Cinq heures trente pétante. Voilà l'heure ou une équipe de travailleurs matinaux, six jours sur sept viennent travailler. Des bosseurs qui eux aussi œuvre dans l'ombre, font de cette civilisation ce qu'elle est, protégeant les habitants de n'importe quelle type, quel qu'ils soit. Il protèges, combattants, nones ou même les enfants. Chacun d'entre eux est protéger par ses hommes. Ses hommes éliminant tous les jours les déchets de l'humanité par centaine chaque jours, et centaine est un bas mot, car nous nous approcherions bien des milliers en se qui les concernes. Moi Seya Saibogu, je me suis fait un point d'honneur à rendre ses hommes encore plus compétents qu'ils ne le sont déjà dans leur travail. Cependant comme tout travail, nous manquons d'effectif. C'est donc une demande expresse de mission pour un ninja débutant que j'ai demandé pour agrandir les rangs. Le seul problème, c'est le temps de formation. Enfin, prendre un balai et une pelle ne doit pas être compliqué quand même. Enfin, oui je vais vous dire le métier de ses gens. Ils sont tousses balayeurs de rue. Faisant de cette magnifique ville un lieu ou la lèpre ne montre pas le bout de son nez ou gardant une eau si rare dans ses lieux toujours potable. Oui c'est ses hommes éliminant de la rue les déchets qui encombrent votre vie habituelle. Munie d'habits fluorescents, de chaussure et de gant de sécurité. Ses hommes bravent le temps. Le froid du matin et la chaleur de la journée. Esquivant ballon mal lancé et renseignant grand mère mal luné. Tout cela sans rouspéter contre les passants aveugles attendants devant nous avec un papier bloquer sous son pied.

Oui, la vie de certain n'est pas vraiment facile. Pourtant l'ombre de leur travail existe. Travaillant devant tout le monde, pourtant leur travaille ne se vois pas. Non, vue que de toute évidence ils sont là pour enlever les déchets et ne pas les mettre, ce qui rend leur travaille pas vraiment possible à contempler. Cependant la menace rode toujours, si le malheur subvient à ce pauvre malheureux de balayeur d'oublier ne serait-ce une rue, la panique du clan "des mamies, je ne sais pas comment m'occuper autrement" passe à l'action. Faisant demande sur demande de passage d'un homme en jaune.

J'attends donc la nouvelle recrue à cinq heures trente pétante. L'heure n'est pas à la rigolade, nous travailleur du matin avont des règles précisent et gare à ceux ne voulant pas les respecter. Au pied de guerre toute mon unité mise à la charge. Celle si prête à se lancer. l'heure tourne, cinq heures vingt. Tout le monde est déjà là sauf notre cher petit nouveau. D'un ton sec et fort, je me mets à dire devant mon unité en ligne droite:

Unité à mon signal.... Changez-vous maintenant.

Pantalon, chaussette, chaussure, volèrent de part et autre. La vitesse est de rigueur, car sachez le dans notre unité c'est la loi du plus fort. Premier habillé, premier servie. Si vous être le premier, vous avez la chance de choisir votre balai. Après les derniers reçoivent ce qui reste et sachez que notre travail est plutôt souvent restreint niveau budget. Hé oui, c'est ça les aléas du métier.

Le temps passe indélébilement sans ne rien pouvoir y faire. Sa roue tourne nous emportant malgré nous jusqu'à notre destination finale. Hiryuu songea à ce flot ininterrompu en se disant qu’il ne devait pas submerger ses objectifs. Ainsi il devait impérativement gagner en notoriété peut importe la manière. Ainsi il prit le temps de chercher une mission capable de le mettre en valeur. Il était prêt à braver les éléments, surmonter des difficultés indomptable, se battre contre des ninjas imbattable au prix de sa vie et de son honneur de ninja. Après une longue attente, une réponse positive lui parvint. Tout fière et heureux, il alla accuser réception de celle-ci, lisant le rapport que l’on lui avait fait parvenir :

-Les rues de Suna sont vraiment dans un état déplorable malgré l’engagement sans faille d’hommes travaillant chaque jour d’arrache pied dans l’ombre. Votre mission est de les aidés à nettoyer les rues. Vous avez rendez vous à 5h30 précise sous la tutelle de Saibogu Seya, Junin de Suna.

