Si Anka savait où aller ? Pas vraiment, elle se contentait simplement de suivre sa boussole, un anneau légué par son père qui réagissait plus ou moins intensément à la présence d'un habashi, il s'agissait d'un saphir dont la provenance était aussi mystérieuse que celle de leur pouvoir. Cette bague l'avait mené à travers plusieurs pays jusqu'à un désert. Après deux bonnes heures dans le sable accompagné d'un autre habashi, elle se demanda si elle suivait bien la bonne route, elle ne sentait pas son chakra, mais le bijou familiale brillait et toujours plus fort, on lui avait apprit qu'il ne se trompait jamais. Elle continua alors, plaçant toujours sa confiance dans l'anneau serti. En y repensant de plus prés c'était certainement l'endroit le plus propice pour y retrouver quelqu'un ne subissant pas la chaleur. Ils progressèrent comme ça dans le désert, discutant et se taisant successivement, observant les alentours, prenant garde à cette contrée qui semblait bien inhospitalière, aride, brûlante. Fort heureusement pour eux deux, la jeune femme pouvait ''créer'' de l'eau, augmenter son volume à volonté et donc ne pas succomber à la déshydratation. Finalement ils virent au loin se former une masse qui vue d'ici semblait petit, plus ils se rapprochaient plus elle grossissait, ondulant sous l'effet de la chaleur, elle reposait ses yeux sur la pierre précieuse aux propriétés uniques, brillante, étincelante comme jamais. Elle savait que ce qui se profilait au loin, le lieu où se trouvait la personne qu'elle cherchait. Ils ne furent plus qu'à quelques mètres de ce qui semblait être une muraille, elle s'assit alors devant contemplant l'immense ouvrage, imitée pas son acolyte. Puis une voix d'homme s'éleva depuis le bâtiment, visiblement à leur destination. Elle leva les yeux pour tenter de trouver d'où venait ce son et vit au sommet d'un des pans une tâche noir, à y regarder de plus elle devina que c'était la silhouette de quelqu'un, un homme.

Hey vous deux là, qui êtes vous, que faites vous assis dans le sable ? Vous ne pouvez pas rester là !
On attend qu'il pleuve ! Ça devrait pas tarder !

Répondit elle avec moquerie en tirant la langue. L'homme disparut et réapparut juste devant les deux habashis, il les dévisagea et s'adressa à Anka de nouveau. La jeune femme ne bougea pas d'un pouce, resta assise comme ça, narguant le jeune aux vêtements militaires, elle devina immédiatement que c'était un ninja, elle pouvait ressentir son chakra émaner de tout ses ports, il était prêt à se battre, et était vraisemblablement bien plus fort qu'elle, et peut être même de Tsuna, lequel n'était pas non plus un débutant. Néanmoins elle ne sourcilla pas plus face à lui, elle n'attendait qu'une chose, qu'il la touche, ce qui ne prit pas bien longtemps à arriver. Tout en parlant il attrapa son bras sans se préoccuper de savoir qui se trouvait devant lui, elle mit son bras de travers pour empêcher son beau frère d'intervenir.

Vous allez me suivre gentiment, et répondre à mes questions !
Ah, mais j'ai répondu à vos questions, non ? Attendez, vous vouliez savoir qui nous sommes ? Anka, et Tsuna derrière moi.. ça devrait aller comme ça, non ?
Arrête de te payez ma tête, vous...
Ce n'est pas bon de rester au soleil trop longtemps !

Ajouta t elle en regardant la main enroulée sur son avant bras. Cette derniére se desséchait à vu d’œil, prenant une couleur livide, grisâtre, il la lâcha alors difficilement, ses articulations craquèrent avec une sonorité étrange, il fit quelques pas en arrière en tenant son bras ! En hurlant, demandant ce qu'on lui avait fait. La jeune femme à la chevelure indigo esquissa un sourire amusé et passa sa main sur son front comme pour essuyer sa sueur, puis elle lui répondit, abordant un air innocent.

