Cela faisait quelques mois que je n'étais pas retourné dans mon pays natal et quelques années que je n'avais pas revu ma famille et mon clan. Apparemment ils avaient décidés de se sédentarisé dans la région, c'est ce qu'un proche, rencontré au détour d'une ruelle m'avais annoncé. J'appréhendais un peu le fait de les revoir après tant d'années. J'avais changé depuis tout ce temps, je n'étais plus le jeune garçon espiègle toujours habillé en clown qui passait son temps à s'enfuir au moindre combat. J'étais devenu un adulte de presque vingt et un ans et un membre émérite du village de la foudre. Honoré par ses pairs qui plus est. Enfin seulement une partie puisque l'autre me détestait sans me l'avouer sinon les personnes la composant se prenaient des mandales dans la tronche. Je n'avais pas le souvenir que cette nation soit si grande. Au point que les forêts et les champs se succédaient les uns après les autres. D'après mes informations, ma famille logeait dans l'extrémité sud du pays à la frontière de Hi no kuni. J'espérais vraiment ne pas avoir à croiser des ninjas de Konoha, généralement ils étaient cons comme des tables et n'étaient pas de bons conseils.

Les heures et la nuit passèrent avant que je n'arrive à ma destination, un village entouré par les arbres d'un côté et par une rivière et un champ de l'autre. Ils vivaient maintenant du riz qu'il faisait poussé grâce au cours d'eau présent. En somme mon clan était devenu un ramassis de pécores sans cervelles et qui plus est il devait être en manque de d'oseilles à tout les coups. J'hésitais déjà à repartir malheureusement une personne vint à ma rencontre. Elle était toute souriante et je mis du temps à la reconnaître. Ma cousine Izao. J'étais impressionné par sa mémoire. Après tout elle était âgée de huit ans lorsque je suis parti. Elle était maintenant devenue une jeune femme et elle était belle en plus. Arrivée à ma hauteur, elle sauta dans mes bras au point de me faire tomber à la renverse. J'venais de me taper de la marche, j'étais claqué, j'ai un sac sur le dos et elle me saute dessus, elle est vachement conne quand même non. Même à terre, elle ne lâchait pas prise, elle me serrait d'une étreinte peu commune comme si du chakra la parcourait. Avait elle apprit à se servir de son énergie spirituelle ? J'étais impressionné, même si ce n'était pas mon genre de le déclarer de but en blanc. Finalement elle me relâcha et s'enfuit en courant. Ils étaient vraiment bizarres dans ce village, et à vrai dire aucun de ces fous ne m'avaient manqués, pas même mes parents. D'ailleurs ils étaient dans quelle maison ces cons là.

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La jeune femme se précipita dans les rues du village, elle était connue de tous comme la soeur du grand espoir du clan, Naiki, le démon noir comme il était surnommé ici. Mais pour une fois ce n'était pas parler de son frère qui la rendait heureuse mais de son cousin revenu à l'instant après dix ans d'absences. Oui Yugata Yugure était de retour. C'est ce qu'elle n'arrêtait pas de crier dans tout le village à qui voulait l'entendre. Certains semblaient heureux, d'autres surpris. Il est vrai que des rumeurs concernant sa mort avaient retenti jusque ici. L'adolescente se précipita dans une bâtisse vers la fin du village, sur la porte le nom Yugata était écrit en lettre capitale. Elle pénétra dans la demeure et s'exclama de vive voix.

⇨ Oncle Yure, Tante Naër, Yugure est de retour, il est à l'entrée du village.
⇨ Je sais ma petite je l'ai senti. S'il est toujours le même il viendra à nous sans difficulté.