Hiryuu resta bouche bée devant la lettre, la relisant plusieurs fois dans tout les sens, avant de déclarer surprit :

-Je … je dois nettoyer les rues ?!

Il soupira résigné. Il était loin de s’imaginer une telle mission, mais après tout, les plus grands doivent bien débuter un jour du bas pour atteindre le sommet. Il plia la lettre allant prévenir ses parents de la nouvelle. Il l’annonça d’un ton suffisant, déclarant qu’il espérait mieux que cela. Son père le regarda en riant avant de lui répondre que dans la société, chaque taches, chaque hommes, chaque ninja étaient un maillon essentiel de la chaîne et que chacun doit remplir son devoirs aussi trivial peut il semblé. Ainsi, cette tache qu’Hiryuu avait eu à faire était aussi importante que la traque d’un criminel. Hiryuu le regarda perplexe avant de partir résigné à accomplir sa mission. Ainsi, il devrait se rendre au lieu de rendez vous à 5h30 tapante. Pas une mince à faire Hiryuu n’étant pas très matinal. Il alla donc se coucher penser à la mission qu’il devrait effectuer le lendemain, et pensant à ce Saibogu Seya. La lettre disait qu’il était un Junin, surement un ninja vigoureux qui maitrise une multitude de techniques très puissantes. Un fait non négligeable, peut être pourrait il le rendre plus fort ? C’est avec cette pensé positif qu’Hiryuu s’endormi.

A son réveil, Hiryuu vit avec effroi qu’il était 5h20, soit 10 minutes avant le rendez-vous. Mince ! s’écria Hiryuu, qui prit ses affaires et partit comme une flèche aussi vite qu’il put. Quelle galère pensa t’il, espérant ne pas arriver en retard. Il cavala, enjambant aussi hâtivement qu’il put les rues de Suna. Finalement il arriva au lieu de rendez vous, visiblement en retard. Il s’excusa du mieux qu’il put devant un responsable, avant de chercher une tenu de travail. C’est alors qu’il vit qu’il n’en restait aucune.

-Et mince… Quelle galère.

Finalement, il décida de travaillé avec ses habits normaux. Cela serait sa punition pour être arrivé en retard. L’escouade de nettoyeur était donc au complet et prêt à partir au travail. Hiryuu pensa qu’il fallait qu’il parle a ce Junin aujourd’hui, pour ne pas repartir bredouille.

HHaa l'air frais du matin, ses hommes pleins de vigueur. Ne dit-on pas que le monde appartient aux hommes qui se lèvent tôt? Je pense que l'homme ayant dis cette phrase à tout compris à ce monde. Qui ne peut se lever à heure précise ne peut être digne d'une quelconque tache. Le temps passe et les 5h29 et 32 secondes firent le moment ou notre homme se met à arriver. Pile à l'heure, mais cela ne suffisait pas. Ce que je vois c'est que notre homme n'est toujours pas en tenue. Venant voir le responsable. Il s'excuse devant cet homme. Un dénommé Konjo. Un gentil homme, simple et n'embêtant pas vraiment les travailleurs. Celui si hésitant lui dit gentiment que c'est bon lui montrant le dépôt de vêtement. Un regard scrutant la porte, je le voir ressortir t'elle qu'il est rentré. Les yeux ronds, je n'y crois pas mes yeux. Il pense garder ses vêtements pour travailler? Qu'elle idée saugrenus. La colère me monte au nez. Je vois rouge et une aura commence à immerger de moi.



