Le combat terminé, Nako et Sumasu me rejoignirent près du corps sans vie du Kirijin. Toujours paralysé par mon puissant Genjutsu, tout juste lui avais-je laissé le contrôle de ses yeux et de sa respiration. De toute évidence c’était un adversaire avec une certaine expérience, mais désarmé face à l’art des illusions. Attrapant le vieillard, je le posai dos contre un pieux et fixa ses yeux.

« Nous allons te ramener à Kumo où je superviserai moi-même ton interrogatoire. Tu regagneras ta liberté une fois que j’aurai la certitude que tu nous as tout dit et si tu te montres coopératif aucun mal ne te sera fait. Il ne tient qu’à toi de décider quand tu rejoindras les tiens. »

Mon ton était limpide, sans une once de haine. Je fis signe à mes deux élèves de me suivre et ouvrit la marche. Notre mission était de stopper l’avancer Kirijin vers le nord et nous l’avions remplie avec brio. Dans l’absence d’une nouvelle assignation, nous avions le devoir de ramener les prisonniers au village pour qu’ils soient interrogés et obtenir des informations sur nos envahisseurs. Je n’avais aucune idée de celles que pouvaient posséder ma prise. Il m’avait semblé particulièrement sensible durant notre combat, ayant vacillé à la vue du cadavre de ce qu’il semblait être leur chef d’équipe.

Durant notre trajet, nous ne vîmes pas une seule âme qui vive. Tout le pays était en alerte maximum et les civils étaient réfugiés chez eux ou dans des lieux prévus à cet effet. Il ne faisait aucun doute que nos ennemis n’auraient aucune pitié envers nous et n’épargneraient pas un seul des nôtres. Mais répondre à la cruauté par la cruauté n’était pas juste. Les dirigeants, aveuglés par leur soif de dominations étaient les seuls responsables. Les soldats n’obéissaient qu’aux ordres. Cela ne les excusait pas, mais expliquait leur comportement.

Nous arrivâmes quelques heures plus tard au village. Une bonne partie des habitants avait déjà été évacuée par le clan Seki, responsable de cette tâche. Sans perdre de temps, je me présentai à la garde et me dirigeai directement vers le QG du Satoru. Un membre des forces spécial m’indiqua que seul moi et mon prisonnier pouvions passer, Sumasu et Nako n’ayant pas les autorisations nécessaires. Le corps sans vie de mon otage sur l’épaule, je le posai sans brutalité superflue sur le sol et me tournai vers mes élèves.

« Retournez dans vos clans respectifs et attendez les ordres. Je viendrai vous trouver si nécessaire. »

Un simple signe de la tête en guise de salut, je ramassai mon prisonnier et m’enfonçai dans les abîmes du village.

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Debout devant mon prisonnier, assit sur une chaise dans la camisole couverte de parchemin supprimant son chakra, je relâchai l’emprise de mon illusion.

« Nous pouvons commencer. Décline ton identité, Kirijin. »

Le vieillard se présenta sous le nom de Gembei Ichirô, genin du village caché de la Brume sanglante. Je fus déçu à la découverte de son grade, m’attendant à un chuunin plus qu’un genin étant donné ses capacités en combat. Pour autant cela allait parfaitement avec ce que j’avais vu de lui, ainsi que sa très mauvaise gestion de la situation. Veillant à ne rien montrer du fil de mes pensées, je conservai un visage impassible et m’approchai de lui. La pièce faiblement éclairée avait un aspect lugubre volontaire, pour déstabiliser leurs hôtes. D’un geste précis je dénouai le linceul qui recouvrait depuis tout ce temps, particularité sur laquelle je n’avais cessé de me questionner depuis notre rencontre. L’homme plissa légèrement des yeux, puis dirigea aussitôt son regard vers moins. Un regard teinté de crainte et de colère. Ses yeux ne semblaient en aucun point sortir de l’ordinaire, amenant encore plus de questions.

