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| (#) Sujet: Dans mon miroir ce cache la vérité : Dorian Gray. (Solo) Jeu 14 Mai 2015 - 20:16 | |
| Dans mon miroir se cache la vérité : Dorian Gray. Deux jours depuis ces meurtres, comment pouvait-il être un homme bon, comment pouvait-il être un de ces braves qui perforent mers et montagnes à l'aide d'un coup de sabre. Il se battait contre lui même et pourtant il était à présent comme un naufragé, dans la tumulte de vents et marré. Comment un homme était-il censé choisir entre chaleur et amour et l'obscurité de la froide solitude ? C'est plus que des mots, ce son des larmes et de la pluie qui coule en son esprit. Qui coulent dans ses veines. Les veinards ce qui ne naissent de rien mais qui ont tout ceux qui ne s'impliquent que pour leur intérêt personnels jurent d'un ton solennel à propos de leur sagesse à jeter aux orties. Du fond de sa baraque, la où l'eau coule, la où la réflexion et de mise. Face à ce grand tableau de vers il voyait. Il comprenait son cœur larmoyant de l'autre coté était tout souriant. Il trouvait son réconfort dans la peine. Embrassé par le trouble obscur qu'il venait de commettre. Cet homme comment pouvait-il être là l'esprit tranquille. Tandis que lui était ronger par la culpabilité c'était le pire des châtiment que le ciel pouvait infliger. Changer son esprit, changer sa personnalité tirer un trait surs ses origines et ses actes passé, se débarrasser de tout sentiments nostalgiques... Il avait essayé, on lui avait conseillé. Mais que faire, l'autre en face souriant aux supplices de la mort embrassant langoureusement les bienfaits de la vie. Il avait raison, il ne fallait l'opprimer, il fallait l'accepter. Ce changer sois même avant de changer les autres ?! Au diable les grands discours ! La pluparts ne savent même pas comment sortir du néant ? Car ils n'y sont jamais entré. Le monde est corrompus depuis des lustres et ce n'est pas la lumière que dégage celui qui est disposé au plafond qui va éclairer les questions, pour y apporter une réponse.
Il tenait la lavabo, la sueurs au front, haletant, d'un revers de la main gauche il essuya le dégueulis qui restait aux coins de ses lèvres. Il observait chaque détaille sur son visage, les plus frappant. Il les connaissait par cœur, il les trouverait les yeux fermé. Sa perception était belle, son mentale un peu moins. Aussi fragile que du verre. Aussi frêle qu'un nouveau née. Il devait de ses cendre renaître tel un phénix. Mais il restait à l'état de poussière. Il était , incapable d'agir en conséquence, incapable de faire plaisir aux demandes sentence de la morale. Non il devait rester le même. L'autre le regarde d'un air vicieux, l'autre se sait audacieux, il lui dit de le laisser sortir. Il lui dit d'arrêter les sottises et les utopies. Qu'il n'était pas qualifié. Et que lui il l'était. L'idéal des grands Hommes fait parfois qu'il faille se salir les mains pour que l'objectif espérer soit atteint. L'ombre le suit, son reflet aussi. Il pris un couteau. Le posant sur ses veines... Tout serait finis, il serait délivré et libéré. ET enchaînerait l'autre avec lui dans les profondeurs du Styx, dans les tréfonds de la mort... Fermant les yeux il hésita un moment... Se souvenant de la bonté des moments chaleureux. Ils étaient peux nombreux mais ils en avaient. Toi qui le regarde, qui le juge et qui s'amuse de sa peine aide le ? Après tous ils étaient l'un et l'autre le même. L'un et l'autre brandissait se sabre et découpaient à la moindre occasion. A l'aide du couteau il coupa ses cheveux. Il saisit un kimono qu'il n'avait jamais porter et l'enfila il était de couleur noir, au motif étoilés semblable à des flocons de neige. Il mit un pardessus couleur rouge clair proche du rose. Souriant à la vie qu'il avait choisis souriant à son bushido qu'il pensait avoir trouvé il se regardait une nouvelle fois. Les deux ne faisait plus qu'un. Comme il avait toujours été le cas . Ce n'était pas un nouveau Shinsuke, ce n'était pas l'ancien non plus. C'était bel et bien Shinsuke, le tueur de Yumiya, l'assassin et meurtrier, le penseur républicain. Le samouraï qui tuerait quiconque oserait s'opposer à sa vision. Il était adoubé par le sang, ennoblit dans la tragédie. Et il s’apprêtait aujourd'hui à vivre comme il le devait. |
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