Une guerre fini, des coeurs soulagés, une personne n'ayant pas payé pour ces crimes, je ne pouvais pas la laisser s'échapper comme ça. Eh Oui, Makka était une femme. Une femme dont le pouvoir était énorme, plutôt dégoûté que sa tête ne soit dans mes mains. Je le regrettais depuis notre sortie dans cet guerre, mes compagnons ne voulaient pas continuer les combats, exténués, je les comprenais. La fatigue commençait à se ressentir dans mes jambes, ces longues marches ou ces courses rapides pour retrouver les membres du Kakumeigun en compagnie de Hisao: Le petit nouveau de la bande. Enfin chez moi, j'allais pouvoir me reposer, être près de quelques beautés de Suna ... Mais non il fallait que je travaille encore une petit journée pour Kaze no Kuni. Près du but, je ne pouvais écarter le fait que j'étais fatigué. En effet, cet mission portait sur un énorme but de mon organisation, rallier le peuple à notre faveur. Nous étions les prophètes de ces terres sablonneuse. D'un pas lent, en compagnie de l'ancien kumojin, il allait accomplir sa première mission en tant que membre du Kakumeigun. Mon cigare au bec, un temps magnifique se dressait devant nos yeux. Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu un soleil si flamboyant trônant dans le ciel. Ce sourire si spécial sur mon visage, j'étais enfin proche de mon but.

Une mission complexe, j'allais devoir montrer à Hisao mon grand talent d'orateur ... Ce n'était vraiment pas une bonne nouvelle. En effet, je n'étais vraiment pas un bon parleur, rien dans la langue que dans les couilles quoi. C'était déjà ça. Cet petit bled à l'Ouest de Kaze no Kuni se révoltait contre leur dirigeants, beaucoup trop royaliste, et bien j'allais devoir changer ça comme toujours. On marchait tranquillement tout les deux, ces soupirs omniprésents, cet présence ennuyeuse, seul son silence me donnait envie qu'il reste. Il me foutait la paix. Ne pas devenir en colère, garder mon self-control jusqu'à que l'on soit arrivé au village. Et bien sur, le gringalet avait sans doute envie de se prendre la pêche de sa vie. Serrant mon poings, d'un regard agressif, mes yeux se tournait vers le petit Hisao. Un avertissement à la façon Kawaguchi.

Les Kawaguchi, le seul homme à avoir les couilles d'entreprendre cet aventure. Une famille royal trônant dans l'un des villages le plus connu, contrôleur du sable, mon grand-père m'avait enseigné tout cet art. Un art doté de qualité et de défaut comme tout art dans ce monde de ninja, j'avais été entraîné à la dur. Mon grand-père n'était le genre à vous laisser tranquille tant que vous n'aviez pas compris les trois principes du Sunaton. On comprend maintenant mon buste cicatrisé. Ces nombreuses blessures dû à un entrainement excessif, je ne pouvais que être content d'avoir appris cet art. Ce buste tracé par mon histoire, je représentais cet grande famille noble par mon aventure.

Le village en vu, j'augmentais le rythme de la marche. Mon cigare au bec, mon regard se posait rapidement sur Hisao.

T'es content ?

Arrivé dans ce petit village, la nuit venait de s'installer dans le désert de Kaze no Kuni. On allait pas pouvoir travailler aujourd'hui. Autant trouver une auberge pour y passer la nuit, pendant que notre Hisao cherchait une auberge. J'analysais le village en haut d'un toit d'une maison. Tranquillement, je pouvais voir l'emplacement de la maison du dirigeant. C'était ici qu'il fallait attaqué, il y avait surement des résistants dans cet ville qui essayait de changer le cours de l'histoire. Il fallait les trouver. Hisao ayant trouver une auberge au centre ville, on allait pouvoir se reposer un peu avant de débuter la mission.

