Aucun retour en arrière possible

Le après conquête du pays de Shimo fût quelque peu réussi. Tout le monde était revenu sein et sauf avec maintenant en tête uniquement notre route vers la victoire contre l'empire. Moi j'avais eu une mission particulière en rapport avec mes facultés de camouflage et d'espionnage. Envoyais vers le Pays du Soleil, à Taiyo no Kuni.

J'avais débuté ma mission assez lentement, prenant mon temps pour bien avoir en possession toute les informations sur la zone à atteindre. Bizarrement je ne ressentais pas de chakra au dela des murailles de ma position. Continuant alors ma route à travers cette édifice, je marchais n'étant pas détecté après le mur. Assez étrange de ne pas avoir de système de protection dans un village qui attire depuis plusieurs temps tout les villages.

Mon chemin me menait vers la tombé de la nuit, la ou le soleil me permettrait de rester collé à mon ombre. Arrivant dans un petit village, je me camouflais puis me mis à couvert contre un muret. Regardant devant moi, je voyais des hommes, des femmes et des enfants vaquer à leurs occupations. Une atmosphère paisible régné ici, les enfants jouaient entre eux, pendant que les adultes discutés à refaire le monde.

Mes yeux restaient bloqué après avoir tourné ma tête sur la droite. Une vision de cauchemardesque. Un homme accompagné de plusieurs sous fifres attaquant les pauvres civils sans défense. Personne ne fut épargné et je devais me contenter de rester ici et regarder cette pièce de théâtre macabre.

* Ils ont massacré tout le monde ... Même les enfants ... Je ne peux laisser passer une chose pareil.

Comme ci cela ne suffisait pas, d'avoir souiller la vie de dieu en tuant des innocents, il fallait bien entendu brûler leurs maisons. Tant cas être ignoble, au tant l'être jusqu'au bout. Je pouvais sentir aucune pitié dans leurs rires, leurs crient de victoire comme ci ils venaient de vaincre une armée de quinze mille homme aguerri. Continuant lors chemin, je les suivaient de loin, grâce à mon système de détection lié à l'odorat.

Je perdais l'odeur à proximité d'un fossé énorme qui à première vue donnait un visuel sur une forteresse digne des grands livres de prince que l'on raconte pour les enfants. J'étais seul, certes j'avais une certaine envie de continuer pour montrer que malgré mon niveau, et mon rang je serais capable de mener à bien une mission confié. N'aillant le temps de réfléchir plus en profondeur je ressentais comme des picotements dans les doigts. Puis cela remontait au niveau des genoux et des pieds. Me laissant dans l'incapacité de contrôler mon propres corps je voyais le vide ... puis rien ...

Ou suis je ? Il est arrivé quoi ... Je me retrouvais contre un mur, dans une pièce qui n'inspiré rien de bon. De la un homme face à moi, il dégageait quelque chose de fort. Je sentais en lui, mon don ne se trompe rarement. L'homme face à moi, en tenu blanche, n'était pas qu'un simple ninja. Il fallait alors assumer le fait d'être prisonnier et ne pas oublier le crédo des assassins.

- Attaquer de dos n'est pas très catholique vous ne trouvez pas ? Jouons carte sur table vous voulez bien ? Que fais je ici et qui êtes vous !

« Un intrus nous espionne. Occupe-t-en.
« Oui, maître. »

Reprenant sa respiration, l’homme se retira discrètement, laissant le duo auprès du démon pendant qu’il allait accomplir ce qu’on lui avait demandé. Caché, il patienta : son maître ne se trompait jamais. Il savait tout. Ressentait tout. Prédisait tout. Connaissait absolument tout sur tout le monde. X… Malgré son numéro, il était bien plus puissant que les autres. Même Le Patriarche, à sa grande époque, craignait Jiseyama.

Il l’aperçut alors. Un simple shinobi ? Seul ? Pourquoi son maître l’obligeait à se déplacer lui, alors qu’il avait pris des dizaines d’autres combattants qu’il avait répartis dans tout Taiyô ? Il restait neutre, cependant, observant un instant. Le shinobi n’avait pas de chakra – à son instar. Puis il sortit de sa cachette, assommant le Kumojin qui tomba net. Le mettant sur son épaule, il descendit, se rendant dans la forteresse de Kyûbi, dans une salle adjacente à celle où son maître se trouvait. Puis il attendit… Attendant que le shinobi se réveille, ce qui ne tarda pas. Il écouta la question du ninja, gardant son air indifférent.

« La fin justifie les moyens. Ce que vous faites ici ? Je me permets de vous renvoyer la question, Kumojin. Que faites-vous si loin de vos terres alors que le Shukai y a débarqué ? »

Au fond, l’attaque se déroulant en ce moment-même, il n’était peut-être même pas au courant que son pays était en proie à l’ennemi.

« Quant à qui je suis… Même principe, je vous retourne la question. Mon nom ne vous apportera rien. »

Aucun retour en arrière possible

Le temps était à la méditation et au recueil. Je me retrouvais face à cet homme vêtu de blanc avec comme inscription le chiffre deux en romain sur son bras droit. Voulant tenter une attaque fourbe, je commençais à concentrer mon chakra mais .. il n'y avait rien. Aucun flux que ce soit via mon don sensoriel ou mon clan. J'étais encore plus dans le beau drap maintenant. Au prise avec un homme inconnu, dans une forteresse inconnu avec l'impossibilité d'utiliser mon pouvoir. La c'était comme qui dirait, vraiment mais vraiment pas de chance. Un espion, doit toujours avoir une botte secrète pour ce sortir de situation délicate.

