais dans l'hôpital. Les yeux regardants chaque décor, sondant chaque recoins, comme un réflexe. Il faut toujours connaitre son environnement en cas de problème, ça peut nous sauver la vie. Tout était quasiment neuf, montrant qu'elle n'avait été construite que récemment, pas plus de quelques années. Dépourvue de place pour faire, une grande salle d'accueil, ils utilisèrent une peinture blanche pour pallier cette carence. L'hôpital en lui-même n'était guère plus grand, ce qui eut l'avantage d'éviter qu'on se perde. On se trouvait devant une porte elle aussi blanche, le numéro argenté au-dessus de celle-ci nous prouvait qu'on ne se trompait pas de piaule. Regardant quelques secondes la poignée, il fallait maintenant l'ouvrir. Je me demandais alors. Peut-être que s'il ne sourit plus c'est qu'il n'a plus de bouche.. Après tout, on l'avait récupérais dans un piteux état, pour être dans le coma, il faut quand même y aller. Plus de bouche, c'était invraisemblable, on ne peut pas perdre sa bouche aussi facilement. Mais peut être pire, entièrement défiguré. Apeuré, je me tournais vers Hikari à la recherche de réconfort, une goutte de sueur coulant sur mon arcade, j'espérais qu'elle me comprenne. Cette mission périlleuse et très dangereuse commençait dans un désarroi complet ! Prit dans un élan de courage, j'empoignais la poignée et ouvris la porte avec une force démesurée. Peut-être trop, la porte suivit mon mouvement de bras, s'arrachant du mur. Me grattant les cheveux, je lâchais un rire nerveux tout en regardant ma partenaire, pour ensuite regarder l'objet de notre mission. Quelle chance mise à part une cicatrice, il était normal.

    Infirmière dans le couloir : C'est quoi ce bruit ? Tout va bien ?

~ Ne pouvant regarder de plus près le jeune homme, j'empoignais le bras de la femme aux cheveux argentés. Courant vers le blessé, j'empoignais également son poignet et de force, nous sautâmes tous les trois par la fenêtre. Je n'avais pas pensé à la hauteur, nous étions quand même au troisième étage, pour un convalescent ça faisait beaucoup ! Je lâchais donc leurs poignets, pour attraper le garçon dans mes bras. Atterrissant sans trop de fracas, je le posais à terre. Bidonné, je m'étais mis à courir, tout en parlant.

    Désolé, mais pas moyen que je paie pour cette porte en carton !


Dernière édition par Hayashi Mao le Mer 29 Mai 2013 - 1:46, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] EmptyLun 27 Mai 2013 - 0:56

Nous rentrons dans l'hôpital, tout était blanc, tout était propre, je voyais mon camarade avancer devant moi, il semblait émerveiller par l'endroit qu'il voyait, bon l'établissement était un peu neuf, mais tout de même. À moins qu'il ne soit jamais rentré dans ce genre d'endroit ? Moi aussi je n'étais pas rentrée depuis mon guérrissement, oui j'avais été attaquée et empoisonné, un généreux médecin assez coquin m'avait soigné en me laissant pour habit une blouse large pour un corps fin comme le mien, je me suis baladait donc en blouse trop grande en sautillant sur les toits... Secouant ma tête, je sortais du hors sujet.

Je voyais mon coéquipier très penseur, tout comme moi, il pensait sûrement à pleins de choses, puis je le voyais prendre les devants, il se dirigeait donc vers une porte, elle aussi blanche comme la neige, je regardais le numéro inscrit sur la plaque argenté tout comme Mao, nous nous n'étions donc pas trompé, c'était bien la chambre de Kokoni. J'espérais juste qu'il n'était pas défiguré, une petite cicatrice ça pouvait le faire, mais je ne pouvais pas parler à quelqu'un n'ayant pas de visage, enfin un visage défigurer. Je ne pourrais pas le regarder dans les yeux et tout le reste, je devais compter sur Mao et personne d'autre.

Mao regardait la poignée avec hésitations puis il se tourna avec un air de frayeur, je le voyais une goutte de sueur cascadent sur son arcade, il cherchait sûrement un peu de réconfort, mais je n'osais pas le toucher, alors je lui fis un geste en hochant ma tête, pour lui dire qu'il n'y avait pas à s'inquiéter et que je serais là quoi qu'il se passe. Puis d'un coup, il ouvrit la porte, mais un fracas immense s'était entendu, je n'avais pas compris ce qui s'était passé, la porte était complètement arrachée de là ou elle était. Mao ne fut pas très choqué parce-qu'il venait de se passer contrairement à moi, il lâchait d'ailleurs un petit rire nerveux tout en se grattant la tête comme à son habitude. A ce même moment, j'en profitait pour regarde le sujet de notre mission, Kokoni allait très bien, il n'avait qu'une cicatrice sur son visage, cela me soulageait. J'entendais des bruits de pas courant vers nous, une infirmière affolée se dirigeait vers nous pour voir ce qu'il s'était passé, je voulais lui répondre quand tout d'un coup, Mao me prit par le poignet pour ensuite prendre celui de Kokoni, il nous dirigea vers la fenêtre et nous sautâmes tel des chevaux dans des parcours d'obstacles, franchissant la fenêtre et .... Observant le grand vide devant nous, car nous avions monté trois étages, et Mao à la bonne idée comme ça de sauter de trois étages !

Je sentais alors qu'il me lâcha le poignet ainsi que Kokoni, sauf que lui, il le rattrapa dans ses bras, moi, il fallait que je me débrouille comme une grande, alors voyant que Mao et le garçon avaient atterri sans trop de fracas, il y avait heureusement un arbre, je m'accrochais alors à une des branches. Pendue à l'une d'elles, je n'avais pas trop apprécier comment il m'avait lâché, il aurait pu prévenir. Je descendis alors avec souplesse de ma branche, je voyais Mao qui avait posé le garçon par terre délicatement, encourant il disait les mots suivants :

    ◊ Désolé, mais pas moyen que je paie pour cette porte en carton !


Bon, va falloir que je le rattrape plus tard, et oui, c'est sur, c'était bel et bien une porte en carton ou alors c'était la force monstrueuse de Mao. En m'enlevant les quelques débris de feuilles, en réajustant ma jupe et mes cheveux, je me dépêchais d'accourir vers le garçon. Dans la mission, il est dit qu'il ne fallait pas trop le bousculé étant donné qu'il est assez perturbé, nous venons de faire le contraire. Je me penchais alors vers le jeune homme qui ne disait mot.

    ◊ Hey, ça va ? Désolé pour ce petit manège, mon coéquipier que je connais depuis vingt minutes n'a pas pu s'empêcher de jouer, faut dire que bon, un hôpital pour nous, ce n'est pas la joie.


Il me regardait fixement et avait un sourire sur les lèvres, chose qui me parut surprenant, avait-il aimer ce qu'on venait de faire ? Je ne savais pas, mais en tout cas, il faisait paraître que oui. Il prit ma main et s'aida pour se relevais, il me regardait toujours. J'avais peur, j'avais une tâche sur le visage ou quoi ?

    ◊ Euh, excuse-moi, mais peux-tu arrêter de me regarder fixement, ça m'aiderait à ne pas rougir, j'ai tendance à être timide. Bon écoute moi, nous allons marcher un peu dans la direction où mon collègue et parti, comme ça cela te fera prendre l'air.


