Informations Grade : Genin
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Rang : C
 | | (#) Sujet: Hina Ven 14 Avr 2017 - 22:31 | |
| Tutoriel pour créer son personnage
N'oubliez pas que quoi qu'il arrive vous débuterez en tant que Genin Rang C !
Vous n'êtes pas autorisé à commencer à RP sur le forum tant que votre présentation n'est pas validée !VOUS : LE MEMBRE
- Comment avez-vous connu Shinobi no Hattan ? : J'ai connu le forum grâce à quelques top-sites.
- Souhaitez-vous un parrain et si oui, avez-vous une préférence ? : S'il est disponible, je voudrais bien @KETSUEKI KAZUSHI en tant que parrain.
- Avatar : J'ai trouvé cet avatar sur deviantart, fait par Guweiz, il ne représente pas un personnage je crois.
Edit : je viens de voir que quelqu'un sans couleur l'avait déjà comment je pourrais faire ?
VOTRE PERSONNAGE
- Nom : Ketsueki
- Prénom : Hina
- Âge : 19 ans
- Pouvoir spécial : Maîtrise du sang.
- Description du personnage : Hina, elle était grande : un mètre soixante-dix à peu près. Elle avait les cheveux bruns, un peu lisses et les yeux noisettes. Un regard qui parlait, qui en disait long, mieux que des mots. Intense. Elle avait la peau douce, un beau visage, des traits fins et précis, elle était belle, Hina. Ses sourcils et sa bouche étaient bien dessinés. Il y avait un certain charme dans sa prestance. Elle avait quelques formes, une démarche souple, rapide. Elle faisait tout pour passer inaperçue, ne pas se faire remarquer. Pour Hina, la discrétion, c'était l'art, et l'art la clé de tout. Mais Hina, elle était pas si gaie, si joyeuse, elle avait pas cette allégresse. Une carte à double face. Une joie de vivre minime, un peu de bienveillance, pas beaucoup de confiance, pas beaucoup d'attention. Parce que Hina, elle était solitaire, elle convenait qu'être seul c'était mieux que mal entouré et qu'être loin des autres ça permettait de réfléchir. Elle était organisé mais désobéissante, parce qu'elle ne supportait pas les contraintes, sauf celle liées à l'art des ninjas. C'était une intelligente, censée, logique et réaliste, elle savait faire la part des choses et réfléchir correctement. Elle restait humble, pas de vantardise. Un peu stricte, autoritaire, elle aimait la ponctualité, la patience. Mais Hina, elle était rongée par un autre mal, le manque, qui l'assombrissait chaque jour un peu plus.
- Histoire :
Printemps, renouveau, espoir. Je suis née le 17 mars dans les terres du pays du vent. Sous les pleurs heureux de ma mère et le sourire franc de mon père. Alors que je n'étais qu'un nourrisson, la grande guerre qui avait frappée ce monde poussa notre famille à l’exile. Loin des conflits et de la mort. Voguant ente les terres désertes de l'ouest, nous avons réussi à trouver refuge et reconstruire une vie, entre nomades. Mais à cet époque, je n'avais que quelques moins, bientôt un an. Dépourvu de paroles, dépourvus de déplacement libre, j'ai crié, pleuré et aimé mes parents, inconsciemment, comme tous nouveaux nés. Personne ne savait ce que la vie nous réservait et vivre en otarie n'était pas évident. Bon nombres de problèmes arrivèrent par la suite. D'abord, il y eut des conflits dans notre communauté, question de savoir qui serait le chef du groupe nomade. Puis de la discrimination, avec des groupes plus ou moins minoritaires, des clans à éviter, des clans à rejeter. Des clans différents. C'est ce qu'il s'est passé pour nous, les Ketsueki. On nous a critiqué, on nous a jugé, on a eu peur de nous, on nous a rejeté et même attaquer. A savoir qu'une jeune comme moi ne maîtrisait pas sa soif de sang, ça ne pouvait être toléré, et voir deux maîtres du sang, c'était bien trop inacceptable pour les autres, les ignorants.
