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Le mérite. C'est ce qu'elle avait accomplie grâce a cette envie d'aller plus loin. Jeune promu de l'académie de Suna, Kawaguchi Malaw était la nouvelle Genin de ce pays. Malaw n'était pas nouvelle ni ancienne ici. A l'âge de dix-sept ans elle était académicienne puis réussi à force d'entraînement et de travail sur sois a toucher son rêve de devenir plus forte. La kunoïchi, avant d'entamer une toute nouvelle aventure, voulait marquer le coup mais ne savait pas comment. Alors, elle se mi a arpenter les rues de Suna dans le but de s'inspirer d'une pensée ou d'un acte.
Une échoppe bon marché avait attiré son attention lorsqu'elle traversa la grande place. Des boucles d'oreilles en forme de shuriken, des bijoux bon marché, prix plus que correcte et tout a fait abordable pour elle qui n'avais hélas que très très peu de moyen financier flamboyaient dans la vitrine.
Sous cette chaleur dont elle avait pris l'habitude, la jeune diplômée se décida a entré pour assouvir sa soif de curiosité. De multiples emplettes se captaient ses envies et des désirs. Cependant, ces bijoux n'étaient pas une preuve suffisamment forte pour marquer le coup se dit-elle après mur réflexion. Elle haussa les épaules et soupira pour ainsi faire demi tour et se diriger vers la sortie avant de saluer poliment le vendeur qui était visiblement perdu dans es pensées et n'avait presque pas remarqué la présent de la discrète kunoïchi. Elle se remit alors a hèrer dans la centre ville.
Quand soudain, cette idée lui vain a l’esprit. Elle repensait a ce kunaï, son fétiche, celui qui pensais tout le temps ramasser, qu'elle gardait en cas de pépins ou les moment les plus dure, qui l'aidait a reprendre confiance en elle et lui donné la force. Quel parfaite acte que de décorer cette arme, ce porte bonheur. Ni une ni deux, Malaw, déterminé et d'entrain enthousiaste, se mi a mettre le cap au Kenkyuujo.

Adepte des techniques d'illusions, elle n'était vraiment pas habituée a ce genre d'endroit, les ateliers. Le soleil commençait à s’effacer pour laisser place a la douce lune. Ne voulant pas rentré tard après une si dure journée d'examen, elle prit la ruelle de droite et marcha pas totalement rassuré. La lumière qui coloriait le sol de cette atelier attira automatiquement son attention, conduite pas son instinct elle décida de se rapprocher d'avantage pour ainsi y siéger devant pendant quelques minutes afin de contempler son architecture et se laissa à penser ces quelques instants de contemplation.

* La lumière venait donc de ces deux fabuleuse lanternes. L'endroit a l'air sympas et artistique. Oui ce doit être un artiste, un passionné sûrement. C'est décidé, ici sera la parfaite opportunité pour moi de marquer le coup ! J'y vais. *

Timide, elle qui avait pour habitude de ne pas beaucoup parler aux autres, interagir avec autrui, se mi à avancer pour entrer dans la demeure. Il y faisait tout de suite une température ambiante plus confortable qu'a l’extérieure, elle qui n'avait que pour seul vêtements des rubans et des lambeaux de tissus qui couvraient sa poitrine et son bassin. La kunoïchi du clan Kawaguchi, blonde d'un mètre soixante-dix aux yeux marron qui se mariaient avec une tel harmonie à ses boucle d'oreilles de ma mère perdu il y a si longtemps. Mais, personne en vu. Étonné mais pas moins découragée, elle décida de s'aventurer dans l'architecture si ordonné, comme si, tout était a sa place tel l'évidence même. La Genin se fi capturer son attention par une silhouette derrière ce qui semblait être une porte entre ouverte. Déterminé, après quelques pas, elle était devant cette silhouette qu'elle ne voyait qu'a moitié. Gêné mais sans pudeur elle ne voulait surtout pas paraître impoli et ne se permit pas de franchir se bas de porte. L'homme dans cette salle ne l'avait pas remarqué tout de suite dû a son allure raffiné et discrète. Stupidement, elle se mi a s'affoler et ces pensées lui vinrent.

* Ôhayô. je voudrais que vous me stylisez une de mes armes... Non non non pas aussi directe je ne le connais pas ! Ôhayô monsieur je m'appelle Malaw je suis la nouvelle Genin et j'aimerais que vous m’aidiez à ajouter une touche artisti... Non non non pas comme ça ! Au non je panique, pourquoi ? Dois-je me forcer à communiquer avec quelqu'un d'autre pour faire quelques chose dont je ne suis pas capable moi même ? Aller. *

La Kawaguchi se décida enfin, quelques secondes lui suffirent pour se reprendre en main. Elle poussa donc cette porte semi ouverte pour se montrer a l'artiste, si toutefois pouvait on l'affubler d'un tel nom. A peine cette dernière ouverte, qu'elle laissa s'évader discrètement ces quelques mots, mais...

« Ôhayô... »

Seulement un seul mot ne réussi à se faufiler à l'oreille de l'artisan.

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Toujours quelque peut gênée, la kunoïchi restait de marbre face a l'artisan qui lui faisait maintenant face. Il s'approcha d'elle doucement et d'un geste sans aucune mauvaise intention le brandi en sa direction pour en voir s'échapper du corps de la blondinette une petite araignée mécanique qui marchait rapidement pour se poser sur le bras du Saibogu et le remonter pour se nicher sur son épaule.

* Mais qu'est-ce que c'est que ça ?! * pensa-t-elle.

L'artisan s'excusa pour ce que Malaw pu prendre pour un affront et retourna s'affaler sur son fauteuil où il semblait passer la plus pars du temps perdu a rêver et travailler sur d'innombrables projets. Il lui demanda alors la raison de ça venu avec une assurance et une élégance certaine. La Kawaguchi timide se permit cette réponse.

« Je... Je m'appelle Kawaguchi Malaw. Je suis une jeune diplômée de l'académie et je me baladait en ville en quête d'un souvenir pour marquer le coup si vous voyez ce que je veux dire. Cependant rien ne ma sembler plus agréable que d'avoir se souvenir en permanence sur moi alors j'avais pensée a des boucles d'oreilles mais finalement j'ai opté pour une décoration fait main afin de rendre un de mes kunai unique en son genre. Holala... Je vous prit de m'excusez ça ne vous intéresse sans doute pas ce que je vous raconte mais je voulais juste savoir si cela était dans vos cordes ? »

La jeune blonde fit quelques pas pour pénétrer au centre de la pièce et se rapprocher ainsi du Saibogu. Elle lui jeta un regard déterminé et salua l'homme qui était assit devant elle en signe de politesse et de respect pour appuyer sa demande. Laissant l'opportunité a l'artisan de réfléchir avant de donner son verdict.

* J'espère qui pourra m'aider ! * rêva-t-elle silencieusement.