Je vous ai empêché de nous faire du mal, vous inquiétez pas, vous aurez retrouvé toute motricité dans quelques heures, ou jours... Allé, maintenant passons aux choses sérieuses, où est Zanshi ? Habashi Zanshi ?

Finit elle en scrutant rapidement, succécivement la pierre à son annulaire et son interlocuteur. Le jeune ninja dégaina un sabre de sa main valide, malgré son lourd handicape il ne voulait pas les laisser passer, ou au moins leur répondre.

Que voulez vous à Zanshi-Sama ?!
Sama ? Haha, c'est ma sœur.

Spoiler:

Spoiler:

- Ca te servira de leçon, Daruma.

Tels furent les mots d’Hayato lorsque son collègue poussa une pénible complainte sonore. Aujourd’hui, comme il n’était pas en mission, mais qu’il n’avait pas non plus envie de passer pour un fainéant, Hayato avait accepté d’être de garde pour la journée. La matinée qu’il passa à fixer le même horizon lui fit prendre conscience d’un détail qui avait son importance. Si Suna et ses habitants pouvaient paraître rudes aux yeux du reste du monde, c’était à cause du désert. A l’instar, si les Konohajin avaient un tel comportement, c’était tout simplement parce qu’ils étaient gâtés par la nature. Quelques minutes plus tôt, un chuunin également de garde, avait signalé l’arrivée de deux personnes, sans signe d’appartenance à aucun village, toutefois, un senseur s’était empressé d’ajouter qu’ils étaient rodés à l’art de malaxer le chakra. Pour briser la monotonie, mais également parce qu’il était l’un des plus gradés en faction à ce poste, Hayato s’était naturellement levé pour aller accueillir les arrivants.

Agacé par l’attitude désinvolte du jeune Jonin depuis son arrivée à la Voie Illusionnée, Daruma, qui prenait très à cœur son rôle de « portier » du village, l’avait devancé. Un geste qu’Hayato avait volontiers laissé passé, trop heureux de retrouver son poste pour y continuer de rêvasser. Mais finalement, le spectacle s’avéra beaucoup plus divertissant à regarder. Bien qu’elle n’ait été en position de faire la maligne, les phrases de cette jeune femme en réaction aux questions du shinobi firent rire certains sunajin. Connu pour son tempérament excessif, Daruma ne faisait pas l’unanimité. Par la suite, la situation faillit dégénérer lorsqu’elle assécha le membre du ninja. Fort heureusement, sortit de nulle part, le nouveau Kazekage prit le relais.

*Voici l’homme qui va diriger le village à présent… Meteora. Espérons que la chance qui l’a accompagné au long de sa carrière suffira à contrer la malédiction liée à ce funeste poste de leader.*

Plus jeune, Hayato avait souvent eut vent des faits de ce groupe célèbre dans le désert, le Kakumeigun. Ayant toujours nourrit l’envie de les rejoindre un jour, il les avait aidé dès que l’occasion s’était présentée, affrontant la redoutable meneuse du clan Yamada, dont il tomba par ailleurs amoureux. Il vit alors tomber chacun de ces membres, les uns après les autres, comme des mouches et il réalisa qu’en deux années, il n’avait jamais approché Kenji de près. L’acte de ce dernier certainement accélérer les choses. Malgré son poste et ses responsabilités, ce nouveau Kazekage empoigna la jeune fille par la gorge et la souleva de quelques centimètres. Ce ne fut qu’à cet instant précis qu’Hayato reconnut celle qui se présentait aux portes de Suna : Habashi Anka !

Kusa no Kuni, Kaio Kagenuro, les jumeaux Risk et Rask, toute une flopé de souvenir que ce ravissant visage lui évoquait. Son charme n’avait d’égal que l’intensité de ses yeux bleus. Lors d’une mission diplomatique, Hayato et un autre Jonin de Suna avaient du s’allier avec elle pour imposer son clan comme leader, afin de stabiliser le pays, en échange de quoi les Habashi apporteraient leur soutien au village. Mais plus important, cette jeune femme l’avait troublé dès l’instant où il avait aperçue. Bien qu’il était trop tôt pour parler de sentiments, elle envahissait déjà ses pensées. Ignorant totalement l’ordre de retrait, le Sunajin quitta son poste d’observation pour aider la belle à se relever.