La réponse de l'homme fut immédiate, si son fils n'avait pas perdu ses capacités sensorielles, il serait immédiatement comment rejoindre ses géniteurs. Malheureusement pour le vieil homme, sur ce plan là, Yugure n'était plus que l'ombre de lui-même, s'il ne pouvait sentir qu'une once de chakra, c'était déjà vraiment pas mal du tout.
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J'entrais maintenant dans les rues du village, je vis des têtes connues, certains me sourirent d'autres firent mine de pas me connaître, c'était presque comme si j'étais parti la veille et que je revenais de la pêche ou d'une connerie du style. Je progressais dans le village comme si de rien était à la recherche de l'habitation de mes parents. J'avais perdu ma faculté à ressentir le chakra et donc par conséquent, je n'étais plus capable de les localiser. C'est chiant, c'est con, c'est comme ça. Finalement après des minutes de recherches, j'abandonnais l'idée et m'asseyais sur le banc devant la bâtisse où l'ancien du clan donnait ses cours habituellement. C'était un vieil homme qui prenait toujours plaisir lorsque j'étais enfant, à emmener la petite Kikyo dans son bureau. Maintenant avec l'âge je savais pourquoi. La chance que j'ai eu qu'il ne soit pas intéressé par les garçons. Je prendrai un moment pour lui régler son compte à ce vieux fou. Une connaissance passa devant moi, mais je remarquais quelque chose d'étrange, tout le monde le fixait avec admiration. Il s'agissait de mon cousin Naiki, plus jeune que moi de quatre années. Il est aussi le frère de Izao ma cousine. Cela faisait bizarre de le voir presque adulte alors qu'il avait six ans lorsque je suis parti. Bizarrement les têtes de mes cousins et cousines n'avaient pas changées, même avec l'âge. J'interpellais l'idiot.

⇨ Hé grand con, la moindre des choses c'est de saluer ton cousin quand tu passes devant lui.
⇨ Mon cousin je l'emmerde, et si t'as un soucis avec ça Yugure, je peux t'en mettre une de manière rapide et bien propre.
⇨ On verra ça quant t'auras tout tes poils à la kékette, en attendant dis moi juste où habitent mes parents.
⇨ La maison un peu plus grande que les autres, dans les ruelles là bas derrières. Mais bon, tu devrais pas être capable de le ressentir. Toi possédant le don obsolète tiré des astres te permettant de ressentir ? D'ailleurs ça t'as permis de sentir que t'étais complètement con ou pas ?
⇨ C'est un peu compliqué, toujours est-il que dans deux secondes tu vas sentir mes pompes dans ton cul, et ça sera mérité.
⇨ Barre-toi, ce village n'a plus rien à t'offrir, c'est mon dernier conseil.

Je quittais mon cousin sans rien dire de plus, apparemment aucune de mes paroles ne pourraient le convaincre d'être moins hostiles à mon égard. C'était quand même impressionnant qu'il se souvienne encore de moi, alors qu'il avait six ans lors de mon départ. Il devait être un gamin plutôt intelligent. Rien que le fait qu'il comprenne de suite que j'ai perdu mes pouvoirs le prouvait. J'arrivais devant la maison de mes parents et donc la mienne par extension. J'avançai d'un pas hésitant, mais c'était un cap à franchir et je devais le faire. Je traversai le jardin et arrivai devant la porte. Je respirai un grand coup avant d'ouvrir cette dernière d'un geste brusque. Je pénétrai dans l'habitation et lançai une phrase bateau du genre «Je suis de retour». La une femme vint à ma rencontre, elle me fixa de ses yeux charbons et me répondit.

⇨ Yugure ! J'ai l'impression que ça fait dix ans que l'on ne ta pas vu !
⇨ C'est certainement parce que ça fait dix ans que tu ne m'as pas vu, mère !
⇨ Tu es devenu un jeune homme, et tu as laissé tombé le déguisement de clown !
⇨ Depuis que je ne peux plus escroquer les gens avec mon don en réalité, donc pas tellement longtemps.
⇨ Pourquoi tu ne peux plus te jouer d'eux ? Tu as acquis une morale ?
⇨ Non j'ai perdu mes pouvoirs. Enfin ça revient au même, disons que la morale est forcée de suivre du coup.

