Je suivais Akame comme elle me l'avait demandé, elle voulait juste me montrer à ses parents qui eux aussi m'adorait comme leur fils. Au moment où j' entra dans la maison, tout le monde était là, les parents d'Akame, son frère et son chien. La mère était heureuse le père aussi d'ailleurs, il avait pris un sacré coup de vieux. Quant à moi j'étais aussi très heureux de les revoir, pour moi ils étaient comme une seconde famille. Le chien lui, sauta sur moi et remua sa queue, je l'avais reconnus le petit Raïku, toujours aussi mignon mais cette fois-ci il était imposant avec une grosse carrure. Le chien venait apparemment d'un Inuzuka qui le passa à la famille.

Une fois les retrouvailles faîtes, ils m'invitèrent à m'asseoir afin de manger. Après ça, nous continuâmes à parler, ils m'expliquèrent ce qu'ils leurs arriva durant ses dernières années.
Au moins c'était une bonne chose de faîtes, je suivais toujours Akame, elle avait une mission à achever et elle me demanda mon aide. Il y avait des enfants dans le coin qui appartenait à un clan nocif pour le Pays du Vent, elle devait les tuer un par un afin de faire éteindre leur clan ...

J'étais contre, pour moi tuer des enfants n'était pas possible, ils avaient mon environ mon âge ou ils étaient certainement plus petit la voix le voulait, elle voulait que je le fasse et dans tous les cas pour moi faire éteindre un clan n'était pas dans mes règles. Elle aussi avait l'air hésitante mais pour elle les ordres sont les ordres. Je n'arrivais pas à le croire quelle en n'était capable mais en même temps je la comprenais, j'étais grandement hésitant, mais mon dernier fut :

Ne compte pas sur moi.

Elle fut attristée mais j'en n'étais obligé, je n'en avais pas la force pour le faire, il fallait que je l'aide alors je lui proposa une chose.

Nous allons voir le Kazekage, et tu lui diras que tu n'es pas capable de te charger de cette mission.

Elle était grandement hésitante, elle savait que cela allait la rabaisser et qu'aux yeux des autres sa notoriété allait en prendre un coup, mais elle se décida et accepta ma proposition, nous prirent la direction du palais du Kazekage, et une fois arrivé je l'attendais devant la porte.
Elle en ressorti tout heureuse, Akame m'expliqua que le kazekage l'avait compris et que pour une gamine de douze ans c'était trop. En vérité pour le village je l'aurais fais, mais je ne voulais pas qu'Akame en souffre plus tard, j'ai déjà eu à faire à ce genre de situation et cela m'a marqué, je ne lui en ai jamais parlé et je ne compte pas le faire.

Akame me remercia. Puis toutes les années qui suivaient nous nous voyions toujours. Elle était toujours là pour moi et moi de même, elle grandissait bien tout comme moi, Akame devenait une femme et allait surement bientôt me surpasser et j'en étais heureux, je savais que dès à présent elle serait capable de se défendre tout seul.