- Comme ça que vous accueillez vos visiteurs, Kenji-sama ? dit-il avec une pointe de reproche dans la voix, avant de se tourner, enthousiaste, vers elle. Anka ! C’est moi Hayato ! Le clan Noda, la mission, tu te souviens ?

On pouvait se poser la question, se souvenait-elle ?

« Ces personnes vous veulent.. quelque chose, Zanshi-sama. »

« Kage ou pas.. Tsuna ? »

Elle avait prit un sacré coup là, et non même pas un coup en fait, juste soulevée et envoyée valdingué dans les dunes. Cette grosse brute avait de la force à revendre, elle ne se demanda pas qui il pouvait bien être, du sable dans les cheveux et pas trop dans les yeux elle sentait une petite douleur au cou, plus de peur que de mal alors. Aidée par un jeune homme lui ressemblant étrangement et lui rappelant quelqu'un, elle se releva, s'époussetant un peu partout pour faire tomber les derniers grains. Elle fixa un instant celui qui l'avait aidé, et se souvint finalement, aprés plusieurs secondes, de lui. Un des ninja qui était venu à kusa pour l'aider à rétablir un semblant de paix, pourquoi un semblant ? En fait le pays était tranquille depuis leur passage. Elle creusa un peu plus loin, un peu plus profondément dans son crâne et mit le doigt sur son, hayato, c'était bien ça ; Hayato, elle se souvenait de lui. Ce dernier avait été particulièrement sympathique, trait auquel Anka n'attachait que très peu d'importance, comme au reste. De bonne volonté et parce qu'il était un de ceux l'ayant aidé, elle lui répondit sur un ton légèrement bourru.

Oué, je me souviens de toi, Hayato, c'est ça hein ? Uhm... j'aime vraiment bien la couleur de tes cheveux hahaha... Comment il s'appelle l'autre frustré là bas ?

En posant la question elle avait bien prit garde à se placer derrière lui, feintant l'observation de ses cheveux, elle le plaçait entre elle et le furieux au cheveux jaunes. Puis elle se désintéressa complètement du sunajin aux cheveux bleus pour observer au loin sa sœur entrain de parler à ''l'autre''. Aucun sourire ne se dessinait sur ses lèvres, elle trouvait tout cela étrange, elle trouvait sa sœur étrange, une apparence qu'elle n'avait jamais vu auparavant, elle semblait vu d'ici bien endurcie, puis l'aîné de la famille, soit Anka, pouvait sentir sa force, ou du moins son chakra, titanesque. Elle soupira alors se disant finalement que sa rouquine de frangine n'avait tant changé que ça, du moins pas sur le point du dépassement de soi, au niveau physique, elle avait prit un tournant à quatre vingt dix degrés, elle ne ressemblait plus à la gamine qui la suivait un peu partout, avant. Elle reporta son attention sur son clone masculin, elle semblait un peu nerveuse maintenant, et en effet, pas pour rien, elle se rendit compte qu'elle avait agressé un garde de ce village, et que peut être que cet acte était répréhensible par ici... autant en avoir le cœur net se dit elle. La jeune femme posa une main sur l'épaule de son Samaritain.

Dit voir, hayato, je vais pas aller en prison pour que j'ai fait quand même ?

Glissât elle à son oreille en espérant une réponse allant dans son sens, enfin, même si ils décidaient de l'emprisonner, elle ne se laisserait pas faire, et tenterait tout pour s'enfuir, vivre en cage, très peu pour elle ! Cependant, aprés être arrivée là, avoir retrouvé zanshi, elle se demandait ce qu'elle pourrait faire, elle qui habituellement prévoyait tout longtemps à l'avance se retrouvait prise de court par sa propre bêtise, à cause d'une envie irrépressible et un tantinet égoïste. Son regard percutait celui d'Hayato, identique, ou presque. Elle ne s'attendait pas à ce qu'il ait une quelconque influence sur les décisions de cette communauté archaïque.