Un bon lit, une bonne sieste m'attendait. Une petite douche avant pour ne plus sentir le chacal, je pouvais maintenant dormir paisiblement. L'autre dormait déjà comme un petit bébé, il n'était pas habitué à cet chaleur. Aucun bruit dans la chambre, je pouvais dès maintenant me poser sur le lit et faire une bonne nuit mais cela n'allait pas se passer comme je le voulais. La fenêtre se brisa, je me réveillais d'un coup sec. Attrapant un kunai, je me mettais en garde. Ma vue commençait à être flou, je ne comprenais pas pourquoi. La fatigue commençait à se diffuser rapidement à travers mon corps. Tombant sur mes genoux, je fermais mes yeux délicatement. J'avais pu apercevoir une ombre devant moi. C'était cet personne que je devais buter. Comment avait pu t-il savoir qu'on était ici ? Comment ? Notre arrivée discrète, il n'avait pas pu savoir qu'on était ici. Il y avait qu'une personne qui aurait pu signaler notre position mais qu'est ce qu'il avait fait ce con. C'à ce moment-là que mes yeux s'ouvrait par magie, ma première impression, on était dans la merde. Une petite cellule lugubre, peu de lumière passait par la petit fenêtre, on était enchaîné au mur avec un énorme boulet au pied et une tenue de prisonnier. Hisao pionçait encore, d'un coup de pied au cul, je l'avais enfin réveillé. Il fallait s'enfuir au plus vite.

Mais qu'est ce que ta foutu pour nous mettre dans cet merde ? Bon maintenant, il faut s'enfuir au plus vite et trouvait le groupe révolutionnaire de ce village mais avant ...

Pensait-il que le chef du Kakumeigun n'allait pas pouvoir détruire ces pauvres chaines ... Ahahahaha il avait tord ces bougres. Diffusant mon chakra à travers mon corps, mon sceau au niveau du torse s'activait, déversant une masse de sable suffisante pour user de mes techniques. J'allais devoir opter pour mon disque de sable mais en petit format. D'un geste des deux mains, deux disque de sable en rotation apparaissaient dans ces deux dernières. Mes deux disques rongeaient le métal des chaines pour ainsi me libérer. Un déclic, les deux chaines tombaient au sol, j'allais pouvoir libérer l'autre zigoto. Rongeant le métal des chaines de Hisao, quelques coup d'oeil vers la porte, aucune personne venait nous faire de visite. C'était parfait. Ces chaines découpées, j'allais pouvoir m'occuper de la porte, il fallait qu'Hisao aille chercher nos équipements de ninjas, on allait pouvoir sortir par la grande porte avec nos parchemins explosif. Frottant mes mains, il avait fait une sacrée erreur d'emprisonner des membres du Kakumeigun. Un sourire se dressa sur mon visage, je retournais mon regard vers Hisao.

Tu sais quoi mon pote ? Je vais te filer tes premières ordres ok ? Tu va me chercher toutes les informations possible sur ce gouverneur pendant que moi je fais ma petite merde dans les couloirs ... Et dernière chose, on se donne rendez-vous à l'auberge ce soir !

D'un coup de pied sur la porte, la récréation commençait pour moi. J'allais enfin m'amuser à ma manière. Roulant mes épaules, un sourire carnassier se dressait sur mon visage. Nos chemin se séparait ici, l'un à gauche et l'autre à droite. Mon cigare au bec, ma tenue de prisonnier, j'allais pas être tranquille dans les couloirs de ce forteresse. Marchant d'un pas léger, voilà mes premiers adversaires, deux gardes vêtue d'une armure prêt à m'attaquer. Craquant mes poings chacun leur tour, je nonchalais vers mes adversaires. La belle vie commençait pour notre chef du Kakumeigun.

Un amusement de gamin, voir des cou brisé de mes propres mains, j'en rigolais encore. Les mains ensanglantées, un garde porté par l'une de ces dernières, je me baladais paisiblement dans les couloirs de cet énorme forteresse. Il avait une garde à la con, c'était comment dire insultant de vouloir m'arrêter avec ma puissance. Ce sourire narcissique présent sur mes lèvres, mes regards furtif, c'était vraiment désert, il avait même pas entendu les cris de ces pauvres froussard. Mon cigare au bec, je m'arrêtais net, une ombre s'avançait devant moi. Il n'avait donc pas peur de moi, avait-il les couilles de pouvoir me battre. L'homme semblait m'adresser un énorme sourire sadique, un regard détracté, je me craquais les cervicales. Lui ça n'allait pas être du gâteau. Je roulais tranquillement mes épaules, relevant mon regard vers lui, il avait disparu. Sur mes gardes, mon énorme bras devant mon visage, il ne fallait pas qu'il me touche. C'est là qu'il apparut à ma gauche, d'un pas rapide, j'envoyais mon poings dans sa pauvre gueule. Pouf ... Un clone, De la vapeur d'eau autour de moi dû à l'explosion de Bunshin, il m'avait eu l'enfoiré. Le combat commençait entre nous. Un contrôleur du Suiton, diffusant mon chakra à travers la vapeur d'eau, je changeais sa combinaison. Une quantité d'eau se réunissait dans le creux de ma main ... Allez viens mon pote, j'ai un cadeau pour toi. Je sentais que quelqu'un me privait de mes jambes, deux mains en terre me tenait les pieds. Et voilà, il m'avait tendu un piège ... L'enfoiré.