Tout en marchant, je lui expliquais pourquoi nous étions ici, s'adressais à des étrangers était fortement déconseillé, on ne sait jamais, il était émerveillé par les oiseaux qui chantaient, les enfants qui jouer et..... les grosses traces que Mao avait laissés en courant, je le voyais au loin, pour qu'il m'entende, je levais mes bras et faisait des signes pour qu'ils nous voient, en faisant un petit geste de la tête à Kokoni, je lui faisais comprendre qu'il devait faire pareil.

    ◊Kokoni, fais comme moi, tu verras, c'est amusant. ( tout en lui faisant un clin d'œil ). MAO REVIENS !

J'avais ainsi crié son prénom pour qu'ils puissent nous entendre, je pensais que tout de même, son comportement était vraiment incompréhensif et pas très doux.
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Message(#) Sujet: Re: Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] EmptyLun 27 Mai 2013 - 3:11

~ Je courais, dans le sens du vent tel un fugitif. Tel un peureux qui vient de voir son ombre le suivre dans l'obscurité de la nuit. Occupé par la brise qui caressait mon visage, j'oubliais rapidement pourquoi j'étais en fuite. M'arrêtant rapidement et me retournant, j'apercevais au loin la jeune Kunoichi, qui pour se remettre de ses émotions, retirée les feuilles dans ses cheveux, se recoiffée et réajustée sa jupe. Je venais de sauter du troisième étage pour échapper à une quelconque punition parce que j'avais défoncé une porte. C'est tout moi ça, agir avant de réfléchir. Maintenant que mon esprit était au clair, je me rendais compte de la stupidité de ma réaction. Que ça pouvait paraitre "incompréhensible". Je m'esclaffais un moment, s'était quand même sympas de traverser une fenêtre pour finir par une chute de trois étages ! Juste à ce moment, je vis les deux personnes m'agiter leurs bras comme un signe, étais-ce un au revoir ou plutôt un signal pour que je revienne. Marchant vers eux d'un pas peu énergique, je réfléchissais encore à ce qui venait de se passer. C'est vrai qu'il ne fallait pas bousculer le ressuscité, mais s'était un cas de force majeur. Vous pensez comme moi, hein ? Je m'arrêtais brusquement en voyant une magnifique fleur, telle une roue tournante arlequin. Je la pris pour l'admirer le temps de marcher. J'arrivais aux cotés des défenestrés, me grattant la tête comme à mon habitude lorsque je suis gêné, ou dans l'embarra.

    Tout va bien j'espère ? Je suis désolé j'avais pas réfléchi..

~ Je m'approchais, une fleur à la main, des excuses dans la bouche. Allait-elle croire que cette magnifique fleur, que je tenais dans ma main, que je voulais sécher pour la garder, était pour elle ? Après tout je m'en moquais, son sourire était plus magnifique que toutes les fleurs du monde. Je la brandis devant moi tel un bouclier devant une arme, pour en amoindrir les dégâts. Je pensais alors, du moins j'espérais, avec un regard de chien battu, qu'ils n'avaient rien de casser. Je me figeais lorsque je vis un sourire sur le visage du garçon. Il en fallait si peu pour le faire sourire ? Était-ce si drôle de sauter par la fenêtre ? Ou alors était-ce parce que personne, mise à part son père, lui avait rendu visite pendant sa convalescence ? Je n'en savais rien mais s'était un très bon signe pour la suite de la mission. Rester naturel, tel est le secret d'un sourire pur, comme celui d'un nouveau-né. Comme l'eau d'une source. Comme la virginité de ma camarade. Je m'égare une nouvelle.

~ Maintenant que pouvions-nous faire pour la suite de la mission. Marchant avec les autres, je les écoutais, plaçant quelques brefs mots, par-ci, par-là. Un flash éclaircit mon obscurité, les sources chaudes, s'était parfait pour se rétablir de cette adrénaline, de plus, ça me permettrait de me faire pardonner. Et puis pour être honnête, un bon bain pour cette enfant qui sortait du coma et qui sentait le fennec, ne lui ferait pas de mal. Comment veux-tu être bien dans ta peau avec une couche de crasse, grosse comme mon ongle. Et puis voir une jeune femme en maillot de bain ça ne vous donnerez pas de la joie de vivre vous ? Fière de mon idée, l'idée du siècle pour être honnête, je leur proposais mon choix. En gardant évidement pour moi, ce dernier détail. Marchant, j'analysais pour la première fois la tête de Kokoni. Un blondinet aux yeux bleu, dommage que cette cicatrice venait entailler son visage en deux. Du milieu de son sourcil droit à la gauche de ses lèvres.

    Je comprends pourquoi tu déprimes avec une cicatrice pareille, je ferais pareil à ta place, tu es complétement défiguré.

~ Le bruit du vent remplaçait mes paroles, pendant de grosses secondes, de très longues secondes. Je réalisais alors ce que je venais de dire. Regardant le visage du jeune Genin, je m'apercevais que son sourire avait été remplacé par une mine à faire peur. Quelle idée de me donner une mission pareille, je ne sais même pas ce qu'est : "faire preuve de tact". Mais au moins on avait trouvé la raison, ou l'une des raisons de son malheur. Et ça, grâce à moi. On se trouvait à présent devant les sources chaudes. J'oubliais peut-être quelque chose. Nos maillots de bain ? Au pire, on en met pas.


Dernière édition par Hayashi Mao le Mer 29 Mai 2013 - 1:47, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] EmptyLun 27 Mai 2013 - 21:54

En regardant Kokoni, j'observais ces gestes, en effet, il ne bougeait pas les bras comme les miens, ils étaient plutôt rétractés, on sentait la faiblesse de ses bras, le blondinet aux yeux bleu souriait grandement, on dirait que ça l'amusait de faire ces signes pour Mao. Pendant ce temps là, le Genin nous avait vus de loin, il s'esclaffait. Je ne comprenais pas pourquoi, mais je pensais assurément qu'il venait peut-être de se rendre compte de sa bêtise, de son saut incompréhensif de trois étages, en pensant bien qu'il ne fallait pas bousculer le pauvre gamin. Avec nos gestes, nous essayons de faire comprendre à Mao qu'il fallait revenir, alors il décida de marcher d'un pas énergétique et de nous rejoindre. Avant d'arriver vers nous, il s'arrêta brusquement, il ramassa quelque chose et continuait d'avancer promptement.

Il arrivait donc enfin tout en regardant sa magnifique cueillette, la main dans les cheveux, il parla, il s'excusait de ce qu'il venait de faire, il disait qu'il n'avait pas réfléchi, je pensais exactement la même chose, je pense peut-être qu'une trop grosse poussée d'adrénaline lui était montée au cerveau, ce qui à activée cette action non-réfléchie. Il me montrait alors une fleur, elle était vraiment belle, je souriais alors, pour ne pas qu'il s'inquiète trop. On peut tous faire quelque chose de complètement fou quelque fois dans sa vie, donc je lui pardonne. Mao se figea quelques secondes en observant le sourire de Kokoni, le blondinet était décidément très content. Aller savoir pourquoi. J'observais le Genin, il était décidément encore en train de penser, j'espère qu'il ne dit pas de mal de moi, sinon ses belles petites miches vont être gentiment transpercées par des fourches. Nous enclenchons la marche, je décidais de placer quelques mots.

