Deviens mon arme! feat.Tatsuo

Le Shukai est un lieu plein d’espion. Je me sens entouré, observé, épié. Inutile de dire que je n’ai confiance en personne. Même en Yuki. Je ne peux faire confiance qu’à moi même et encore. Si jamais je suis pris dans une illusion je ne me rends même pas compte de mon impuissance. Non, clairement, il n’y a personne en qui je puisse avoir confiance. Hors on ne fait pas long feu dans ce monde lorsque l’on n’a pas d’allié. Il me faut donc un allié, un acolyte, une personne en qui j’ai suffisamment confiance pour lui confier ma vie et mon héritage. En gros, il me faut quelqu’un d’assez dévoué pour accepter de faire toute sortes de choses illégales. Voilà pourquoi j’ai donné rendez-vous à Tatsuo. Il est sait que je peux lui apporter la puissance. Il sait qu’en voyageant avec moi, il apprendra bien plus qu’en cirant les bottes d’un simple laquet du nouveau capitaine du Joho ou de l’Oda. Je suis aussi presque certain qu’il est pleinement conscient de la part de haine, de noirceur qui compose son sombre cœur. Il m’a l’air d’un garçon torturé. Les garçons torturés font de magnifiques guerriers, j’en suis la preuve vivante.

Oui je lui ai donné rendez-vous. Dans un lieu assez peuplé. Pas très loin du centre ville mais tout de même pas dans le centre. Il fallait que je lui parle. Nous n’avions pas le temps pour nous battre. J’aurais cependant bien aimé lui infliger encore une raclée. Mais si je veux gagner la confiance de ce gosse il faut bien que je partage avec lui une certaine partie de ma vie. Il faut qu’il comprenne qui je suis, pourquoi je me bats et pourquoi je m’intéresse à lui. Je ne prends pas n’importe quel gosse dans une auberge et lui demande de me suivre. Ce n’est pas aussi simple. Certes mon histoire ne vaut pas celles des Kages morts aux combats mais je mérite tout de même un bon bouquin rien qu’à moi. D’une certaine manière, ma vie vaut le coup d’être vécu et d’être racontée. Il faut juste avoir le cœur suffisamment accroché pour survivre à chacune des étapes.

Je suis un peu en avance mais Tatsuo ne se fait pas attendre. Il arrive à l’heure. J’apprécie cette qualité. Il me salue et je lui renvoi la politesse. Je lui fais ensuite signe de me suivre. Tandis que nous marchons tous les deux, je sens qu’il s’attend à ce que j’attends de lui. Je ne sais pas trop par où commencer mais je crois que faire simple est la meilleure chose à faire. Je me racle donc la gorge et me lance dans un monologue explicatif :

-Tatsuo, nous ne nous connaissons pas beaucoup tous les deux. Pourtant tu es venu me rejoindre en ce lieu. Je peux comprendre ce qui t’anime et je sais surement de quoi il s’agit. Mais aujourd’hui est le jour où je commence à te dire la vérité. Je n’en attends pas moins de toi, sache le. Je souhaite que tu me dises tout ce que tu penses. Si un jour tu n’es pas d’accord avec ce que je fais, je tiens à ce que tu m’en fasses part. Bien sûr si tu fais quelque chose qui s’avère être contre mon intérêt, il n’est pas exclu que ta tête se décolle de ton corps. Je pense que tu me suis…

Je souris un peu. Il doit comprendre que je ne suis pas un bisounours. Je ne suis pas le genre de mec que l’on peut duper deux fois. Il m’est arrivé de pardonner mais jamais plus d’une fois. Maintenant je ne pardonne plus, cela me sauvegarde de davantage de désagrément. Je n’ai pas à rattraper les erreurs des incompétents qui m’entourent. Mais je sens la force en ce garçon et je ne pense pas qu’il me décevra. Nous arrivons donc devant les portes de la prison du Shukai. Je fais un signe au garde de l’entrée, je lui en avais parlé plus tôt dans la journée, il me laisse me promener tranquillement, il n’y a que des prisonniers mineurs. Nous entrons donc dans la prison. Nous traversons des couloirs dans le silence le plus total et nous arrivons enfin devant une cellule.