Observant autour de moi, rien, une pièce vide, humide, me laissant supposer être bien profond dans cette endroit, cela me donné encore plus de difficulté pour sortir d'ici vivant. L'homme, semblable à un moine de part la coupe de cheveux et ce qu'il dégageait intérieurement.

Bien entendu, il ne répondait pas à mes interrogations aussi facilement. Il me retournait tout bêtement mes propres paroles pour que ce soit moi qui face le premier pas vers la fin. Tu ne mettra jamais la confrérie en danger. Tu ne dévoilera jamais le but de la confrérie. Je devais suivre le code, mais aussi agir pour ma propres survie. Fixant mon interlocuteur je lui rétorquais ma façon de voir les choses depuis la reprise de mes esprits.

- J'ai été envoyé ici pour une simple et bonne raison. Enquêter sur le mystère du pays du soleil. Je pense même que vous faite parti du mystère qui plane sur ce pays. Si je suis pas à combattre le Shukai, c'est qu'il trouvait ma présence plus adéquate en pays du soleil voila tout.

Même topo pour ma deuxième questions. Celui ci usé de pirouette pour répondre totalement à coté ou alors en me retournant la question une nouvelle fois. Montrant alors une allure non hostile, je me levais doucement afin de reprendre pleine possession de mes moyens. Maintenant à même hauteur de l'homme au vêtement blanc, je retirais mon masque de devant mon visage. Aucune utilité d'être invisible pour lui, il savait déjà qui j'étais et d'ou je venais. Je n'avais donc plus rien à cacher.

- Alors si votre nom ne m'apportera rien, que pouvez vous m'apporter concrètement !

Prenant mon souffle, ma main venait retirer ma capuche pour afficher ma tête à visage découvert afin de reprendre à nouveau le dialogue.

- Vous faites parti du petit groupe d'homme du Ninja masqué ? J'ai vu un peu plus tôt cette personne assassiné femme et enfant dans le petit village à coté !

Disais je, l'air suspicieux. Qui était il vraiment c'est homme ...

« Voyons... Voyons... Ai-je l'air d'être le genre de personne qui s'attaque à des femmes et des enfants ? - répondit « II » d'un air lassé. - Mais je suis effectivement un membre du groupe du Ninja masqué si c'est le nom que vous lui donnez. »

Derrière son air indifférent, l'homme semblait être soulagé de voir une discussion s'ouvrir plutôt qu'un combat, pourtant son physique impressionnant et son corps marqué de d'innombrables cicatrices prouvaient qu'il ne craignait pas l'affrontement. Le moine semblait se détendre légèrement, ses yeux soutenaient le regard du Seki sans pour autant montrer une once d’agressivité.

« Vous devez comprendre que vous n'avez aucun pouvoir ici, vous n'irez pas plus loin... Quelle que soit votre mission, elle est terminée. Je suis navré de vous avoir arrêté de la sorte, mais je ne voulais pas risquer une réaction excessive de votre part si je m'étais présenté à vous pendant votre... Infiltration. » - ajouta le moine.

« II » se redressa, abandonnant le mur sur lequel il s'était adossé et il réajusta sa ceinture avant de reprendre.

« Votre pays est actuellement attaqué par les forces de l'Empire. Vos amis, votre famille, votre village, ils ont probablement besoin de vous, laissez moi vous raccompagner à l'extérieur et rentrez chez vous, rejoignez vos proches et protégez les, ici vous ne trouverez rien d'autre que la mort, croyez moi... »

D'un geste du bras, le moine invita Aosawa à passer devant, lui montrant une porte en bois entre ouverte. Même si « II » ne semblait pas être une menace, son corps dégageait une puissante aura, signe qu'il n'était pas une personne à affronter ou à contrarier.

« Après vous... » demanda le moine, attendant de pouvoir compléter sa phrase avec le nom du Kumojin si ce dernier voulait bien lui donner.

Spoiler:

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Le moine me répondait avec une grande politesse. Il n'y avait pas que de la sagesse qui dégagé comme aura, quelque chose de puissant et de redoutable chez cet homme. Le mettre en rogne ne serait pas utile pour moi et cela me rapprocherais fortement et rapidement de la mort. C'était certain. Il m'expliquait alors avec des paroles qui semblaient plus que vrai, que ici, je n'aurais aucun pouvoir. Immédiatement une question venait à être posé de ma part.

Il enchaînait sur le faite que ma mission ici était terminé. Malgré la grande puissance de l'homme, cela n'était pas à lui dans juger, avec tout le respect que je lui devais. Il s'excusait même pour m'avoir arrêté de façon peu orthodoxe pour éviter un conflit.

- Je serais inutile sur un champ de bataille. Si vous connaissez une façon d'augmenter ma force pour vaincre, je suis preneur.