    ◊ La prochaine fois Mao, tourne ta langue sept fois dans ta bouche et réfléchi avant de sauter de trois étages en m'abandonnant dans le vide, heureusement que je suis habituée à la hauteur étant donné que mon passe-temps favori et de sauter de toit en toit, sinon quelqu'un aurais une idée de ce que l'on pourrait faire ?


Bien sûr, je n'attendais pas de réponse spéciale venant du blondinet, il ne parlerait sûrement pas, c'est là que le beau brun nous disait son idée. UN BAIN AU SOURCES CHAUDES ? Attendez doucement les amis, je suis la seule fille présente ce n'est pas juste, ils vont en profiter pour me mater ça, j'en suis sûre... En réfléchissant sur la proposition de Mao, il décidait de faire un commentaire très positif sur le visage de Kokoni.

    ◊ Je comprends pourquoi tu déprimes avec une cicatrice pareille, je ferais pareil à ta place, tu es complétement défiguré.


Bravo, je te félicite, quel magnifique compliment, il ne fallait pas sortir cette bêtise, maintenant le gosse va être encore plus dépressif. En regardant Mao se figeait, je compris que le garçon n'avait pas apprécié ce compliment. Je décidais pour contenir la haine de Kokoni envers le beau brun, de m'agripper à son bras et de le faire marcher pour aller, en étant pas trop d'accord, aux sources chaudes. Après quelques bonnes minutes de marches, personnes n'avait parlé, juste le blondinet qui avait un sourire jusqu'au oreille, mais qui n'avait toujours pas sorti un son de sa bouche. Il y avait quelque chose qui manquait, des maillots de bain. Je n'allais tout de même pas me mettre nue devant ces jeunes messieurs puceaux.

    ◊ Bon il y a un petit problème, nous n'avons pas de maillot de bain, avant de proposer quoique ce soit Mao, je te vois venir, je vais demander au directeur des sources chaudes s'il ne peut pas nous dépanner. Veuillez me suivre.


Toujours en étant agrippé au bras de Kokoni, je faisais un clin d'œil à Mao, qui nous suivait derrière en étant dans ses pensées une fois encore. Nous étions dans l'accueil, observant les alentours, c'était tout en bois, les portes le sol et les murs. Il y avait marqué vestiaire pour filles et pour garçons à droite et à gauche. Puis je voyais une petite sonnette sur le contoir, je demandais alors au blond de sonnet pour lui faire plaisir.

    ◊ A toi l'honneur Kokoni.


J'esquissais un sourire et un hochement de tête, le jeune garçon hésita puis de son bras droit, appuya violemment la sonnette, cela faisait un énorme bruit cinglant, il fallait sonner normalement pas comme une brute. Il ne fallait pas lui en vouloir, il était encore... Perturbé. Un monsieur, alors, arrivait en trottinant, il s'en pressa de nous parler.

    Directeur : Doucement avec la sonnette, elle est toute nouvelle, je l'ai nettoyé ce matin !


    ◊ Mes excuses, mon ami ici présent dois se rétablir suite à un coma, il est encore un peu sous pression, nous sommes en mission pour l'aider à se rétablir. Nous aimerions avoir un bain mixte pour trois personnes.


    Directeur : En mission, oh bon d'accord, pauvre petit, c'est vrai que la cicatrice sur ton visage ne t'avantage pas ! Oui, j'ai un bain mixte de libre, mais avez-vous vos affaires ?


En soupirant et en regardant Mao derrière moi, je demandais gentiment au directeur après cette remarque déplacée.

    ◊ Eh bien, nous sommes venus à l'improviste, j'espérais que vous auriez de quoi nous dépanner ?
    Je sentais derrière moi que Mao penser fortement à quelque chose, je ne savais pas pourquoi, m'enfin bon, le directeur d'un sourire éclatant rigolait à son tour.


    Directeur : Bien sûr ne vous inquiétez pas, je n'ai pas de maillot mais j'ai des serviettes. Tenez, une pour chacun d'entre vous, si mademoiselle voudrait bien allez dans le vestiaire des filles et messieurs dans ceux des hommes. Etant donné que vous êtes en mission, le bain sera gratos pour une fois.


Je remercier alors le directeur, lâcha le bras du blond, mais qui par surprise, m'agrippait le bras à son tour. Je n'allais tout de même pas l'emmener se changer avec moi. Alors je m'approchais de Mao pour lui chuchotais quelques mots à son oreille. Je lui disais alors :

    ◊*Prends le avec toi, tu sais qu'il n'a pas le droit de me suivre là où je vais, aide le à se changer, je suppose qu'il n'est pas encore trop apte à se déshabiller correctement. Il sent très mauvais, alors dépêchons-nous, car ça empeste vraiment le mort !*


Après avoir chuchoter à l'oreille du brun, je m'empressai de détacher la main du blond à mon bras pour le raccrocher à Mao, je fit un clin d'oeil rapide et allait me changer.En fermant la porte, je réalisais que j'allais me dévoiler en serviette à des inconnus. Mais ce n'est pas grave, car à mon tour e pourrais me rinçais l'œil.
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Message(#) Sujet: Re: Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] EmptyLun 27 Mai 2013 - 23:47

~ Peu après avoir proposé d'aller aux sources, je remarquais que la jeune femme eut un moment d'absence, elle ne l'a peut-être pas dit, mais je pouvais l'entendre clairement, tellement sa pensée était forte. En effet, elle était la seule fille de notre petit groupe de trois. Mais nous n'avions pas vraiment le choix, le jeune garçon sentait vraiment fort. Et puis ça pourrait être marrant. Une fois arrivée, la jeune shinobi eut une idée, celle de demander des maillots au propriétaire. Je n'aurais jamais pensé à cette option, mais il est vrai que se baigner nu, dans un bain mixte serait mal venu. Et puis la Kunoichi se serait rincé l'œil. C'est pourquoi son option m'arrangeait. Une fois arrivée à l'accueil, une conversation s'engagea pour savoir qui allait appuyer sur la sonnette. Hikari laissa faire le convalescent, qui, aussi raffinait que moi, défonça la cloche en burinant le bouton. Héhé, on avait peut-être plus de point commun, que ce que j'avais pensé. Approchant mon poing serré vers lui, je lui faisais comprendre qu'il devait suivre mon exemple pour poser son poing sur le mien, tout en lâchant un petit rire amical, accompagné d'un sourire. C'était la première fois qu'il souriait, dût moins, qu'il souriait grâce à moi. Ce qui n'était pas le cas du maitre des lieux énervé, qui s'empressa d'arriver pour défendre sa défunte sonnette.

