Il est ainsi des journées entière ou l'humanité semble se précipiter vers sa fin~

Une catastrophe naturelle c'était tout ce qui filtrait pour les civils et pour les shinobis les équipes étaient déjà entrain d'être formés. Konoha y participerait également, je ne savais rien des intentions de l'Hokage et franchement c'était pas plus mal. Je ne pouvais pas partir pour le pays du bois comme certains le faisaient avec dans l'âme un besoin d'aventure et de reconnaissance. J'avais effectué ce que je jugeais être bon pour ma patrie, j'avais déjà donné du mien et affronté nombre d'adversaires. Il était temps pour moi de m'occuper de ma famille et de ma fille avant de penser aux autres. Ce comportement égoïste je l'assumais pleinement. Il fallait de toute manière des forces au village pour faire face aux éventualités possible. Si un groupe voulait nous attaquer maintenant le moment aurait été propice alors autant qu'une jônin reste au pays de la feuille et forme la jeunesse.

Et alors dans ce paysage ou le brouhaha devient une douce mélodie et ou patrouillant aux portes avec mes fidèles canidés j'observe la foule et le remue ménage j'entend proche de moi le bruit caractéristique d'un cheval. Quelqu'un qui presse le pas, manquant presque d'attenter à sa sécurité pour quitter le village. Et moi même cela m'intrigue à tel point que je me rend suivis par mes deux amies à quatre pattes en direction de la personne.

Une jeune femme, tout fraîchement sortie de l'adolescence qui demande visiblement à ce qu'on lui enlève un sceau. Une dignitaire étrangère aussi jeune? Qu'importe ce n'est pas vraiment le moment de penser à cela. J'interviens parce qu'au vu du visage du pauvre garde hébété il y en aura pour des heures et la demoiselle n'a pas des heures. Elle se dirige vers le pays du bois, la fougue de la jeunesse semblerait-il.

-Dame Samui dois-je donc annoncer à l'Hokage que vous ne pourrez pas être là pour un rendez vous? Comptez vous revenir après ou votre départ est bien définitif.

Je fais en même temps un signe de ma main pour qu'on s'approche et qu'on lui retire son sceau, finalement avoir un semblant d'autorité dans ce grand bordel en préparation n'est pas plus mal. En hochant la tête j'attends sa réponse si elle souhaite me le communiquer, au vu de son tempérament elle risque d'avantage de galoper jusqu'à l'épuisement qu'autre chose mais enfin.

Ce n'est pas mon problème.