N'étant pas de nature violente nous aurions pu trouver un terrain d'entente bien avant d'avoir eu recours à la force. L'homme continuait alors par me faire comprendre que ma place était au près de ma famille, de mes amis et des forces Kumojins. Les paroles du moine furent vrai, mais inutile. Sur un champ de bataille je serais plus un fardeau qu'autre chose pour quiconque se retrouverai avec moi. Il ajoutait qu'ici je ne trouverais que la mort. Tiens donc, cela attisé ma curiosité.

Voyant alors le moine bouger, je me sentais comme incapable de bouger devant son bras qui venait juste à ce poser sur mon épaule me montrant alors une porte en bois ouverte. Laissant échapper un " Après vous .. " supposant alors que je lui comblerais le manque par mon nom. Chose que je faisais en rajoutant ma touche personnel.

- Seki Aosawa monsieur. Maintenant que vous savez pour moi, puis je en tout bien tout honneur savoir pour vous ?

Quitte à lui donner mes identifiants militaire et de naissance autant que le partage soit réciproque. Je me dirigeais alors vers la sorti de notre salle en passant devant comme gentiment indiqué par le moine. Avançant par de la la porte, mes yeux distinguaient d'immense couloir formant comme un dédale. Heureusement que l'homme me suivait de près sans lui impossible de trouver une quelconque issu ou chemin. Suivant la seul route que m'offrais les couloirs j'avançais de pas lent, regardant tout autour de moi la moindre petite chose pouvant me donner des indices sur le lieu.

- Cette forteresse, vous abritez quoi de beau ici ? Parce que cela paraît assez louche comme endroit, tout comme le fait que je ne puisse pas utiliser mon chakra. D'ailleurs j'ai pu remarquer votre bras, avec un numéro en chiffre romain dessus. Cela signifie ?!

Continuant notre chemin, le moine toujours un pas derrière moi, les questions fusaient dans ma tête. Me donnant presque mal au cerveau, tellement je ne savais quoi poser en premier. Il m'avait donc certifier travailler pour l'homme masqué qui avait attaquer un village de civil avant ma capture. Cet homme devait être le déclencheur de tout ceci.

- L'homme masqué à t-il un nom ?!

« II » s'inclina légèrement quand Aosawa lui passa devant, il esquissa discrètement un sourire quand le Seki lui donna son nom et il se redressa calmement, un dialogue allait pouvoir commencer.

« Doucement, doucement... - répondit calmement le guerrier. - Je vais vous répondre dans l'ordre. »

Quand les deux hommes passèrent la porte, « II » se retourna pour la fermer derrière lui puis il tourna les talons pour faire face au labyrinthe qui l'attendait. Il prit alors une posture typique des moines de Maskine, les bras dans le dos en s'attrapant les avant-bras dans un geste parfaitement maîtrisé, l'ayant répété des milliers de fois au cours de sa vie.

« Bien allons-y... Je me surnomme « II » car c'est mon grade dans notre groupe et c'est pour cela que ce symbole est gravé sur mon bras, croyez moi mon vrai nom est d'une banalité totale, je n'appartiens à aucun clan ni grande famille... »

Après quelques pas, les deux hommes tournèrent à sur leur gauche pour prendre un nouveau couloir, un silence pesant régnait dans la forteresse et les murs étaient éclairés seulement par quelques torches aux flammes vacillantes au rythme des courants d'air.

« Par ici... - indiqua « II » avant de reprendre. - L'homme au masque se nomme Jiseyama, j'imagine que c'est une information que vous n'aviez pas en votre possession avant de venir, au moins vous ne repartirez pas les mains vides. C'est un ninja aux capacités disons... Presque divines, sans exagérer... - précisa-t-il. - Vous avez du remarquer que vous ne pouvez pas vous servir de votre chakra depuis votre arrivée sur le territoire du Soleil et il y est pour quelque chose... Personne ici ne peut se servir de son chakra alors je vous laisse imaginer l'étendue de ses pouvoirs... Quand je vous dis que vous n'avez aucune chance de survivre ici, c'est parce que Jiseyama a su s'entourer de ninjas très puissants même sans chakra et qu'il y en a énormément qui surveillent ces lieux. On vous a repéré avec une facilité déconcertante, sans vouloir vous vexer, alors ne pensez pas pouvoir vous aventurer plus loin sans moi et encore moins y survivre... »

Très sérieux, « II » continuait de guider le Seki avec des brèves indications qui coupaient son récit. Il parlait d'une voix calme et reposée, malgré la teneur inquiétante de ses propos.

« Cette forteresse sert à garder sous contrôle le plus grand mal qu'ait connu et que connaîtra ce monde. C'est pourquoi je vous conseille, sincèrement, de partir... »

Le moine fit une pause dans son discours, comme pour laisser le temps à Aosawa d'assimiler toutes ces informations, puis il reprit.

« Et vous ? Comment un homme qui s'annonce être inutile sur un champs de bataille peut-être envoyé ici ? Alors que Kumo sait pertinemment que vous serez privé de vos techniques de shinobi. Pourquoi vous envoyer vous ? » demanda « II » toujours aussi calme.