~ Mais comme d'habitude, la jeune femme prit les devants pour nous aider, heureusement qu'elle est là. Sans elle, je n'aurais jamais réussi une telle mission. Enfin bon, elle s'excusait du comportement de Kokoni, et lui expliqua la situation. Il nous restait plus que le problème de notre tenue pour les bains. Songeur, je n'écoutais plus leur conversation, je n'aperçus qu'un petit regard de la demoiselle, qui devait se demander à quoi je pensais. Me prenait-elle pour un pervers ? Si c'était le cas, ce n'est pas ce que je voulais lui faire croire. Mais bon, le concours de circonstances était contre moi. Je ne disais donc rien sur à ce sujet, de toute manière, elle ne me croirait pas et elle avait accepté de nous accompagner. Il n'était donc pas obligatoire d'en ajouter d'avantage. Plongé dans mon débat intérieur, je n'avais pas entendu que cette baignade nous était offerte. Posant l'argent sur le comptoir, je repris mes esprits. Le proprio devait nous prendre pour des demeurés. C'est alors que la jeune femme mit la main du garçon sur mon bras, puis me susurra quelques mots. Il fallait que je m'occupe de lui ? Je devais le dessaper ? Jamais de la vie, je déshabillerais un homme. Et puis je ne suis pas sûr que l'autre ait envie qu'un mec le touche. Disparaissant, après son clin d'œil, derrière la porte des vestiaires féminins, je me retrouvais seul avec le petit gars étrange.

    Aller viens, on va se changer.

~ La serviette autour de la taille, je courais vers le bassin pour y faire un gigantesque bond, éclaboussant tout autour. Rien de mieux que se prélasser dans un bon bain chaud. Faisant signe au garçon de me rejoindre, je le regardais sourire. Voulant sans doute m'imiter, il courrait lorsqu'il glissa juste devant le bassin, à cause de la flaque que je venais de faire en sautant dans l'eau. Tombant à la renverse, j'essayais de le retenir, par la serviette, celle-ci se retira. Le dos sur le sol, le gamin s'esclaffa, d'un rire profond et sincère. Je me mis à rigoler avec lui. Mais ça allait bientôt partir en sucette, le môme était à poil sur le sol, lorsque je vis la Kunoichi approcher. Ça allait encore me retomber dessus, je criais donc à Kokoni de remettre vite sa serviette. Pour me cacher, je plongeais rapidement ma tête dans l'eau, pour réapparaitre quelques minutes plus tard. Je n'avais donc pas vu ce qu'il s'était passé. Nous étions tous les trois maintenant dans le bain, avec nos serviettes sur les partis de notre anatomie que nous ne voulions pas montrer. Je me souviens juste que nous avions bien rigolé cet après-midi-là ! Nous avions parlé, déconné, finissant même par faire des batailles d'eau.

~ Le soleil se couchait lorsque nous allâmes nous changer. Il était l'heure d'aller aux portes de la ville, en effet cela faisait cinq ans que le village avait été créé. Pour cet évènement, une grande fête avait lieu, il devait y avoir plein de stands, plein d'activités à faire, et une rumeur circulait même sur un feu d'artifice. Nous sortîmes donc des sources chaudes, encore plus excités. Je ne parle pas d'une excitation sexuelle bien entendu, dut à la vision d'Hikari, dans ses plus belles positions. Mais d'une euphorie collective.
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Message(#) Sujet: Re: Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] EmptyJeu 30 Mai 2013 - 22:24

En refermant la porte derrière moi, il y avait donc un vestiaire vide, je comprenais mieux pourquoi il y avait un bain mixte de disponible, je me déshabillais donc, je rangeais mes affaires proprement dans les casiers, puis me retrouvant donc nue, je mettais ma serviette qui allait de ma poitrine jusqu'au dessus de mes genoux, j'étais très gêné. Mais bon, il fallait bien que je prenne mon courage à deux-mains et que je sorte des vestiaires pour montrer mon magnifique corps avec ces belles formes. J'entendais alors un grand bruit, comme si quelqu'un avait sauté dans l'eau.

Je décidais donc de sortir de ma cachette, en tenant ma serviette très fortement pour ne pas qu'elle tombe. Je refermais la porte derrière moi et je vis alors le petit bassin d'eau, la vapeur qui en émanait était très apaisante, puis je vis Mao tirant la serviette de Kokoni, le gamin tomba par terre, dévoilant ainsi sont intimité, puisqu'il était tombé sur le dos sans serviette. Le cri de Mao me divertissait, il disait au blondinet de remettre vite sa serviette et d'aller dans l'eau. Heureusement qu'il a attiré mon attention, sinon, je serais restée fixer sur la partie intime de Kokoni.

D'un coup, Mao plongeait sa tête dans l'eau, pendant ce temps-là, je me précipitai vite pour aller dans l'eau bouillante. Peu de temps après, il sortit sa tête de l'eau. Il nous regardait chacun à notre tour, à chaque fois qu'il me regardait je tournais la tête, puis je décidais de plonger ma tête dans l'eau, je regardais ainsi sous l'eau et oui j'aimais bien ouvrir les yeux sous l'eau même si ce n'est pas très conseillé, il faisait très chaud, quand je remarquais que Kokoni avait mal remis sa serviette, alors d'un coup je relevais ma tête, toute rouge par embrassement, mais parce-qu'il faisait chaud aussi. Du coup, je ressemblai à une tomate. Les deux garçons me regardaient, pour leur montrer que ce n'était rien, je leur souriais alors jusqu'au oreille. Peu de temps après je m'étais endormie, mais j'ai té réveillé par un magnifique chant d'oisillons. J'étais inquiète, car les deux garçons avaient bougé de place.

Le soleil se couchait, nous décidons donc d'aller nous changer. Car une fête avait lieu aux portes du village. Comme il a était créé il y a maintenant cinq ans, ils décident ainsi de faire une grande fête, nous pourrions en profiter pour amener le jeune blond pour qu'il profite de la fête avec tous ces stands, activités, et même un grand feu d'artifice. En fermant la porte de mon vestiaire, je pensais à ce qui allait se passer, une grande fête à trois, je n'avais jamais eu l'occasion d'en faire, même avec mes parents assassiné, il y à longtemps, je devais y aller avec la vieille femme, mais la vie en avait décidé autrement. Des moments comme ça, ça ne se rate pas. Et là, la vison des beaux corps des deux jeunes hommes interpellait alors mes souvenirs très joyeux.

Je secouais alors la tête, finissant de m'habiller, je récupérais mes dernières affaires, je sortais du vestiaire, les deux Genin étaient donc déjà prêts et oui, je suis une fille, je mets plus longtemps à me préparer, j'avais malgré cela encore les cheveux trempés, mais ça m'allait bien aussi. Je rendais donc la serviette au directeur.

    ◊ Merci pour les serviettes, je vous revaudrais ça un jour.


    Directeur : Vous partez déjà, dommage je pensais vous gardez encore un peu, mais je sais pourquoi tant de hâte, la fête commence dans dix minutes.


    ◊ Nous y allons oui, au revoir et merci encore monsieur, je reviendrais avec plaisir !


Avec un signe de la main, j'empoignais alors les deux garçons, je les trainais avec délicatesse, quand nous étions sortis, nous nous regardâmes en souriant. Le soleil couchant, Konoha était magnifique, des lumières de partout qui éclairée les restaurants et autres activités très amusantes, nous nous promenons donc entre les stands de jeu et nourriture très variés. Kokoni était complètement émerveillé. Ces yeux brillaient alors comme les astres du ciel, je l'observais, je trouvais que c'était une bonne idée finalement de l'avoir amené ici. Je regardais ensuite Mao qui lui aussi était content. Moi aussi, je l'étais, mais moins, ses lumières me rappellent de sombres souvenirs que je ne veux pas énoncer.