Ca va être ça fête je te le jure et encore qu'il soit content, car il est arrivé pile à l'heure, sinon il aurait pue faire ses bagages et rentrées chers lui sans même commencer le boulot. Enfin, venant ver, lui je le regarde puis dis:

Hé minute là. Tu comptes faire quoi dans cette tenue? Tu comptes rentrez chez toi? Car si ce n'est pas le cas il est hors de question que tu pars travailler sans la tenue réglementaire et sache que les règles ici sont strictes, les trois derniers ont une tenus très spécial. Le travail de balayeur est loin d'être le métier que l'on croit, sache le. Enfin, les derniers ont une tenus faite spécialement pour améliorer leur endurance, permettant ainsi d'améliorer les capacités des personnes les plus médiocres.

Une règle que j'ai imposée à mon arrivé. Hé, hé. Les trois tenus qui restent au dernier sont simplement la même tenue, mais avec cinq kilos posés sur chacun des sceaux que j'ai apposé dans les partis intérieurs des vêtements. Soit l'équivalent de cinq kilos par chaussures de sécurité. Cinq kilos par gants. Trente kilos sur le pantalon et cinquante sur la chemise. D'un sourire sadique, je me mets à penser que ma folie à du bon des fois. Enfin après, c'est aussi l'entrainement que je me réserve affin de pouvoir supporter le poids de mes futures artilleries. Enfin une chose que j'ai triplée pour moi. C'est donc une tenus jaune fluo que nos deux personnages sont posés. La mienne flambant neuf. Cependant pour Hiryuu se n'est pas vraiment une tenus neuves. On peut même dire que cette tenue est l'unes des plus abimés de notre local. Enfin comme il est le dernier, c'est son problème:

Cette tenue c'est ta survie. Sache que dans la nuit beaucoup de choses se passe et sans cette tenue pour signaler ta présence, tu pourrais avoir beaucoup d'accident exemples les calèches roulant à une allure qui n'est pas des moindre. Bon, tu resteras avec moi. Journée formation. Je suis Seya et je te préviens déjà en avance cette mission risque de devenir rapidement un enfer pour toi.

Quelques minutes après être sorti du local avec ses vêtements habituel, Hiryuu senti une aura puissante à proximité. Cette aura le saisit brusquement ; c’était un chakra doux mais stricte attestant d’une personne qui sais se faire entendre par les autres. Il venait sans doute d’un ninja avec une forte prestance, et un niveau de combat impressionnant. Hiryuu en trembla d’excitation avant de conclure que c’était surement le chakra de ce fameux Seya. Il fallait désormais trouver la source de cette puissance. Hiryuu scruta autour de lui avant de voir un ninja s’approché et lui déclarer :

Hé minute là. Tu comptes faire quoi dans cette tenue? Tu comptes rentrez chez toi? Car si ce n'est pas le cas il est hors de question que tu pars travailler sans la tenue réglementaire et sache que les règles ici sont strictes, les trois derniers ont une tenus très spécial. Le travail de balayeur est loin d'être le métier que l'on croit, sache-le. Enfin, les derniers ont une tenue fait spécialement pour améliorer leur endurance, permettant ainsi d'améliorer les capacités des personnes les plus médiocres.

Hiryuu ne bougea pas examinant minutieusement la personne qui lui fessait face. C’était un homme d’une vingtaine d’année assez charismatique avec des cheveux dorée très frappant. Qui pouvait-il être? Surement un responsable… assez remonté. Mais surement il pourrait me mener à Seya pensa Hiryuu qui, avant de pouvoir protesté, se vit emmené par le mystérieux personnage prendre une nouvelle tenu. Cette tenu qui en l’occurrence était dans un état très critique et médiocre, fit pâlir Hiryuu à sa vue. Il n’était pas habituer à se vêtir de tel accoutrement. Elle était d’une jaune flashit repérable de loin, tout en étant boueux et déchiré a de nombreux endroits. Le pire fut lorsqu’il mit la tenue, il sentit en lui un poids énorme. Qu’étais ce donc ? Des…sceaux ? Il repensa aux paroles de l’homme « Enfin, les derniers ont une tenue fait spécialement pour améliorer leur endurance, permettant ainsi d'améliorer les capacités des personnes les plus médiocres. » Hiryuu n’en revenait pas, il y avait vraiment des sceaux… et d’une centaine de kilos ! Puis l’homme enchaina avec :