Spoiler:

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Le moine me demandait d'aller doucement dans les questions. J'en envoyais certes plus qu'il n'en fallait, mais c'était le but de ma mission. Arriver à récolter le maximum d'information concernant le pays du Soleil. Et pour l'instant cela fut une réussite malgré que l'homme voulait que je parte. Il ce présentait enfin à moi, sous une sorte de pseudo, identique à son tatouage. Un chiffre romain en guise de nom, pourquoi pas. M'arrêtant alors pour être au même niveau que lui, je me penchais en avant pour lui montrer du respect tout en disant.

- II ? Alors enchanté Monsieur.

Nous continuions à marcher dans cet immense dédale de mur et de passage de plus en plus noir et humide. Nous tournions à gauche. "II" Avait une allure sereine, bras dans le dos, joignant ses mains pour être le moine typique. Marchant dans le couloir tout juste illuminé par quelque touche ici et la histoire juste d'avoir un peu de lumière. Un tel labyrinthe sans guide serait forcément une approche rapide vers la mort, mais le moine lui avançait lentement et en sachant ou aller. Je le suivais. Celui ci me répondait longuement à mes diverses questions. Il arrivait à un point très interessant. L'homme masqué, Jiseyama d'après les paroles du moine. Cet homme accompagné de ses hommes détruisant le petit village était donc lui.

Il m'expliquait que Jiseyama était l'homme en cause dans le fait que nos pouvoir n'était que poussière ici. Il enchainait avec le fait que même sans chakra l'homme était très puissant et qu'il en était de même pour les sbires l'accompagnant. J'étais bien en veine, me voila maintenant dans un endroit peuplé de personnes des plus étranges.

- Jiseyama ? Quitte à être ici serait il possible de le rencontrer ?

Quitte à lêtre ici et mourir autant tenter de rencontrer le chef de cette forteresse pour en apprendre encore plus sur le pays et sur le groupe d'individu que II me parlait. Nous avancions dans l'immensité des couloirs, tournant à des embranchements. J'avais malgré tout utilisé mon cerveau durant tout le chemin retenant par chaque endroit ou l'ont passés. Sait on jamais. Il parlait d'une menace pour le monde, une menace tellement énorme que le monde serait plonger dans les ténêbres.

- Le seul mal que la terre est jamais connu est un démon à queue. Vous laisserez sous entendre que ici Jiseyama à enfermer un démon ?!

alors cela serait le secret du pays ? abriter un démon ... comme Hachibi, l'un des démons ou un temple avait été créé à son éffigie. Interessant dit donc de parler avec cet homme. Il semblait pas du tout hostile dans ses paroles. Il était d'une certaine façon protecteur envers moi. Tout en me guidant et en me donnant des informations concrète. C'était bizarre qu'un homme comme lui, d'autant plus qu'il travaillé pour Jiseyama. Me donner autant de chose sur eux, Taiyo serait préjudiciable pour lui ?

Il arrivait alors à la question la plus logique qu'il soit. Pourquoi m'envoyer moi dans un pays sans chakra, sans connaître qui habité ici et surtout qu'elle était le mal qui rongé le pays du soleil. Maintenant que j'avais eu un magasin d'information par le Moine, je pouvais lui répondre aisément et très calmement sur le pourquoi moi ici.

- Et moi ? Monsieur II, je vais vous expliquer. Je suis pas un monstre du combat rapproché,
je suis plus une personne utilisant des camouflages ou des détections pour surprendre mes ennemis. Mais bien entendu, mon véritable pouvoir est la discussion. Pour preuve, sans chakra, j'ai réussi à obtenir des informations de votre part. Donc de part mes aptitudes j'étais le plus à même pour cette mission.

Voila le pourquoi de votre question monsieur II. Je suis quelqu'un que personne pleurera si je meurs. Je suis personne et un homme à la fois. Je suis tanto un ninja, tanto un homme l'ambda, tanto un espion. A mes heures perdu j'étais un assassin. Mais ici il n'était pas question d'assassiner qui que ce soit. Du moins pour l'instant.

- Si tout ce que vous me dites est vrai, alors je trouverais la source du fléau et je le détruirais avec ou sans chakra, et avec ou sans votre aide monsieur II. Avec tout le respect que je vous dois, je suis ici en mission, et partir serait un échec. Il va de soit que même si vous m'accompagné dehors ... Je reviendrais ... Alors aidé moi ?



Hrp :

Spoiler:

Au loin, le sol se mit à trembler. Les Taiyôjins toujours en poste froncèrent les sourcils. Ce léger tremblement, se pourrait-ce que… ? Aux quatre coins du pays, ils tournèrent tous la tête vers le même endroit. Ils savaient que leur pays était attaqué, et ils espéraient que la défense de la prison soit assez résistante pour le garder en captivité. Dieu les protège.

Mais il n’en fut rien. Un vent se leva, traversant tout Taiyô. Des effluves de chakra sortit de toute part. L’atmosphère devint bleutée, l’herbe et les fleurs poussèrent rapidement sous l’effet du chakra qui sortait du fin fond du pays du Soleil. Les habitants retrouvèrent peu à peu leur puissance, mais ne purent parler. C’était la fin. Si les sceaux ne puisaient pas le chakra présent à la surface, la prison du démon finirait par être brisée.