Je regardais autour de moi. En une seule fraction de seconde, le poing percuta ma joue. Sentant une peau beaucoup plus dur que la normale, il avait sans doute utilisé le doton. Balançant mon attaque de suiton sur sa gueule, un léger gémissement, il avait encore disparu. Me frottant la joue avec ma main, j'appuyais sur mes jambes pour avoir un bon équilibre pour le corps à corps. Mes yeux s'écarquillaient, je sentais la pointe du kunai planté dans mon buste. Il fallait que je parte, ce mec m'avait tenu un piège. Activant mon sceau sur le torse, d'un mouvement de la main, je formais un énorme nuage de sable pour supprimer la vue de mon adversaire. Il n'allait pas pouvoir me suivre. Je courais dans les couloirs de la forteresse, l'homme me suivait. Je n'avais qu'une seule chose à faire pour m'échapper d'ici. Une chaîne de mudra, le sable revenait à moi. Libérant mon chakra à travers les grains de sable, un serpent de cinq mètre apparaissait à mes côtés. Pointant mon doigt vers le mur le plus proche, mon serpent de sable avait compris. D'un coup de tête, le serpent avait détruit le mur. Une sortie pleine de classe de ma part, je montais sur mon serpent et le grand saut.

Et bien j'ai eu de la chance ...

D'un claquement de doigt, je faisais disparaître le serpent. Courant à travers les rues étroites, les cris des gardes à ma recherche, un sourire se dressait sur mes lèvres. Je sautais de toit en toit, toujours ma main sur ma blessure, je devais rejoindre Hisao à l'auberge. Rentrant rapidement dans l'auberge, je montais directement dans ma chambre. Ouvrant la porte, Kyoko s'y trouvait avec d'autres personnes. C'avec un énorme sourire qu'ils m'accueillaient. Le groupe des révolutionnaires, je les regardais un par un.

On vous attendait Manzo, Chef du Kakumeigun !
Ahahahah on vous cherche depuis le début, y a des putains de traîtres ici vaudraient mieux déguerpir et se cacher !
Pas de problème, Kizushin téléporte nous dans notre cachette ...

Il déposait un parchemin autour de nous. Déposant son sang sur le parchemin, on avait emporté par une substance bizarre. Un nuage autour de nous, bougeant mon main, la vue enfin revenu, leur cachette sombre, quelques bureaux autour de nous, il avait bien choisi leur bercail.

Bon les gas, je suis le chef du Kakumeigun, vous le savez ... Je suis ici pour vous aider pour reprendre le pouvoir. J'aimerais après cet victoire que vous alliez à moi, Le peuple & vous, on va reprendre cet ville ... Ne vous inquiétez pas !
Merci bien Manzo, qu'est ce que vous avez au torse ?
Un gas m'a attaqué dans la forteresse, il était vraiment balèze
Ah ... Le garde du corps du gouverneur, Oda Sho, un déserteur de Ta no Kuni.

Je serrais mon poing. Il fallait faire quelques choses et rapidement. Ce mec allait se faire défoncé par Manzo, L'empereur de Kaze no Kuni.

