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 La souffrance d'un grain de sable (solo)

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Suna
Kawaguchi Amano
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Message(#) Sujet: La souffrance d'un grain de sable (solo) La souffrance d'un grain de sable (solo) EmptySam 6 Jan 2018 - 23:32

NC – 18 (violence et sexe)


Une nouvelle journée, simple mais tellement longue que lorsqu'il poussa la porte ce fut sous un soupir de soulagement. Refermant soigneusement la porte derrière lui, il fut accueillit par un sourire et le repas de ce soir. Levant un sourcil tout en déposant sa cape sur le dossier de la chaise, il se dirigea plutôt vers la salle d'eau sans mot dire. C'était à la fois agréable et gênant de le voir s'occuper ainsi de lui tous les jours, pire qu'une femme au foyer.
Laissant couler l'eau trop chaude dans la douche sans s'y rendre, il passa sa main sur le miroir embué et croisa son propre regard qu'il détourna bien vite. Il en avait assez de vivre ainsi à s'inquiéter pour lui bien que ça ne faisait qu'une toute petite semaine qu'ils étaient rentrés.
Passant sous l'eau tiède Amano se détendit mais bien vite il entendit la porte et sentit des mains sur ses hanches. D'un côté il aurait voulu l'envoyer balader, d'un autre il était bien heureux de pouvoir se reposer sur quelqu'un, de sentir qu'on voulait prendre soin de lui même si ça prouvait à tous sa faiblesse. Le blond voulait être capable de ne pouvoir compter que sur lui et n'impliquer personne, plus jamais.
En se retournant il esquiva un baiser en glissant au creux de l'oreille du brun :

- J'ai faim, pas toi ?
- J'ai faim d'autre chose moi...

Le fils du désert repoussa le médecin doucement, stoppa l'eau et passa une serviette autour de sa taille. Obligeant Akira à sortir de la salle de bain, il leva ses yeux de nouveau sur le miroir et souffla. Combien de temps arrivera-t-il à rester à ses côtés ainsi ? Ce n'était pas comme s'il ne l'aimait pas, il appréciait sa compagnie mais ça s'arrêtait là. Il se sentait en sécurité quand il venait le serrer contre lui, mais de là à dire qu'il l'aimait à son tour, c'était trop loin de la vérité.
Serrant son poing fermement, Amano se sécha brièvement et s'installa à la table trop parfaite. Il l'écouta lui parler de ce qu'il avait fait à l'hôpital, il le regarda rire et sourire, il l'observa se lever, faire le service puis s'éclipser dans la cuisine. Il le suivit jusque dans la chambre et lui souhaita une bonne nuit avant de rejoindre la sienne.
Ouvrant le tiroir de sa commode, il tira le paquet de cigarettes qu'il y entreposait et s'en grilla une tout en s'appuyant sur le rebord de sa fenêtre. C'en était trop, il fallait qu'il se trouve une porte de sortie. Lui qui appréciait tant sa tranquillité savait pourtant qu'il ne pourrait pas se résoudre à le laisser vivre seul en sachant ce qui menaçait de lui tomber sur le coin de la figure.
Lorsqu'il termina la cigarette, il se surprit à en reprendre une aussi sec sans bouger, laissant ses yeux courir sur les rues sombres mais vivantes de Suna. Avait-il seulement une seule chance de ne pas le blesser en lui avouant ce dont dès le début il était presque certain ? De l'amour non, de la confiance oui.
Entre ses lèvres se consumait cette drogue qui le détendait avant de s'échapper et de mourir sur le sable aux pieds de sa maison.