Spontanément, les civils de Taiyô, redevenus Shinobis, se regroupèrent. En masse. Sous l’impulsion de leur oracle et première dame à la capitale, ils se dirigèrent vers la prison de Kyûbi. S’il n’était plus en prison, il faudra faire en sorte de l’empêcher de dévaster le monde. C’était leur mission, leur destin. Ils le savaient : le démon renard ne pourrait pas rester caché éternellement. Mais ils étaient habités de la même volonté et, ensemble, ils marchèrent en direction de la prison. Pour ce qui allait peut-être être leur dernière bataille.

Spoiler:

Le moine éclata de rire, un rire franc et grave qui résonna dans le labyrinthe qui sillonnait la forteresse, le Seki était très sûr de lui pour penser qu'il avait soutiré des informations grâce à une quelconque manipulation. Alors qu'il s'apprêtait à répondre, un puissant tremblement vint ébranler les murs de la prison de Kyubi, le visage du moine s'assombrit, il comprit immédiatement la gravité de la situation... Il adressa un regard lourd de sens à Aosawa, son calme s'était envolé et il semblait presque inquiété par ces mystérieuses secousses.

« Ecoutez Kumojin... Je n'ai plus le temps de jouer avec vous, à savoir si vous êtes une personne de confiance ou non... Vous avez senti votre énergie revenir n'est-ce pas ? - demanda le guerrier. - Vous devez comprendre... Le démon renard est enfermé ici, Jiseyama compte le libérer sur le monde et il semblerait que les puissants sceaux qui canalisaient le chakra de tout le pays pour alimenter la prison du bijuu ont été brisés... Suivez moi ! »

Immédiatement, le moine se mit à courir à travers les couloirs, à une vitesse qui trahissait l'urgence de la situation, tout en courant il continuait de s'adresser au Seki.

« Nous devons partir, Kyubi va être relâché et ni vous ni moi ne pouvons y faire quelque chose ! Je ne suis pas un allié de Jiseyama, comme beaucoup de membres de son groupe, nous sommes contraints de combattre pour lui car il a un moyen de pression pour nous y obliger, je n'ai jamais voulu vous faire de mal sans raisons. Maintenant que le démon renard est libéré, je peux prendre la fuite sans que cela soit remarqué ! »

Après plusieurs minutes de course effrénée, le duo arriva à une porte de pierre que « II » pulvérisa d'un coup de poing surpuissant. Libérant alors le passage vers l'extérieur, sur un des côté de la forteresse. L'homme se tourna vers le Kumojin,

« Venez avec moi ! Survivez un peu plus longtemps et aidez moi à sauver ma famille ! Vous pourrez alors rentrer chez vous en vie en ayant accompli quelque chose de bien ! - continua le moine qui avait perdu toute sa sérénité. - Le bijuu à neuf queues va être libéré sur le monde, il est déjà entre ces murs et sa prison ne pourra pas le retenir longtemps sans le chakra de tout le pays pour maintenir sa cage ! Dans quelques minutes le pays du Soleil sera rasé par la fureur de Kyubi ! »

Le moine commença alors à courir, il se tourna vers Aosawa en s'éloignant progressivement de la forteresse.

« Faites votre choix Kumojin ! Vite ! »

Spoiler:

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L'heure n'était plus à la parlotte, non. Le moine m'écoutant venait d'esclaffer de rire alors que je n'avais rien dit de vraiment drôle depuis le début. Sans doute que il n'avait vu personne depuis un moment, et du coup l'interaction été point facile pour lui. Mais au moment ou il allait parler, un tremblement ce fut ressentir dans la forteresse. Le visage du moine II avait totalement changé. Il devenait inquiet, presque une once de peur ce faisait visible sur son visage. Son regard ce posant sur moi n'était pas du tout celui utilisé depuis notre rencontre.

Celui ci était plein de question, plein d'énigme, très froncé comme ci j'avais fait quelque chose de mal. Il en vient alors à m'expliquer le changement de comportement très brutal. M'expliquant que le temps de la causerie était fini, et que maintenant la place était à la mort. Intérieurement j'avais des sensations étrange, comme si mon flux était revenu. C'était donc vrai ... Du bout de mon index je pouvais voir de mes yeux une petite boule de chakra prouvant ainsi les dires de l'homme.

- Alors vous ne mentiez pas monsieur II ...

La pour moi, je ne pouvais plus trop réfléchir, il arrivait à prononcer dans ses paroles le nom du démon renard. Kyubi. Celui qui causa tellement de désolation dans le monde était en faite tenu prisonnier ici, et maintenu grace à une barrière de chakra. Cette barrière, ou plutôt une sorte de Fuin qui nous vider pour remplir la prison. Nous maintenant en vie et maintenant le monde en paix. Cette prison avait cédé ... Comment ? et pourquoi maintenant ? Jiseyama était complètement fou à vouloir lacher dans la nature un fléau pareil.

- Kyubi ... mon dieu ... ?!

Une course digne des grands jeu olympique venait d'être lancé par II. Courant dans les couloirs du grand labyrinthe de la forteresse celui ci ne touchait presque pas le sol tellement il était en hâte. J'en avais presque du mal à suivre le rythme tellement il allait vite. Trop vite même et cela ne disait rien de bon. Actuellement aillant récupéré mon chakra, je scannais rapidement durant notre course, le corps de II avec mes capacités sensoriel. Cet homme était puissant, très puissant, pourtant il n'osait pas combattre. Pourquoi ...