« Comme je vous l’ai dit sur le champ de bataille, il ne tient qu’à vous de déterminer quand est-ce que vous reverrez vos proches. Contrairement à ce qui peut se faire, je ne compte pas utiliser la violence physique à votre égard. »

J’insistai sur cette violence-ci, puisque j’avais dans l’idée d’utiliser mon Genjutsu s’il ne me laissait d’autre choix pour le faire parler. Le temps me manquait et je devais au plus vite savoir si mon prisonnier possédait ou nom des informations qui pourraient faire pencher la balance en notre faveur.

« Nos informateurs ont localisé votre avant-poste près de la mer, mais nous ne connaissons pas sa position exacte. »

Je plongeai ma main dans la poche de mon manteau et en extirpai une carte du village que je dépliai devant lui.

« Indiquez moi l’avant-poste d’où vous êtes partis, ainsi que les autres qu’ils soient Kirijins ou Shukaijins. Avant que ne vous exécutiez, sachez que nous avons-nous aussi nos informations, au moindre mensonge vous vous exposez à une réponse appropriée de ma part. »

Nous avions en effet une plutôt bonne connaissance de l’avancée de la situation. Les différentes villes côtières nous informaient en temps réel et une absence de réponse de leur part signifiait leur chute. La résistance s’organisait elle aussi peu à peu et des rapports de civils prenant les armes pour défendre leur pays nous venaient de tout le pays. La guerre était totale et toute la population avait parfaitement conscience que la défaite mènerait à un vrai génocide. La réputation que l’Empire s’était créé au rythme de ses attaques se suffisait d’elle-même. De ma main libre je tendis le linceul recouvrait jusqu’alors ses yeux et posa à Gembei dernière question avant de le laisser s’exprimer.

« Et expliquez-moi la signification de ceci, Gembei. »

L’ambiance glauque avait été soigneusement étudiée pour donner la chair de poule. Tout l’art de l’interrogatoire résidait dans la manière de mettre un maximum de pression à sa victime, tout en le convaincant qu’il serait sauf s’il donnais les informations attendues. N’avoir d’autre choix que de parler pour survivre a motivé bien des hommes. En tant que juunin nous recevions une formation aux techniques d’interrogatoires, bien que celles-ci consistaient le plus souvent à user de violence physique pour parvenir à ses fins. Je préférais néanmoins ne recourir à ses techniques qu’en cas d’extrême nécessité, mais convaincus qu’un homme dirait n’importe quoi pour en finir avec les souffrances subies, j’utilisais le plus souvent des techniques moins invasives, comme la pression psychologique et le marchandage : un renseignement contre un moment de répit. A la question concernant le linceul recouvrant ses yeux, le Gembei répondit évasivement, évitant la question d’une manière plutôt maladroite. Sa signification était pourtant claire. Ce linceul n’avait rien de spécial et ne semblait posséder aucun sceau en particulier. Lorsque je lui avais enlevé, il avait plissé les yeux et reculé sa tête, comme l’on peut le faire par réflexe lorsque l’on est ébloui par le soleil. L’homme semblait être ultrasensible à la lumière, comme le laissait penser son comportement. Une faiblesse qu’il m’aurait été très facile d’utiliser, mais que je préférais pour l’instant garder dans un coin de ma tête. Cette information était précieuse et pourrait être utilisé à bon escient dans des combats futurs, si le Kirijin se dressait une nouvelle fois sur notre chemin. J’enfonçai le morceau de tissu dans ma poche, mon autre main brandissant toujours la carte devant lui, dans l’attente de sa réponse. Réponse qui ne me plut guère puisque l’homme ne m’apprit rien d’intéressant. Je n’étais pas d’un naturel impatient, mais la situation exigeait que j’obtienne rapidement tout ce qui pouvait peser en notre faveur.