C’est une cellule classique. Elle n’a vraiment rien de spéciale. En fait elle est carrément normale. Il y a du foin dans un coin, un trou pour faire ses besoins. Un lit dans le coin le plus éloigné du trou et tout est en pierre. Quelques barreaux laissent les rayons du soleil passer dans la geôle. Voir ce genre de cellule me perturbe encore mais je n’en laisse rien paraître. Il faut que je paresse fort et imperturbable. C’est pourquoi lorsque nous sommes arrêté devant cette cellule je me tourne vers Tatsuo et plonge mon regard dans le siens en alternance avec les coups d’œils jetés vers l’intérieur de la pièce.

-Je ne sais pas si tu le sais, mais j’ai déjà passé pas mal de temps dans une prison comme celle-ci. Sauf que les murs étaient parcourus de lave, qu’il n’y avait pas de soleil et qu’on avait tellement chaud qu’on ne pouvait respirer que part brèves inspirations sans se bruler les poumons. Peut-tu t’imaginer l’enfer que cela représentait. C’est cruel ce que l’on peut infliger à un homme. Flanquer des criminels en prison ne fait qu’attiser leur haine. Je suis empli de haine, je l’ai toujours été. En me jetant en prison, ils m’ont rendu plus fort. Ils ont fait de moi un meilleur guerrier. Je suis maintenant près à tout pour me venger. Un jour où l’autre ça arrivera mais mon but réel est bien plus louable. Maintenant il y a une question que j’aimerais te poser. Quel but, quel rêve poursuis-tu dans la vie ? Ah moins que tu ne sois une de ces âmes errantes sans réel objectif. Attention, je veux de l’honnêteté. Alors ?

Mon regard est oppressant, je sens qu’il a envie de s’y soustraire…

Quel est le pire ? De nouvelles blessures, abominablement douloureuses ? Ou des blessures passées, qui auraient dû se refermer il y a des années, mais qui sont restées ouvertes ? Nos blessures passées nous apprennent peut-être quelque chose. Elles nous rappellent ce par quoi nous sommes passés, et ce que nous avons surmonté. Elles nous apprennent ce que nous devons éviter à l’avenir. C’est ce que nous aimons penser. Mais les choses ne se passent pas de cette façon, pas vrai ? Il y a des choses que nous devons apprendre encore, et encore, et encore c’est qu’un jour on aura assez de chance pour oublier. Le jour, la nuit, les minutes comme les heures, tout est question de temps et de relativité.

Au final tout revenait à cette étrange chose qu'était le temps. Le temps était en fait notre réel maître. Celui qui nous dit quand nous allons naître, vivre et mourir. Il décide des événements, des rebondissements. C'est lui aussi qui nous fait grandir, apprendre. Il nous fait évolué dans u monde qui change lui aussi constamment et pourtant, nous ne maîtrisons rien de tout cela. Peut-être il y a des Jisetsu's qui ont poussé au paroxysme la maîtrise de celui-ci mais, cela m'étonnerait énormément qu'une personne, humaine soit-elle, puisse voyager entre les époques. Cela serait insensé et bien sûr, tout deviendrait le chaos.

Si la maîtrise du temps pouvait atteindre cette sorte d'idéale, changer le passé, modifier le flux temporel, tout cela serait si simple. Détruire Makka avant qu'elle ne devienne immortelle, empêcher l'incendie de Suna, les nombreux morts, les Bijuus. Oui, cette vision du monde serait bien trop une sorte d'utopie Mais comme dans toute chose, les utopies ont des défauts. Quand on y pense, les choses sont si futiles. Les humains se battent et se révoltent pour sortir de leurs conditions les plus misérables pour devenir quelqu'un. À quoi cela peut-il bien servir de devenir quelqu'un quand nous ne nous sommes pas les maîtres de ce qu'on appelle notre futur ?