Une mission plutôt complexe. Il y avait un peu de tout, du combat, de la politique et un froussard. Blessé par l'autre enfoiré, je n'étais pas en état de me battre contre ce mec. Assez balèze, il avait une vitesse surprenante. Hisao allait devoir me soigner avant qu'on puisse faire quelques choses. Il fallait que je fasse tellement de choses, la révolution avait besoin de moi pour qu'il puisse agir tranquillement. Effectivement, le bras-droit du gouverneur était un puissant ninja dont seule moi pouvait l'abattre. Voilà que notre bon vieux larbin s'approchait de moi pour ainsi me soigner avant de pouvoir regarder les plans et autres. Et bien l'enfoiré se payait de ma tête, il avait eu de la chance de ne pas rencontrer ce mec. Essayant de canaliser ma colère, je le laissais parler et s'occuper de ma blessure. Quoi de plus normal, ce mec était fraîchement rentré dans mon organisation, je n'allais pas lui refaire le portrait. Serrant mes poings, je lui adressais un sourire cachant ma certaine colère. Ma blessure refermé grâce à ces talents, je roulais mes épaules. Quelques mouvements, je me sentais déjà mieux. Autant vous dire que j'avais du travail sur la planche.

Plusieurs révolutionnaires faisaient des tours de gardes. Protégeant leur petite cachette, je feuilletais paisiblement les informations qu'il avait récolté sur la forteresse du gouverneur. Pendant ce temps, Hisao se baladait à travers les souterrains du campements des révolutionnaires. Il n'avait que ça à faire. Un verre de saké sur la table, quelques dossiers à lire, un cigare au bec, je visionnais les quelques photos qu'il avait pris lors de leur première attaque. Ces quelques photos plutôt précieuse pour notre prochaine attaque, la forteresse se décomposait en deux lieux importants. La porte principal, concentré de gardes de bas niveau dont leur seule but est de protéger leur gouverneur et la salle principal où réside notre bonne vieille enflure protégé par Oda Sho. Pas besoin de chercher plus loin, j'allais m'occuper personnellement de cet homme. Tapotant sur mon cigare, ce Oda Sho était un ninja de mon niveau contrôlant Le suiton d'une façon plutôt intéressante. Son clone de vapeur d'eau m'avait impressionné, changer la combinaison du liquide en gazeux, c'était plutôt ingénieux de sa part. Axant son combat au corps à corps, j'avais quelques techniques qui pourrait à m'aider à me battre avec mes poings. Finissant mon verre, j'avais fini et j'avais déjà une petite tactique. Le sommeil m'envahissait, fermant mes yeux, ma tête sur le bois froid, la fatigue m'avait emmené dans le monde du rêve.

À l'aube, j'avais regroupé le groupe de révolutionnaire avec un matériel précis. Quelques explosifs dans leur sac, Hisao se trouvait près de moi. L'attaque allait débuter mais avant quelques directives.

L'attaque commencera à la fin de mes directives. Premièrement, notre première cible est d'anéantir le plus de garde possible en éclatant la porte principal de cet forteresse. Une surprise qui devrait réveiller notre Oda Sho et ne vous inquiétez pas pour ça, je vais m'en occuper personnellement. Deuxièmement, Hisao aura donc la mission de trouver des preuves pour l’emprisonnement de cet personne, je sais que ces actes sont calculés et qu'il remporte de l'argent à travers les travail de son peuple. Surtout lors de l'attaque de l'autre bourgade, il y a eu des rumeurs que notre gouverneur avait tout simplement organisé cet guerre pour détruire la paix de notre vaste désert. Et la dernière partie, la vérité confrontait aux peuples. C'est partit.

L'attaque lancée, le groupe avançait furtivement à travers la bourgade. Les personnes s'occupant des explosifs, ils les installaient sur la porte principal. Fini, le bouton enfoncé, une explosion retentit. D'une allure rapide, je traversais l'écran de fumée sans trop de difficulté. Quelques corps de gardes jonchaient sur le sol. Après un moment de course à travers les longs couloirs, je m'arrêta net. Un sourire se dressa sur mon visage, le cigare au bec, je craquais mes cervicales et mes phalanges.

Comme on se retrouve ...

Un plaisir de lui refaire le portait se diffusait dans mon corps. Cela faisait longtemps que j'avais pas frappé de l'enfoiré.