D’après ses dires il n’avait pas connaissance des autres camps, déclaration crédible s’il était bien genin comme il l’affirmait. Un grand nombre de navires avait quitté les côtes du pays de l’eau. La majeure partie d’entre eux mouillaient désormais près de nos côtes. Prévenus par la population, nous ne savons pas ce que celle-ci est devenue mais grâce à leur dernier acte de courage, nous parvinrent à réagir à temps contre l’incursion ennemie. L’ennemi souhaitait nous amputer de nos principales villes côtières, poumon économique du pays. Même si nous remportions cette guerre, cette dernière ainsi notre peuple s’en trouveraient profondément affaiblis. Son camp se trouvait quant à lui au nord du fleuve. Des informations plutôt décevantes tant elles ne m’apprenaient rien sur eux. Soupirant profondément, je me reculai et laissai tomber la carte au sol. Mes mains croisées dans le dos, je marchai en cercle autour de la chaise sur laquelle mon otage était attaché. Ichirô commença alors à s’affoler, posant des questions tour à tour sur une possible contre-attaque et sur l’état de ses coéquipiers. La suite de ses paroles montrait bien à quel point il était désespéré et n’avaient que peu d’importance. Mais alors que l’homme me semblait être prêt à éclater en sanglots, il me donna des informations sur l’un des généraux impériaux. Sa description correspondait parfaitement à celle de Oterashi Yanosa, un de nos déserteurs les plus connus et les plus recherchés. Si ses dires étaient exacts, le général devait se trouver près de la ville de Senun, où avaient été déployé Law ainsi qu’un homme du Satoru. Law courait un grave danger s’il se retrouvait face à un tel ennemi. Bien qu’il soit très puissant, je doutais de ses capacités à sortir vivant d’un tel combat et dans ce cas le sud du pays courait un très grave danger. Les hommes cachés derrière le miroir occupant l’arrière de la pièce devaient déjà s’afférer à contacter le QG opérationnel, il me fallait garder mon calme tout en me concentrant sur ma mission. Law était un combattant expérimenté et intelligent, il s’aurait sûrement trouver un moyen de s’en sortir. Continuant toujours ma marche, je laissai quelques instants le silence s’installer dans le but de rendre l’ambiance toujours plus oppressante. Arrivé dans son dos, je fis une série de mudras et déclenchais un premier Genjutsu visant à le déstabiliser. Dans la seconde suivante je me retrouvais devant lui et fixai ses yeux. L’homme devait alors commencer à entendre des murmures et des cris de souffrances. Le cerveau avait la fâcheuse tendance à vouloir expliquer ces hallucinations en rapprochant ces cris à ceux de personnes proches. Le spectacle d’illusions pouvait commencer.

« Nous avons capturé tes camarades. Pour l’instant aucun mal ne leur a été fait mais puisque je ne suis pas chargé de les interroger, je ne peux pas vous garantir que les autres seront aussi bienveillants que moi. Leur état dépendra donc de la qualité de votre coopération, meilleure j’espère que pour le linceul ou encore la localisation de votre camp. »

L’homme, bien que simple genin devait avoir rencontré des hauts gradés ainsi que des personnages importants du village caché de la brume sanglante. Réorienter les questions vers un sujet dont il avait probablement une meilleure maîtrise me parut donc un choix judicieux.

« Que pouvez-vous me dire sur les effectifs Kirijins ? Je veux des noms et des informations précises. Je connais déjà certains d’entre eux et je ne me satisferai pas d’un ou deux noms. »