J'avais une réponse à cela. Il suffisait simplement de devenir quelqu'un d'incroyable, de remarquable. Qu'il soit bon ou mauvais il fallait être quelqu'un, pour que les gens se souviennent de ce que vous avez fait. Pour éviter que, tous les combats que vous avez endurer tout au long de votre vie, ne furent pas voués à une cause qui disparaîtra un jour. Je n'ai pas réellement choisis ce que je voulais être, ce que je peux être. Je suis juste un égaré qui cherche à comprendre ce que je peux bien faire ici. Après tout, chacun d'entre nous est né sur cette planète pour une raison, il suffit juste de la trouver, cette raison.

Et peut-être même que je l'avais trouvé cette bonne raison. Se battre pour moi n'était pas assez ? Bien sûr que si ! Cela me suffisait de me dire que j'étais le seul en qui je pouvais compter. Mais si aujourd'hui j'étais au Shukaï, se n'était pas pour cela, j'étais là pour accompagner Yusuke. Il m'avait d'ailleurs donné rendez-vous à côté du centre ville ce jour-même. Allions-nous commencer les entraînements, les discussions ? Il était mon seul allié dans cette bataille qui pouvait m'opposer au monde entier. Ainsi je me dirigeais là où il me l'avait demandé avec une ponctualité exemplaire. Après tout si on voulait être pris au sérieux, arriver à l'heure était la première des choses à faire.

Immédiatement arrivé et quelques salutations faites, il me donne la marche à suivre. Nous partons ensuite en direction de la prison. Je me demandais alors bien qu'est-ce que nous allions faire là-bas. Combattre des prisonniers, se rapprocher de certains espions ? Cela m'intriguait énormément mais bon il ne fallait alors que très peu de temps pour arriver dans les geôles. Les gardes semblaient bien au courant de notre venu et pour preuve, ils nous laissaient passer sans problèmes sans qu'aucun ne bronche.

On se retrouva alors dans une pièce, dans une prison vide avec tous les petits bonus qu'elle comportait, les chiottes, le lit pourrit et j'en passe et des meilleures.. Yusuke se retournait vers voir, se rapport de proximité me rendant toujours aussi gêné. J'avais l'impression que soit il allait me tuer, soit il allait me prendre dans ses bras. Dans les deux cas la situation était horrible. Nous ne sommes pas des bisournours non-plus. Mais heureusement s'est avec son sérieux exemplaire qu'il commençait la conversation. Il avait apparemment déjà été prisonnier dernièrement. Avait-il était torturer ? Apparemment il avait souffert, cela se sentait tant dans sa voix. Capturer par qui, par quoi et comment ? Quelles furent les circonstances de son arrestation ?

Il m'avait alors à la fois menacer tout en m'accordant sa confiance. Il me donnait les clés de sa puissance mais à la fois l'épée qui était sous mon cou. Je n'avais qu'à faire attention après tout. Mon attention n'était pas de le manipuler mais de rester avec lui... Il était la seule chose qui me rattachait à la raison pour que je n'entre pas dans la démence. Il n'était pas réellement mon maître, il était plutôt proche d'un frère d'arme et d'un partenaire envers qui je pourrais tourner mon épée.

« Qu'est-ce que je veux... ? Mon but dans la vie.... ? »

Je me tournais vers les seuls rayons de soleil qui parcouraient la pièce. Je tendais alors main vers eux, comme si je pouvais les attraper. Puis je la fermais fermement, avec violence. Cela donnait alors l'impression de prendre la vie à quelqu'un avec une violence hors-norme.

« Dominer. Être connu de tous. Que mon nom inspire le respect, la gloire et la force des choses. Un seigneur de guerre peut-être, oui. Mon but ? Je n'en sais rien. Pour l'instant et peut-être pour très longtemps ça sera de rester à tes côtés pour progresser et devenir un coéquipier de valeur. Mais un coéquipier ne sait fait connaître qu'en étant un coéquipier, non pas en étant un chef... »

Je me retournais vers lui.