    ◊ Ils ont bien réussi l'organisation de la fête, vous en trouvez pas ? Oh tenez mon jeu préféré le Kingyo-sukui, je veux attrapez un poisson rouge avec l'épuisette, venez !


Je trainais alors les deux garçons vers le stand, tous les stands étaient gratuits, donc pas besoin de débourser un seul ryôs. Le monsieur qui tenait le stand, nous donna alors trois épuisettes chacun et nous commençâmes à pêcher du poisson !


Dernière édition par Tobetatsu Hikari le Sam 1 Juin 2013 - 1:46, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] EmptyVen 31 Mai 2013 - 2:03

~ À peine sortis de l'eau, je sentis la froideur du vent sur ma peau, après tout lorsqu'on sort d'un bassin à plus de quarante-cinq degrés, il faut un petit temps d'adaptation. Une fois habitué à une température normale, je rejoignais le vestiaire avec mon nouvel ami, pour nous changer. Ce qui nous avait pris que peu de temps. Une fois sortit, nous rendîmes les serviettes trempées au maitre des lieux, tout en le remerciant. Peu après, nous nous trouvâmes de nouveau à l'extérieur, le sourire aux lèvres, nous étions prêts pour la suite de cette aventure. Mais il fallait nous dépêcher, les festivités allées bientôt commencer, moins de dix minutes pour rejoindre les portes du village. C'est sans doute ce que voulait dire ma partenaire, en attrapant mon bras, avec sa petite main si douce. Le couché de soleil avait laissé place à l'ombre de la nuit. Seule la lune nous éclairait de sa lumière bienveillante. Nos pieds, invisibles, se doublaient rapidement l'un, l'autre, pour nous mener jusqu'à notre destination. Pressés par un temps incertain, nous étions silencieux, admirant le ciel avec ses magnifiques lumières du passé. Le satellite naturel de la terre était entièrement visible, si rond, si beau. Elle semblait si proche, qu'on pouvait presque la toucher du bout des doigts. Ce n'est qu'un effet d'optique bien entendu. Mais vous n'avez jamais imaginé, la main grande ouverte vers cet astre splendide, l'attraper en serrant votre poigne ? De petites explosions se faisaient entendre, de plus en plus proche, jusqu'à ce qu'on voie des enfants jouaient avec toutes sortes de pétards. Ça ne pouvait signer qu'une chose.

    Nous sommes arrivés.

~ Le calme avait laissé place à l'agitation d'une foule déchainée ? Tout le village était là, à rire, à s'amuser. Prit par le mouvement de l'attroupement, nous ne pouvions que les imiter. Jouant aux dizaines de stands, nous nous arrêtions à chacun, les essayant, les uns après les autres. Un emplacement faisait du lancer de shuriken. Testant mon habilité à toucher une cible avec un projectile, j'avais gagné une grosse peluche Kyuubi. Que j'offris inévitablement à la jeune femme qui m'accompagnait. Étant jaloux Kokoni me demanda de lui en gagner une, également. Ce que je lui promis, mais pour le prochain jeu. Avant, je voulais les laisser s'amuser un peu et comment s'amuser le ventre vide ? Cette bonne odeur de fritures, de friandises, de nourritures, m'ouvraient l'appétit. Du coin de l'œil, j'apercevais un comptoir de Sukiyaki et de Yakitori (Le Sukiyaki est un plat avec de fines tranches de bœuf, accompagné de légumes et de soja, alors que le Yakitori est une brochette de poulet grillé et de légumes frais. Mais il ne vendait pas que ces plats, pleins d'autres y étaient écrits sur l'affiche. Un grand sourire aux lèvres, je m'adressais d'une voix amicale au vieil homme et ensuite à mes camarades.

    Pour moi ça serra un Yakitori avec du riz sauté, le vieux. Vous voulez quoi vous ? C'est moi qui régale.

~ J'attendais avec impatience nos bons petits plats. M'imaginant le manger, plantant mes dents dans ces brochettes caramélisées, je salivais. C'était enfin à notre tour, à notre tour de nous faire servir. La nourriture arriva peu de temps après. Attrapant à pleine main la broche, je la mise à la bouche. C'est alors qu'un jeune vaniteux marcha sur mon écharpe et tomba lourdement de tout son long. Trop occupé à se pavaner devant ses amis, trop occupé à draguer ouvertement des jeunes filles, pour regarder où il mettait les pieds. Je l'écoutais depuis quelques instants draguer de façon indécente Hikari, avec des propos malsains, l'empêchant même de manger. Son pied salissait mon beau châle rouge. Je n'ai eu qu'à tirer dessus, avec ma finesse légendaire, pour que ce mioche s'étale. Le temps de reprendre ses esprits, l'arrogant se releva et me provoqua pour se venger, je venais de le ridiculiser devant tous ses amis, disait-il. Ignorant sa présence, finissant peu à peu mon plat, il voulut me frapper par-derrière, se lâche. Je n'ai eu besoin de décaler ma tête de quelques centimètres pour esquiver son assaut. Ses mouvements étaient désordonnés et bruyants. Je n'eus donc aucun mal à éviter son coup-de-poing, sans me retourner. Laissant tomber ma brochette, j'attrapais son poignet, qui se trouvait au-dessus de mon épaule droite et à côté de mon oreille. Mon autre main dégaina mon sabre, qui était au préalable dans son étui, dans mon dos. Faisant voler la chaise sur laquelle j'étais assis en me retournant rapidement, je lui fis une entaille sur la joue. Je m'adressais à lui avec une voix calme, mais sévère.

    Tu as un problème ?

Mon comportement avait complétement changé, je n'étais plus le même homme qu'il y a quelques minutes. Me trouvant maintenant face à lui, les yeux droits dans les siens, un regard sérieux et meurtrier ornait mon visage. Du sang coulait sur la joue du présomptueux tétanisé par la peur.
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Konoha
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Message(#) Sujet: Re: Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] EmptyDim 2 Juin 2013 - 1:01

Après avoir jouer à la pêche au poisson, je voyais Mao qui se dirigeait vers le stand de lancer de shuriken. Nous observons Kokoni et moi, l'habilité de Mao au lancer de shuriken, à chaque tir, le shuriken allait soit au milieu ou alors juste à coté. C'était inévitablement un maître des shurikens. Remarquable, il obtenu une peluche Kyuubi, qui, à peine l'eut-il dans les mains, qui me regarda et me la donnait avec un large sourire sincère. Je rougissais alors, puis je tendais les mains pour attraper la douce peluche orange, et la serrais contre moi. Je regardais le blondinet, son visage montrait bien la jalousie qu'il avait envers moi, il voulait donc le même prix que Mao avait eu. Mao lui promit donc, mais dans un prochain jeu. J'avais donc l'unique peluche orange Kyuubi de Mao. Une odeur de fritures, somptueuse, me donna très vite l'appétit, mais à peine avait eut l'idée de proposer qu'on aille manger un morceau, que je voyais que Mao se dirigeait à très grand pas vers le stand, ou le cuisinier vendait des Sukiyaki et Yakitori.