Malgré mes paroles humoristiques, mes parents se turent. La faculté de sentir était l'emblème de notre famille depuis des générations, le fait de l'avoir perdu signifiait sans doute un déshonneur pour eux. Mais bon ce n'était pas de mon fait. Je commençais donc à leur expliquer mon histoire, la totalité de mes actions pendant ces dix années d'absences. En passant par la guerre, mon incorporation à l'armée de la foudre, mon passage de grade, mon senseï, mes élèves et tout le chemin parcouru jusque ici. Je pouvais sentir la joie dans leurs yeux et l'admiration. Il fallait bien avouer que pour un clan de seconde zone comme le notre, entendre une vache qui pète c'était déjà un festival, alors un petit d'ici qui réussi dans la vie, vous imaginez l'attraction. Cependant je m'attendais à tout sauf à la réponse qui suivie.

⇨ Pendant ton absence, ton cousin Naiki a éveillé un pouvoir du clan que l'on croyait endormi depuis des générations. Il a la faculté de créer et d'utilisé de l'eau noire et plus visqueuse que de la boue !
⇨ De l'eau noire ?

Dis-je sur un air d'étonnement. Ils me confirmèrent leurs dires. Si c'était le cas, il était impératif que j'aille voir mon cousin et que je m'éveille moi aussi à ce pouvoir, cela ne pourrait être qu'un plus lors de mes missions. Je remerciais mes parents d'un sourire et annonçais de but en blanc que j'allais m'emparer de cette force. Mes géniteurs semblaient inquiets. Mais bon j'étais le grand Yugure. Que pouvait-il m'arriver ? Ouais là j'me sentais plus, j'avais les chevilles aussi épaisses que Kira était con, c'est vous dire le volume. Après de longues minutes, j'avais finalement réussi à remettre la main sur mon cousin. Il semblait toujours se pavaner dans les rues du village, même si maintenant je comprenais un peu mieux d'où lui venait cette assurance. Je le fixais avec une pointe de jalousie dans le regard, puis je m'exclamais d'une voix claire et audible de tous.

⇨ Bon mon grand, j'suis là pour apprendre à me servir de ton pouvoir.
⇨ Seul les gens qui se battent comme des démons peuvent l'utiliser. Et tu n'es qu'un petit diablotin.
⇨ On va voir cela sous peu.

Dis-je tout en ricanant. L'assaut était donné. Il fonça sur moi tout en dégainant un sabre court. Je sortais moi aussi un Kunai de ma sacoche avec ma main droite, tandis que de la gauche je saisissais de l'argile avec ma seconde bouche. Tout était une affaire de coordination. Je sautais en arrière afin de l'entraîner à l'écart du village, même si nous étions suivis de loin par la totalité des villageois ou presque. Je crois que mes parents ne souhaitaient pas se montrer en publique, de peur ou de honte peut être. Toujours est-il que nous étions maintenant dans le champ de riz aux abords du village. Mon cousin me regardais avec mépris. Avant même de continuer le combat je lui lançais de manière amicale mais pas dénuée d'audace.

⇨ Si je gagne tu m'apprendras à me servir de ton pouvoir.
⇨ Si tu gagnes... Ce qui n'arrivera pas toi qui ne sais pas sentir le chakra.
⇨ Peut-être mais je sais faire autre chose. Spider clay.

Des araignées d'argiles, voilà ce que je venais de créer et elle se dirigeait immédiatement sur Naiki. Elle n'exploserait que sous mes ordres et ce même s'il les tranchaient. Mais bizarrement il se contenta de cracher une flaque de cette fameuse eau noire. Cela s'avérait être du pétrole, c'était le nom que l'on avait donné à cette manière qui était issue de plantes. J'avais lu cela dans un livre. Bien maintenant que je connaissais la matière je devais faire attention puisqu'elle était très sensible à la chaleur et accroissait les pouvoirs des flammes.