Paniqué ce qui était pour moi quelque chose de bizarre d'avoir vu l'homme passer d'un état serein, à un état de stress aussi poussé. Mais je comprenais alors pourquoi quand il continuait de m'expliquer le pourquoi du comment. Il n'était pas un des sbires aillant attaquer des civils plus tôt dans la matinée, il n'était pas son sous fifres par plaisir. D'après les paroles de II celui ci semblait être " obligé " et il semblait même s'excuser de m'avoir attaquer. Il comptait simplement prendre la fuite grâce au fait que le chakra soit revenu. Fuir ? alors qu'il semblait être si puissant ... Il me le prouvait une fois de plus en donnant un coup de poing dans un rocher bloquant un passage. Un coup de poing qui d'allure pourrait être basique, mais fracassait totalement la pierre donnant à mes yeux la vision de l'extérieur.

Toujours dans la même optique depuis plusieurs minutes, le moine voulez que je le suive dehors, que je puisse accomplir quelque chose de bien. Moi faire le bien ? moi qui suis un assassin, un espion, qui ne vie que de la mort ou du malheur des autres. C'était très loin de mon esprit, de mes pensés de pouvoir faire le bien comme il le disait si bien.

- Moi faire quelque chose de bien ... Vous ...

Je comprenais alors pourquoi il voulait quitter l'endroit abritant la mort incarnée. Il voulait sauver sa famille retenu par ce fourbe de Jiseyama. Sans doute le moyen de pression qu'il utilisait pour que monsieur II l'écoute quoi qu'il arrive. Sa force retrouvait, le moine sortait par le trou, me demandant une dernière fois ce que je comptais faire. Le suivre ? retourner à l'intérieur t'entends d'arrêter l'impossible ? Il fallait que je suis un minimum sur de moi, je suis qu'un pauvre Genin à près tout. Alors il va de soit, que Kyubi, Jiseyama, ne serait pas mes adversaires. Aujourd'hui du moins. Avançant à mon tour pour sortir de la forteresse, je regardais du même regard que II avait pu avoir sur moi en lui disant.

- Allons sauver votre famille de ce fou perfide !



Hrp :

Spoiler:

« Merci Kumojin... Et appelez moi Hiruzen, je suis plus au service de Jiseyama... - dit solennellement le moine une fois qu'Aosawa fut arrivé à sa hauteur. - Suivez moi ! Je sais par où passer sans que les hommes de Jiseyama nous repèrent ! Même si beaucoup le servent par obligation, certains lui sont loyaux ! »

Sur ces mots plutôt inquiétants, Hiruzen accéléra la cadence et poussa le Genin à se donner à fond pour le suivre, probablement que le moine n'était pas conscient de sa propre vitesse, l'esprit trop occupé par l'idée de sauver et rejoindre sa famille.

Le duo traversa ne nombreux champs, enjambant les rivières et les cours d'eau sur leur passage. Une fois au cœur d'une vaste prairie verdoyante, une ombre semblait grandir à l'horizon face à eux, plus il s'approchaient et plus les silhouettes se précisaient, des soldats, des centaines de cavaliers maintenant en pleine possession de leur chakra. Soudainement une volée de flèches vint stopper les deux ninjas dans leur course, la pluie de pointes s'arrêta aux pieds du moine, l'air grave Hiruzen souffla,

« C'est... Une armée de la Première Dame... Ne bougez pas Aosawa... Ils doivent sûrement se rendre à la prison pour combattre Kyubi...»

Les cavaliers arrivèrent rapidement et encerclèrent le duo, tous dévisageaient Hiruzen avec des yeux débordants de haine et des insultes se firent entendre entre les hennissements des chevaux. La troupe s'écarta pour laisser approcher une personne chevauchant un majestueux cheval à l'armure dorée étincelante.

Uma s'approcha du moine, toisant Aosawa avec un regard noir et menaçant par la même occasion. L'Oracle descendit de sa monture pour se placer face à Hiruzen, un silence menaçant s'installa dans toute la plaine, seul le vent sifflant venait perturber ce moment de tension.

« Vous.... Je vous reconnais.... Un soldat de Jiseyama... CHIEN ! » s'écria la Daimyô du pays.

D'un coup sec, elle dégaina son épée et vint frapper le visage du moine avec le pommeau de son arme. Hiruzen s'écroula au sol, des gouttes de sang tombèrent sur l'herbe verte jusqu'à présent immaculée. Pourtant le moine ne se défendit pas, il leva son visage ensanglanté par une profonde entaille à la tempe gauche.

« Dame Uma... Je... Je regrette... »

La phrase du guerrier fut coupée par un puissant coup de pied qui vint fouetter le visage désolé de « II ».

« Silence ! Tu vas payer pour le mal fait à mon peuple ! Et toi ! - la Première Dame pointa son épée en direction du Seki. - Toi aussi tu vas mourir ! Tous les hommes de Jiseyama connaîtront le même sort ! »

Spoiler:

Aucun retour en arrière possible

Le moine remercier. Il me donna même son nom. Je pouvais à présent l'appeler Hiruzen. L'extérieur de la forteresse était vraiment un spectacle des plus alarmiste. Des vagues de chakra pouvait être visible à l'oeil nue, rejoignant divers endroit du pays pour rendre le pouvoir à leurs utilisateurs. Mais pas le temps de me préoccupé du phénomène de taiyo, que le moine s'élançait à travers le paysage.