Cette tenue c'est ta survie. Sache que dans la nuit beaucoup de choses se passe et sans cette tenue pour signaler ta présence, tu pourrais avoir beaucoup d'accident exemples les calèches roulant à une allure qui n'est pas des moindre. Bon, tu resteras avec moi. Journée formation. Je suis Seya et je te préviens déjà en avance cette mission risque de devenir rapidement un enfer pour toi.

Hiryuu fut très étonné par la déclaration du ninja, il était donc ce fameux Seya. Il observa de nouveau et vit en effet qu’il avait l’air d’un ninja très fort ayant accomplit certaines choses dans le passé et maitrisant de nombreuses technique. Mais était-il vraiment digne d’une telle description ? Hiryuu devait en avoir le cœur net. Il répliqua :

- Humpf, cette tenue ne me pose aucun problème. Je m’appelle Hiryuu, et le travail ne me fait pas peur. En réalité, ces sceaux rendait dure chaque mouvement qu’Hiryuu entreprenait, mais sa fierté l’interdisait de prétendre l’inverse. Il enchaina par ; J’espère apprendre beaucoup avec toi, Seya-sensei.

Après ces paroles, Hiryuu partit prendre ses outils. Il était prêt et déterminé à entamé cette journée qui s’annoncé longue et pénible… Pour lui cette journée de travail s’apparentait plus à une journée d’entrainement intensif. A lui de relevé le défi et de carburer.

Le travail, c'est la santé. Ne rien faire, c'est la préserver. Haa non, il ne faut pas que je commence à reprendre la maladie du fonctionnaire. Si je me mets à me mettre à avoir cette idée en tête, je suis sur que je vais de nouveau flâner sur un réservoir d'eau jusqu'à mourir de faim. L'un des seuls endroits ou le métal composant la structure est fraiche. S'excusant, le Ninja mis sous ma tutelle semble prendre au sérieux ça tache. Je le pardonne? Je ne le pardonne pas? Pff comme si j'étais indulgent. Je le regarde et lui montre la direction du matériel. Il a de la chance notre nouveau stock de balais et de pince vient d'être fait. Du matériel tout neuf. C'est donc muni d'un balai, d'une pelle, d'une pince d'un rouleau de sac et d'un chariot. Que notre cher retardataire attend donc le moment tant attendu du travail. Faisant signe aux autres d'y aller les autres, font un grand, "hhoo ppffff". Ben oui l'espèce qu'est le fonctionnaire n'est pas vraiment du genre travailleur. Enfin, disons qu'il n'apprécie pas vraiment de devoir bosser. Enfin, c'est donc en prenant un peu de retard que je me mets à chercher le plant ou nous devons travailler. Prenant la feuille de notre secteur, je me mets à faire les yeux ronds. Un regard palot puis d'un coup je tombe à genoux:

Non, pas celui-là. Pitié pas celui-là.

