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 Le murmure de l'Hivers — Libre

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Cho Asare
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Message(#) Sujet: Le murmure de l'Hivers — Libre Le murmure de l'Hivers — Libre EmptyVen 3 Oct 2014 - 22:58


Février, Kawa no Kuni, ville de l'Ouest, demeure familiale.

Une porte. Voilà ce qu'il y avait face à moi et comme il régnait un ennui chez moi devant l’ouvrage à peine entamé, je me plaisais à ainsi me questionner. Etait-elle synonyme d’entrée ou de sortie cette fichue planche accessoirisée. Un coude sur mon bureau et la paume de ma main sous le menton, la fixant dans une pure perte de temps, je n’attendais que l’inerte créature tourmentant mon âme faute de mieux, me donne une réponse d’elle-même, sans que je n’aille la chercher.

Elle me fit mentir très vite sur sa définition, quand comme l’objet prévu à cet effet qu’elle était, la vile ou plutôt l’outil de barrage se mit à bouger. Une ombre entrait, mais moi dès lors, je rêvais de filer. Donc certes toute cette concentration se révéla inutile face à l’évidence d’une chose que je savais déjà. Etudier longuement était néfaste au final, car à cerveau trop demandé bien plus de failles ne demandant qu’à s’y créer.

« Je suppose que le sujet manque à te passionner. »

Il n’y eut qu’un regard las en guise de réponse, ce qui me semblait en soi bien plus qu’assez. Le précepteur, là depuis l’aube maintenant à cette approche du midi, ne s’en souciait pas plus que cela de toute façon. Tant qu’il était payé que je fasse preuve de retard dans mon avancé ne pouvait que l’arrangeait sur sa future tarification d’honoraire, qu’il salerait bien sûr. Bienvenue dans nos contrés, ça ne choquerait personne et surtout pas moi d’ailleurs. Il fallait se résoudre à finir ses lignes sans aucun attrait, mais de ce dernier point, on comptait bien m’en donner malgré tout.

« Ferme donc ton bouquin et fais preuve de talent. Murmura un homme que je ne connaissais que trop bien. Une pure beauté ! Souffla-t-il à peine plus haut, tant qu’il aurait pu nous faire prendre.
—Qui donc ? Lui répondais-je pour le coup.
—La créature qui s’est perdue dans nos boiseries nord. Son sourire se faisait taquin.
—Une femme ? » Mais il ne répondait pas, du moins, pas avec des mots.

Simplement une mimique alors qu’il n’avait pas bougé de sa place au rebord de la fenêtre et mon frère dans tout son talent que je jalousais tant disparaissait en se laissant simplement tomber. Le détail d’être au second étage quand on se trouvait dans ma salle d’étude ne l’avait jamais découragé. Je soupirais en observant le professeur piquait du nez. Il était difficile de savoir si sa visite avait pour but de me tourmenter ou bien si dans un élan d’altruisme, il était venu me sauver de ma condition assommante qu’il n’avait plus à subir. Ou bien alors, un jeu comme il en avait tant pour me déconcentrer, semant le doute dans mon esprit qui se verrait ainsi tirailler entre le sérieux et la curiosité. Quoi qu’il en soit, si son but avait été d’avoir toute mon attention, c’était réussi.

Il n’empêchait que j’irais voir, sait-on jamais. Juste le temps de patienter que le professeur succombe à sa fainéantise et imitant celui qui devrait être source d’exemple, j’étais au milieu du jardin arrière, lorgnant sur les sous-bois d’en face. L’ajustement de mon col se faisait juste pour la forme, peu d’illusions en arpentant la zone, combien même il avait renoncé aux dames, je doutais qu’il soit néanmoins aussi prévenant avec le cadet qu’il adorait martyriser. Les grandes maisons comme la nôtre manquaient d’occupations capables de pallier aux absences de toujours. Je n’eus pas à chercher longtemps pour entendre les grossiers pas, preuve que l’on ne se cachait pas, de notre intrus. La voix posée, mais néanmoins assez haute pour être porté, j’annonçais ma présence, histoire de ne pas avoir piètre allure en réprimandant celui qui se promenait chez nous sans nous avoir salué. Une erreur probablement. Le domaine était si grand. Accroupi sur la branche de mon arbre attendant le moment propice où la réaction ferait qu’il faudrait aviser, je me tentais à une approche courtoise, il me semblait bien.


« Bien le bonjour. Seulement des feuillages malmenés, je poursuivais. Vous êtes-vous perdu, puis-je vous aider ? »

On pouvait pour ma part parfaitement me distinguait, jusqu’à même les traits de mon fascié, vu que, confort à demeure oblige je n’avais point de manteau, donc point de capuche, mauvaise idée d’ailleurs, à l’ombre, il faisait frais.

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Suzurane Riku
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Message(#) Sujet: Re: Le murmure de l'Hivers — Libre Le murmure de l'Hivers — Libre EmptyLun 13 Oct 2014 - 0:58

Je venais de partir de Kiri pour visité le monde et j'espérai découvrir plein de choses, mais je vais commencer par une ville qu'un voyageur un peu ivre m'avait conseillée et presque ordonnait de visité, une ville ou la chance pouvait vous rendre riche et cette richesse pouvais tout acheter. J'y arriver au bout d'une semaine de trajet presque passant par diverse contré des plus intéressantes avant d'arriver à bon port, mais là j'étais un poil dans la loose, je n'avais plus un rond et pour les casinos il m'en fallait.

Je m'en fiche, un shinobi doit savoir faire les poches en temps de crise et là j'étais en plein ... dans la crise. Je me faufilais alors derrière les gens le bas du visage caché et je raflais leur argent avec aisance avant qu'un imbécile me stoppât et me pris les trois quarts de mon travail avant de presque disparaitre dans la foule. Le salop j'allais pas me faire détrousser ainsi, je le suivais jusquà une grande demeure, il ne vivait pas la on aurait dit il enseignait à un jeune homme quoi ... je m'en fou je veux récupérait mon argent si durement gagné ... oui j'ai passé une heure à faire les poches et c'est dur.

Je me faufilait dans la cour et observait les lieux alors que je pensais me faire un bonus dans cette demeure le type qui prend les cours se retrouve perchais à une branche me montrant qu'il était agile et pas aveugle au passage pas comme l'autre.

« Moi perdu ? Non je viens juste reprendre se que j'ai volé à l'autre à qui tu à parler ... et en passant je pense que je vais prendre ta bourse. » Dis je sur de moi.

Je flapis alors d'un grand coup de pied dans la branche qui te porter assez pour la cassé avec ton poids et lui piquet sa bourse dans un léger rictus allant chercher le fourbe qui m'a détrousser dans la maison de mon ami à terre.
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