Au détour d'une vie nomade, de difficultés et d'efforts permanent nous avons eu vent de rumeurs. Le pays du vent allait ouvrir un nouveau village. C'est à cet instant que mes parents se figèrent, comprenant que la guerre était terminée. Mais tout n'avait pas été rose et l'extermination d'un bon nombre de clan dont des membres de notre ligné poussa mon père à chercher son frère et à savoir s'il était encore en vie. Je le l'ai jamais revu. De nombreuses rumeurs et histoires racontent que deux Ketsueki auraient été tués à Konoha, village caché du pays du feu, et que par conséquent, ils auraient été responsables du meurtre de mon père. Mais nul ne savait si ces histoires étaient vraies. C'est à cet instant que m'a haine s'est développé pour Konoha et leurs ninjas.
A cinq ans, je savais marcher, parler et j'avais déjà un peu de conscience. Je n'étais plus le nourrisson fragile qui avait handicapé ma mère durant notre voyage douloureux. Soleil d'été réchauffant nos cœurs, nous avons été acceptées au village caché du pays du vent, Suna. Et ce fut pour nous une libération et la liberté que nous attendions. La guerre ne nous étranglaient plus, la paix était enfin revenue. Alors nous avons eu droit à une belle maison, assez grande pour nous accueillir toutes les deux. Mais nous avons gardé secrètement notre affiliation aux Ketsueki, par peur d'être de nouveau rejetées et exclues du village. Cependant, les conflits n'étaient pas éteint, et nous l'avons vite compris lorsque qu'à la fin de l'année, le village fut attaqué par un ninja de Konoha qui fit trois morts. Les tensions resteraient alors présentes et marquées, pour toujours.
L'année quatre n'est pas aussi paisible que les habitants l'auraient espéré. Beaucoup d'affaires politiques et militaires, de nombreux problèmes, des attaques successives et même, une nouvelle déclaration de guerre, qui s’essoufflerait quelques temps après. Ma mère avait peur, peur de tout. Peur que nous soyons démasqués, peur que nous devions quitté le village, peur d'une nouvelle guerre. Parallèlement, j'apprenais à contenir ma soif du sang avec l'aide d'animaux que ma mère mutilait après les avoir tués. Le sang s'écoulait de l'animal mort qui cuirait quelques heures plus tard. Et il fallait avouer que c'était un bon entraînement, puisque petit à petit, je contenais ma soif, et je rebutais l'envie de boire ce sang. J'allais contre ma nature, difficilement.Printemps, renouveau, espoir. Je suis née le 17 mars dans les terres du pays du vent. Sous les pleurs heureux de ma mère et le sourire franc de mon père. Alors que je n'étais qu'un nourrisson, la grande guerre qui avait frappée ce monde poussa notre famille à l’exile. Loin des conflits et de la mort. Voguant ente les terres désertes de l'ouest, nous avons réussi à trouver refuge et reconstruire une vie, entre nomades. Mais à cet époque, je n'avais que quelques moins, bientôt un an. Dépourvu de paroles, dépourvus de déplacement libre, j'ai crié, pleuré et aimé mes parents, inconsciemment, comme tous nouveaux nés. Personne ne savait ce que la vie nous réservait et vivre en otarie n'était pas évident. Bon nombres de problèmes arrivèrent par la suite.
D'abord, il y eut des conflits dans notre communauté, question de savoir qui serait le chef du groupe nomade. Puis de la discrimination, avec des groupes plus ou moins minoritaires, des clans à éviter, des clans à rejeter. Des clans différents. C'est ce qu'il s'est passé pour nous, les Ketsueki. On nous a critiqué, on nous a jugé, on a eu peur de nous, on nous a rejeté et même attaquer. A savoir qu'une jeune comme moi ne maîtrisait pas sa soif de sang, ça ne pouvait être toléré, et voir deux maîtres du sang, c'était bien trop inacceptable pour les autres, les ignorants.