- Je vous suis Hiruzen ...

Le suivant à travers le pays du soleil, nous traversions un premier champ d'épis de maïs, entre coupé d'un petit court d'eau pas plus grand qu'un petit ruisseau. D'autre champs et rivières que nous passons à vive allure. Arrivant alors sur une grande prairie d'herbe verte toute dégagé, une silhouette vers l'horizon d'une grande ampleur. L'ombre devenait de plus en plus immense au fur et à mesure de son avancé. Ce qui s'apparantait à un simple point noir en était devenu un mur.
Hiruzen avait décelé de cette chose des groupes de chevalier. Quand dans notre course, une pluie de flèche tapissaient le sol devant les pieds du moine. Nous stoppant ainsi dans notre quête. Il m'expliquait que les cavaliers été ceux d'une certaine Première dame. Le regardant je pouvais ressentir quelque chose d'étrange dont je voulais lui faire part.

- Je ressens un danger Hiruzen ...

Et effectivement j'avais vu juste. Les hommes montaient sur chevaux nous encerclés. Tout autour de nous, mais ils étaient tous focalisés sur Hiruzen, m'oubliant presque complètement. Une multitude d'insulte en tout genre venait résonner dans mes oreilles en l'encontre du moine. Quand des les cercles qui tournoyaient autour de nous s'écarta pour laisser place à une personne venant sur un cheval d'une splendeur vraiment grandiose. Une femme avec une armure étincelant avec le soleil frappant sur l'herbe verte de la prairie. Cette femme venait de poser un regard des plus glacial envers II. Laissant ensuite échapper sa colère intérieur par la parole. Traitant monsieur II de chien, de soldat de Jiseyama il valait de soit qu'elle ne connaissait pas toute l'histoire.

C'est qu'après avoir prononcé le mot chien, que celle ci dégainé rapidement son épée, donnant un coup de pommeau directement au visage. Je voyais alors Hiruzen tomber face contre terre, ensanglantant l'herbe sous lui. J'étais stupéfait de voir qu'il n'y avait eu aucune tentative de défense de ça part. Voulant alors enchainer, la femme ne laissa pas le temps au moine de parler qu'elle donna un coup fouetté au visage le blessant à nouveau.

Lachant encore des menaces verbales envers Hiruzen, elle pointait son épée vers moi me désignant comme un homme de Jiseyama et me menaçant de me tuer. Grossière erreur très chère. Regardant alors la femme droit dans les yeux le répondais le plus sèchement possible.

- Me tuer ? Je crois que dans votre cerveau l'afflux de chakra n'a pas du bien atteindre encore tout les ports. Laissez moi vous expliquer le plan.

Mes paroles dites, mon bras droit venait à ce lever dans un geste presque sensuel. Ouvrant mon poing pour faire comme le chiffre cinq avec ma main, une boule bleu apparut. Cette petite boule bleu devenait grande, de plus en plus grande pour atteindre sa charge final. Le Big bang était maintenant chargé, et près pour la destination. Mais tout ceci serait du temps de perdu, et nous n'avions pas de temps à perdre.

- Maintenant au moindre geste suspect de votre part, le Big Bang sera vous répondre. Actuellement, le moine que vous venez de frapper lachement, n'est pas du coté de Jiseyama et moi non plus. Je suis un Kumojin, Seki Aosawa, et nous n'avons pas le temps de nous battre. Nous devons moi et Hiruzen sauver sa famille retenu par l'homme à l'origine de tout le mal. Jiseyama. Vous perdez plus de temps et d'énergie à vouloir jouer avec nous. Mais moi j'ai rien à perdre alors faite le bon choix.

La messe fut dite, dans le seul bruit que l'on pouvait entendre du raisonnement de ma voix par la brise qui soufflé sur la prairie, toujours menaçant je rajoutais une petite chose, mais plus qu'importante.

- J'oubliais suis je bête, plus vous resté ici à vouloir nous tuer, plus Jiseyama à de temps pour libérer ... Kyubi.

Hrp :

Spoiler:

Aucun retour en arrière possible

La femme guerrière faisait face à ma boule de chakra bleu avec une grande stupeur comme les hommes qui l'accompagnaient. Mais ce silence si paisible venait de perdre face à des ricanements de plus en plus fort venant des cavaliers. La main de la guerrière venait absorber mon attaque d'un seul coup. Pris complètement par surprise, je ne m'étais pas préparé à ce genre de situation. Elle me regardait, d'une façon tellement dans le manque de respect, qu'elle ne jugeait bon de ne pas m'écouter. Elle ce ficher royalement du problème bien plus important que nous. Jiseyama allait bientot libérer Kyubi, et c'est soldats préféré nous combattre plutot que de sauver le pays voir le monde.

- Mon histoire devrais pourtant vous intéresser. Il s'agit de la survie du monde, il s'agit du vrai méchant dans l'histoire. Jiseyama ...