L’information, la source de tout pouvoir. La puissance n’était rien sans l’information qui va avec. En ce sens, les espions du Shukai excellaient bien plus que les nôtres. Le Satoru, services de renseignements du village de Kumo, avait subis maintes restructurations ces dernières années sans qu’aucune ne parvienne à lui redorer son blason. L’Empire connaissait toutes nos faiblesses. Nos villes et nos villages, leurs défenses et leurs effectifs, rien ne semblait leur échapper. Qui aurais pu savoir jusqu’où s’étendait leurs connaissances. Bien que je nourrisse un amour inconditionnel pour la justice, l’idée de services secrets ne me répugnaient en rien. Leur nécessité était évidente, le mal qu’ils pouvaient faire servant le bien du plus grand nombre. Assurant notre survie par le sang des leurs. Je souhaitai néanmoins que plus qu’un contrôle du Raikage, le Satoru est des comptes à rendre à d’autres entités du village, restreintes évidemment pour éviter tout risque inutile. Mais comme bon nombre de chantiers, celui-ci ne serait entreprenable que si nous parvenions à survivre.

Mon prisonnier fut très affecté par le Genjutsu dans lequel je venais de le plonger. D’une nature plutôt faible, il craqua en peu de temps et commença à s’agiter frénétiquement. Gembei gesticulait tellement dans sa camisole qu’il parvint à faire bouger la chaise. De son front où coulait jusqu’à maintenant quelques gouttes de sueurs se déversait un torrent, accompagné par ses larmes et divers autres flux corporels. Une scène pitoyable pour laquelle je ne pouvais ressentir aucune pitié. La vie des nôtres et de notre peuple étaient en jeu. Décidé à me salir les mains pour une cause supérieure, je devais toutefois m’assurer que mon otage restait conscient et en état de parler.

« Mais qu'est-ce que vous voulez que je vous dise !! Hein ?! Notre camp, il... il est à, je sais pas... peut-être deux kilomètres au nord, j'en sais rien je suis pas cartographe !! On a... on a une Samouraï dans nos rangs, c'est la seule personne qui jure dans le paysage. Mairu. Natsumi Mairu. Mais vous allez quand même pas me demander de vous lister les noms de toutes mes connaissances là bas, si ?! Qu'est-ce que vous voulez... ! Qu'est-ce que vous vouleez !! »

Sur ces mots j’arrêtai mon Genjutsu et fis face à mon otage.

« Voilà les informations que je veux entendre et comme promis vous êtes récompensés. »

Mes paroles ne reflétaient aucun sentiment, arborant toujours la même neutralité.

« Je veux en effet que vous me donniez tous les noms de vos connaissances, ainsi que leurs capacités. Parlez-moi aussi plus de cette Natsumi Mairu. N’oubliez pas Ichirô, le temps tourne. »

Lui disais-je tout en pointant du doigt le mur, désignant la pièce dans laquelle aurait dû se trouver l’un de ses équipiers. Je pris un calepin de ma poche accompagné d’un stylo, puis l’ouvrit.

« Dites-moi tout ce que vous savez et vous sauverez vos amis Gembei. »

Après avoir été légèrement poussé, le Kirijin se décida enfin à nous faire part de des informations en sa possession. Il commença par parler de ses deux collègues – ceux que nous avions pu affronter plus tôt – et fit la liste de leur Kekkei Genkai, Affinités et Spécialités. Jisetsu Tsuko et Kosobayui Yu avaient déjà fait l’étalage de leur techniques et le discours d’Ichirô ne m’apprit rien de nouveau. Le jeune garçon, en tant que membre du clan Jisetsu possédait le Kinnegan, Dojutsu octroyant la maîtrise de l’espace et du temps à celui qui le possèdait. En plus de cela, il maîtrisait le ninjutsu grâce auquel il était parvenu à créer des portails spatiotemporels. Bien que j’aie pu de nombreuses fois combattre contre des shinobis du pays de l’eau, jamais je n’avais vu de membres de ce clan en action. Pour autant cette tactique était bien connue de nos services de renseignements et n’était plus un secret pour personne. Enfin, il m’indiquait que ce dernier possédait une affinité avec le vent, tout comme sa collègue Kosobayui. Membre du clan des plumes, la jeune femme avait démontré son talent dans la maîtrise de cet air rare. Affilié au vent, elle était également spécialisée en Ninjutsu.