Regardant une seconde fois. Hééééé si c'est celui-là. Le secteur surnommé le champ de mines. Un lieu ou tous les risques sont possibles. Prenant une grande respiration, je me relève d'un coup, puis je me retourne face à notre rouquin. Bordel je n'ai pas vu cet attribut. Hé ben, encore une pénalité pour lui. Je n'aime pas les rouquins. Les rouquins c'est le mal. Les rouquins c'est l'incarnation du démon. Bon je sais, il m'en faut peux pour trouver une personne chelou. Surtout que dans le lot le plus chelou dans l'histoire c'est surement moi. C'est donc sans rien que je me mets à montrer le chemin. Pendant que le dénommé Hiryuu doit surement galérer pour faire avancer son chariot dans le sable, le chemin nous mène à de petites rues goudronnées. Là dix kilos de pur bonheur, ironie obligent hein. Un champ de mine infecté d'un lot d'excrément d'animaux de toute espèce. Humaine y compris. Oui, l'humain est une espèce de chien. Après tout, pour chier par terre en ville, il faut bien avoir le niveau d'un clébard? Regardant Hirryuu je me mets à dire:

Tu commences ici, je commence de l'autre côté on se rejoins au milieu t'est ok?

Sans même attendre la réponse, je prends une allure des plus rapides. Esquivant excrément par des sauts périlleux et autres galipettes. D'un bout, je regarde en arrière voir s'il commence et d'un coup remplaçant mon regarde dans la direction où je vais l'apparition d'une vielle femme vient m'enquiquiner. Je fonce vers elle avec une très bonne allure. Il me faut l'éviter à tout pris. Pris d'une esquive de justesse, je me réceptionne au sol. Premier pied à terre qui fut le droit. Pour mauvaise chance les crottes bien liquides. À souhait pour me faire déraper. D'élan me propulsant en avant, autant dire que j'ai bouffé le goudron avec mon crâne sur deux mètres. Fuck les grandes mères. Laissant un regard pour voir si elle n'a rien, je le regarde me regarder avec un air étonné tout en disant:

Qu'elle grossier personnage.

Hiryuu était prêt à effectuer sa mission avec ce drôle de ninja qu’était Seya. Certes, elle n’avait rien de très glorieux mais elle apprendra à Hiryuu ce qu’était la dureté du travail pour un ninja. Chacun se rassure comme il peut. Ainsi, les autres travailleurs partirent en direction de leurs secteurs respectifs. Hiryuu remarqua la présence unique d’homme, tous vêtu d’une tenue jaune flashit. Ces personnes qui avaient l’air fatigué pour la plupart, se plaignaient de leurs futures taches qui étaient désormais encrée dans leurs routines quotidiennes. Mais finalement, ils partirent tels un unique homme dans un mouvement de plainte général, avant de se dispersé au loin en différent groupe. Hiryuu se retrouva seul avec Seya, prêt à aller travailler. Ensemble, ils prirent la direction d’un lieu réputé infecte, tel qu’il fut nommé « le champs de mine » par Seya. Pourquoi un tel nom ? Hiryuu allait bientôt le savoir à ses dépend…

Hiryuu devait donc traîner son chariot qui contenait ses outils, jusqu’au lieu indiqué par son sensei du jour. La tache fut loin d’être aisé, la route étant sinueuse et sableuse. Après une longue, très longue route, ils arrivèrent au lieu de travaille. Essoufflé, Hiryuu releva la tête et vit avec dégout ce qui l’attendait. C’était un lieu chaotique, parsemé de la déchéance d’animaux… et d’homme vraisemblablement. Un emplacement qu’Hiryuu n’aurait jamais cru voir dans sa vie. Il regarda avec dégout ses mains avant d’entendre Seya dire :