« N'est-ce pas ? »

Cela voulait tout et rien dire. Non pas que j'allais le trahir, bien lui delà. Juste que si je devais me faire connaître, ça serait sous le nom de Tatsuô, et non-pas sous « le partenaire de Yusuke ». Il n'y avait rien de glorieux à être vu comme quelqu'un de la sorte. Non je voulais être ce guerrier si incroyable et formidable que chacun connaissaient sur cette terre. Finalement je me rapprochais de lui.

« Et toi, que désires-tu ? »

Inscrire son nom dans la légende. Qu’importe si vous êtes bon ou mauvais. Au final, le monde s’en fiche un peu. Il ne retient qu’une seule chose : vous avez accompli de grandes choses. De plus, au final, le bien et le mal ne sont que de vagues concepts. Pour ceux qui prient le diable, le mal est le bien et vice versa pour ceux qui prient le sauveur. Au final la loi, la règle propre à tous est la suivante : tout le monde est animé par ses propres convictions. Il n’y a que la force des convictions qui fait que l’on peut déplacer des montagnes et tuer des géants. Un homme sans convictions, sans principes, sans quelque chose à croire n’est rien de plus qu’une âme errante sur la terre sans but précis et au final, on ne le remarque même pas. Il n’y a aucun plaisir, aucune sorte d’intérêt à retirer de ce genre d’existence car c’est celui qui se rapproche le plus du néant et du vide. Au fond, vous êtes mort avant votre décès et la flamme de la vie qui brûlait jadis dans votre cœur n’est désormais plus. Il ne reste que la bougie, la cire coulant sur son flanc. Elle est d’une couleur pâle et morne. La couleur de l’ennuie, la couleur de la mort.

Ainsi mon élève ambitionne de laisser une trace de son passage sur cette terre. Il espère montrer qu’il a compté pendant son époque. Je peux comprendre cet objectif. En fait je ne le comprends que trop bien. J’irai même à dire que son visage, son regard et la détermination que je peux voir à l’intérieur me donne un peu envie de croire en lui. Mais le jeune Tatsuo a choisit de faire sa route à mes côtés. Je doute alors qu’il se démarquera par ses bonnes actions. Mais ce n’est pas vraiment ce qui semble le déranger. Peut-être deviendra-t-il l’Achille que je vois en lui. Tout cela dépendra d’a quel point il le désire et jusqu’où il est prêt à aller. Au fond… tout dépend de ça.

Une remarque de mon compagnon me fait tiquer cependant. Il précise bien qu’il ne cherche rien à obtenir comme titre tant que j’en ferais partie. Il ne désire pas être connu comme le bras droit du tranchoir fantôme de Kiri. Je le comprends, personne n’a envie d’être numéro deux lorsque l’on a la force nécessaire pour accéder au haut du podium. Sur ce point donc je ne peux que le rejoindre et l’encourager. Alors qu’il parle mes yeux se font plus accueillant, plus compréhensifs. Je sais qu’il parle avec sagesse même si ses mots paraissent être ceux d’un enfant gâté. Au fond ce garçon me ressemble plus que je ne voudrais le croire et c’est bien cela qui me fait peur. Il finira par causer sa propre perte comme je m’apprête peut-être à causer la mienne.

En le regardant finir sa phrase, une pensée insolite me vient. Je ne sais pas pour quelle raison j’ai ce genre de réflexion mais je me met à penser au meurtre de mon élève. Vous ne me suivez pas ? En fait je pense à ce qui arriverait si jamais mon jeune Tatsuo se montrait un peu trop zélé à contester mon autorité. Si un jour il venait à se mettre en travers de ma route alors je n’aurais d’autre choix que de le supprimer. Mais s’il est devenu trop fort dès lors, s’il m’avait dépassé ? Je prends trop de risque en prenant ce gosse sous mon aile mais il faut dire que le jeu en vaut la chandelle. Mon défunt maitre est mort en héro, même aujourd’hui je porte la flamme de sa vie. Mais mourrais-je comme lui, laissant un héritage à quelqu’un ? Ces pensées sont bien tristes mais elles sont aussi bien réelles. Ce sont des problèmes que je suis censé me poser en permanence et pourtant je me faufile, je m’abaisse, je me cache dans l’ombre afin de les éviter. Ils sont comme des prédateurs dangereux en jungle hostile, toujours à me traquer, ne laissant jamais mon humble esprit profiter de la sérénité d’un bon silence de printemps ou d’hiver. Et les feuilles tombent et je ne trouve toujours pas une once de solution. Peut-être le Tatsuo en trouvera-t-il pour moi…