Peu de temps après l’intervention d’Hayato, arriva sur les lieux un autre personnage illustre du village. En effet, quelques jours plus tôt, Habashi Zanshi avait été nommée chef du Kakumeigun, place précédemment occupée par Kenji lui-même. Ce poste faisait d’elle une Jonin particulière, elle était devenue « numéro deux » derrière le Kazekage. Voir ces deux figures de Suna avait quelque chose d’impressionnant, ils semblaient à la fois si proche et tellement loin. Malgré toute l’expérience acquise au fil de ces derniers mois, Hayato avait toujours l’impression qu’un véritable mur le séparait de ce duo. Toutefois, contrairement à ce qu’on pouvait penser, ce mur l’arrangeait, il le protégeait de la pression, du devoir et des responsabilités qu’incombaient ces postes. Grâce à ce mur, il pouvait pleinement profiter de la vie et se concentrer sur ses objectifs personnels. Oui, un vrai égoïste…

Les paroles de Kenji l’avait particulièrement offensé. C’était un coup bas de sa part, mais il avait frappé au bon endroit. En général, Hayato préférait éviter les cimetières et autres lieux de recueillement, car particulièrement sensible à la mort, il revivait la douleur ressentie la première fois. A cette remarque déplacée, il aurait volontiers répondu au Kage, mais il ne le fit pas pour une raison évidente : le bon sens. Il tenait à la vie et savait bien que l’homme face à lui pouvait en un claquement de doigt transformer celle-ci en cauchemar. Preuve de maturité ou simple peur d’une terrible sanction ? Le mystère reste entier. En tout cas, ce jour-là Hayato se terra dans un mutisme inhabituel. En quelques instants, la confiance qui l’animait s’était évaporée. La seule chose qui l’empêcha de détourner le regard était la chaleur émanant de la main d’Anka, sur son épaule, un simple contact qui lui donnait pourtant des ailes.

- Ne t’en fais pas, à moins que tu ne détiennes des informations capitales pour le village, on ne prendra la peine de t’enfermer pour si peu. Susurra-t-il à son homologue bleu, en fixant avec attention Zanshi qui s’avançait vers eux.

Ilétait d’usage d’éliminer un prisonnier inutile. Mais mieux valait ne pas parler de ce détail pour le moment. Hayato était persuadé que Zanshi s’approchait pour le sermonner, du coup il serrait le poing, préparé mentalement à lui faire face. Mais il se fourvoyait complètement. Ignorant le marionnettiste, l’écarlate s’adressa directement à sa sœur et à son compagnon. Jugeant qu’il était de trop pour cette scène de retrouvailles, le jeune homme quitta les lieux en direction de son atelier. Avant de pénétrer dans la Voie Illusionnée, il passa à côté de Kenji, sans un mot ni aucun changement dans le rythme de ses pas. Les mains posées sur sa tête, il constata avec un certain amusement à quel point il paraissait « fragile » par rapport à cet homme et à sa carrure. L’histoire aurait pu s’achever ainsi, mais ce ne fut pas le cas. Lorsque le leader s’adressa à sa subordonnée concernant le sort des deux nouveaux arrivants, Hayato se stoppa net.

- Pardonner… Naïf… Exécution… Je ne sais pas quels sont les démons qui vous tourmentent, Kenji-sama, mais je vous plains.

Pour le marionnettiste probablement aveuglé par une flopé d’impressions et de sentiments, son Kage faisait du zèle, il voyait le mal partout. Il était prudent et c’était une attitude louable, mais pourquoi Suna, l’une des plus grandes puissances actuelles, devait se méfier de deux jeunes inconnus ? (surtout qu’ils n’étaient pas réellement des inconnus). C’était la conclusion du jeune adulte sur la question. Et puis de toute façon, il ne pouvait pas y avoir d’exécution, puisque la prochaine fois qu’il croiserait Anka, il comptait bien l’inviter. Faisait-il ça par affection ou pour tenter désespérément d’attirer l’attention de Yamada Mitsune, meneuse de clan ? C’est une autre histoire.