Puis il parti rapidement à l’assaut de sa taches. Hiryuu voulu protesté, mais c’était trop tard il était déjà loin. Ainsi il bloqua avant de décidé avec écœurement d’attaqué le travail… Les sceaux rendant toujours difficile ses mouvements. Il marcha avant de faire face à un excrément liquide, verdâtre. Une vision des enfers qui failli le faire vomir. Jamais il n’aurait put toucher une telle chose… Il utilisa ses pouvoirs héréditaire pour cristallisé la vil chose, avant de la ramassé le cristal formé. Voila un entrainement !s’écria Hiryuu .Cristallisé toute ces crottes allait le forcé à puisé dans ses réserve de chakra et a mieux maitrisé ses pouvoirs. Avec un regain d’énergie, il parti à l’attaque de sa tache, cristallisant les selles et nettoyant la rue. La tache fut réellement rude avec cents kilo sur tout le corps. Après une grande partie de sa tache effectuée, Hiryuu sentit ses forces le quitter. Il commençait à être à cour de chakra, et était essoufflé. Il prit le temps de s’assoir au sol, pensant à ce Seya… faire cela tous les jours devait vraiment être une tache non aisée. Peut être qu’il avait déjà fini de son coter ? Allez ! Hiryuu se releva et reparti à l’assaut de sa taches. N’ayant plus assez de chakra, il ramassa les déjections avec ses gants, bien que cela le répugnait au début… Puis il s’habitua à sa tache. Il n’y avait plus le temps pour de telles considérations. Finalement après un long moment, Hiryuu avait fini de son coter. Si Seya aussi, cela voulait dire que la rue était propre… Un soulagement au vu de son état initial. Essoufflé, il alla rejoindre le point de rendez vous fixer par Seya. L’homme était déjà la, l’attendant depuis quelques temps.

Quels était la suite des opérations ?

Machine posée au sol. Un aspirateur ultra puissant conçu par mes propres soins. Modèle unique avec un désodorisante odeur printanière. Des roulettes dessus, je n'ai qu'à le pousser pour aspirer tout forme de chose. C'est donc en poussant l'engin que j'aspire la totalité des excréments et des granulés de sable porté ici par le vent. Quoi j'ai mes propres engins. Ben c'est moi qui les ai fabriqués donc c'est logique non? J'ai lu et relu le règlement, ce n'est pas interdis et cela même s'ils ne l'ont pas non plus autorisé. Mon travail fut rapidement fait. Au point de rendez-vous, j'attends mon partenaire qui pour une première journée avec une tenue pesante d'une centaine de kilos, c'est plutôt bien débrouillé. Si je me rappel, quand j'ai instauré cette règle, les trois premiers ayant porté cette tenue se sont effondrés au bout d'une demie heure de travail. Disions que pour l'ensemble des travailleurs, cent kilos n'est même pas le poids qu'ils font. Pour ma part, je vois aussi que je commence à m'habituer à ses poids et donc je pourrais bientôt préparer mes outillages que je pourrais enfin porter pour les potentiels combats que j'aurais à mener, il a bientôt fini sont travail. Un appel survenant, une urgence, plusieurs fêtards ayant foutu le bordel en centre ville. Hiryuu ayant bientôt terminé. Je fais réapparaitre la machine et aspire les dernier excrément:

Pas la peine, je vais le faire. Bon on a une urgence, il y a du travail en centre ville. Reste sur tes gardes, là ou nous allons plusieurs hommes ivres trainent et quand ses types se chauffent, ils arrivent qu'ils deviennent violents. Bon on va voir ce qu'il en est. Le soleil va bientôt se lever et les choses les plus imposantes doivent disparaitre avant que le peuple ne se lève.

Au pas de course, il nous faut cinq minutes pour arriver au centre. Là voilà qu'une bonne quantitée de petit morceau de polystyrène c'est envolé partout dans le centre. Puis dans le centre ville c'est mort pour utiliser un engin mécanisé. Trop brouillant et les gens dormant risquent d'être mécontent:

Je te conseille de ne pas prendre le chariot, regarde bien. Un sac d'une main et une pince de l'autre. Ne jamais prendre à la main qui sait si en te dépêchant tu ne tomberas pas sur une seringue et si tu te fait piquer par une seringue trainant au sol, c'est direction l'hôpital pour un diagnostique d'une journée et pour l'avoir vécue se n'est pas un traitement agréable. Tu prends sois la pince soit le balais et la pelle selon la quantité de là ou tu es. Si tu trouves une seringue tu as une boite faite exprès pour cela dans le petit coffre accroché à ton chariot. Quoi que tu fasses ne touche jamais une seringue avec tes mains. C'est une règle dans notre travail et cela même si c'est contraignant.