Je regardais le beau blond et nous nous comprîmes, nous suivons donc Mao dans sa démarche. Il parlait alors au vieil homme au comptoir quand il s'adressa à nous, il voulait payer pour nous. Je ne supportais pas qu'il paye, je voulais payer ma part aussi, mais bon, il ne nous laissait pas le choix, ces yeux brillants comme les astres, il s'était décidait. Après avoir pris commande, elle arriva peu de temps après. Choqué par cette animosité que Mao nous montrait en dégustant son repas à pleine dent, je rigolais, je décidais donc d'attaquer moi aussi avec la brochette au saumon que j'avais commandé. Puis d'un coup, j'entendais un fracas derrière nous, un homme s'était pris dans la longue écharpe rouge du beau brun. Je me tournais donc vivement, l'homme à terre se relevait d'aussitôt sec pour s'approcher de moi. Il s'approchait même trop près de moi, c'était très désagréable.

    Jeune homme : Hey ! Salut ma chéri, comment fais-tu pour rester avec ces deux cancres ? Viens plutôt avec moi promener tranquillement dans un coin plus silencieux, nous ferons des choses plus amusantes, surtout avec un corps aussi généreux que le tien !


Il sentait l'alcool et le porc pourri, mais quelles paroles très raffinées ! Je n'avais jamais entendu ça de ma vie, quelle façon de courtiser une demoiselle. Il s'approchait de plus en plus près et moi, je reculais de plus en plus loin, Kokoni était spectateur, quant à Mao, très énervé, tirait alors sur son écharpe comme si de rien n'était, faisant chaviré le jeune homme vaniteux par terre. Le temps qu'il reprenne ses esprits, il se relava et provoqua Mao disant qu'il l'avait ridiculisé devant tous ses amis. Mais le beau brun l'ignorait complètement, il finissait son plat, le bougre jeune homme décidais de le frapper par-derrière. Quelle lâcheté, heureusement que le Genin décala sa tête à ce moment-là pour éviter son coup ridicule. Quelques coups suivirent, mais Mao les évitait à chaque fois. Puis il décida alors de changer de comportement, adieu le gentil et calme, bonjour au violent et ténébreux Mao au sabre aiguisé. Il interceptait le coup-de-poing du jeune homme, il lui avait fait pendant ce temps là, avec son sabre, une entaille sur la joue du jeune homme. Il n'était plus du tout le même son aura avait changé. Je sentais la violence et la haine de Mao. Un visage très sombre et meurtrier s'était dessinait sur le visage de Mao. Je décidais d'intervenir, le pauvre Kokoni avait vu toute la scène, perturbé, cette scène devait lui rappelait quelque chose, il semblait être dans ses pensées, choqué par ce qui venait de ce passé. Je me levais donc, déchirant un parti de ma jupe pour en faire un foulard, j'attachais donc le foulard sur les yeux du blond pour qu'il ne voie plus rien. Je m'approchais donc de Mao, me mettant entre lui et le jeune homme, la pointe du sabre était à présent devant mon visage. Le regardant fixement dans les yeux, je le résonnais, en regardant ces yeux grands ouverts, le mal dans ces pupilles dilatées.

    ◊ Mao-kun, reprend, toi, regarde où nous sommes, regarde à qui tu pointe ta lame maintenant. Te rappelles-tu l'ordre de mission ? Ce n'est pas du tout ce que nous devons faire ! Tu veux rendre Kokoni heureux à nouveau ? Alors arrête, s'il te plaît. Je te le demande en tant qu'ami, arrête.


Je prenais la lame de l'épée entre mes mains, l'abaissant avec force, je me blessais quelque peu les mains, Mao tenait toujours avec ferveur son arme. Puis, je sentais qu'il la tenait moins fortement, alors je la lui arrachais. Je me retournais vers le jeune homme, lui mettant mon talon sur son ventre, j'appuyais fortement pour le faire souffrir un peu.

    ◊ Ne remet plus jamais les pieds ici, est-ce bien claire ? Déguerpis !


À mes dires, le jeune homme se relevait en trébuchant peu après. Après avoir pris ces jambes à son coup, il disparaissait dans la pénombre. Regardant derrière moi, j'avais une statue et quelqu'un qui jouer à colomaya. Ne savant pas trop quoi faire pour les faires retrouver leur esprit, j'avais tout de même une idée. Je prenais une brochette restante dans l'assiette de Mao et la mettant avec force dans sa bouche, quant à Kokoni, je lui enlevais le foulard et lui donnais à contrecœur ma peluche. Quelqu'un au micro, alors, parla.

    Annonce : Le feu d'artifice va commencer dans cinq minutes ! Veuillez-vous dirigez au bord du lac s'il vous plaît, merci de votre attention.


Le feu d'artifice allait donc commencer, il fallait se dépêcher, j'espère que ce bouquet de lumières colorés, enchanterai mes amis, et donnerai le sourire à nouveau à Kokoni.
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Message(#) Sujet: Re: Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] EmptyLun 3 Juin 2013 - 19:23

~ Reprenant mes esprits, je voyais Hikari face à moi, m'indiquant l'objet de notre mission, le but de notre aventure, rendre heureux le convalescent. Puis avant même que je m'en rends compte, elle avait ma lame entre ses mains, me la baissant peu à peu, jusqu'à me désarmer. Par ma faute, elle avait des entailles sur ses mains, mais cela ne lui faisait ni chaud ni froid, avait-elle l'habitude d'être blessé ? Aimait-elle ça ? Je n'en savais rien, par contre ce n'était pas la première fois qu'elle voyait du sang, au contraire, elle devait en voir régulièrement. Une fois mon arme ôtée, elle plaça son talon sur l'estomac du jeune présomptueux, avec une souplesse extraordinaire, elle lui enfonçait peu à peu pour le faire souffrir. Le vaniteux prit ses jambes à son cou, effrayé par tant d'animosité. Mais on ne pouvait savoir qui du jeune manieur de sabre ou de la jeune fille aux talons affutés lui avait fait le plus peur. Le principal est, qu'il soit parti. Mes yeux dans celle de la jeune femme blessée, je me grattais les cheveux, gêné qu'elle m'ait vu ainsi. Je n'osais pas m'excuser après un tel comportement, mais lorsque mes démons refont surface, je ne peux me contrôler. Même si je m'entraine pour garder mon calme, ce n'était pas encore assez, mais j'espère qu'un jour, je pourrais entièrement contrôler ma colère. Même s'il est vrai, que j'ai perdu la seule personne importante à mes yeux dans la dernière grande guerre, je n'avais pas le droit de montrer une telle animosité, du moins, devant mes amis. Même si mes quelques mots d'excuse ne sortaient pas de ma bouche, mes yeux en disaient autant voir plus. Prenant une de ses mains dans les deux miennes pour regarder ses coupures, je pris un verre d'eau sur le comptoir pour en nettoyer les plaies. Pour enfin les recouvrir avec un léger bandage. Réitérant l'opération sur la seconde zone ensanglantée. Une fois terminé, elle m'enfonça une brochette dans la bouche et donna sa peluche à Kokoni pour détendre l'atmosphère. Cette savoureuse douceur, égayait mes papilles gustatives, du poulet agrémenté par une sauce caramélisé, rien de meilleur, sauf peut-être avec du bœuf. Une voix forte stoppa ma dégustation, une annonce indiquant que le feu d'artifice débutera dans cinq minutes. Il fallait se dépêcher. Je leur demandais d'aller nous chercher de bonnes places, j'avais une chose importante à faire. Les abandonnant pour disparaitre dans l'obscurité de la nuit, je n'eus le temps, que de leur dire quelques mots.