Rétorquant tout juste pour lui répondre, la Konoichi réclama le silence. Ce qu'elle eu rapidement après me menacer via son armée et juste après la tentative du moine pour me mettre hors de cause. Celle ci le gifla encore une fois l'envoyant au sol mettant encore plus de sang sur l'herbe. Le moine était de plus en plus blessé, son sang s'échappant de son corps meurtri des coups répété de la femme. C'est alors qu'au niveau de ma nuque, je pouvais y sentir quelque chose de froid, quelque chose de pointue. Une lame. Une lance me prenait pour cible en me menaçant sur mon derrière du corps. Ma première expérience fut un échec cuisant. User de ninjutsu serait alors inutile sachant qu'il serait absorbé. Il fallait donc rester calme et réfléchir.

Mes oreilles bougeaient comme si un bruit, un scintillement puis un slash pourfendant l'air pour venir s'abattre directement sur moi. C'était la fin .. Jusqu'a ce que Hizuren, puise dans ses forces pour arrêter avec les mains le chemin de l'épée m'étant destiné. Le moine suppliait alors Uma de ne pas me tuer, que je n'avais rien avoir avec l'homme masqué. Son sang coulé des mains rejoignant son visage au niveau des blessures. Pourquoi avoir pris ma défense ? Il n'avait rien à me devoir depuis le début. Il fallait que ce sauvetage puisse nous servir.

Le regarde de la femme se plongeait sur moi, il était noir, hostile, attendant la moindre erreur de ma part pour mettre fin à mes jours. Elle me demanda qui j'étais. C'est sans phase de cache cache, et avec la plus grande sincérité que j'ouvrais la bouche pour prendre la parole.

- Je suis en mission de prise d'information concernant des évènements parut dans le pays du Soleil. J'ai rencontré ainsi Hizuren dans une forteresse. Discutant avec lui, il ma donc expliqué le pourquoi il avait du servir Jiseyama. Je pense que ses raisons peuvent être pris en compte. Il n'a agit que pour protéger sa famille, et je pense que vous aurez fait de même.

Regardant alors autour de moi, je pouvais voir Hizuren de plus en plus blessé et je ne s'avais pas quoi faire pour nous sortir de la. Je me présentais alors à cette femme essayant d'apaiser les tensions qui ne mérite pas d'être alimenté entre nous.

- Sinon, je suis Seki Aosawa, Assassin du pays de la foudre, membre de la confrérie Satsusajhin. Je me permet de rajouter que ma réaction fut certes impulsive, mais vous nous avez agresser sans que l'on puisse dire un mot.

Tout en enlevant ma capuche, montrant alors le bandeau sur mon front. Signe distinctif montrant l'appartenance au pays de la Foudre.

- Je ne peux que m'excuser pour mon comportement. Je ne tiens pas à créer un conflit de plus dans un pays qui n'a déjà trop eu. Dame, écoutez moi. Jiseyama va libérer Kyubi vous comprenez ? Hizuren n'est pas votre ennemi, il est qu'un homme aillant sacrifier sa vie, son éthique, pour le bien de sa famille. Pour qu'ils soient sauf.


Hrp :

Spoiler:

Aucun retour en arrière possible

La situation n'était pas bonne, voir carrément mauvaise mais pas désespéré pour autant. La dame d'or me fixait avec insistance et d'un regard profond et noir. Elle me rétorqua que je ne lui apprenais rien de nouveau sur la situation de son pays.
La femme à l'armure d'or terminant sa prise de parole, dégainait son épée des mains de Hizuren, faisant couler encore plus de sang. Celui ci profita alors de ce moment pour se mettre à genou encore une fois. Suppliant de me laisser la vie, sauve, disant ne pas me connaître.

Il semblait vouloir faire en sorte que je ne me mêle pas entre eux, mais j'avais causé du tord avec ma tentative de dissuader les troupes n'avait pas été concluante. Manquant presque de nous faire tuer. J'étais un peu dépourvu d'idée face à un groupe aussi grand. Seul, et avec un moine ne voulant pas combattre, je donnerais pas cher de ma peau. Au pire j'en tuerais quoi, une dizaines, une vingtaines, avant de tomber. Cela n'apporterait rien de bon que ce soit pour moi, pour le moine, et surtout ça famille.

La première Dame pointant son épée couverte de sang vers moi en me demandant si j'avais un dernier mot à dire. Il fallait bien réfléchir à quoi avec le plus de sens possible pour ne risquer aucunement de réaction négative. J'avais bien compris que monsieur II avait malgré tout participé au actes les plus horribles orchestré dans les coulisses par Jiseyama.

Il semblait aussi vouloir répondre devant la justice des choses contre le pays qu'il avait pu commettre. C'était tout en son honneur de prétendre à une mort digne, en aillant laver ces pêcher. Il fallait trouver quelque chose de puissant à dire ou à proposer à cette femme qui d'après le fait qu'elle ne voulait pas perdre de temps avec nous, était bien décidé à nous tuer ici et maintenant.

- Vous semblez vouloir tuer cet homme, ce qui est légitime. Voila mes dernières paroles. Laissez moi partir avec Hizuren pour sauver sa famille. Une fois cela accompli je m'engage de part mon statut de Shinobi à vous le ramener pour que justice soit rendu.

Disais je tout en m'approchant de la pointe de son épée pour y coller mon front dessus.



Hrp :

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