Vint ensuite le récit d’autres Shinobis inconnus de nos services. Natsumi Mairu, Jisetsu Yuno, Kaguya Takeda et Kaguya Rinkyu en furent. Comme leur nom l’indiquait, ils étaient respectivement membre des clans Jisetsu et Kaguya. Natsumi Mairu était quant à elle une Samouraï, fait rares dans les rangs Kirijins. Natsumi Mairu, jeune femme s’approchant de la trentaine reconnaissable à ses pupilles rouges et à sa chevelure noire, portait le plus souvent une tenue moulante ainsi que deux katanas. Classé dans la catégorie des Shinobis de rang A, elle maîtrisait le Fuinjutsu et le Taijutsu. Enfin, en tant que samouraï, elle ne possédait aucune affinité élémentaire. Jisetsu Yuno se basait sur des techniques de Taijutsu, fait rare pour un Jisetsu de rang C. Air arrogant et chevelure noire donnaient un avant-goût du caractère du ninja du pays de l’eau. Le jeune homme était le plus souvent vêtu d’un costard ou d’une tenue de shinobi classique. Enfin, Gembei ne m’apprit des deux autres Kaguya que leur description physique et l’affinité Doton de Kaguya Takeda. Je notai toutes ces précieuses informations dans mon carnet pui, après quelques secondes de silence passés à terminer mon énumération, je relevai la tête et fixai le prisonnier.

« Connaissez-vous un jeune répondant au nom de Natsu ? »

La réponse fut positive, ce qui confirma mes doutes quant au retour du maître en illusion dans sa patrie d’origine. Lors de l’une de mes missions à la frontière Konohajin, visant à créer un réseau d’informateurs dans le territoire, j’avais fait la rencontre du jeune homme dans un village isolé. D’une nature farceuse, il s’entrainait sur les villageois à parfaire sa maîtrise du Genjutsu et je m’étais retrouvé dans l’obligation de parfaire sa maîtrise pour ne pas risquer d’attirer l’attention sur le village et par extension sur moi. Il serait de toute manière parvenue à atteindre son objectif. J’attachais mon stylo à mon livret et l’enfonçai dans ma poche, puis je me dirigeai vers la fenêtre et toquait trois fois. Quelques secondes plus tard alors que je m’étais dirigé près de la porte, un homme entra, un verre d’eau à la main. Il me murmura quelques mots à l’oreille, puis referma la porte. J’apportai aussitôt le verre d’eau au kirijin.

« J’ai laissé vos partenaires s’enfuir, ils ne nous auraient été d’aucune utilité au vu de leur grade et de leur rang. Dans leur l’état, ils parviendront sans mal à rejoindre les vôtres. Je marquai alors une pause avant de continuer. Contrairement à ce que vous pouvez penser ou dire, je ne suis pas un monstre. Je me bats simplement pour mon village. Je me bats pour que les tyrans comme l’empereur soient défaits une bonne fois pour toute. Je me bats pour que justice soit faite. »

Mon ton auparavant si neutre prit une toute autre tournure, bien plus engagé et solennelle. L’interrogatoire terminé, je replaçai le linceul sur les yeux de l’homme puis alluma la lumière afin d’ôter l’ambiance glauque que j’avais mis en place.

« Vous allez être rapatrié au village pour y être emprisonné et subir d’autres interrogatoires. Je me porte garant qu’aucune torture ne vous sera faîtes. Quand nous aurons la certitude que vous nous avez tout dit et quand un armistice sera signé entre nos deux pays, vous pourrez retourner chez vous. Je dois maintenant retourner au combat, pour sauver ma patrie de la soif de sang des vôtres. Je lui adressai un regard sévèrement, puis prononçai ces derniers mots avant de fermer la porte. Aurevoir Gembei Ichirô. »