    Je vous rejoins vite, ne vous inquiétais pas.

~ Courant de stands en stands à la recherche d'un objet, je m'arrêtais enfin devant l'un d'eux. Une fois terminé, je fis le chemin inverse, il n'y avait plus personne à mon emplacement initial. Ils avaient donc compris qu'ils devaient chercher un emplacement pour regarder les feux d'artifice. Et quel meilleur emplacement qu'une zone en hauteur comme la petite crête au centre du village. Arpentant la montée en zigzag comme l'escalier d'un immeuble, j'arrivais en haut de la petite colline. Je n'étais pas le seul à avoir eu cette idée, une masse imposante de personnes se trouvait là, gênant la vision. Mais mes amis ne s'y trouvaient pas, même si cela ne faisait qu'un petit moment que je connaissais Hikari, je savais qu'elle était intelligente, ce qui n'était pas vraiment mon cas. Où irait-elle pour être tranquille ainsi qu'aillant une belle vue sur l'artifice qui illumine le ciel de ses nombreuses et magnifiques explosions coloriées. Malgré les quelques secondes de réflexions qui s'offraient à moi, je devais me dépêcher de les retrouver, si je ne voulais pas être seul pour ce magnifique spectacle. Regardant tout autour, la colline ne me donnait pas assez de hauteur pour voir tout le village. Les mains collées au sol, un grand arbre sortit peu à peu, en dessous de moi, me surélevant. Je pouvais enfin tout voir. Je ne mis pas longtemps pour les apercevoir, sur le pont de la rivière, qui sépare le village en deux. Quel merveilleux emplacement. Le feuillu disparut aussi vite qu'il fut venu, me ramenant au sol, je rejoignais alors mes deux camarades. Une fois arrivé, j'étais derrière eux, ils regardaient tout autour, sans doute à ma recherche. J'indiquais alors ma présence, le sourire aux lèvres, une peluche à la main. Me dirigeant d'abord vers l'enfant, je lui pris le Kyûbi pour lui donner la nouvelle. Tenant ma promesse le jeune garçon souriait, reflétant son bonheur. C'est alors que je me dirigeais vers la Kunoichi. Les bras tendus vers elle avec le cadeau que je lui avais offert plus tôt dans la soirée.

    C'est ton cadeau, celui de personnes d'autre, ne t'avise plus de le donner, à quiconque.

~ Un grand sourire aux lèvres, la main dans les cheveux pour me gratter la tête, je m'efforçais de ne pas rougir. Un éclair de lumière suivit d'une explosion éclaira alors nos visages heureux et coupa court la conversation. Mes yeux nus regardaient le ciel, je venais de retirer mes lunettes pour admirer les éclats de couleur, lumineux. Ceux-ci illuminaient mes pupilles grises profondément claires. Quelle magie sublime ces feux d'artifice.
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Konoha
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Message(#) Sujet: Re: Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] EmptyLun 3 Juin 2013 - 23:12

Je sentais que le garçon avait repris ses esprits, mes entailles aux mains ne me faisaient en aucun cas souffrir, j'étais habituée à être blessé, non parce-que j'aime ça, mais mon enfance fut très dur, même si je ne l'ai toujours pas raconté à quelqu'un. Les bandages que Mao m'avait faits ave délicatesse cacher ainsi mes blessures, mais du coup, il n'y a toujours pas de remède pour ma belle jupe déchirée pour bander les yeux de Kokoni pour notre animosité envers le jeune vaniteux qui a décampé il y a deux minutes. Ce n'est pas le sujet préoccupant pour le moment, Mao suivi de sa brochette que je lui avais enfoncé dans la bouche pour détendre l'atmosphère. À son habitude, il se grattait la tête tout en me regardant, il était ainsi gêné de son comportement. Je n'avais jamais vu un cas pareil, mais je ne doute pas qu'il y ait d'autres personnes comme ça. Je suis un peu pareil, enfin cela dépend de la situation et des personnes avec qui je suis. Mon humeur ne compte pas tellement. D'un regard préoccupant, Mao nous demandait d'aller chercher de bonnes places pour le feu d'artifice, il nous disait aussi qu'il avait quelque chose d'important à faire par ces dires, il disparut dans l'obscurité de la nuit, en nous laissant tous les deux. Je regardais Kokoni, il ne paraissait pas du perturbé, au contraire, on sentait la joie de vivre de celui-ci. Serrant ma peluche contre lui, je perçus quelques chuchotements, très surprise, je décidais de le questionner sur cet incident non calculé.

    ◊ Kokoni ? Si tu faisais partager tes chuchotements avec moi ? Cela me ferait très plaisir de les entendre plus fort tu sais, étant donner que le but de la mission et d'entendre ta jolie voix enfuie quelque part où elle ne veut plus sortir.


Le garçon me regardait, mais tourna vivement la tête, décidément, je n'arriverais pas à le faire parler, c'est dommage. Mais bon, j'ai de la patience, alors je ne me soucie pas de combien de temps cela prendra. Je le prenais par le poignet de la main, et je l'entrainais donc vers l'endroit où se déroulerait le bouquet de lumières. Nous marchons, observant les étoiles, mais observant aussi le monde qu'il y avait. Il y avait trop de monde pour que nous puissions voir le feu d'artifice, Kokoni ne pourra pas voir le spectacle magnifique de ces fleurs colorées dessiner dans le ciel. Ainsi, avec mes yeux de lynx, je voyais un pont, il n'y avait personne et je suis sur que sur ce pont, nous aurions non seulement une belle vue, mais elle sera mieux que les autres villageois qui s'agglutinent de plus en plus. Je voyais Kokoni qui s'avançait vers le monde, mais je l'ai de suite rappelé à l'ordre pour lui dire que nous prenons une autre place. J'espérais juste que Mao nous retrouverait. En s'installant sur le pont, les jambes dans le vide, je pensais aux feux d'artifice, il serait surement gigantesque, avec pleins de couleurs et de formes très cohérentes qui iraient de plus en plus haut et serait de plus en plus grandes. Mais je pensais aussi à cette mission, c'est un genre de mission auquel je ne m'attendais pas, au début, je pensais aider un pauvre gamin en blouse blanche défiguré par son accident à qui il fallait rendre le moral. Au final, j'ai rencontré un coéquipier très mystérieux qui agit bizarrement très soudainement et qui peut devenir très dangereux, mais qui est gentil, mignon et attentionné. Des endroits que je pensais avoir interdit de mon carnet de voyage comme les sources chaudes. M'enfin pendant ce temps-là, Kokoni était très stressé à l'idée de voir un feu d'artifice.