Sortant un sceau, je me mets à réfléchir, puis à dire:

Ça va être un travail ardu. Chacun de notre travailleur va nous aider dans cette tache. Même ceux qui ont la même tenue que toi avec les poids. Ils le garderont, cependant c'est ton premier jour donc si tu souhaites l'enlever j'ai une tenus supplémentaire sans poids, c'est triché, mais je fermerais les yeux pour cette fois si tu souhaites la prendre. Bon lest go.

La joie du travail causé par des petits merdeux commence. Je vois déjà comment ces polystyrènes est atterrie là. Des marchant ayant rangé cela dans plusieurs poubelles. Les fêtards passant à côté et les renversant et vidant le contenu par terre. Je ne comprends point cet acte. Aucune virilité dans ce geste et pas vraiment de raison particulière, sauf celle d'avoir une chance de se salir. Enfin la vie est faite de personnes différentes et qui sais quel intérêt ils ont, enfin, ils doivent quand même bien en avoir une.

hrp:

A peine la ruelle chaotique nettoyé, une nouvelle tache appela Hiryuu et Seya. Une urgence d’après ce dernier, le centre ville serait dans un état déplorable. Pas le temps de soufflé qu’ils partirent prendre la direction du lieu en question. Sur le chemin, Hiryuu se rendit conte de la dureté d’un tel travail et du respect qu’elle devait entrainer. Effectuer ces taches tout les jours devait être ardu tant physiquement que psychologiquement. Il s’était plain la veille, mais désormais il regretté son comportement et décida de se donner à fond pour le reste de cette journée de travail par respect pour ces personnes qui travaillent dans l’ombre sans jamais se plaindre.

Ainsi ils arrivèrent au lieu dit et virent qu’effectivement le centre ville était dans un état exécrable, avec des montagnes de déchet de toutes sortes et de toute taille éparpillé dans les rues du centre ville qui était habituellement si entretenu et si propre. Quel choc de le voir dans un tel état ! Il fallait impérativement faire quelque chose. Seya semblait être tout aussi concerné. Il lui expliqua les consignes de travail pour une telle situation, avant de lui dire, hésitant.


Puis il lui retira un sceaux de 20 kilos. Hiryuu se senti tout d’un coup plus léger. Devait-il obéir et prendre une tenue normale ? Surement pas… Il déclara :


Puis il parti à la conquête de sa nouvelle taches. Il se muni de gants et d’un sac, ses uniques armes dans cette bataille. Ainsi il commença le nettoyage de ces rues pollué, une tache assez longue et contraignante en somme. Il pensa à ce centre ville dans lequel il venait si souvent avec ses parents sans jamais se soucié des hommes qui la rendait si accueillante et si splendide. Ces personnes qui polluent et salissent pour le plaisir étaient réellement des monstres sans vergogne et sans intérêt. Punir ses personnes serait assez mérité. Mais c’est ainsi qu’était le cycle présent. Après un long moment, les renforts firent enfin leurs apparition sous l’aube naissante des ces rues chaotique. Une escouade d’homme ; les même qui étaient présent dans la matinée. Frotté, ramassé, balayé, frotté, ramassé et balayé encore ; c’était une chorégraphie universel, que tout les hommes exécuté en phase tel un seul dans un rythme très soutenu. Un rassemblement qui lié chacun d’entre eux, avec la seul envie d’accomplir la tache, de rendre toute sa superbe à ces rues et à ce beau pays. Voila les vrai héro de Suna. C’est ainsi qu’une grosse parti du travail fut accompli par tout ces ninja en peu de temps, une efficacité redoutable. Hiryuu lui avait eu une espèce de regain d’énergie dans cette atmosphère d’euphorie collective, bien que son corps fût assez affaibli.