Alors qu'il se dirigeait vers son lit dans l'espoir de dormir, quelque chose se produisit, quelque chose contre laquelle il ne pouvait pas lutter. C'était imperceptible, il ne s'en rendrait compte que bien trop tard.
Il ne mit que peu de temps à s'endormir après s'être coulé dans les draps frais, mais il ne resta pas longtemps dans les bras de Morphée. Peu après une ombre se faufila près de lui, soulevant les draps, soulevant le corps contre le sien, effleurant sa peau du bout des doigts pour lui tirer frissons et soupirs et le sortir doucement de sa torpeur.
Les yeux dorés s'ouvrirent lentement en cherchant à comprendre ce qu'il se passait. La noirceur de la nuit, la fraîcheur du souffle passant par sa fenêtre ouverte lui confirmèrent l'heure approximative qu'il était. Amano chercha à tourner sa tête pour voir celui qui le tenait contre lui. La froideur de sa peau le fit frissonner et il ne pu voir que quelques mèches brunes. Alors qu'il voulu prononcer le prénom qui lui vint en tête, des doigts sur les lèvres lui intimèrent le silence.
Le premier verrou de son esprit se fissura.
Incapable de se débattre, le Kawaguchi se sentait à la fois drôle et chaud. Il ne comprenait pas pourquoi son corps refusait de lui obéir alors qu'il voulait plus que tout l'éloigner, qu'il ne touche pas son corps ce soir, qu'il commence doucement à prendre du recul, à s'échapper de cette obligation.
La sentence de son impossibilité à se défendre fut sans appel. Ils étaient nus, il venait de le faire sien une nouvelle fois, du moins, croyait-il avoir à faire à son médecin-chasseur. Cette fois était pourtant bien trop différente de la dernière. Il ne sentait pas d'amour en lui, il le trouvait différent, comme si c'était une toute autre personne, comme si sa volonté n'était pas de partager un semblant d'amour mais bien de le souiller physiquement et mentalement.
Cherchant toujours en vain à se défendre de cette situation, Amano sentit une perle de sueur glisser le long de sa tempe pour mourir dans sa nuque. Ses mains, crispées sur les draps du lit, ne lui répondaient pas, et ses hanches, tenues par les mains fermes du brun contre lui, bougeaient à un rythme imposé.

Le premier verrou céda.
Une silhouette trop connue passa la porte de sa chambre. Il avait pu tourner le regard et le voir, il avait pu observer les chaînes rougeoyantes sur sa peau aussi et celle qui le tenait. Sa propre sœur. Une nouvelle fois il tenta de bouger en vain et de sa gorge un gémissement sortit, à la fois passionné et torturé. Celui qu'il avait prit pour Akira, celui qui le faisait sien, qui était-ce alors ? Ces mains, il était pourtant sûr de les connaître, c'était les mêmes mains.... les mêmes cheveux, le même corps... Une larme perla du coin de son œil gauche. Il se souvenait des mots de son amant, son frère lui ressemblait en tout point.

Une étrange atmosphère, oppressante et meurtrière, englobait la chambre du blond. Il cherchait toujours mentalement à se défaire de ce qui semblait le paralyser physiquement, mais rien y faisait. Il était incapable de bouger.
Rapidement la blonde aveugle poussa à genoux Akira en lui relevant la tête, sans mot dire. De l'autre côté, Zeshin dévoila une drôle d'arme sous les yeux dorés avant de lui souffler au creux de l'oreille :

- Tu vois ça... c'est avec cet instrument que j'ai fait la cicatrice à l'aine de mon frère... tu es prêt ? Il parait que c'est extrêmement douloureux.

Un petit rire moqueur sortit des lèvres du brun qui fit chauffer doucement le fer avant de l'appliquer au même endroit qu'il l'avait fait jadis à son jumeau. Le métal s'enfonça lentement dans les chaires tendres, à l'aine droite, laissant le sang s'écouler tout doucement. Il s'amusa en bougeant à peine le fer chaud, juste pour chercher à lui tirer un cri de douleur, mais le fils du désert ne comptait pas entrer dans son jeu. Il se mordait la langue avec vigueur, tant et si bien qu'un mince filet de sang s'écoula au bord de ses lèvres.

- Tu es aussi résistant que je le pensais. Maintenant, voyons voir jusqu'à quel point.

Tirant sèchement l'arme, un gémissement plaintif fut tout juste retenu dans la gorge du blond qui transpirait. La douleur était lancinante mais il supporterait.
Toujours incapable de bouger, toujours prisonnier, Amano observait Akira devant lui, enchaîné. Le retrait abrupte de Zeshin en lui lui fit manquer une respiration. Pensant alors pouvoir sauter à la gorge des deux personnes en face de lui, il fut une nouvelle fois incapable de quoi que se soit alors que l'assassin s'approchait de son jumeau, un petit couteau parfaitement aiguisé dans l'une de ses mains.

- Tu sais... Amano... l'homme est faible...

A peine avait-il commencé ces mots qu'il fit une entaille sur le bras d'Akira qui fit tout le tour de ce dernier.

- Tellement faible... que c'en est jouissif.

Il en fit une autre perpendiculaire qui descendit jusqu'au poignet.

- Et je vais te le montrer... si toi tu ne cris pas, lui le fera pour moi.