Du moins il s'agirait certainement de ce que quelqu'un de normal dirait, moi en revanche j'étais un peu plus salope que la majorité des gens du coup. Vu qu'il venait de cracher du pétrole sur mes araignées. KATSU. Une explosion se fit entendre juste à l'endroit où se situait mon cousin. Des flammes succédèrent à l'explosion, de grande flamme animée par le pétrole se trouvant sur le sol. Je venais de cramer la main de mon cousin qui n'avait pas eu le temps de se retirer pour échapper aux flammes. Je le regardais avec un sourire narquois signifiant simplement que ce ne serait que le début d'un long chapitre. Et je voyais en retour un regard de haine. Il se mit à effectuer des signes de mains après quoi du pétrole surgit su sol afin de faire un gigantesque raz de marée se dirigeant droit sur ma position. Derrière moi, il y avait la rivière, devant, mon cousin et derrière lui le village. Je devais me préoccuper en priorité de cette vague géante qui déferlait sur moi. La meilleure option qu'il me restait était certainement de me protéger de manière efficace pour subir le moins de dégât possible et ne pas être entraîné par le tsunami d'or noir qui avançait dangereusement vers ma position. Je frappais du pied après y avoir concentré mon chakra. Un sceau apparu sur le sol et de là, un cercueil de chakra se dressa comme un rempart contre sa technique. Il s'agissait de mon signa loculo, une technique de défense de mon cru. Je venais de contrer sa technique de manière habile, mais je pense qu'il était temps de mettre fin à cette mascarade je me mordis le pouce avant d'effectuer des signes incantatoires. Après quoi je plaquais ma main au sol. Un corbeau géant apparu succédant à un écran de fumée en accompagnement du geste j'avais énoncé les paroles suivantes.

⇨ Kuchiyose no jutsu, Ouroboros, incarnation du renouveau.
⇨ Pourquoi m'appelles-tu Yugure ?
⇨ Pour que tu noies cet impertinent dans un monde de flammes.
⇨ Bien.

L'oiseau s'exécuta rapidement, il inspira une grande bouffée d'air tout en prenant son envol, avant de cracher un long souffle de flammes vers Naiki. Peu importe ce qu'il invoquerait comme mur de pétrole, il se ferait rôtir par la technique. Je devais bien admettre que mon désir de lui montrer qui était le plus fort avait prit le dessus sur mon envie d'apprendre à maîtriser son don et je l'avais réalisé trop tard les flammes se dirigeaient déjà vers lui. Heureusement pour moi, mon oncle et ma tante intervinrent et lancèrent tout deux une technique suiton de haut rang pour calmer les flammes avant... de s'écrouler. Car les deux là étaient parfaitement représentatifs de mon clan. Mauvais, sans aucuns talents. Je stoppais simplement le combat d'un regard. Il venait de comprendre que j'étais on ne peut plus sérieux. Nous nous revîmes des heures plus tard. Une fois que la tension s'était apaisé. Il m'emmena dans une grotte paumé dans la montagne. Il m'expliqua que c'est là qu'il s'était entraîné à la maîtrise de l'eau noire et qu'il avait découvert le secret de ces jutsus sur une tablette qui ne peut être lue qu'en injectant du chakra à l'intérieur. Enfaîte la tablette est composé de canaux de chakra et en injectant notre énergie on remplit ces canaux, le tout formant un message. Je m'exclamais donc.

⇨ Et vu que je ne peux plus lire le chakra tu vas me dire ce qu'il y avait marqué dessus n'est ce pas.
⇨ Ouais. Sur cette tablette était marqué : Liquide enfouit dans les profondeurs, issus des temps anciens, pour maîtrisé cette énergie tu dois, posséder le chakra des Yugata. Si tel est le cas, alors ressens la terre et les âges, imagine un flot noir continu à travers les veines et tente de t'harmoniser avec lui.
⇨ En somme je dois malaxer mon chakra tout en tentant de le transformer en ce liquide noir en y pensant comme on le fait pour les autres natures.
⇨ C'est cela. Mais prends garde, l'épreuve n'est pas si simple. Sur ce j'y vais, tu découvriras par toi même.