Enfin, les premiers rayons du soleil virent illuminé le spectacle accomplit, le centre ville était de nouveau impeccable. Ce simple fait, assez commun pour tous les habitants de Suna, emplit de joie Hiryuu. Quelle douce satisfaction innocente. Puis dans les rangs on entendit quelques voix s’élevé:

-Saloperie de fêtards qui foutent le bordel ! Y’en à ras le bol !
-Ouai ! Si j’en chope un il va savoir ce qu’est la vraie souffrance !

Lui Hiryuu resta calme et impassible comme à son habitude et observa Seya qui était le grand responsable en quelque sorte.

Le travail se fait avec une allure plutôt bonne. Si l'on continue comme cela, les magasins n'ouvriront pas avant que notre travail soit effectué. Passant de part et autre, je me gouille à effectuer une tâche qui pour le commun des mortels n'existe même pas. Les gens ne connaissent que ce qu'ils voient est privé de la vision de ce genre de tache par simple ignorance. Dans un sens, cela montre une belle illusion que les hommes simples se font eux même. Montrant que la voie de l'ignorance vaut belle est bien un puissant Genjutsu. Travaillant comme un forcené, je regarde un groupe de trois fêtards s'approcher de trop prés d'un de nos balayeurs avec une tenue ayant un poids de cent kilos. Regardant au loin, je m'approche de mon partenaire qui maintenant est considéré comme l'un des nôtres. Lui tape à l'épaule, je me mets à lui dire de regarder sans pour autant agir. Les trois hommes provoquant le balayeur ne réagissant pas. Après un certain temps, le balayeur commence à les prévenir d'arrêter, car s'ils continuent, ils se mettraient à avoir des problèmes. Un conseil, qui tombe dans des oreilles pas vraiment réceptifs. Par la suite, l'homme en jaune se met à se défendre, bloquant et parant les coups pour ensuite maitriser deux d'entre eux pendant qu'un autre lançant une pelle assez proche de la tête du dernier qui frolla d'assez prêt pour qu'il entende la pelle siffler dans son oreille. Le balayeur les regarde tout en prenant l'identité d'un des hommes puis dis :

Nos règles sont simples. Si nous sommes agressés, nous devons prévenir l'agresseur, puis vous maitriser sans vous blesser. Puis ensuite vous sanctionnez d'une manière bien précise. Vous devrez travailler pour la communauté pendant une semaine. Vous serez donc assigné à balayer les rues. Je veux vous voir demain à 5h30 pétante. Ne soyez pas en retard, nous n'aimons pas les gens qui ne respectent pas les règles.

Hé hop, voilà de la main d'œuvre qui ne coutera pas cher au village. Je regarde Hiryuu, puis d'un sourire lui dit:

Regarde, comme quoi se ne sont pas des combattants, mais il vaut mieux éviter de les chercher non? J'ai instauré des entrainements de base de Ninja dans leur planning semestriel afin qu'ils puissent se défendre un minimum contre ce genre d'individu.

Reprenant le travail, le jour se lève et il ne reste que peu de chose à faire. Des morceaux restant coincés dans des bouches d'évacuations et autre petit recoin. L'heure tourne est c'est bientôt l'heure de la pose. Les meures de la tentions qui à eux sur les dégâts causés et l'interpellation, fait râler un ou deux balayeurs laissant écharper des mots du genre :

-Saloperie de fêtards qui foutent le bordel ! Y'en à ras le bol !

-Ouai ! Si j'en chope un il va savoir ce qu'est la vraie souffrance !

C'est bien d'évacuer la tentions dans un sens, ha, ha. Bon ce n'est pas tout, mais l'heure tourne et le moment le plus important dans le travail va débuter:

C'est l'heure de la pause les gars.

Oui, l'heure de la pose. Un moment de détente pour ses travailleurs qui raconte leur vie et leur train train après le travaille.