L'air mauvais qui se dessinait sur le visage de Zeshin ne présageait rien de bon. Il passa la lame sous la peau préalablement coupée pour avoir assez de peau à tirer puis de son autre main tira d'un coup sec, laissant la peau venir et les muscles à vif.
Les yeux dorés s'arrondirent, incapable de ne pas regarder, incapable de venir l'aider, il était là comme un spectateur impuissant alors que la souffrance de se voir écorché vif devait être insoutenable.
Le dernier rempart à son âme céda.
Amano tremblait, de peur, de rage tandis que Zeshin riait et continuait lentement son office, laissant les cris d'agonie d'Akira résonner dans la chambre.
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Message(#) Sujet: Re: La souffrance d'un grain de sable (solo) La souffrance d'un grain de sable (solo) EmptyDim 7 Jan 2018 - 0:54

Le lambeau de peau tiré lui fut jeter sur les jambes sans qu'il ne puisse bouger pour s'en dégager. Chaud, c'était chaud et humide.
Faisant l'aller retour entre ce morceau de chair et le bras ensanglanté d'Akira, Amano déglutit douloureusement. Pourquoi faisait-il ça, c'était son jumeau, ils étaient liés malgré tout, pourquoi vouloir le tuer ? A cause de lui ?
Une seconde larme perla contre sa joue suivit de plusieurs autres. Sa vue se brouilla et son souffle se raccourcit, sa gorge se noua et son cœur se serra. Dieu qu'il avait mal. Shukaku délivre le.
Une nouvelle entaille, cette fois au niveau de la joue. La bouche entrouverte et les yeux plus grand encore, le blond voulu protester, demander grâce, se vendre s'il le fallait, lui donner son âme pourvu qu'il arrête, mais rien ne sortit de sa gorge et de nouveau la peau fut tirée, lentement pour que la vision soit désagréable et la douleur supportée par Akira plus qu'intense.

Son esprit se fissure.
Il avait l'impression de mourir à chaque fois qu'un morceau de peau était tiré, coupé, jeté. Il avait l'impression de ressentir la douleur subit par le médecin-chasseur lorsque ce dernier se voyait martyrisé. Toujours incapable de bouger, il aurait aimé mourir en cet instant, ne plus supporter de le voir avoir mal.
Amano vira blanc comme un linge lorsqu'il le vit arracher la peau au niveau du cœur. Quand allait-il s'arrêter, quand se terminera ce bain de sang ? Et comment se faisait-il qu'Akira était toujours en vie ? Un jutsu quelconque qui l'empêcherait de mourir trop vite ? Ca suffit, c'en est trop !
Lentement son corps se détendit et ses mains relâchèrent les draps. Ses articulations blanchies par sa tension retrouvèrent leur couleur d'origine.
Rien n'était plus douloureux que l'impuissance d'aider une personne chère à son cœur.

Son esprit vacille.
Soit, il ne pouvait ni parler, ni bouger, mais il était là, il les voyait parfaitement, sourire, rire, se moquer de lui, s'abreuver de leur souffrance. Alors il subirait, il ne pleurerait plus. Il se contenterait de ne pas oublier, jamais, de supporter, d'accepter le fait d'être faible.
Son corps se pencha légèrement en avant. Il avait été blessé, il avait été abusé, il avait été mis à l'épreuve. Ses iris jaunes se posèrent sans plus jamais ciller sur le corps meurtri d'Akira et son visage se détendit. Il le verrait probablement mourir, il savait que toutes les personnes qu'il affectionnait finissaient toujours par souffrir par sa faute, il s'en ferait une raison. Il n'aimera plus. Plus jamais.
La lueur dans son regard fit cesser le geste de Zeshin. Laissant le lambeau de peau à moitié retiré sur l'abdomen d'Akira, il s'approcha du Kawaguchi tout sourire.

- Alors ça y'est... tu baisse les bras... tu abandonne... tu le laisse mourir comme une raclure dont personne ne se souviendra... tu es faible... pitoyable... tu n'es qu'un raté... la société n'a pas besoin d'un déchet comme toi Amano... tu ferais mieux de retourner dans les jupes de ta mère...


Faisant briller la lame sous les yeux dorés, l'assassin sourit puis se recula avant d'ajouter :

- Ho une dernière chose. Ta sœur porte ma progéniture, ne t'avise pas de la traquer... nous savons tout de toi et tu le regretterais encore plus que maintenant... crois-moi.

Un rire à glacer le sang et le duo s'évapora comme un mauvais rêve. Le sang, sur le sol, le corps d'Akira, tout se volatilisa sauf une chose, la marque au fer rouge sur son aine droite.

Il sursauta et passa ses doigts sur la blessure qui lui tira un rictus douloureux. Se levant des draps, scrutant le sol, il ne trouva rien. Un murmure

- Un genjutsu...