Je m'asseyais alors en tailleur au milieu de la grotte. J'avais profité que certaine roche soit creuse pour y poser mes torches afin de garder un brin de lumière dans cet antre obscur. Je fermais maintenant les yeux, j'imaginais autour de moi un monde sombre où tout est terne, je rêvais maintenant d'une rivière passant au milieu de ce hameau perdu, et dans cette dernière, le pétrole ruisselait. Je m'approche de ce cours d'eau et me penche pour voir mon reflet, mais n'en ressort que les ténèbres enfouis qui m'habite. Je prends ma tête dans mes mains et mes bouches supplémentaires commencent à me chatouiller les oreilles avec leur langue. Soudain de la rivière émerge une créature, un espèce de monstre possédant la taille d'un homme, le corps recouvert d'une épaisse couche de ce liquide noirâtre. Je fixe cette bestiole monstrueuse qui s'adresse finalement à moi d'une voix caverneuse.

⇨ YU.....GA.....TA
⇨ Putain dans le genre flippant tu te tiens au sommet toi.
⇨ YU.....GA.....TA
⇨ Hum sinon c'est quoi ton petit nom ?
⇨ YU.....GA.....TA

Bon je pense qu'il n'y avait rien de plus à en tirer. cette monstruosité ne semblait pas être enclin au dialogue. Je savais bien qu'on était dans un rêve, mais il semblait tellement réaliste que l'on croirait presque à du Genjutsu. Quelque part je suppose que c'est mon propre chakra qui crée cette réaction, si c'est le cas je suppose que je dois combattre cette créature ? Je mets mon poignet droit dans le sac se situant à ma ceinture dans le dos. Puis je reproduis le geste de ma main gauche. Il est temps de lui faire sauter la gueule à ce con. Pendant que mes bouches sont entrain de malaxer le chakra, je me mords les pouces puis j'effectue des gestes incantatoires avant de plaquer mes mains aux sols. Techniques d'invocations, je m'exclame.

⇨ Venez à moi Ogma & Dagda, l'éloquent et l'éternel.

Deux corbeaux apparurent dans mon songe, chacun d'eux semblait s'accommoder parfaitement à l'obscurité qui règne en maître dans ces lieux. Je leur demande alors un conseil sur la manière dont je devrais me défaire de cette chose. Ogma l'éloquent me répond que je ne devrais pas me fier à l'aspect mais à la profondeur des choses. La bête se rapproche de moi. Je donne à chacun de mes deux corbeaux une citrouille C3 que je viens de créer. leur rôle va être de la lâcher sur la gueule de mon adversaire. Dans peu de temps je saurais ce qui se cache sous ce manteau de ténèbres. Les deux corbeaux prennent leur envol, une fois au dessus de la créature, ils lâchent les deux bombes C3. J'en profite donc pour faire le signe du tigre dans chacune de mes mains. Les citrouilles reprennent leurs tailles originelles avant d'exploser dans un grand feu d'artifice. J'étais à une bonne distance mais je venais quand même de reculer de plusieurs mètres à cause du souffle de l'explosion. Je m'écriais alors.

⇨ Et BAM en plein dans sa mouille.

Malheureusement ça ne semblait suffire, la monstruosité était toujours présente. Je ne parvenais pas à comprendre jusqu'au moment où je me rappelais les paroles écrites sur la pierre. Je dois m'harmoniser avec lui. S'il s'agit bien de ce que je pense, à savoir mon nouveau chakra... Alors la réponse serait.... Je m'élance alors vers la créature et au moment d'arriver devant elle, je plonge mon bras à l'intérieur de cette chose visqueuse avant de nous téléporter vers un endroit plus adéquate. Nous arrivâmes dans le noyau de chakra, la zone où l'énergie est distribuer vers les tenketsus, l'unité centrale si je puis dire. Je contemplais cette magnifique sphère bleutée, elle représentait la vie selon moi. Je détournais à présent mon regard sur le tas gluant se trouvant à mes côtés, puis je décide de plonger complètement à l'intérieur. Une fois totalement imprégné de son essence, je me déplace en direction de la sphère un pas après l'autre jusqu'à l'atteindre. Finalement le liquide noir engloba la source du chakra pour finalement donner une grosse boule noire. Avais-je réussi ? Je fus tiré du rêve, comme expulser par mon propre chakra. Je regardais mes bouches, et je vis qu'elle vomissait du pétrole, tout portait à croire que j'avais réussi.