Au loin, je voyais une silhouette qui courait, je me disais, peut-être que c'est le vaniteux qui revient à la charge et qui vient goûter à ma délicatesse. Mais je reconnaissais les cheveux de Mao ainsi que son écharpe rouge qui flottait dans les airs. Il s'approcha le sourire aux lèvres, bras tendus vers moi, il me redonna ma peluche kyuubi et donna au blond une nouvelle peluche, qui je suppose pendant sa balade avait dû lui gagner. Il me regarda alors et me dit que je ne devais plus jamais quitter mon cadeau à quiconque. Il se gratta les cheveux, mais là, un éclair de lumière gigantesque vinrent éclairer nos trois sublimes visages. C'était magnifique, cela avait coupé alors toutes conversations, nous avions des yeux brillants à cause de la lumière intense que dégagés le feu d'artifice. Mao retira ses lunettes pour apprécier, les couleurs des faisceaux. Puis je regardais Kokoni, émerveillé par ce spectacle, le beau blond bouger ses lèvres, mais le bruit m'empêchait d'entendre sa voix ! Alors je prenais l'écharpe de Mao, le trainais devant Kokoni et criait de ma plus belle voix.

    ◊ EXPRIME TOI BIEN UNE BONNE FOIS POUR TOUTE !!!


Nous regardâmes le garçon se levait, il serra le poing et d'une voix rauque gueula :

    Kokoni : JE M'EXPRIME HIKARI-CHAN !!!!


Surprise par cette réponse, je décidais de lui répondre en profitant de la pause des artifices.

    ◊ Eh bien, tu vois que tu peux parler, Kokoni-kun, je te félicite ! Hourra !


Je prenais les mains de Kokoni et les levais au ciel avec celles de Mao et de moi-même. Je découvrais un large sourire de ma bouche, puis le final du feu d'artifice explosa dans le ciel. Une énorme étoile argentée s'était formée, retombante peu à peu sur nous. C'était très jolie, mais je meilleur était enfin la réussite de cette mission. En retournant dans nos appartements, nous devions nous retrouver tous les quatre, avec le père du blond. Ajustant mon haut, mettant ma jupe, qui cette fois n'était pas déchirée, je sortais de chez moi pour aller au même-endroit de rendez-vous, devant l'hôpital. Quelques minutes passèrent, puis je voyais Kokoni et son père ainsi que Mao.

    Kokoni : Hikari-chan !


Kokoni parla, ça faisait vraiment plaisir de l'entendre, le père était émerveillé de voir son fils parler à nouveau, tellement émerveillé qu'un filet bave coulait de sa bouche, c'était très raffiné. J'arrivais alors et le père me fonçait dessus ainsi que Mao et nous soulevait tous les deux en nous disant :

    Père de Kokoni : Merci Genin de Konoha, merci infiniment je ne sais pas comment vous remercier !


    ◊ En nous déposant très délicatement et en déserrant vos bras musclés monsieur merci.


Il s'excusa et nous déposa. Un échange bref de regard se passait entre nous. Kokoni était très souriant, cela changer de notre première rencontre, complètement perturbée, déboussolée ainsi qu'une mine très triste. Maintenant, c'est tout le contraire.

    ◊ Bon eh bien, la mission étant accomplie, je vais vous laisser à présent, le travail m'appelle de nouveau, Kokoni, ce fut un immense plaisir de t'avoir fait retrouver la parole, monsieur surveiller le bien, quant à toi Mao, c'était un immense plaisir de travailler avec toi, attention à canaliser le démon qui se cache en toi, sur ce à plus !


En serrant très fortement la main de mon coéquipier tout en esquissant un sourire très chaleureux qui me faisait rougir comme une tomate, je partais alors, en sautant de toits en toits comme à mes habitudes, en regardant les silhouettes qui s'effaçaient au fur et à mesure.
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Message(#) Sujet: Re: Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] Un gamin perturbé, Mao et Hikari à la rescousse ! [Hayashi Mao] EmptyJeu 6 Juin 2013 - 19:29

~ Le feu d'artifice avait commençait, les explosions faisaient vibrer mon âme, mon cœur suivait le rythme des détonations. Quel magnifique spectacle, je ne crois pas en avoir jamais vu de si beau. Les yeux rivés vers ce ciel coloré, je me fis surprendre, ma coéquipière attrapa mon écharpe avec une poigne incommensurable. Me trainant vers le garçon muet, elle cria pour se faire entendre, qu'il devait s'exprimer une bonne fois pour toute. Ce qui me surprit le plus, n'était pas l'action de la jeune femme, mais plutôt la réaction du jeune garçon. De la même voix il hurla également qu'il s'exprimait. Même si ce n'était pas grand-chose, il avait enfin parlé, nous avions donc réussi la mission ? Avant même de le réaliser, les faisceaux firent une courte pause, le bouquet final n'était pas loin. C'est alors qu'une explosion qui me fit fermer un œil surgit, dans une clameur générale. Une magnifique étoile argentée, haut dans le ciel, retombait peu à peu avec une luminosité extrême. Nos cœurs ne pouvaient pleurer la fin de ces feux colorés, qui signifiait également la fin de notre mission, tant nous étions émerveillés. Mais la nuit était à son apogée, ils nous faillaient donc nous séparer pour aller nous coucher, mais bien sûr, nous nous retrouverons le lendemain pour le compte-rendu de la mission. Nous marchions dans l'obscurité, ramenant le jeune garçon chez lui, je me rappelle que nous avions beaucoup parlé sur le chemin, de la pluie et du beau temps.

~ J'étais de nouveau seul, les yeux rivés sur mon plafond entièrement noircit par l'obscurité de la nuit. La tête sur mon bras droit, qui lui-même était sur l'oreiller, je repensais à la journée. Légèrement nostalgique, je me rappelais de tout ce que nous avions fait. J'avais rencontré une nouvelle amie, nous avions réussi tout d'abord à le faire sourire et enfin même le faire parler, lui qui était dans un coma suite à un combat contre Makka, qui le rendit muet et inflexible. Kokoni.. Je suis content que tu aies retrouvé la parole ainsi que la joie de vivre, après tout, la vie est merveilleuse ! Ahahah, ça n'a pas été facile, nous avons sauté du troisième étage d'un hôpital, passé l'après-midi dans une source chaude pour enfin aller à la fête célébrant les quatre ans de Konoha. Nous finîmes sur un magnifique feu d'artifice, clôturant notre mission ainsi que notre journée. Quels merveilleux souvenirs. Mes paupières se fermèrent peu à peu, ces fabuleuses pensées en tête.

~ À l'aurore, pressé de les retrouver je partis à leur rencontre, je voyais au loin Hikari, qui devait nous attendre, tout comme notre première rencontre. Même si ce n'était qu'hier, j'avais l'impression de la connaitre depuis ma plus jeune enfance. Peu après cette vision, je voyais Kokoni et son père proche de moi. Les saluant à haute voix, ceux-ci faisaient de même, nos visages ornés de sourires. Le jeune garçon appela son amie au loin, sans doute heureux de la revoir, tout comme moi. Nous arrivions à peine à ses côtés que le père comblé, nous soulevâmes tel un remerciement. Une fois reposés à terre, nous nous regardâmes tous avec notre plus jolie mine. Voilà la fin d'une belle aventure. Sa main dans la mienne, les joues roses, elle indiquait son départ, sans doute gêné. Elle ne voulait peut-être pas pleurer devant nous ? Non, je ne pense pas qu'elle voulût pleurer pour si peu. Une fois partit, je suivais son exemple, me dirigeant comme à mon habitude matinale, à mon entrainement quotidien dans la forêt. Espérant les revoir rapidement.

    À bientôt tout le monde !
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