Au détour d'une vie nomade, de difficultés et d'efforts permanent nous avons eu vent de rumeurs. Le pays du vent allait ouvrir un nouveau village. C'est à cet instant que mes parents se figèrent, comprenant que la guerre était terminée. Mais tout n'avait pas été rose et l'extermination d'un bon nombre de clan dont des membres de notre ligné poussa mon père à chercher son frère et à savoir s'il était encore en vie. Je le l'ai jamais revu. De nombreuses rumeurs et histoires racontent que deux Ketsueki auraient été tués à Konoha, village caché du pays du feu, et que par conséquent, ils auraient été responsables du meurtre de mon père. Mais nul ne savait si ces histoires étaient vraies. C'est à cet instant que m'a haine s'est développé pour Konoha et leurs ninjas.
A cinq ans, je savais marcher, parler et j'avais déjà un peu de conscience. Je n'étais plus le nourrisson fragile qui avait handicapé ma mère durant notre voyage douloureux. Soleil d'été réchauffant nos cœurs, nous avons été acceptées au village caché du pays du vent, Suna. Et ce fut pour nous une libération et la liberté que nous attendions. La guerre ne nous étranglaient plus, la paix était enfin revenue. Alors nous avons eu droit à une belle maison, assez grande pour nous accueillir toutes les deux. Mais nous avons gardé secrètement notre affiliation aux Ketsueki, par peur d'être de nouveau rejetées et exclues du village. Cependant, les conflits n'étaient pas éteint, et nous l'avons vite compris lorsque qu'à la fin de l'année, le village fut attaqué par un ninja de Konoha qui fit trois morts. Les tensions resteraient alors présentes et marquées, pour toujours.
L'année quatre n'est pas aussi paisible que les habitants l'auraient espéré. Beaucoup d'affaires politiques et militaires, de nombreux problèmes, des attaques successives et même, une nouvelle déclaration de guerre, qui s’essoufflerait quelques temps après. Ma mère avait peur, peur de tout. Peur que nous soyons démasqués, peur que nous devions quitté le village, peur d'une nouvelle guerre. Parallèlement, j'apprenais à contenir ma soif du sang avec l'aide d'animaux que ma mère mutilait après les avoir tués. Le sang s'écoulait de l'animal mort qui cuirait quelques heures plus tard. Et il fallait avouer que c'était un bon entraînement, puisque petit à petit, je contenais ma soif, et je rebutais l'envie de boire ce sang. J'allais contre ma nature, difficilement. L'année cinq ne se passa pas si paisiblement que ce que les villageois auraient espéré. Au sommet, dans les instances milliaires et politiques, des prises de pouvoir se succédèrent et des conflits s'enclenchèrent. La conquête de nouveaux territoires et de quelques guerres. Heureusement, les habitants de Suna ne semblaient pas marqués par ces événements.
A mes huit ans, l'année six se profilait déjà mal avec des complots et conflits externes au village. De notre côté, nous vivions bien et maman était une artisane reconnue, ce qui nous permettait de vivre aisément. Ses poteries, vêtements ou même bijoux ravissait les femmes et les hommes. Nous avions de la chance. C'est alors qu'à l'automne de cette sixième année, un homme arriva. Nous n'étions pas prête à le voir arriver, lui et son clan : des Ketsueki. Nous ne savions pas si c'était un soulagement ou un danger. Mais lorsque cet homme fut nommé Kazekage, maman et moi avons fini par prendre confiance et décidé de ne plus cacher notre identité. Je grandissais, et bientôt j'allais devoir apprendre, apprendre l'art d'être ninja. J'avais peur, mais hâte. L'année sept s'est bien profilée et nous n'avions plus de peur à avoir car nous avions été acceptées dans le clan Ketsueki. Nous n'étions qu'une dizaine, tout au plus, mais c'était largement suffisant. Huitième année, début d'une guerre absurde et de mon enseignement chez les ninjas. Tout ceci promettait d'être croustillant et la vie ne cessait de souffler entre guerre et conflits inutiles, les villageois semblaient être à bout.
En cours...
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