Oda Sho se trouvait devant moi. Un énorme sourire carnassier se dressait sur mon visage. Bougeant frénétiquement mes doigts, le craquement aigu résonnait à travers le couloir. Un moment de silence, un échange de regard, un bon vieux combat pour finir cet mission, ça allait me plaire. Mon cigare entre mes dents, je positionnais mon énorme crochet devant mon buste. Mon chakra s'intensifiait et se dispersait dans tout mon corps. Je sentais ma puissance augmentait lentement, mes réflexes devenaient plus précis. D'un moment à l'autre, l'homme avait disparu, mes pieds s'écartaient peu à peu. Un meilleur équilibre, j'allais pouvoir me défendre plus facilement. Un jet d'eau en ma direction, je frappais le sol avec mon pied, un mur de terre se dressait devant moi pour me protéger de l'attaque de Sho. Le bruit de ces pas, tournant les talons d'une vitesse non-négligeable, mon crochet atterrissait contre un mur. Sa vitesse était surprenante, sentant un petit poing s'enfonçait dans mon buste, je lui crachais aux yeux. Un peu aveuglé, j'en profitais pour lui mettre un bon coup de boule. Un filet de sang perlant sur mon front, je l'avais touché mais il avait déjà disparu. Comment pouvait-il avoir une tel vitesse ? Apposant ma main sur mon torse, une masse sablonneuse se logeait autour de mes pieds. D'un simple signe, le sable commençait à léviter autour de mon bras. Les grains de sables formaient rapidement des balles, lévitant autour de mon bras. L'une d'elles se positionnait devant mon index, le son des pas, je tirais comme un fou dans tout les sens. Quelques taches de sang sur le sol, je l'avais touché. Tirer à l'aveuglette pouvait être une solution.

Alors que j'avais baissé ma garde, je sentais le pied du jeune déserteur frottant ma joue. Me projetant contre le mur, un filet de sang sur le menton, je me relevais rapidement. Une intensité de chakra, mes yeux s'écarquillaient. L'aura bleuté autour de Sho, l'homme n'avait plus la même puissance. J'étais dans la merde. A peine avait-il disparu que son poing s'était logé dans mon torse, encore un sale coup. Je pouvais pas rester dans cet positon, toujours entrain de me toucher cet enfoiré. J'allais changé ça.

Attentif à chaque son, je me retournais rapidement. Joignant mes mains, je réunissais chaque gouttelettes d'eau de la forteresse autour de moi. Le son devenait de plus en plus grand, d'un signe, je faisais sortir des chaines d'eau. Un gémissement, je venais de le ligoter. Je le regardais, je réunissais le sable autour de moi. Levant mon bras vers ce mec, le sable commençait à s'agiter. Un regard sérieux, un serpent commençait à se former au dessous de mon bras. D'un petit " Tchao mon gars ", le serpent percutait le déserteur pour l'encastrer contre un mur. L'homme couché, attrapant un fil de fer et un parchemin, je lui ligotais les mains avec le fil et y posait le parchemin explosif. S'il voudrait s'enfuir, il n'aurait plus de bras et je pense pas qu'il allait le faire.

Reste ici mon petit chien !

Tapotant sa tête, je me dirigeais vers la chambre du gouverneur. Défonçant la porte d'un chassée, l'homme se trouvait derrière son lit avec un kunai à la main. Quel pauvre con ! Comment pouvait-il faire ça devant le chef du Kakumeigun ? Ahahahahah, je m'approchais lentement vers lui. Je lui écrasais la main contre le sol, le désarmant, je le regardais d'un air dégoûté pour ces actes. Je l'attrapais par les cheveux, le traînant dehors, ces gémissements de douleur, ça me faisait rigolé. Il allait souffrir ce mec.

Devant les portes, les révolutionnaires avaient fini le boulot et les civils armé de torche enflammée, de couteau de cuisine et autre. Hisao avait fait son travail. Je m'approchais d'eux, balançant le gouverneur vers le peuple. Je laissais dès maintenant Hisao finir le boulot, j'en avais marre. Un peu trop de fatigue, je me posais sur le côté, fumant paisiblement mon cigare.

***

Le voyage recommençait pour ces deux ninjas. En compagnie d'Hisao, on avait fini la mission sans problème. Le village était désormais sous la protection du Kakumeigun et le gouverneur avait enfermé dans sa propre. Un sort plutôt burlesque pour ce mec, maintenant il n'y avait plus qu'à fonder Suna. On avait déjà des personnes à nos côtés.