« Kenji, elle c'est ma ''grande'' sœur, anka ; et lui c'est... Tsuna. Je n'avais pas pensé un instant qu'ils puissent venir jusqu'ici... mais maintenant qu'ils sont là. Je m'en chargerai, t'inquiète pas. Puis reportant mon attention sur les deux autres habashi. Bon, ''tout'' est ok, vous n'oublierez pas de dire merci au Kazekage. Maintenant, suivez moi, on doit discuter. » Dis je sur un ton un peu sec.

« Merci pour eux, kenji. » Finis je.

Hayato l'avait un peu rassuré sur ce point, elle appréciait ce jeune homme qui était si avenant avec elle. L'arrivée de Zanshi lui fit visiblement peur, ou quelque chose comme ça puisqu'il décampa aussitôt que la ''rouquine'' ; oui parce qu'elle n'est pas rousse !; fut à leur niveau, à égale distance entre eux deux en fait. L'aura qui émanait de sa sœur ne lui permit pas de remettre en question son ordre, Anka se rendait compte que la jeune femme qui se dressait devant elle avait changé, elle avait grandi, s'était affirmée ; cela lui fit plaisir bien que la douleur qui engourdissait son épaule commençait à prendre le pas sur cette joie. Un seul coup de cet homme pour le moins étrange avait suffit à lui faire regretter son geste envers le pauvre soldat. Elle passa sa main sur son coup en écoutant le chef du village, puis écouta la cadette de nouveau, Anka jeta un rapide coup d’œil à Tsuna qui était visiblement toujours sous le charme de sa frangine. Tout se passa très vite, en une minute tout fut réglé et la chef du kakumachin les invita à entrer dans le village.

Les deux habashi venus de kusa ne s'étaient pas imaginés une telle suite à leur histoire. Anka s’exécuta, accompagnée de Tsuna, elle dépassa sa sœur et le grand blond, elle croisa son regard, elle plissa les sourcils, et le lien fut rompu faute d'angle de vue. Ils arrivèrent alors ensuite au pied du grand mur, devant ce qui ressemblait à une entrée, une gigantesque fissure dans les deux murailles, une ombre géante où marchaient des dizaines de personnes, entrant, sortant, attendant, en haut de chaque mur un homme en arme surveillait, observait, scrutait. L'un d'entre eux s'attarda sur nous, et reporta son attention sur autre chose.. Des sentinelles se dit elle. Et là, en voyant ça, elle se demandait pourquoi cet à l’œil bleu, le plus fort du village, s'était déplacé pour eux deux ? Elle savait qu'elle même n'était pas très puissante et ne pouvait se défendre qu'en usant de subterfuges rusés ; et Tsuna, lui.. était un médecin certes efficaces, mais un médecin quoi. Sa sœur avait raison, ils allaient devoir discuter, et ce ne serait pas la seule à poser les questions. Anka se retourna pour observer au loin Zanshi et le ''kazekage''.

Hum... Je ne comprends pas ! Tsuna, tu peux regarder mon épaule, elle me fait atrocement mal.

Le temps qu'il l'ausculte, la jeune femme observa encore, tentant de deviner ce qui pouvait bien unir ces deux là, ils semblaient se connaître ou quelque chose comme ça, un lien assez spécial selon elle, quelque chose qu'elle ne comprenait pas, du moins pas encore car viendrait le jour où elle saurait ! En attendant, elle observait jusqu'à ce qu'elle lui fasse ce qui semblait être un bisou, Anka se retourna brusquement, l'air de rien, alors que tsuna palpait son épaule et tentait de la maintenir en place. Son petit cerveau se mit alors en ébullition et toute une flopée d'idées, d’hypothèses la traversa et on put voir sur ses lèvres un sourire assez bizarre, celui du plan machiavélique ; quand elle fut tirée de son élaboration par une intense douleur dans son bras au moment où son beau frère le toucha..

Aaah ! Ça fait mal, là !