Frappant du point contre le mur, le fils du sable se pencha à la fenêtre alors que son sang s'échappait de son corps. Une cigarette aux bords des lèvres, il inspira une longue bouffée et laissa les perles d'eau salée maculer ses joues silencieusement.
Sa main libre vint se serrer contre son cœur et bien vite ses jambes tremblèrent et cédèrent. A genou sur le parquet face à sa fenêtre, Amano comprit une chose essentielle, sa propre faiblesse. Il avait été incapable de déceler l'illusion, tout autant qu'il avait été incapable de s'en défaire alors qu'il connaissait parfaitement les aptitudes de sa sœur.
Ses larmes tarirent au bout de plusieurs heures sans bouger. Il commençait à se sentir faible à perdre ainsi son sang. En s'appuyant sur le mur de sa chambre, le blond se tourna vers le lit et ce qu'il venait de vivre, de sentir, il le revit se dérouler à une vitesse folle dans son esprit. De nouveau ses jambes le lâchèrent et il se retrouva au sol en se maudissant.

Relève-toi, n'abandonne pas. N'oublie pas qui tu es.
Ses yeux brillèrent et puisant dans sa volonté il se retrouva encore sur ses jambes debout. Poussant la porte de sa chambre qui grinça pour la première fois, Amano descendit les marches une à une pour rejoindre la cuisine. Ce fut dans le couloir menant à la cuisine qu'il croisa Akira, le vrai sans doute, en chair et en os.
Les gestes furent rapides et précis, doux aussi. Enveloppé dans des bras protecteurs, un long frisson saisit le Kawaguchi qui se dégagea de ce trop plein d'amour.

- Ne me touche plus jamais.

- Amano...
- Éloigne-toi de moi. Tu n'es qu'un fardeau pour moi...

Ses yeux étaient figés sur le sol de sa maison lorsqu'il prononça ces mots si dur à entendre pour le cœur aimant du médecin. Mais ce dernier revint l'enserrer contre lui.

- Raconte moi tout.

- Certainement pas. Mais pour ta propre sécurité, oublie moi. Aime quelqu'un d'autre.
- A...Amano...
- Akira je ne t'aime pas... tu es... sympa, touchant... j'aime bien t'écouter mais ça s'arrête là... Je ne veux pas te faire plus de mal que je t'en ai probablement déjà fait. Tu seras mieux loin de moi et probablement plus en sécurité. Je réglerais le problème de ton frère et de ma sœur soit tranquille.
- Amano...
- S'il te plaît. Ne m'oblige pas à...

Il fut interrompu par un baiser et des larmes. Quelque part ça lui fendit le cœur, d'un autre côté c'était bien mieux ainsi. Il pourrait le faire suivre, surveiller, protéger. Il demanderait à ceux qui l'appréciait dans le clan, aux jeunes. Après tout, il fallait protéger les toubib, c'était des denrées rares.
Le laissant faire une dernière fois, le blond posa ses mains sur le torse du brun et afficha un sourire avant de sentir ses jambes trembler. Il n'allait plus tenir très longtemps debout.

- Va-t-en Akira... Maintenant.
- Jamais... jamais tu ne m'éloigneras de toi, même si tu me déteste je resterais veiller sur toi... tu ne peux pas empêcher mes sentiments !
- Mais tu ne comprends rien ! Je fais ça pour toi ! Pour te protéger de moi ! Si tu reste ils vont... ils...

Sa tête le tourna et ses jambes cédèrent. Les bras sûr du docteur le supportèrent jusqu'au canapé dans la salle de vie où il l'allongea et où il lui prodigua les soins nécessaire. Veillant toute la nuit durant sur lui et tout le jour suivant, Akira en oublia de manger jusqu'au réveil du Kawaguchi. Lorsque ce dernier ouvrit les yeux, il détourna bien vite son regard. Alors s'il restait, il faudrait faire en sorte de le protéger. Zeshin avait comprit qu'il tenait à lui et que de le voir souffrir lui était insupportable, mais une chose lui était acquise, il supporterait toutes les souffrances, il se relèverait toujours. Il devait survivre pour mener à bien sa mission quitte à y laisser des êtres chers.
Un sourire, distrait, passa adoucir les traits de son visage alors qu'il se dégagea doucement du canapé en prenant garde à ne pas réveiller Akira.
Il était temps de faire face à ses démons, à sa sœur et à cet homme. Il partit en direction de la demeure de ses parents. Elle y avait toujours sa chambre, il le savait et ce qu'il trouva le glaça.
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