« Mes désirs sont flous… pour le moment je suis la vie là où elle me mène. Avant cela, j’avais un mentor… Il est mort. Tué pendant la guerre. Depuis je tente comme je peux de respecter ses dernières volontés. Je ne te les divulguerais pas mais je peux te dire que parallèlement, je tente de comprendre l’autre côté de la barrière. Le côté démon de l’être humain. J’ai rencontré des anges et des démons et je peux te dire qu’ils ne sont pas si différents que ça. Au final, je trouve les êtres damnés plus honnêtes, plus vrais que les anges qui vivent au paradis. Voilà pourquoi je tente d’apprivoiser ma haine. J’ai remarqué que ce sentiment est tout particulièrement utile en combat. Il procure une force inouïe. Mais on ne parvient pas à la maitriser aussi facilement. On perd bien souvent le contrôle en essayant. Je ne sais pas si j’y arriverais. »

Tout en parlant, je lève mon poing au niveau de sous mon visage et le ferme en le regardant. Un geste anodin mais qui montre bien que je ne suis pas du genre à me laisser avoir par les défaitistes. Je lève ensuite à nouveau mon regard vers Tatsuo et le questionne de mes pupilles. Il semble me comprendre mais peut-être est-il autant dans le noir que moi. Je ne sais que penser. Seulement je sais qu’il est prêt à se déchirer pour son objectif et c’est bien pour ça que j’ai décidé de le prendre sous mon aile.

Je lui fais un petit signe de tête pour lui montrer qu’il ferait mieux de me suivre. Nous sortons de la cellule et nous rendons dans un autre secteur de la prison. Il me faut encore passer un contrôle mais en donnant mon nom, on me laisse passer. Nous pénétrons alors dans un long couloir humide totalement vide. Cela me laisse le temps de converser avec mon élève.

« A la fin de ce couloir se trouve une porte. C’est très simple, tu laisses tout ton arsenal devant la porte, sur le sol, j’en prendrais soin. Ensuite tu pousses la porte. Il y a derrière ce qu’on appelle l’arène des gladiateurs. Tu affronteras un prisonnier, puis un autre puis un autre. Si tu tiens cinq victoires, tu auras droit à mes félicitations. Attention, nombre d’entre eux sont des shinobis et tu n’as pas le droit d’utiliser de techniques ni d’armes. Uniquement le taijutsu. Je serais dans les gradins pour t’observer te battre. Si tu parviens au cinq victoire, je te montrerais à mon tour ce que je vaux dans une arène. Maintenant vas-y, c’est la première étape de ton entrainement ! »

Je montre le bout du couloir de la main. Il va s’y avancer et se défaire de son arsenal. Je m’en saisirai ensuite et le poserais dans un lieu sûr où personne ne pensera à le voler. Je me mettrais ensuite à l’aise dans les tribunes et j’observerais le combat… Je me demande comment il va s’en sortir, les prisonniers qu’il aura comme adversaire ne sont pas des enfants de cœur et ne lui feront surement pas de cadeau. Pour chaque victoire, le prisonnier perd un an d’enfermement. Mais ça Tatsuo ne le sait pas…

**Contenu sponsorisé** Informations

» Ton arme en cas d'infection
» Une arme, deux
» Fais de ton corps une arme [PS2]
» Sors ton arme mon ami. [Eiko]
» L'arme est la canne à pêche, la patience est la technique

Deviens mon arme! feat.Tatsuo

Deviens mon arme! feat.Tatsuo

Sujets similaires

Sujets similaires